Le Joli Mois De Mai. 1Ère Partie : Angers

ANGERS

« Prenons des femmes et du vin, gloussons et rigolons.
Les sermons et l’eau plate c’est pour demain ».

Lord Byron

Mai, avec ses week-ends à rallonge, nous donne cette année encore l’occasion de revoir Sébastien et Lisa à l’occasion de la fête du travail. Leurs deux s étant partis chez les grands parents, nous sommes seuls tous les quatre dans la maison qu’ils retapent avec goût mais très lentement. D’ailleurs nous devons inaugurer cette fois la chambre d’amis fraîchement finie, avec sa grande salle d’eau, toute neuve. Arrivés chez eux en fin d’après-midi, nous sommes vite passés aux choses sérieuses avec un délicieux Chablis que j’ai dégoté en direct de la propriété. Plus tard à table nos discussions nous amènent à parler de boulot, famille, s mais aussi très rapidement de sexe.
Il faut dire que sans avoir fait dans la provoc’, nos deux compagnes ont des tenues mettant en valeur tous leurs atouts. Christelle porte une de ses petites jupes courtes qu’elle affectionne et qui soulignent le galbe de ses jambes. Suivant sa position, on devine la lisière des Dim up qu’elle porte. Son chemisier crème laisse deviner par transparence sa poitrine portée bien fièrement sans soutien-gorge. J’ai bataillé ferme pour lui arracher cette concession quand nous nous sommes habillés avant de partir. Elle trouvait que c’était bien trop déshabillé pour un week-end entre amis.

- « Justement Seb et Lisa sont nos amis, il n’y a pas de gêne à avoir. Et puis tu ne risques rien avec lui vu que ce n’est pas ton genre d’homme. » avais-je répondu sans malice.

Plus d’une fois lors de l’apéritif, je surprends le regard de Sébastien glisser sur sa poitrine ou plutôt, ce qu’il était convenu d’appeler un appel au crime. Parfois gêné au début quand il voit que j’ai surpris ses regards, le temps passant et l’alcool aidant, il ne fait plus cas de ma présence et ne se gêne plus après quelques verres pour admirer songeur le corps de Christelle.


Lisa quant à elle, fidèle à son côté « nature » porte une jolie robe à bretelles, courte, en coton noir, sans manches, fermée devant par des boutons. Tout à son avantage dans cette tenue légère, elle virevolte autour de nous, consciente de l’effet qu’elle fait en servant et desservant les amuse-bouche. À plusieurs reprises j’ai constaté que sous son léger voile de coton, elle non plus ne porte pas de soutien-gorge, laissant libres ses adorables seins. Son décolleté, sans être vertigineux me met dans tous mes états et je retiens mes yeux en même temps que mes pensées pour participer à la discussion.
Seb et moi, plutôt classiques, portons une chemise, la mienne à manches longues sur un pantalon de toile, slim. Me connaissant, je commence à regretter ce choix : capable de bander très vite je sais que la moindre érection sera remarquée par tout le monde avec un pantalon aussi moulant. D’autant plus qu’il y a ce soir-là quelque chose d’électrique dans l’atmosphère.

Plusieurs fois, lors du repas, je sens le pied de Lisa frôler le mien. À d’autres moments son regard soutient le mien avec plus d’effronterie que d’habitude. Je me prends à rêver que ce soir peut-être l’occasion fera le larron, mais non !... Rien ne se passe et l’heure de nous coucher arrive trop tôt car nous avons prévu le lendemain de partir de bonne heure faire un jogging, les filles d’un côté et les garçons d’un autre.

Un peu frustré et légèrement éméché, je propose à Christelle de profiter de la nouvelle salle d’eau pour prendre une douche bien chaude. J’ai, bien sûr, une idée derrière la tête, l’attitude de Lisa m’ayant bien émoustillé. Me rejoignant nue, Christelle n’a pas l’air si surprise que cela en voyant mon sexe déjà bandé. A-t-elle remarqué elle aussi, le jeu de notre hôtesse ?

L’eau chaude coulant sur nos corps nous fait le plus grand bien, et nous commençons à nous caresser. Sa main va et vient sur mon sexe tendu et mes doigts ont trouvé son sexe chaud et humide.
Son clitoris est gonflé d’excitation. C’est elle qui fait allusion au comportement de Lisa et le rapproche de mon érection :

- « Elle te plait n’est-ce pas ! »

Ce n’est pas une question mais bien une affirmation. Sa main me branle en me serrant de plus en plus fort et son regard planté dans le mien me dit que cela lui plait.

- « Dans ton délire, tu n’as même par remarqué le manège de Seb avec moi ! » me dit-elle.

Ainsi ces deux coquins s’étaient mis en tête de nous chauffer les esprits ?…

- « De son côté, il n’a pas arrêté de me toucher pour un rien, de passer derrière moi en me collant pour me servir du vin, en posant sa main sur mon épaule… Et toi…tu n’as rien vu… ! »

Sa main continue ses aller-retour sur mon sexe de plus en plus dur et je sens que l’évocation du petit jeu de Sébastien la fait mouiller davantage.
N’y tenant plus, je la plaque sans qu’elle me résiste, contre la paroi de la douche. J’att sa jambe, la relève en l’écartant et la pénètre d’un long coup. Elle ne peut retenir un cri et me dit à l’oreille de sa voix sensuelle, qu’elle est terriblement excitée :

- « Prends-moi fort, j’ai envie de baiser ! ».

Je la soulève presque à chaque coup de queue et je sens son corps qui tape sur la cloison. Le bruit de l’eau ne doit certainement pas couvrir tous nos gémissements.
Les effets de l’alcool aidant nous nous lâchons vraiment et nous enchaînons les positions : elle me présentant sa croupe, moi la prenant à la hussarde, sabre au clair ! Sans égards pour elle, je la transperce et elle en redemande. Elle jouit très fort mais, la laissant à peine reprendre son souffle, je la soulève pour la laisser s’empaler sur mon sexe. La cloison de la douche ne touchant pas le plafond, elle s’y accroche et se laisse littéralement tomber sur moi. À mon tour je jouis avec force et me vide, pris de soubresauts dans un long râle. Là encore, à moins d’être devenus sourds, nos amis ne peuvent rien ignorer de nos activités sous la douche.


Nous reprenons donc notre souffle en nous caressant mutuellement. Christelle m’embrasse frénétiquement, quand, ensemble, nous lâchons un cri…L’eau sur notre peau est devenue froide, glacée même !
Comme par magie, à cet instant, la cavalcade des pas de Sébastien et Lisa retentit dans l’escalier. Ces deux-là, n’ont rien perdu de nos activités, pour être aussi réactifs.
Seb entre le premier dans la chambre d’amis, le rouge aux joues, vêtu d’un simple boxer qui laisse deviner une trique impressionnante. Christelle a eu à peine le temps de mettre autour de son 90B une serviette de toilette. Bien trop courte, elle ne lui arrive qu’en dessous du nombril, ne cachant rien de son intimité. Son sexe gonflé perle encore de gouttes d’eau et de sperme mélangés. Ses cheveux mouillés, répandus en boucles sombres sur ses épaules, lui donnent un air de Vénus sortie de l’eau. Le coup d’œil furtif de notre ami sur elle, provoque en retour chez ma femme un de ses regards dont elle a le secret et que je croyais être le seul à provoquer. Un mélange de fièvre et de détermination, un soupçon d’orgueil aussi à l’idée de faire bander un homme.
Lisa arrive sur ces entrefaites, ne portant qu’une nuisette sous laquelle ses seins pointent fièrement. Je commence à soupçonner un guet-apens, tout se mettant en place de manière bien trop évidente. Loin de se calmer et en dépit du froid, mon érection un temps compromise, reprend. Je suis là, le sexe tendu vers mon amie en présence de son mari et de ma femme. Tous haletants, sous l’effet conjugué de leur course, de nos ébats et de la surprise.

Sébastien prend la parole en premier :

- « On vous a entendu crier, que se passe-t-il ? ».

- « Il n’y a plus d’eau chaude visiblement ! » lui répondis-je, nu comme un ver, le sexe triomphant

- « Je vais voir » dit-il en tournant les talons, non sans jeter de nouveau un coup d’œil, soutenu cette fois sur Christelle qui s’est assise sur le lit, les jambes croisées, le buste en arrière, impudique et sensuelle.


Passant devant sa femme, il sort de notre chambre et se dirige vers le garage dans lequel se trouve la chaudière. J’entoure une serviette autour de ma taille et le suis bêtement. Loin de s’effacer pour me laisser passer, Lisa reste stoïque dans l’embrasure de la porte si bien que je ne peux que glisser le long de son corps. Du haut de mon mètre 80, je domine sa frêle silhouette, mais c’est elle qui me toise, encore plus effrontée que lors de notre repas. Le bassin en avant, les lèvres entrouvertes, ses seins gonflés, tendus au travers de la fine nuisette de soie et ces effluves de femme, mélange de sueur, de désir : l’odeur de l’amour, l’odeur du sexe… Tout en elle me perturbe au point que je crois avoir rougi.

Je rejoins donc notre ami dans le garage sans trop savoir pourquoi, mes compétences en plomberie se limitant à appeler un professionnel au moindre problème. Là, rapidement Seb repère l’origine de la panne et rassuré sur son installation me propose de retourner vérifier si l’eau chaude commence à couler de nouveau.

Je retourne dans la chambre d’amis. Le spectacle qui s’offre à moi me coupe le souffle. Christelle et Lisa sont sous la couette, seules leurs têtes apparaissent. Hilares, elles ressemblent à deux gamines ayant fait une bonne blague.

- « Ben, qu’est-ce que tu attends ? » me dit ma femme.

- « Tu vas attr froid, viens vite te mettre au chaud ! » rajoute Lisa.

Littéralement estomaqué, je bafouille n’importe quoi et reste bêtement planté là.

« Tout nu dans ma serviette qui me servait de pagne, j’avais le rouge aux joues…».

Lisa sort du lit complètement nue cette fois et me prenant par la main, me dit :

- « Il y a deux ans à Caen, je t’avais bien dit que je ne laisserai pas passer l’occasion ! Et en plus ta femme est d’accord, n’est-ce pas Christelle ? ».

- « Absolument ! » répond-t-elle en faisant glisser la couette au pied du lit dans un grand geste qui la révélait nue et offerte.

Encouragé de la main par Lisa et invité par ma femme, je me laisse faire et me retrouve vite entrepris par deux folles de sexe. L’une m’embrasse fougueusement, l’autre me masturbe en malaxant mes couilles. Très vite elles se retrouvent à mes pieds et commencent toutes les deux à me faire une fellation de rêve, alternant leurs coups de langues sur mon sexe et l’engloutissant à tour de rôle. Tout en me regardant, ma femme prend le menton de Lisa et tournant son visage vers elle, lui roule une pelle comme je ne l’avais jamais vue faire. À ce rythme je rebande comme un taureau. Je sens les pulsations de mon cœur jusque dans ma bite. Je ne pourrai pas tenir longtemps sans exploser dans la bouche de l’une ou de l’autre, ou des deux !

Heureusement Sébastien arrive et les filles stoppent net leur ouvrage. Lisa lui fait le même numéro que pour moi quelques minutes auparavant et il se retrouve à son tour nu, Christelle lui ayant attrapé le boxer et l’ayant fait glissé sur les mollets. Mon regard se pose sur son sexe que ma femme engloutit avec gourmandise. Je vois ses lèvres se fermer sur lui, ses joues se creuser quand elle l’aspire, son gland ressortir à chaque fois plus gros, avant de disparaître à nouveau, avalé en gorge profonde.
Les yeux de Christelle se referment avec cet air que je lui connais bien. Elle devient comme absente dans ces moments-là et je sais que ce soir elle n’est pas près de dormir. Elle reprend l’initiative sur Lisa en disant :

- « Bon ben maintenant c’est à vous les garçons, vous êtes suffisamment chauds, je crois ! »

- « J’aimerai bien que ton mari me fasse jouir avec sa langue. » ajoute Lisa qui s’était allongée sur le dos les cuisses ouvertes sur son sexe rose de désir.

Sans un mot, Seb et moi, plongeons entre les jambes de nos maîtresses, maintenant toutes les deux côte à côte. Je connais mes talents en « broute minou » et sans me vanter je ne crois pas avoir laissé beaucoup de mes partenaires insatisfaites à ce jeu-là. Christelle apprécie mes caresses et je sais la faire jouir. Je sais comment et quand alterner les coups de langue et les aspirations sur son clitoris. Je sais à quel rythme tourner autour de son petit bouton pour la rendre heureuse. Les râles de ma femme se faisant caresser par notre ami me perturbent cependant dans mon « travail » car l’entendre dire à un autre que moi que « c’est bon ! » me parait irréel.

En levant les yeux je retrouve le regard de Lisa et ce que je vois m’excite encore plus. Cette femme, que je désirais, me regarde les yeux mi-clos, la bouche ouverte, gémissante. Ses doigts pincent ses petits seins aux pointes gonflées. Sa langue apparaît régulièrement entre deux petits cris de plaisir. Je me re-concentre de nouveau sur mon ouvrage et en profite pour humer sa toison. Brune. Son sexe à la toison bien entretenue, est d’une belle couleur rose, un très joli bouton le couronne que je suce avec délectation. Elle est visiblement ravie de mes attentions et gémit en donnant à son bassin des mouvements d’avant en arrière de plus en plus rapides. Je me cale sur son propre rythme et elle jouit en m’attrapant la tête et la plaque sur son sexe. Elle se redresse et en souriant m’attire vers elle en me disant :

- « J’étais sûre que tu me ferais jouir ! »

De leur côté nos voisins ne sont pas en reste, les jambes tendues, les genoux presque sur son visage, ma femme se fait prendre par l’index et le majeur de Seb, recourbés de manière à exciter son point G. Il va et vient frénétiquement dans son sexe, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle aime et atteint l’orgasme en étouffant un cri entre ses lèvres. Nos regards se croisent quand elle rouvre les yeux et je la vois heureuse.
Lisa se met à quatre pattes et va l’embrasser en lui disant :

- « Il sait très bien faire ça et me scotche au plafond à chaque fois ! Mon mec est un expert mais le tien aussi. »

Elles s’embrassent à petits coups de langue et chacune tend une main vers le sexe de l’autre pour le caresser doucement.

Seb se redresse et me regarde en disant :

- « Je vais chercher des capotes ! »

Et, le sexe en érection, il sort de la chambre pour revenir toujours aussi gros quelques dizaines de secondes plus tard. Sa bite est curieusement à son image, large, massive, trapue et comme bronzée. Une belle bite, plus courte que la mienne, mais d’un diamètre plus imposant. De quoi combler sûrement le corps menu de sa petite femme.
Frénétiquement, il arrache l’enveloppe du préservatif et l’enfile. Je fais de même et guidé par sa femme, ma bite plonge en elle. Je fais l’amour à Lisa, me dis-je stupéfait et ma femme prend son pied avec mon ami ! En effet maintenant prise en levrette, ma tendre épouse, se fait pilonner par Sébastien. À les entendre tout va bien pour eux. Il ahane comme un bûcheron à chaque coup de butoir et Christelle retient ses cris en se mordant les lèvres, le visage tendu en disant :

- « Oui vas-y ! Encore ! Encore ! Oui, oui, c’est bon, continue… ! »

Je les regarde baiser tous les deux et je crois que je n’ai jamais vu ma femme aussi belle qu’à cet instant. J’aime son corps de femme mûre maintenant, aux formes souples, ses seins que je vois balancer en rythme, son bassin que je vois onduler en allant à la rencontre de ce sexe qui lui donne du plaisir. Je l’aime quand elle se donne à moi comme ça et j’aime tout autant voir le plaisir qu’elle prend. Elle doit se rendre compte que je la regarde car elle se tourne vers moi et répète les mêmes mots en me regardant droit dans les yeux :

- « Continue, continue, continue … ! »

J’en arrive presque à délaisser ma partenaire et c’est elle qui me rappelle que je suis toujours en elle et que ça lui plait. Les cuisses ouvertes, elle prend ma taille et m’attire en elle comme pour donner plus de force à ma pénétration. Comme une liane elle s’accroche à moi en refermant ses jambes autour de mon bassin. Elle est si légère que je me redresse sans peine et que, sans cesser de la pénétrer, je la pose sur le lit face à moi, en tailleur. Prise ainsi elle se met à crier de plus en plus fort elle aussi. C’est elle maintenant qui mène la danse en faisant glisser ma bite en elle profondément à chaque fois. Les bras croisés derrière ma nuque, elle se rapproche de mon visage et me dit tout doucement à l’oreille :

- « c’est encore meilleur que je l’imaginais ! Mais je n’en ai pas fini avec toi ! Je t’ai sous la main je compte bien en profiter !... »

Je commence de mon côté à n’en plus pouvoir et je sens bien que je ne pourrai pas me retenir très longtemps. Sentant comme moi son plaisir monter elle me chuchote :

- « Ensemble ! »

Je me vide en longues saccades en sentant les contractions de son vagin autour de ma bite. Elle jouit fort, intensément, en gémissant les yeux grand ouverts comme si cette jouissance devait être la dernière. La suite me prouva que non. À leur tour Christelle et Sébastien viennent. Dans un cri tenant à la fois de celui du bûcheron et du hurlement du loup, il se vide dans de grands mouvements du bassin, qui s’espacent de plus en plus et il finit par rester planté immobile dans le sexe de Christelle laquelle m’offre de son profil parfait la vision la plus belle de son orgasme. Les yeux mi-clos, la bouche entrouverte et la tête rejetée en arrière elle reprend sa respiration.

Le souffle coupé nous retombons, exténués tous les quatre sur le lit, et nous rions. Spontanément nous nous sommes rapprochés de nos conjoints respectifs pour nous embrasser, la bouche pleine du goût d’un autre.

Comme épuisés par l’intensité de ces instants nous endormons en nous caressant lentement.

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