La Nouvelle Voiture

La nouvelle voiture

Ça faisait trois mois que j’avais le permis de conduire. Au bout de la quatrième fois, il était temps. Aucun problème pour le code, mais l’examen de conduite : quelle catastrophe ! Le stress m’envahissait à chaque fois, je perdais tous mes moyens. Mais il faut reconnaître que c’est quand même le meilleur moyen de vivre sa liberté. En total indépendance, on peut aller où on veut, quand on veut. J’avais multiplié les petits boulots pour m’acheter cette Clio.
C’était la première fois que j’allais chez mes parents avec. En tant que jeune conducteur, je ne l’avais pas très bien en main. Pour mieux la contrôler, je faisais quelques kilomètres autour de chez mes parents. Cette fois-ci, j’ai croisé David sur son vélo dans le bourg du village. A croire qu’il « me sent ». Je m’arrête le saluer, et en profite pour lui montrer la dernière acquisition. Lui n’a pas encore le permis. On fait le tour du propriétaire : il y en a des choses à dire autour d’une clio ! Alors qu’on fait le tour ensemble, la pression monte en moi. Je le matte en train de regarder la voiture, se courber légèrement pour voir l’intérieur, exhiber son postérieur. Il m’excite clairement et je commence à bander. Je le regarde et lui dit : « Tu veux faire un petit tour ? ». On se sourit. Tout est dit, il sait que j’ai envie et lui est disposé.
Il attache son vélo à côté de l’abri bus et monte sur le côté passager. On attache nos ceintures de sécurité. Je me mets au volant et enclenche la première. Je passe vite la deuxième. « Ecoute, le moteur en veut ». Je me mets à rouler et je sens de plus en plus mon sexe se raidir. C’est une sensation particulière, mélange d’une envie de plus en plus forte et de légère gêne. Gêne physique, ce n’est pas simple de conduire quand l’excitation monte et gêne extérieur, une folle envie de poser ma main entre ses jambes, mais impossible par crainte d’être vu. Ici, tout le monde se connait.
Une fois arrivés dans la campagne environnante, je lui demande où on est ce l’on peut aller.

Il m’indique un coin tranquille à l’orée d’une forêt accessible par un petit chemin de terre. Le chemin est caillouteux et la voiture est légèrement secouée. Nous nous enfonçons d’une centaine de mètres dans le bois.
J’arrête la voiture, je me détache et je me jette sur lui. Je glisse ma main droite sur son dos et je pose ma main gauche directement entre ses jambes. Je pose mes lèvres sur son cou en dessous de son oreille. J’ouvre la bouche et je commence à le lécher. Il laisse tomber sa tête sur sa droite. J’écarte au maximum ma bouche et étend au plus large mes lèvres. Sa peau a un petit gout acidulé qui me rend complétement fou. Il se laisse complétement aller. Ma main gauche après avoir bien constaté qu’il bandait, remonte pour trouver le bouton supérieur de son pantalon. Mon autre main se profile sous son t-shirt et descend jusqu’à sa hanche. J’ai une folle envie de lui, je ne me contrôle plus. Je n’arrête pas de lécher son cou. Ma langue se plait à passer et repasser autour de son menton où se mélange sa sueur et ses poils de barbe naissants.
Après l’avoir déboutonné, je descends sa braguette. Je peux enfoncer ma main dans son pantalon. A travers son caleçon, je ressens son sexe bien droit, compressé qui pointe vers sa cuisse droite. Pour qu’il soit plus à l’aise, et me faire plaisir également, je glisse ma main dans le caleçon et ramène sa verge bien droite. Avec mon autre main, je remonte son t-shirt, qu’il m’aide à retirer. Il se présente désormais à moi torse nu, plutôt imberbe, avec son pantalon déboutonné et son sexe bien droit. Il est super sexy et mon envie n’en est que plus forte.
Il se laisse aller sur le siège avec un sourire reconnaissant. Je le caresse à fleur de peau. Je la trouve superbe, épaisse, dure, matte. Alors que mon index droit s’attarde sur l’auréole de son sein droit, j’approche mes lèvres de son téton gauche. Quelle douce sensation que de sentir ce petit morceau de chair sur ma langue. Je le suce avec délicatesse. Très légèrement je le pince entre mes dents.
Il me sourit beaucoup, il aime ça. Je continue à lui lécher le torse. Je sors ma langue de bouche et je m’attarde sur le second téton. Du bout de ma langue, je tourne autour. Toujours avec le bout de ma langue, je descends délicatement vers le nombril et je redescends encore. J’arrive sur ses premiers poils pubiens et je sens sa verge à quelques centimètres de ma bouche. Je descends de quelques centimètres son caleçon pour ne laisser apparaitre que le gland et son prépuce. Belle image du haut de sa verge en érection pressée par son caleçon. Je passe ma langue sur son prépuce et remonte délicatement. Quelques gouttes s’échappent que j’avale aussitôt. Bien que son sexe soit plaqué contre son ventre et bloqué par le caleçon, j’approche ma bouche et je le lèche en me laissant guider par l’envie. Son gland est bouillonnant et d’une extrême douceur.
De son coté, il commence à me caresser le sexe. Je descends immédiatement mon pantalon et mon caleçon. Il prend plaisir à me caresser et à me masturber pendant que je m’occupe de lui.
Il descend à son tour son pantalon et son caleçon et prend en main sa magnifique verge en érection. Je me rapproche de nouveau et commence à le sucer onctueusement. Il me caresse les cheveux pendant que je m’applique à passer ma langue sur l’intégralité de son sexe. La lenteur et la douceur avec lesquelles il passe ces mains dans mes cheveux me confortent dans le bien que je lui donne. Sa verge est chaude et tendre en bouche. Par moment, je la laisse glisser plus profondément. Je sens son gland au fond de ma bouche et ma langue complétement envahie sur toute sa longueur. J’aspire au maximum, la chaleur de son sexe n’en est que plus forte, la sensation plus que plus agréable. Je me retire mais comble immédiatement ma bouche avec un testicule. C’est nettement moins chaud, mais j’aime bien sentir les poils en bouche sur cette anatomie bien ronde. Je regrette de ne pouvoir sucer les deux en même temps, je me console en les léchant bien largement.
J’aime poser l’extrémité de ma langue juste au-dessus de son anus et remonter tout doucement sur l’axe de son sexe. Il en profite pour bien le plaquer contre mon visage. Une fois arrivée au bout, je la remets en bouche. J’ouvre en grand mes lèvres que j’ai pris le soin préalable d’humidifier et je laisse la verge pénétrer doucement. Je me mets à lécher son prépuce. Je m’y attarde en faisant des petits mouvements lents sur sa longueur. Il plaque ses mains sur mes oreilles, me serre la tête et enfonce ses doigts. Je le rends fou, personne ne lui a jamais autant de plaisir.
Je le regarde avec sa bite dans ma bouche. Il me sourit, je lui souris.
« Encule-moi » lui supplie-je. Son sourire se confondait dans le plaisir reçu et l’expression de sa virilité à venir. Il sort alors de la voiture complétement nu avec sa verge bien érigée. J’ouvre la porte côté conducteur, et je m’agenouille sur le siège pour lui présenter mes fesses à sa hauteur. Il cale sa verge sur ma raie et en empoignant mes fesses, il se masturbe fermement. Je ressens bien son gland sur mon coccyx. J’ouvre la boîte à gants pour récupérer un préservatif que je lui donne. « Crache, humidifie bien et rentre-là », je lui demande. Il s’exécute. Il m’écarte bien les fesses, crache et étale la salive à l’aide de son sexe encore non couvert. Ressentant le terrain non suffisamment lubrifié, il laisse couler de sa bouche un long filet de salive qu’il prend le soin de bien concentrer sur mon anus. Il installe le préservatif et positionne son gland. Je m’écarte à mon maximum pour lui faciliter l’entrée. Il m’agrippe par les hanches, et d’un seul coup violent il s’enfonce. J’ai tellement mal que je griffe et mords le siège. Il ne me laisse à peine le temps de me remettre, qu’il enfonce encore plus sa verge. Cette fois-ci, elle est bien en place et il commence ses mouvements de vas et viens. Après la douleur, le plaisir m’envahit. Mon anus est devenu une source électrique qui se propage dans tout mon corps, particulièrement dans mes testicules.
Il est très viril et exprime parfaitement sa masculinité. Je suis agenouillé et je ne sens plus mon corps. Je suis comme paralysé, je ressens à peine ma tête plaquée sur le siège passager, et je n’arrive pas à savoir où sont mes bras. Quand il ne m’agrippe pas, il me masturbe. Cette verge en moi m’anesthésie, je n’ai jamais été aussi bien, mon corps n’est qu’une source de bien-être.
« Je veux te prendre dans l’autre sens, va derrière ». Il se retire. J’ai du mal à me remettre de mes émotions. Je me lève, je ressens la fraicheur de la forêt comme jamais je ne l’avais ressenti. Je me couche sur la banquette arrière. David me prend les jambes et les cale sur sa poitrine. Il suce son index droit, et me l’enfonce. Nouvelles sensations fortes. C’est à la fois moins violent car moins large, mais les replis du doigt qu’il effectue me font apparaître des décharges plus irrégulières et très agréables. Je ne m’explique pas comment il sait trouver mon bonheur aussi facilement. Je suis toujours dans un état comateux, je suis plus que passif, je ne peux rien contrôler. De nouveau, il enfonce sa verge, cette fois-ci, elle rentre plus facilement. Il me tient par les cuisses qu’il entraîne dans ses mouvements. Sur les quelques instants de lucidité qui m’est permis d’avoir, je me caresse. Lui de son coté, me pince les tétons me palpe les seins. Il me confond clairement avec une femme et j’apprécie cette méprise. En moi, son sexe devient de plus en plus chaud. Le rythme est de plus en plus soutenu, il va jouir, je le sens. Arrive le moment, il se retire et enlève la capote. Je suis totalement à lui, incapable de faire le moindre geste, je me laisse faire. Il positionne mes pieds sur ses épaules et plie mes jambes, son gland se retrouve coincé entre mes testicules et mon anus. Il se masturbe un peu et je sens le sperme chaud m’envahir. Le liquide visqueux abonde. Avec son gland, il écarte comme il peut sur mes testicules, ma raie et mon anus.
Je suis complétement transi. Je me laisse aller à ce plaisir. Après quelques secondes, alors que lui semble remis, moi je ne le suis toujours pas. Il s’agenouille alors par terre, et en replaçant son doigt dans mon intimité, il se met à avaler mon sexe. A cet instant, sous autant d’émotions, je n’arrive pas à savoir si je bande. En tout cas, il me suce très fort et très vite. Je sens mes testicules se rétracter, tellement sollicités depuis quelques minutes. Je n’en peux tellement plus, que ma jouissance est violente. J’arrive à peine ouvrir les yeux, mais suffisamment pour voir mon sperme éjaculer en fortes poussées que David recueille sur sa langue et sur son visage. Il a les yeux fermés, ses lèvres et ses joues s’épaississent de ma liqueur. Il prend soin de me lécher la verge de haut en bas et va se confondre avec son propre sperme sous mes testicules. Il retire son doigt et en me souriant, racle le sperme étalée sur ses joues et lèvres. Délicatement, il le ré-étale sur mes lèvres. J’ouvre la bouche, je tire la langue et je recueille à mon tour une partie du fruit de notre ébat. Pendant quelques minutes, il finit de s’essuyer et de m’essuyer en me badigeonnant le torse.
Il nous a fallu du temps pour nous en remettre. Moi, plus que lui. On s’est rhabillé sans un bruit, on se sentait « bête ». On ne se disait rien et ce silence en disait pourtant beaucoup. Je reculais la voiture, je retournais tout doucement dans le bourg du village. On s’est dit salut, à la prochaine, en espérant se revoir, ou pas …
Quelques années après, je me suis séparé de la voiture et c’est un jeune adolescent assez sexy qui l’a acheté. Machinalement, je lui ai dit « Fais attention, j’ai pris tellement de plaisir avec ».

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