Enfin Ma Belle Mère Se Lâche

Ma belle mère m’excite vraiment, je ne me lasse pas de la voir. Elle a 70 ans mais ne les fait pas. Elle mesure 1m65 doit peser dans les 50 kilos. Elle a les cheveux courts poivre et sel bien dégagés sur sa nuque qui donne envie de la lécher. Elle porte des lunettes qui lui donne un coté bourgeoise salope très excitant. Elle est fine, ses petits seins je pense un 85B sont toujours bien tenus par un soutien gorge qui lui grossit sa poitrine et ses fesses rondes trônent magnifiquement en haut de ses fines jambes pour laisser place à une taille étroite. Elle est toujours habillée comme une belle bourgeoise qu’elle est. Je profite de ses atouts de femme ce qui ne fait qu’augmenter mon désir pour elle.
A de nombreuses reprises lors de visites chez mes beaux parents, j’ai pu subtiliser ses dessous sales et me masturber en léchant l’intérieur de ses culottes tout en pensant à son sexe, ce qui me faisait jouir avec le plus grand plaisir. Je pense qu’elle ne se doute de rien mais elle est toujours sensible à mes compliments et n’hésite pas à m’offrir des visions torrides lors de nos rencontres. De nombreuses situations sont ambigües et je ne sais pas quoi penser quant à ses envies par contre je sais qu’elle m’excite et pas qu’un peu.

On est parti en famille pour Rome. Dans l’avion je me suis mis à coté de Françoise, mon beau père et ma copine se sont retrouvés à l’arrière de l’avion. Pendant le vol on a discuté des bagages ma belle mère m’a dit qu’elle avait pris le minimum pour pouvoir acheter des vêtements et remplir sa valise pour le retour. Elle adore le shopping et elle compte bien se lâcher dans la capitale italienne. Elle m’a dit qu’elle n’avait pris qu’un pantalon et la robe qu’elle portait aujourd’hui. Elle passait ses mains sur ses jambes. Je voyais ses cuisses découvertes tenues dans un beau collant noir et son décolleté m’offrait une belle vision sur la vallée entre ses petits seins. Ca m’excitait sérieusement. Je voyais par le hublot la mer avec le coucher de soleil, Françoise s’est collée à moi pour regarder.

Je sentais son sein contre moi, Elle trouvait le spectacle magnifique et j’en profitais pour accen le contact contre son sein. Elle ne faisait rien pour m’arrêter. Bien au contraire elle se frottait encore plus, je voyais ses cuisses comme sa robe était remontée sur ses cuisses. Elle rigolait et un bouton de sa robe s’est défait, j’ai vu son soutien gorge noir en dentelle qui moulait sa poitrine. Elle a posé sa main sur ma cuisse en se calant dans son siège. Je bandais comme un fou. J’avais envie qu’elle touche ma bite. J’ai dit que moi aussi je voulais faire des courses, que je serai ravi de les faire avec elle et qu’on échangerait nos avis pour être sur de faire de bons achats. Ma belle mère était détendue, les cuisses à l’air et les seins bien visibles. Je me suis permis de dire que la lingerie italienne était vraiment d’une bonne qualité et qu’il ne faudrait pas passer à coté de quelques bonnes affaires. Elle a paru étonnée de ma remarque et a dit que ses dessous français étaient beaux. J’ai dit j’en suis sur j’aperçois votre soutien gorge dans votre décolleté et il a l’air très mignon, ça donne envie d’en voir plus. Elle s’est tournée vers moi en ouvrant 2 boutons de sa robe en disant petit coquin tu as vraiment l’œil averti. Elle m’a montré son soutien gorge en dentelle noire très transparent. Je voyais ses tétons bruns qui pointaient. Je n’en revenais pas qu’elle me montre son soutien gorge aussi facilement. J’ai dit vos seins sont magnifiques dans ce soutien gorge j’ai très envie de vous toucher, en approchant ma main. Elle m’a demandé d’arrêter tout de suite. Tu as vu ce que tu voulais voir mais restons en là. J’ai dit oui Françoise mais trouvons un moment pour acheter des dessous italiens tout aussi beaux pour que votre gendre en profite. Elle a ri en se réajustant.
On s’est installé chacun dans nos chambres. Mon amie était très contente de ce voyage et vraiment excitée, elle s’est jetée sur moi pour me sucer. Je n’ai pas résisté longtemps à ce plaisir.
J’ai joui abondement dans sa bouche. On s’est retrouvé dans le hall de l’hôtel et nous sommes partis à l’assaut de la ville. Françoise s’était changée et son pantalon très serré m’offrait une belle vue sur ses fesses moulées par une culotte clairement visible. Je ne me gênais pas pour mater les ondulations de son cul dès que je pouvais tout en caressant les fesses de sa fille. Lors du déjeuner le chemisier de ma belle mère si serré ne cachait rien de sa petite poitrine bien tenue par son soutien gorge. Je la trouvais sexy à souhait. Après une vraie journée de touriste nous avons diné et ce repas fut bien arrosé de bon vin italien, ma copine et mon beau père ont voulu aller dormir. J’ai proposé à Françoise de boire un dernier verre au bar de l’hôtel. Elle a accepté avec plaisir. On a bu plusieurs verres en discutant cote à cote sur un canapé. On rigolait bien, son chemisier s’était dégrafé comme par magie et je voyais ses seins tenus par son soutien gorge noir. Elle voyait bien que je matais sa poitrine mais ne faisait rien pour se cacher, bien au contraire elle prenait des poses qui accentuaient l’ouverture de son chemisier. Ma belle mère me chauffait et je ne savais pas comment réagir. Elle s’est approchée de moi et m’a demandé si je voulais faire du shopping avec elle parce les autres ne le voudraient pas. En plus ton avis m’aidera surement à choisir de belles robes. J’en ai marre de mettre toujours les mêmes habits. Regarde aujourd’hui ce pantalon et ce chemisier. J’ai dit je trouve que votre pantalon vous va bien il est à votre taille serré à souhait et je vous avoue que j’aime bien voir vos fesses dans ce pantalon. Elle a souri. Quant à votre chemisier si moulant sur votre poitrine je l’adore surtout quand les boutons sont défaits et que je peux voir vos petits seins dans votre soutien gorge noir en dentelle. Elle m’a dit tu exagères, ta vision de moi est surement altérée par je ne sais quel désir. En plus cette dentelle n’est pas si agréable qu’il n’y paraît. Elle a regardé autour de nous il n’y avait personne et elle a dit vas y touche et tu verras.
J’ai approché mes mains de ses seins timidement. Vas y ne sois pas timide, tu n’arrêtes pas de regarder dans mes décolletés maintenant tu peux me toucher alors profite en. J’ai caressé ses seins à pleine main et elle adorait ça. J’ai voulu sortir ses seins de son soutien gorge. Elle m’a arrêté en disant et oh tu exagères je voulais juste te montrer que mon soutien gorge n’était pas doux, il n’a jamais été question que tu pelotes ta belle mère comme ça. Maintenant je monte me coucher. Elle s’est levée et je l’ai suivie.
En se levant nous nous sommes rendus compte que nous étions enivrés par l’alcool que avions bu durant la soirée. Le passage dans l’ascenseur étroit était une véritable , je la trouvais désirable à souhait. Nos échanges de regards ne faisaient qu’augmenter mon excitation. En la suivant jusqu’à sa chambre je profitais du mouvement de ses fesses dans son pantalon. N’en pouvant plus au moment de se dire bonsoir, je me suis lancé, j’ai passé mes mains sous son chemisier pour lui peloter les seins. Je sentais ses tétons tout durs sous mes doigts. Elle se laissait faire en prenant un plaisir certain mais quand j’ai mis ma main entre ses cuisses elle s’est offensée en me demandant d’arrêter tout de suite. Tu n’est pas raisonnable tu ne peux pas r de ta belle mère comme ça. Je suis désolée mais il faut que tu te calmes même si je te fais de l’effet. On ne peut pas se mettre en danger. Maintenant laisse moi aller dormir. Elle a ouvert la porte de sa chambre et je suis retourné dans la mienne. Ma copine dormait toute nue, je suis venu me coller contre elle pour la prendre délicieusement.
Je me suis réveillé le matin quand ma copine m’a dit qu’elle allait prendre le petit déjeuner avec ses parents. J’étais bien naze et j’ai dit que j’allais un peu trainer au lit. Elle m’a sourie et est sortie. Je me douchais et les visions de ma belle mère offertes m’ont fait bander. Je me branlais délicieusement quand on a frappé à ma porte avec insistance. J’ai mis une serviette autour de ma taille et je suis allé ouvrir, c’était Françoise qui venait me chercher elle portait une robe légère avec des boutons sur le devant.
Sa poitrine était moulée par le tissu et ça m’excitait, ma bite grossissait de nouveau. Je lui ai dit de m’attendre quelques minutes en buvant un jus de fruit. Elle ne cachait pas son plaisir d’arriver à ce moment et de profiter de ma gène d’être si peu vêtu. Elle s’est assise sur mon lit, sa robe courte me laissait voir ses cuisses moulées par des bas blancs genre dim up. J’ai même aperçu un peu de sa peau tellement sa robe était remontée sur ses cuisses. J’avais du mal à cacher mon érection en lui apportant le jus de fruit. Elle regardait la bosse au niveau de mon sexe en rigolant et elle a dit alors ça n’est pas une légende l’érection du matin à ce que je vois. Ca fait longtemps que je n’ai pas assisté à une telle scène et je t’avoue que ça me plait bien. J’ai dit vous êtes bien coquine ce matin en posant mes mains sur ma bite. Je vais finir de me doucher si ça ne vous embête pas. Elle a ajouté dépêche toi ils sont déjà partis, on a rdv dans 1 heure devant le Colisée.
Je me branlais sous la douche en pensant au beau cul de ma belle mère quand j’ai vu Françoise dans le miroir. Elle était sur le pas de la porte et me regardait sous la douche. Elle ne se doutait pas que je pouvais la voir et cette situation m’excitait. Elle a passé ses mains sur sa poitrine, puis elle a dégrafé tous les boutons de sa robe. Elle portait un soutien gorge en dentelle qui offrait une belle vision sur ses tétons et comme elle n’avait pas de culotte je voyais les poils gris de son pubis. Ses dim up faisaient d’elle une vraie salope. Je me branlais de plus belle et ça avait l’air de l’exciter. Elle a sorti ses seins de son soutien gorge, d’une main elle malaxait un sein et de l’autre elle frottait sa chatte, elle gémissait en se masturbant à coté de moi. Ma queue était énorme et j’étais à 2 doigts de jouir. J’ai coupé l’eau et je me suis mis de dos pour lui laisser le temps de disparaître. J’ai mis un peignoir et je suis rentré dans ma chambre. Elle était sur mon lit, elle avait reboutonné sa robe mais pas jusqu’en haut. Je voyais ses seins qu’elle n’avait pas eu le temps de remettre dans son soutien gorge. Les tétons de ma belle mère pointaient et elle essayait de masquer sa gène. Je me suis assis dans le fauteuil face à elle pour boire un jus de fruit. Mon peignoir s’est ouvert naturellement sur mes cuisses et je l’ai vu regarder au niveau de mon sexe qui était encore dur. Je lui ai dit je n’ai pas été trop long, c’est vrai que j’ai un peu trainé. Elle s’est tournée vers moi et a dit pas de problème je me suis occupée en t’attendant. Sa robe est remontée sur ses cuisses je voyais ses dim up. J’ai dit Françoise il faut que je vous dise que votre tenue ne me laisse pas indifférent et que j’aperçois vos petits seins dans cette position. Elle a refermé ses boutons et a baissé sa robe en disant tu ne peux pas t’en en empêcher petit voyeur c’est dingue ça. J’ai dit je vous trouve un peu exhibitionniste alors j’en profite et en plus je vous retourne la pareille, vous n’arrêtez pas de regarder ma bite toute dure sous mon peignoir. Elle a joué la femme surprise. Je me suis levé et j’ai passé ma main sur ma bite devant elle. Ca vous plait Françoise de voir la queue de votre gendre en érection, ça vous excite. Elle s’est dirigée vers la porte en disant tu dis n’importe quoi, je ne suis pas la femme que tu crois, je pars devant rejoins nous. Elle est sortie.
On a passé une bonne partie de la journée tous ensemble, c’était super sympa. Ma belle mère jouait son jeu de séduction avec moi comme d’habitude comme si il ne s’était rien passé depuis notre arrivée. Sa robe légère m’offrait des vues incroyables sur sa poitrine et les contres jours me laissaient voir ses jambes sublimes. Dans l’après midi je marchais à coté d’elle et j’ai posé ma main entre ses fesses, je sentais les marques de sa culotte, très vite elle m’a dit arrête tu es fou de faire ça, ce n’est ni l’endroit ni le moment de me toucher. J’ai dit vos fesses m’excitent et je ne peux pas me retenir. Elle a accéléré pour me fuir. Au milieu de l’après midi Françoise a voulu rentré à l’hôtel parce qu’elle en avait marre de voir ses vieilles pierres. J’ai proposé de l’accompagner comme ma copine et son père voulaient continuer de profiter de ces sites fabuleux. On a pris le bus tous les deux et je lui ai proposé de s’arrêter pour prendre une petite collation dans un jardin. Elle a trouvé que c’était une bonne idée.
On s’est assis dans l’herbe face à face. Quand elle s’est assise j’ai vu sa poitrine moulée par un soutien gorge blanc. On discutait en mangeant elle ne se rendait pas compte mais sa robe remontait le long de ses jambes et je profitais de ses cuisses avec plaisir. On rigolait et ma belle mère m’excitait de plus en plus, petit à petit je me déplaçais pour essayer de voir son minou. Mais ça ne marchait pas. Je m’excitais de plus en plus et enfin quand elle a pris le tiramisu elle a fait un mouvement ou ses 2 cuisses se sont écartées comme par magie. Françoise ne portait pas de culotte, je voyais les poils gris de son minou, et même ses petites lèvres roses. Elle dégustait son dessert sans changer de position. Je n’arrivais pas à changer la direction de mon regard de sa chatte. Mais je faisais quand même attention à ne pas me faire gauler. Elle me disait qu’elle sentait bien quand on était tous les 2, qu’elle se sentait rajeunir. Que le regard que je portais sur elle y était pour beaucoup. J’ai dit vous avez raison, je vous trouve différente quand on est tous les 2. Vous êtes drôle et sympa. Elle rigolait en m’écoutant. Je voyais son sexe, ses lèvres paraissaient humides. Et si vous voulez tout savoir je trouve que pour une femme de votre âge vous êtes une belle femme. Vous vous habillez très bien et vous mettez votre corps en valeur. J’ai proposé de faire le shopping dont elle m’avait parlé. Elle m’a dit c’est le bon moment en me souriant. Je n’ai plus de culotte propre, j’en avais 2 et elles sont immettables, je t’avoue même que je ne porte rien sous ma jupe. J’ai dit comment ça vous voulez dire vous avez sali vos culottes par le petit jus de votre minou. Et oui depuis qu’on est arrivé tu m’excites et je mouille comme une ado et ça fait longtemps que ça ne m’est pas arrivé. Parler de ça avec toi par exemple me rend toute chose. Si j’avais une culotte je suis sure qu’elle serait mouillée. Elle avait les jambes écartées et sa robe ne cachait rien de son minou, je voyais ses poils et les lèvres de son sexe. Vous êtes en train de me dire que vous n’avez pas de culotte, que vous êtes excitée et que votre minou est humide. Et bien Françoise j’ai très envie de le vérifier alors s’il vous plait remontez votre robe pour que je puisse voir votre minou. Elle m’a dit tu es fou on est dans un jardin même si il n’y a presque personne ça me gène mais si ça te fait plaisir je vais le faire. Elle a écarté les cuisses et a remonté sa robe. Regarde vite, tu vois bien que ta belle mère est chaude. Elle avait la chatte offerte j’ai approché ma main et j’ai glissé mon doigt entre les lèvres de son sexe qui étaient trempées. J’ai touché son clitoris, elle a poussé un gémissement sublime. Françoise me regardait avec le sourire. Mon doigt se baladait au abords de son sexe, elle écartait encore plus les cuisses pour me laisser la pénétrer encore mieux. Je la branlais et elle aimait ça. Je me suis arrêté pour lécher mon doigt plein du jus de son minou. J’ai dit allons faire du shopping avant de rentrer. Elle m’a dit d’accord et soyons fou, j’ai envie qu’on aille choisir des dessous.
On a foncé sur les magasins de dessous, elle était à fond. Le premier magasin était très grand, elle m’a proposé de choisir de mon coté et de se retrouver après. On s’est séparé pour chiner tranquillement. Après un bon quart d’heure, j’avais choisi 2 ensembles, un en dentelle noire et un vraiment coquin rouge d’une marque italienne. J’ai retrouvé Françoise vers les cabines d’essayage. Elle m’a demandé de lui montrer mes choix j’ai refusé avant de voir les siens. Elle avait choisi 2 boxers blancs avec des soutiens rens par de la mousse. Ils étaient très sobres et j’étais un peu déçu. Elle m’a dit que sa poitrine serait plus grosse avec ses soutien gorges et que les boxers lui faisaient une belle paire de fesses. J’ai montré mes choix et elle a rigolé en disant que j’étais un vrai coquin surtout que le rouge était vraiment transparent. Elle m’a dit attend là je vais passer un ensemble et tu jugeras sur pièce. Après quelques minutes elle m’a demandé de passer ma tête dans la cabine. Je n’osais pas et elle m’a dit tu mattes sans arrêt et maintenant tu ne veux pas m’aider à choisir. J’ai glissé ma tête et là surprise Françoise était avec un boxer blanc et un soutien gorge qui lui faisait une paire de seins magnifiques, elle s’est tournée pour me montrer ses fesses moulées par le tissu. Elle était superbe et j’ai dit alors là d’accord votre cul est sublime et vos seins me donnent envie de me jeter sur vous. Elle a rigolé et a dit je sais quand même à mon age ce qui me va bien et ce qui me met en valeur, mais si tu veux pour te faire plaisir je peux essayer ce que tu as choisi. J’ai tendu mes choix et je suis sorti de la cabine en laissant le rideau un peu ouvert. Je l’ai vu oté ses dessous, je voyais ses seins avec ses tétons qui pointaient. La situation devait l’exciter autant que moi. Quand elle a baissé son boxer, la raie de ses fesses me faisait bander il n’y avait personne et je me suis toucher la bite qui était toute dure. Quand elle a mis la culotte noire j’ai vu sa chatte grise rapidement elle a mis le soutien gorge et a tiré le rideau et m’a dit viens petit coquin je suis prête. Je suis entré elle prenait la pose et je voyais ses tétons à travers le tissu. J’ai dit c’est super il faut le prendre vos petits seins me chauffe grave avec ce soutien gorge. Elle m’a souri et m’a dit ok c’est vendu maintenant sors j’essaie l’autre. Je la voyais avoir du mal avec le soutien gorge et elle m’a appelé. Quand je suis entré elle m’a demandé de l’aide pour l’attacher. J’étais derrière elle je voyais la raie de ses fesses dans le tissu rouge transparent et le soutien qui était trop petit qui lui pressait la poitrine. Elle essayait de bien mettre ses seins mais ils débordaient largement même ses tétons sortaient. Elle s’est retournée face à moi et j’ai dit c’est un peu juste en approchant mes mains pour essayer de bien les caler. En touchant ses seins elle m’a demandé d’arrêter et d’aller me chercher la taille au dessus. Quand je suis revenue elle m’attendait en culotte et les mains sur les seins pour cacher sa poitrine. Je tenais le soutien gorge et au moment de ressortir elle m’a dit reste tu vas m’aider à le mettre. Je suis passé dans son dos, elle collait ses fesses contre moi. Elle a baissé les bras j’ai mis le soutien gorge sur ses seins en profitant du moment. Je calais ses seins dans le tissu et j’ai attaché les pressions. Je commençais à bander grave surtout qu’elle frottait ses fesses contre ma queue. Elle a attrapé mes mains en disant ma poitrine est mal calée alors s’il te plaît aide moi. Je pelotais les nichons de ma belle mère qui adorait ça. J’ai sorti ses seins du soutien gorge pour attr ses nichons à pleine main, je pinçais ses tétons et elle gémissait comme une vraie salope. Elle m’a dit tu me fais du bien je mouille comme une folle. Elle s’est retournée les seins à l’air et s’est mise à genou. Elle a baissé mon pantalon et a sorti ma queue de mon caleçon et m’a sucé le bout du gland pour ensuite engloutir ma bite. Elle gémissait comme une dingue en me suçant. Je touchais ses nichons et au moment de jouir elle m’a dit jouis sur moi je veux sentir ton sperme chaud sur mes seins et dans ma bouche. J’ai éjaculé sur Françoise et chaque giclée sur ses seins et sur son visage la faisait crier de plaisir. Elle disait vas y éjacule sur moi je veux ton foutre partout sur moi. Elle avait du sperme plein les seins, sur ses lèvres et même sur ses lunettes. Elle passait sa langue sur ses lèvres pour récupérer le sperme et se l’étalait sur les seins. Pendant qu’elle s’habillait j’ai acheté les dessous rouges que je kiffais.
En rentrant à l’hôtel mon beau père nous appelé pour nous dire qu’ils étaient à l’autre bout de la ville et qu’on avait qu’à se retrouver pour diner parce qu’ils ne voulaient pas repasser par l’hôtel. L’idée d’avoir une heure pour nous me rendait dingue. Une fois arrivés devant ma chambre je lui ai dit que j’avais un petit cadeau pour elle dans ma chambre. Elle a paru étonnée mais m’a suivi sans hésiter. Une fois dans ma chambre je me suis jeté sur elle en touchant ses fesses, elle m’a repoussé en disant de me calmer. J’ai dit Françoise vous m’excitez j’ai envie de vous là maintenant. Et je peux vous le prouver, j’ai sorti ma bite dure et je me suis branlé devant elle. Elle m’a dit tu ne peux pas baiser ta belle mère qui n’a pas eu de rapport avec un homme depuis si longtemps. J’ai dit d’accord mais laissez moi me caresser devant vous. J’ai envie de jouir pendant que vous me regardez. Montrez moi vos seins, ouvrez votre robe et touchez les, je suis sur que ça vous plait de voir ma queue toute dure. Je me suis approché d’elle la bite à la main. Elle m’a dit ne m’approche pas et je ferais ce que tu me demandes. Je me suis allongé sur le lit. C’est vrai que ça me plait de voir ta bite mais je ne veux pas que tu me touches. Elle a défait les boutons de sa robe jusqu’en bas, je voyais ma belle mère en soutien gorge, sans culotte et je me branlais. Alors ça te plait petit obsédé de mater une femme de 70 ans à moitié à poil. J’ai dit oui. Françoise a passé ses mains sur ses hanches et est remontée sur ses seins, elle a baissé ses bretelles et a sorti ses petits seins. Elle se malaxait les seins et se pinçait les tétons elle a commencé à pousser des gémissements. Ca me rendait dingue je me branlais délicieusement. Elle a ôté son soutien gorge et faisait bouger sa poitrine avec un certain plaisir. Elle me regardait dans les yeux et je sentais qu’elle aimait cette situation. J’ai dit vous aimez m’exciter comme ça, j’ai l’impression que ça vous plait de voir ma queue toute dure. Elle m’a dit je ne sais pas cette situation est étrange je me sens toute bizarre. A la fois ça me plait, ça m’excite et à la fois j’ai un peu honte de faire tout ça devant mon gendre. J’ai dit libérez la coquine qui est en vous, faites vous du bien et faites moi jouir Françoise. Elle a souri et s’est tournée en se cambrant pour offrir son cul en passant ses mains sur ses cuisses et remonter sur ses fesses. Je voyais la raie de ses fesses. Elle s’écartait les fesses en les malaxant. Elle m’a dit t’aime bien le cul de ta belle mère, tu sais quand j’étais jeune tous les mecs disaient que j’avais un cul magnifique et je n’arrêtais pas de me faire peloter le cul et je t’avoue que j’aimais ça. Elle se penchait en avant pour m’offrir une belle vision de son cul. Je voyais son anus tout serré et les poils gris de sa chatte. Alors tu l’aimes mon cul mon gendre. J’ai dit il est sublime Françoise mais j’ai envie de voir votre minou. Elle m’a rejoins sur le lit en écartant les cuisses. Caressez vous pour moi ça m’excite. Elle s’est exécutée sans hésiter. Elle gémissait en passant ses doigts entre ses lèvres humides et frottait son clitoris. Je me branlais comme un dingue, j’avais la bite énorme et c’était bon. Ma belle mère était totalement libérée, elle a attrapé mon sexe, m’a masturbé et m’a attiré vers sa bouche. Françoise m’a sucé comme une déesse et m’a supplié de la prendre au plus vite. Je l’ai prise comme elle le souhaitait. Le plaisir était partagé et à chaque coup de boutoir elle poussait des râles fabuleux. Au moment de jouir elle m’a dit qu’elle voulait sentir mon sperme chaud sur elle. J’ai abondement éjaculé sur ses seins et son visage. Elle a étalé ma semence sur elle sans cacher son plaisir. Nous nous sommes coquinement douchés avant de rejoindre la famille.

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