Retour À L'Etoile

Je passe devant l'Etoile. Je n'y suis pas allé depuis longtemps. Soudain je vois un homme grand et musclé qui pousse la porte. Intéressé, je lui emboîte le pas. Je monte dans ma salle préférée. Je me tiens debout derrière la dernière rangée de fauteuils. Ca veut dire que mon cul est disponible. J'ai déjà refusé à des mecs. Ils doivent d'abord me conquérir.
Le malabar fait son apparition, je retiens mon souffle. Ca fait déjà trois fois qu'il passe derrière moi. Soudain, une main puissante tâte la fermeté de mon cul. J'espère que c'est lui. Quelqu'un se plaque contre mon dos. A travers le tissu de mon pantalon, je sens la forme familière du sexe en érection. La main vient caresser mon entrejambe. Elle frotte ma pine qui, sous la caresse, se raidit instantanément. Le gars derrière moi, passe son bras autour de ma taille, et la pression du sexe sur mon cul se précise.
Devant, la main ouvre ma braguette et se glisse dans mon slip. Ses doigts s'enroule autour de ma tige et me branlent lentement. Le gars défait la ceinture de mon pantalon, et le laisse tomber sur mes chaussures. Il tire lentement mon slip vers le bas. Le glissement du sous-vêtement sur mes fesses, puis sur mes cuisses, me fait haleter. Le gars me lâche et se recule. L'expérience me dit qu'il est en train de sortir sa queue. Ses mains écartent mes fesses et il glisse son pieu contre ma raie. Il les resserre sur son pénis et se branle entre les globes. Il pose son gland sur mon petit trou. Il pousse de façon progressive, mais ça ne veut pas rentrer.
- T'es plutôt serré, pour un habitué !
- C'est parce que je m'économise pour des gars comme toi !
- Dans ce cas, tu vas m'aider....
Il me retourne, toujours le cul nu, et il me fait m'agenouiller. Maintenant, je vois ce que j'ai senti sur ma raie. Un gourdin monumental. Je l'imagine déjà dans mon cul et ça me fait saliver.

J'empoigne le gros engin et le décapuchonne. Ma langue fait le tour de la cicatrice, entre la hampe et le gland. Puis elle titille la petite fente du gros bonbon rouge sur lequel se referme mes les lèvres, arrachant un tréssaillement qui témoigne du plaisir que je donne à celui que je suce. Ses mains se pose sur ma tête, pour régler la vitesse à laquelle mes lèvres et ma langue doivent glisser le long du membre fabuleux. Quand il ressort de ma bouche, mes lèvres se ressèrent autour du gland comme pour l'empêcher de quitter la moiteur qui l'entoure. Plus les va et vient son rapide, plus la queue grandit et durcit. Les mains se crispent sur ma tête, et d'un puissant coup de reins, le gars enfonce sa pine au fond de ma gorge. Mes lèvres sont collées aux poils de son pubis. Soudain, il se raidit, sa queue se tend, et un flot de sperme coule dans ma bouche. Le gars me relève, me retourne et me courbe sur le dossier du fauteuil devant moi. Il écarte mes fesses, pose son gros gland ruisselant de ma salive sur le petit trou, et, il pousse de toute ses forces. Le gland s'enfonce millimètre par millimètres dans mon sphincter. Quand le gland monstrueux a passé l'anneau culier, j'ai poussé un gémissement de douleur. Ensuite, le gars a pris tout son temps pour pousser son gros membre au fond de mon cul. Une image est apparue dans ma tête. Je me voyais comme le mouton d'un méchoui, mon cul empalé sur une formidable tringle. La tringle se mit à remuer, mes jambes tréssaillaient. Le rythme s'accéléra et le jus de couille coula entre mes fesses. Le gars m'a labouré avec son soc jusqu'à la seconde giclée. Quand il est ressorti de moi, le passage du gland m'a arraché un nouveau cri. Le gars s'est essuyé avec mon slip et m'a laissé glissé au sol. Il s'est rajusté et est parti.
Les clients du cinéma s'étaient attroupés pour voir la scène. Ce sont eux qui m'ont relevé, qui m'ont aidé à me rhabiller et à m'asseoir sur un fauteuil. J'avais mal au cul. Je suis bien resté assis là, pendant une heure, avant de trouver le courage de marcher vers la sortie, le coeur content et les yeux brillants de plaisir.

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