Une Amitié Née Sur Le Net, Une Rencontre

On s’est rencontrés sur Internet, par des commentaires laissés sur un forum en l’hommage de notre chanteur favoris.
On s’est ensuite beaucoup parlé via msn. Des petites discutions sympas entre amis. Ça a duré près d’un mois.

A côté de cela je vivais ma petite vie d’étudiante. J’avais un petit appartement à Lyon, juste à côté de la faculté, que je partageais avec Sophie, ma meilleure amie. Notre collocation était parfaite, mis à part le faite qu’elle changeait régulièrement de copain et avait la désagréable habitude d’avoir des ébats très bruyants avec ses divers partenaires.
Quand elle me prévenait à l’avance, j’allais chez mon copain. Il s’appelait Tom, il était très beau. J’étais avec lui depuis 2ans et demi, en fait, je n’ai jamais connu que lui. Ou plutôt, il est le seul à jamais m’avoir connu intimement. J’étais heureuse avec lui, j’avais l’impression de l’aimer bien que nous nous enfoncions de plus en plus dans une routine ennuyante mais tout de même sécurisante.
N’étudiant pas dans la même ville, nous nous retrouvions le samedi matin chez les parents de l’un ou de l’autre selon la semaine. On passait la journée en famille, la soirée ensemble, pour toujours la finir de la même façon, moi, allongée sur le lit, lui dessus. Quelques coups de reins et l’affaire était réglée, jusqu’au dimanche matin avant que nous nous quittions.

Faire l’amour avec lui, n’était pas vraiment désagréable, mais pas plaisant non plus, parfois le plaisir montait en moi mais jamais il ne me semblait attendre son apogée. En tout cas, je n’avais pas l’impression de ressentir le même que celui que ma colocataire ne parvenait à réfréner, celui qu’elle me décrivait quand ses amants étaient partis.

Quand j’ai osé lui parler de mes problèmes de « sensation » quand je faisais l’amour avec mon copain, elle m’a conseillé d’aller voir ailleurs en rigolant. Puis plus sérieusement d’en parler avec lui pour qu’il fasse plus attention à moi, elle m’a demandé s’il me faisait souvent des cunnilingus et a semblé choquée de savoir qu’il n’avait jamais aimer ça et que donc…

Bref, j’étais décidé, j’allais parler à mon copain, et tout irait mieux, je l’aimais, tout devait donc pouvoir s’arranger.



Le week-end suivant, je lui ai dit tout ce que j’avais sur le cœur. Il m’a rassurée, m’a dit qu’il ferait plus attention à moi mais quand nous avons fait l’amour, malgré des préliminaires un peu plus longs, rien n’avait changé. Me sentant coupable, j’ai feint d’avoir un orgasme et je n’ai rien dit.


La semaine qui a suivi, ma colocataire m’a demandé comment mon week-end s’était passé et je n’ai pu m’empêcher de lui avouer la catastrophe.

Le mercredi suivant, je devais rencontrer Raphaël, mon ami d’internet. Je pensais ne pas aller en cours pour passer la journée avec lui, lui présenter Sophie et passer une petite soirée sympa entre potes.
Malheureusement pour moi, quand je l’ai dit à Sophie, elle a bondit sur l’occasion :
« - Ce mec est sympa, et attentionné envers toi non ? m’a-t-elle demandé.
- Oui, sur Internet et tout cas…
- Alors pourquoi tu ne tenterais pas quelque chose avec lui, s’était-elle exclamée persuadée d’avoir eu l’idée du siècle.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- Bah, ton copain ne le connaît pas et ne le rencontrera probablement jamais, alors « profite » un peu de lui, comme ça tu vois si ton blocage vient de ton copain qui s’y prend comme un manche ou de toi…
- Hors de question, je ne le tromperais jamais, en plus je n’ai pas du tout ce genre de relation avec Raphaël, je ne m’imagine pas du tout le sauter dessus…
- Tu es très mignonne, et un mec reste un mec, aussi cool soit-il ! affirma-t-elle en quittant la pièce me laissant sur avec l’idée qu’elle venait de semer en moi »

Mercredi est arrivé plus vite que je ne l’aurais voulu, Sophie avait disparut de la circulation après avoir laisser un petit mot comme quoi elle allait passer quelques jours chez l’un de ses copains dont je ne faisais plus l’effort de retenir le nom…

Je me suis réveillée très tôt mercredi matin, je me suis épilée, couverte de crèmes aux parfums délicats et je me suis surprise à chercher dans les armoires de Sophie une tenue qui puisse me donner l’air décontracté et sexy sans le vouloir.

Une petite robe légère aux décolleté qui laisse deviner ma poitrine dont je suis très fière (probablement car je suis l’un des seule fille a ne la trouver ni trop grosse ni trop petite). Les jupons voletaient légèrement laissant largement voir mes jambes fines et musclés.
Je me suis légèrement maquillé, j’avais peur de trop en faire…
Juste avant de partir, dans un dernier coup d’œil à la glace, je me sentis un peu honteuse de devoir reconnaître que je n’en fais pas tant quand il s’agit de voir mon copain.

Je suis aller chercher Raphaël à la gare.
Je l’avais déjà vu plusieurs fois à la cam, mais il était encore plus beau que ce que je pensais. Grand et fin avec des cheveux brun ébouriffé et de grands yeux verts, entourés les taches de rousseurs qui tachetaient son petit nez adorable.

En plus d’être très beau, il a été adorable avec moi, me complimentant sur ma tenue puis passant la matinée à rire avec moi à nos blagues un peu idiotes. J’avais redouté cette rencontre mais elle se passait le plus parfaitement du monde alors vers 16h je lui ai proposé de venir chez moi pour que nous puissions un peu nous poser avant de retourner visiter le vieux lyon.

Ce n’est que lorsque nous avons passé la porte, que je me suis brutalement souvenu des paroles de Sophie. Et je dois dire que la sympathie et l’attirance que je ressentais pour Raphaël n’arrangeai en rien ma promesse de toujours rester fidèle à mon copain.
Nous nous sommes donc installés sur le canapé avec une bière à la main quand j’ai brusquement eu envie de faire sauter tous les interdits.


Je me suis rapprocher de lui, l’air de rien j’ai fais remonter le bas de la robe sur mes cuisses et j’ai attendu de surprendre un regard appuyé de sa part pou continuer mon petit jeu.
Quelques secondes plus tard, d’un geste qui aurait pu sembler des plus involontaire j’ai « malencontreusement » touché son entre jambes. Il s’est légèrement écarter de moi apparemment gêné mais ce n’est pas ce qui ma empêché de laisser l’une de mes mains se poser sur son genou.
Il a du juger la distance raisonnable car il ne m’a pas repoussé. Je suis resté ainsi de longues minutes. Nous parlions, pour ne pas changer, de nos goûts musicaux pratiquement identiques. Je n’osais pas bouger sachant que j’étais sur le point de franchir un cap de non-retour. J’avais envie de le faire, je ne pensais presque pas à mon copain, je l’avais d’ailleurs oublié toute cette après midi aux côtés de Raphael.
Je ne l’écoutais plus quand j’ai enfin réussit à faire taire ma conscience pour oser, doucement, faire remonter ma main le long de sa cuisse.
Ce n’est qu’arrivé au milieu de sa cuisse qu’il a bégayé avant de me demander :
« - A quoi tu joues là ? »

J’ai résisté pour ne pas redevenir la petite fille prude que je suis habituellement. J’ai donc encore remonter ma main jusqu'à son sexe et une fois dessus je l’ai dévisagé en lui demandant de « deviner »

- Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, me dit-il très franchement sans pour autant repousser ma main.
- Pourquoi ?
- Car tu as un copain, et car je ne pensais pas que nous avions ce genre de relation…
- On peut avoir la relation que tu veux, demain, mais pour le moment…
J’ai commencé à caresser son sexe et ses cuisses à travers son large jean.

- Tu es sure que… Non, nous ne devrions pas, tu es très jolie mais…
- Pourtant toi aussi tu en as envie, ne me dit pas que c’est faux, je le sens dis-je en appuyant un peu plus sur son sexe que je sentais durcire sous ma main.

Il est devenu rouge de honte mais n’a rien dit, je me suis donc laisser glisser par terre pour passer entre ses jambes.
J’ai planter mon regard décidé et plein d’envie dans le seins apparemment perdu, j’ai doucement déboutonné son Jean puis j’ai passer ma main sous son t-shirt pour caresser son ventre agréablement musclé. Je m’avance un peu vers lui et fait enfin descendre ma main jusqu'à son sexe mais à peine ai-je pu le toucher qu’il se redresse brutalement en me repoussant.


- Ce n’est pas une bonne idée, on à tout les deux quelqu’un… ce n’est pas…
Alors qu’il se retourne face à moi, je fais glisser la robe à mes pieds me présentant dans ma lingerie la plus belle et la plus sexy.
Il en perd ses mots, j’en profite pour me coller à lui. Je retire son t-shirt en l’embrassant dans le cou, puis mes mains dévalent son dos alors que mes lèvres dévorent sa peau délicieusement sucrée.
Mes mains détachent son pantalon qui tombe à ses pieds et déjà je vois son gland pointé hors de son boxer.
- Elle à l’air pressé, plaisantais-je en portant une caresse discrète à son sexe turgescent.

Il essaye encore une fois de me repoussé mais je lui prends la main et l’entraîne dans ma chambre.

Allongé sur mon lit il ne semble plus savoir quoi faire, je prends alors les choses en main retirant complètement son caleçon pour admirer son sexe.
Ce n’ai que le deuxième que je vois, mais il me semble parfait. Contrairement à la verge de mon copain que je trouve un peu « boursouflé », elle est longue et parfaite, je la caresse en lui avouant la trouver très belle puis, probablement emportée par l’excitation que me procure le moment, je me penche en avant et dépose sur son sexe un baisé. Elle est douce et chaude.
J’ai envie de l’embrasser plus encore alors je la prends en bouche et la suce, la caresse avec ma langue lui apportant toutes les attentions dont je suis capable.
Je n’ai jamais vraiment apprécié tailler des pipes à mon copain, je le fais seulement quand il me le demande, pourtant là, j’aime le sentir se contracter sous mes coups de langue, sentir sa verge se durcire encore plus. Alors que je le sens venir trop rapidement, je ne me retire pas comme je l’aurais fait avec mon copain, au contraire, j’avale la moindre goûte de sperme il accepte de me donner.
Puis je relève les yeux vers lui.
- T’es un rapide dit-donc, lui dis-je en me moquant légèrement.
Il s’excuse. Je le trouve irrésistible alors je remonte pour l’embrasser, ses lèvres sont douces. Enfin, il se décontracte et consent à me rendre mon baisé, il sait s’y prendre pour rendre ce contact agréable mais ses mains restent désespérément immobile le long de son corps, c’est alors que je réalise que :
- Tu es vierge ?!
- Je… non j’ai…Oui.
Je m’écarte un peu de lui,, déçu de ne pas avoir à faire à un homme expérimenté qui me ferrait grimper au rideau. Voilà que je me retrouve avec un mec qui sait encore moins s’y prendre que mon copain.
- Désolé, murmure-t-il gêné semblant avoir senti mon agacement.
Je lui jette un regard noir, mais ses beaux yeux verts claires, son sourire désolé, son corps fin et délicieux, sa bite parfaite et sa beauté m’oblige à céder.
- Ok, c’est pas grave, il faut un début à tout… dis-je en attrapant l’une de ses mains pour lui la posé sur ma poitrine et l’autre sur mon string tout humide.
- Je vais faire de mon mieux, me dit-il avant de m’embrasser à nouveau.
Rien que ses baisers me donne du plaisir, mais il s’est brusquement hardi osant retirer mon soutien gorge pour caresser délicatement mes seins avant d’embrasser mes tétons durcis.
Sa main posée sur mon sexe s’anima, elle aussi, caressant mon sexe par dessus le dernier bout de tissus qui protégeait mon corps. Je me suis brusquement retrouvée sous lui alors qu’en embrassant mon cou, il remonta jusqu'à mon oreille pour y murmurer :
- Je voudrai te rendre la pareille, alors laisse toi aller et dis moi si je ne m’y prends pas bien.
Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit que déjà ses lèvres se plaquaient aux miennes dans une étreinte délicieuse.
Puis doucement il est descendu le long de mon corps nu, il embrassa encore un peu mes seins, les caressa avant que l’une de ses mains ne cascade jusqu'à mon sexe pour le caresser par-dessus mon string. Son autre main et ses lèvres la suivrent, déjà mon souffle s’accélérait.
Alors que ses baisers arrivèrent au niveau de mon bas-ventre, il s’est redressé pour faire glisser ses mains sous l’élastique de mon string qu’il chassa rapidement. Il est ensuite reste quelque trop longues seconde à m’observer ainsi, allongée nue, les jambes écartées, le bassin relevé, totalement offerte à lui. Je me suis sentie un peu honteuse d’être dans cette position face à lui. Mais avant que je ne doute plus encore, il est descendu du lit et m’a tiré légèrement plus près du bord pour avoir le visage entre mes jambes posées sur ses épaules. Il a commencé doucement par lécher et titiller toutes les parties de mon vagin, c’était agréable, mais il ne semblait pas vraiment savoir comment s’il prendre pour rendre cet acte terriblement agréable. J’ai alors encore plus basculé le bassin comme pour lui faire comprendre que ça ne me suffisait pas. Ses mains qui caressaient mes cuisses et mes fesses se sont alors enfin joint à sa langue, doucement, il a alors osé m’enfoncé un doigt, puis remarquant la place suffisante, un second et alors que sa langue ne s’occupait plus que de mon clitoris un troisième doigt ma pénétré.

A cet instant je me suis sérieusement demandé s’il ne s’était pas moqué de moi, si c’était réellement la première fois qu’il fessait cela à une fille, car encore jamais je n’y avais pris autant de plaisir. C’est d’ailleurs une vague de jouissance qui m’empêcha de continuer à réfléchir pour ne plus profiter que des sensations délicieuses qu’il m’offrait. A peine quelques minutes de ce traitement et déjà des cris de jouissance involontaire s’échappaient de ma bouche, il suçota une dernière fois mon clitoris, ses doigts rentrèrent totalement en moi alors que dans un cri roque que je ne me pensais pas capable de produire, une vague de plaisir c’est abattu sur moi me fessant refermer les cuisses autour de son visage.
Je n’avais encore jamais ressenti ça, c’était tellement bon et en même temps tellement puissant, je me suis remonter sur le lit pour m’y allongé entière épuisé par ce trop plein de plaisir j’ai fermé les yeux en attendant de retrouver pleinement mes esprits.

Quand je les ai rouverts, une minute plus tard, j’ai pris conscience de ma position obscène allongée nue sur ce grand lit, les jambes écarter laissant à la vu mon sexe dégoulinant, et lui, assit sur le coté du lit me regardant un sourire timide sur les lèvres.

- Ou est-ce que tu as appris à faire ça, lui demandais-je en me redressant légèrement.
- En regardant des pornos, me dit-il tout de même un peu gêner.
- Je devrais en offrir quelques collections à mon copain alors… plaisais-je en passant derrière son dos pour l’embrasser dans le cou avant de lui susurrer à l’oreille :
- Et les pornos t’ont-ils aussi enseigné comment les choses doivent continuer.
J’ai fait glisser ma main jusqu'à son sexe à nouveau vigoureux que j’ai délicatement caresser avant qu’il ne se retourne face à moi pour se glisser au dessus de moi.
Le temps qu’il à perdu à se demander comment s’y prendre ma permis de prendre conscience que de me faire baiser en missionnaire me rappellerait trop ses longs moments passer à regarder le visage contracter de mon copain qui me pénètre pour son seul plaisir.
Et à l’instant ou Raphaël positionnait son sexe à l’entrer de mon vagin, je l’ai repoussé pour me lever face à lui.
- Tu n’as rien de mieux que le missionnaire.
Il s’est levé face à moi en souriant alors que je me laissais aller dans ses bras à l’embrasser. Il est alors devenu plus vif et entreprenant, m’assaillant sur le bureau encombré de la chambre, il a plongé son regard dans le mien tout en positionnant sa verge à l’entré de ma grotte. Il est devenu plus direct fessant entré son long sexe dans mon vagin déjà bien préparer d’un seul coup de hanche. J’ai laissé échapper un petit cri de surprise alors que déjà il remontait encore plus mes jambes pour me pénétrer dans de grand coup de hanche qui déjà me font haleter. Après plusieurs minutes, il m’a serré plus fort contre lui pour me porter jusqu’au lit ou il s’est assit me laissant au-dessus de lui. j’ai pu choisir la cadence, aller au gré de mon plaisir, une grande première pour moi. Il a utilisé ses mains libres pour caresser mes sains, mais ayant probablement peur d’être maladroit, il était doux et me permis de découvrir que ces simples caresse pouvaient elles aussi me donner du plaisir. Puis je me rapproche de lui ses lèvres me manquant. Il laisse une main sur mes seins, et place l’autre mon sexe qu’il masturbe doucement. Nos respirations redeviennent vites haletante alors que nos bouches souffrent et jouissent de trop longs et forts baisers.
C’est doux et puissant à la fois, on jouit presque au même instant avant de se retenir dans les bras l’un de l’autre harassé par le plaisir et l’effort, il reste en moi le plus longtemps possible alors que ses douces mains caressent mon dos et que ses lèvres embrassent mon cou.

Une heure plus tard, il est déjà reparti pour ne pas rater son dernier train, je l’embrasse sur le quai alors qu’à nouveau gêner il me remercie pour « la fabuleuse journée » que nous avons passé ensemble.
C’est moi qui devrais le remercier, grâce à lui je connais enfin le véritable orgasme.

Le lendemain, rongé par la culpabilité, je suis aller parler à mon copain. Il m’a traité de salope et ne souhaite plus me revoir.
C’est étrange, ça me fait moins de peine que ce que j’aurais pu imaginer. Et ce qui occupe mon esprit à ce moment la ce n’est pas comment me faire pardonner, mais au contraire, de savoir quand je pourrais revoir Raphaël.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!