La Flic

- Quel parfum portez vous ?
Elle me regarde étonnée de ma question. Il faut dire que dans ce bus surchargé, l'odeur ambiante était des plus désagréable. Nous étions serrés l'un à l'autre comme si nous nous connaissions. Mon seul point de repère devenait son parfum, enivrant pour n'importe qui, particulièrement pour moi, d'où la question.
- Pourquoi ? Qu'est-ce que ça peut vous faire.
Je ne vais pas me laisser démonter par une jeune femme comme ça, non mais.
- Parce que votre parfum me donne une autre idée de ce trajet en bus.
- Vous devenez lourd.
- Moi, lourd, parce que je parle à une jolie jeune femme. De toute façon vous êtes la seule fille du bus qui me plaise.
- En plus je vous plais.
- Vous ne voulez pas que je vous dise que voue êtes jolie, que vous me plaisait ? Alors dans ces conditions je suis tout ce que vous venez de dire, et en plus je vous invite à boire un café, puisque vous descendez à la prochaine.
- Comment savez-vous que je descends à la prochaine ?
- Simple: voue venait d'appuyer sur le bouton "arrêt demandé".
Elle commence à m'énerver cette pimbêche. Elle descend comme prévu. Elle veut s'éloigner. Je la retiens par le bras:
- Et alors ce café, nous allons le boire maintenant pas à la Saint Glinglin.
- Est mon ton ou tout simplement l'envie de boire quelque chose de chaud, elle me suit sans le premier café venu. Nous nous asseyons à coté l'un de l'autre, dans la sale du fond: la première est bondée. Je la détaille: elle est très belle un peu rousse avec des chevaux blonds et des yeux verts. Je ne peux m'empêcher de lui dire qu'elle est adorable. Elle a l'air de ne plus me voir. Je détaille son corps: belle poitrine, et le reste à l'avenant.
- Vous êtes réellement belle et désirable.
- Taisez vous, s'il vous plat, sinon j'appelle.
- Vous appellerai qui, pour lui dire quoi: que je vous trouve belle et désirable, il n'y a pas de quoi fouetter un chat.


- Savez-vous qui je suis ?
- A dire vrai non.
- Je suis dans la police.
- Fort bien, la police est belle cette année.
Je pense que cette phrase la désarme si on peut dire. Enfin un léger sourire. Elle est belle comme tout. Pour prouvez ce qu'elle avance, elle sort de son sac une carte de police. C'est vrai elle est capitaine de police.
- C'est bien la première fois que je suis attablé avec un vrai flic, en plus capitaine.
- Je pourrai même vous mettre les menottes.
- Pourquoi faire
- Pour rébellion.
- Je me rebelle ? Moi qui suis gentil comme tout avec une jolie femme, même si elle est capitaine de flic.
Pour moi, j'ai assez perdu de temps avec cette fille, flic ou pas, c'est pareil, une jolie fille sexy. Je me jette à l'eau: je l'embrasse sur la bouche. Interdite un moment, elle répond avec sa langue. Tout n'est pas perdu, si le café est trop froid pour être bu. Je laisse ma bouche sur la sienne, elle ne se dérobe pas. Je pose une main sur un genou, elle me laisse faire, comme elle me laisse faire quand je monte ma main sur sa cuisse. Je suis à mi parcours quand à son tour elle pose sa main sur ma cuisse. Elle la monte en même temps que la mienne. Quand j'arrive sur sa culotte, elle est déjà sur la bosse qui déforme mon pantalon.
Je touche à peine sa culotte quand je m'aperçois qu'elle est trempée. Je reste sur le tissu à la recherche de son bouton. Je la branle un petit moment. Elle me masse la queue. Nous nous embrassons toujours.
Elle veut que nous sortions du café: elle connaît un endroit où nous serons bien mieux. Je la suis: elle va chez elle. Un studio bien agencé, surtout bien ensoleillé. Je l'embrasse encore: elle répond toujours à ma baiser. Puis elle me dit
- Vite, mets moi la, j'ai envie de baiser avec toi.
- Si rapidement ?
- Bien sur imbécile, sinon je ne te le demanderai pas.
Que faire quand une jolie fille vous demande de la baiser: le faire tout simplement.
Pour ne pas perdre de temps, nous nous déshabillons chacun de notre coté. J'ai un coup au cœur: elle est plus belle encore que je le pensais, plus sexy que tout à l'heure. Je bande comme un âne qui n'a pas vu d'ânesse depuis longtemps. Je voudrai la caresser, la sucer, non. Elle se couche déjà écarte les jambes: je vois son con en entier, là où j'aurais bien aimé y mettre ma langue. Elle m'appelle:
- Vite, j'ai trop envie.
- Pourquoi ne pas te sucer avant ?
- J'ai besoin d'une queue dans mon con. Je mouille depuis le café. En plus tu as une belle queue, c'est dommage d'attendre pour me la donner.
Dans ce genre de cas urgents je suis toujours prêt. Je me pose sur son corps, met ma bute juste à l'entrée de son con. Je n'ai pas le temps de faire un mouvement: elle donne un petit coup de rein et me voilà en elle. Nous faisons ensemble les bons mouvements. A ma surprise elle jouit très vite. Elle s'en excuse:
- Je t'avais dit que j'avais envie de baiser.
- C'était bon au moins, si vite.
- Ce n'était pas bon, c'était plus que bon: tu m'a bien faite jouir, il y avait longtemps que je n'avais pas baisé.
- Si tu veux je peux recommencer.
- Pas à cet endroit.
- Où, alors, au cul ?
- Au cul, oui, tout l'heure. Si nous nous sucions un peu. J'aime le sperme.
Pour faire de qu'elle veut, je reste couché sur le lit, sur le dos. Elle m'enjambe, me montre toute sa féminité qu'elle pose sur ma bouche, prend ma pine, en lèche le gland, particulièrement le méat et le frein. Je passe ma langue partout dans sa fente. Je trouve que ses lèvres sont particulièrement agréables à lécher. Je m'y attarde un moment avant de lécher le clitoris. Il est assez grand pour que je le prenne en entier dans mes lèvres. Je l'aspire le plus possible, le relâche et enfin l'aspire à nouveau avant de la garder et en lécher le bout dans ma bouche. Je la sens jouir deux ou trois fois. C'est bien vrai qu'elle avait envie de baiser.
Elle m'a pris la plus possible de pine dans la bouche.
Sa langue lèche ma queue longuement, sans trop se presser: elle veut que je prenne un plaisir maximum. Elle y arrive petit à petit: j'aimerai qu'elle me fasse jouir. Elle doit avoir une certaine habitude des sexes masculins. Elle accélère soudain les mouvements de sa bouche. Bien sur je jouis dans sa bouche. Elle attend la dernière goutte pour venir vers moi, me coller sa bouche sur la mienne. Elle est pleine de sperme encore. Elle m'en donne pas mal: nous partageons les goûts de nos sexes. C'est divin.
Elle me reprend la queue, la caresse en sachant qu'elle va me faire bander encore , surtout en disant
- Je suis une salope, je baise somme un pute.
- C'est pas vrai: tu es une salope, oui, mais tu baises mieux qu'une pute.
- J'ai envie que tu m'encule: je suis une traînée
- oui, tu es un véritable traînée qui baise bien.
- Tu bande maintenant ! Mets moi la au cul.
C'est vrai qu'elle m'a fait bander encore. Je ne sais comment elle veut se mettre, sur le ventre ou en levrette. Elle choisit la levrette simplement parce qu'elle peut de branler. Elle se mouille la rondelle avec sa mouille. Elle me prend la pine pour se la mettre elle-même au cul. Je ne sais si je doit faire attention. Si elle a insisté pour être sodomisée c'est qu'elle aime ça et en plus qu'elle doit en avoir l'habitude. Je rentre mon gland en passant sans trop forcer son sphincter. Je sens déjà sa main qui la branle. Elle se caresser et le clitoris et se doigte avec la même main. Je l'encule à fond. Elle pousse de nombreux soupirs montrant par là qu'elle apprécie. Je la sens et elle me le dit quand elle jouit. Je décharge dans son cul.
Nous revenons nous embrasser.
Elle me demande de rester avec elle toute la fin de la journée et la nuit: elle n'est de service que le lendemain matin.
C'et ainsi que je me suis retrouvé entouré de flic, le jour de notre mariage.





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