Fiction - Un Camping Car Tout Neuf.

Depuis une dizaine d’années, je travaille comme commercial pour un gros concessionnaire bien connu dans le Grand Est qui vend des camping-cars et des caravanes… L’hiver, l’activité est assez calme mais dès que le printemps arrive, l’atelier tourne à plein régime avec les révisions et menues réparations à effec avant le rush estival ou les weekends prolongés…

Je me plais bien dans cette entreprise et ce n’est pas l’histoire que je vais vous raconter qui va me faire changer… En effet, contrairement aux habitudes où ce sont les clients qui viennent prendre livraison de leur camping-car ou caravane neuf, un couple qui avait passé commande quelques semaines auparavant a demandé la livraison à leur domicile du véhicule qui vient d’arriver de l’usine située en Italie.

Mon directeur m’a demandé ce que j’en pensais en disant qu’il ne pouvait pas distraire quelqu’un de l’atelier pendant une journée mais que si je voulais, je pouvais le faire sur mon jour de repos le lundi. Bref, tout s’est mis en place y compris mon rapatriement après la livraison.

Les formalités administratives étant faites, le samedi le responsable de l’atelier a fait le plein de carburant et fixé les plaques d’immatriculation définitives comme cela, je pourrais partir à la première heure le lundi… Normalement je n’avais qu’un peu plus deux heures de trajet et je pourrais être revenu à mon domicile en milieu d’après midi…Les frais de taxi étaient, comme convenu, à la charge de l’acheteur.



Lorsque je suis arrivé à destination guidé par le navigateur, je me suis retrouvé devant une immense propriété cernée d’un haut mur de pierre dans laquelle on entre par un portail monumental motorisé. Après m’être annoncé au portier équipant la vidéosurveillance de l’entrée, je suis une allée arborée sur environ 200m avant de m’arrêter sur le parvis d’une grosse maison bourgeoise. Je ne m’étonne plus que ce couple ait payé cash son achat…

La femme que j’avais entre aperçue lors de l’achat traité par mon boss m’accueille chaleureusement.

Une bien jolie femme, certainement plus proche des 40 ans que des 50, grande et svelte mais avec des seins et des fesses bien galbées… Discrètement maquillée et habillée avec une simplicité coûteuse elle porte une jupe en cuir fauve arrivant au dessus du genou, des bottines à fins talons couvrant la cheville avec des bas à couture (chose que j’aperçus lorsqu’elle se retourna).Le haut est tout aussi attrayant… il est pris dans un sweatshirt en fin lainage de couleur ivoire ceinturé à la taille par une chaine dorée et moulant au plus près les hanches et la poitrine… Moi qui aime les jolies femmes, j’appréciais… Les cheveux noirs noués en queue de cheval lui battent le milieu du dos et de grands yeux marron… Bref une jolie femme comme je les aime…

Après avoir fait le tour rapidement du véhicule, la femme me dit :
• Venez, entrons, nous allons régler les derniers détails dans la maison. Mon mari est à son usine… C’est donc à moi de voir si tout va bien !
• D’accord, je vais vous remettre les documents mais avant, ne voulez-vous pas que je vous montre les détails bons à connaitre de votre acquisition ?
• Nous verrons cela plus tard. Venez, accompagnez-moi dans mon bureau.

Moins de cinq minutes plus tard, nous entrons dans une immense pièce dont les deux portes-fenêtres donnent sur l’arrière de la maison et une immense terrasse au pied de laquelle s’étend une piscine… En moi-même, je pense que ces deux personnes ne se refusent rien !!! Ce pièce est meublée avec un goût féminin exquis, fait de meubles et de bibelots précieux mais ce qui attire mon regard, c’est la profusion de livre rangés ou répartis un peu partout sur des tables basses et autres meubles… Les murs qui ne sont pas occupés par une armoire bibliothèque portent quant à eux des gravures érotiques finement dessinées. Le bureau lui-même est équipé d’un matériel informatique dernier cri avec une imprimante professionnelle.

La femme dit alors en voyant ma surprise :
• Ceci est mon univers… J’écris des romans et des nouvelles… Cet environnement m’inspire plus que tout autre !
• C’est digne d’une femme raffinée !
• Oui… C’est sur mais je vais le quitter pendant plusieurs mois.
En effet, à bientôt 60 ans, mon mari a décidé de prendre une année sabbatique en laissant la direction de son entreprise à son fils ainé… alors, nous avons acheté ce camping-car et nous allons passer une dizaine de mois sur les routes du sud de l’Europe… J’espère y trouver de l’inspiration… sinon, ce sera un carnet de voyage…
• C’est une bonne idée, avec des photos, ce devrait être intéressant.

Nous bavardons de choses et d’autres pendant près d’une heure et j’apprécie l’humour et l’entrain de cette femme qui se confie à un inconnu, racontant des anecdotes, des souvenirs de jeunesse quelques peu coquins et d’autres plus récents… Elle me dit comment elle avait découvert que le fils de son mari jouait parfois les voyeurs lorsqu’elle prenait le soleil, nue au bord de la piscine… Mais le temps passait, aussi l’ai-je invitée à aller découvrir en détails le nouveau camping-car.

Je lui ai fait découvrir les divers aménagements comme la partie cuisine, le coin douche, les divers rangements intérieurs, le lit mezzanine accessible par une échelle amovible. Là, la surprise ! Elle escalade les premiers barreaux de l’échelle et se penchant en avant, elle m’offre une vue imprenable sur ses fesses gainées de fin nylon noir assorti à ses bas auto-fixant… Quel coup d’œil…

Lorsqu’elle redescend, elle me fait un clin d’œil en disant :
• Tu m’as bien matée… coquin !
• Pourquoi n’en aurai-je pas profité ? Je pense que c’était intentionnel !

Et là, elle me plaque contre la cloison du coin douche en m’offrant ses lèvres tandis qu’une de ses mains part à la découverte de mon service trois pièces dont le mat est déjà à moitié bandé. Quelques caresses plus tard, elle se met à genoux devant moi et dégrafe ma ceinture et descend le pantalon et mon boxer pour emboucher mon sexe et débuter une belle fellation. Je crains d’atteindre le point de non retour trop rapidement car cette femme m’excite au plus haut point. Je ne veux pas m’épancher dans sa bouche ni en dehors pour ne pas la souiller quand elle me dit :
• Comme tu as pris sur ton jour de repos pour livrer le camping-car, je t’offre une prime : Tu vas me baiser… J’en ai envie !!!

Comment refuser une telle offre ? Pendant qu’elle fait glisser sa jupe et ôte son haut, j’achève de me déshabiller.
Waouh, quel canon c’est ! Les quelques années de plus que moi ne me gênent pas. Elle a tout ce qu’il faut aux bons endroits, des hanches un peu larges et une taille étroite, des seins bien ronds dans le soutien gorge et une bouche gourmande dont le rouge n’avait pas bavé lors de la fellation… Saisissant mon sexe dans la main droite, elle m’attire vers l’avant. Elle s’agenouille sur le siège passager que j’ai tourné vers l’arrière lors de la démonstration en me disant :
• Prends-moi en levrette… J’adore… et comme tu es bien monté, je vais prendre mon pied !
• Moi aussi, j’aime bien ! Mais je n’ai pas de capote !
• Laisse tomber ! Je veux te sentir gicler en moi ! Il y a longtemps que je n’ai pas eu d’amant et mon mari n’est plus guère performant !

Même si je n’ai pas un sexe digne d’un hardeur de film X, je suis assez bien monté… Un sexe relativement court mais trapu avec un gland proéminent qui a déjà satisfait plus d’une femme… Je fais glisser le string en bas des jambes et je m’approche… je fais aller et venir mon sexe à plusieurs reprises dans la fente qui s’offre à moi entre deux globes fessiers bien ronds et bien fendus… Puis d’un seul élan, j’embroche cette femme qui ne demande que cela semble t’il : être prise avec vigueur ! Elle m’invite d’ailleurs à cela :
• Vas-y ! Baisse moi fort, fais moi jouir !

Puisque c’est qu’elle souhaite, je ne vais pas m’en priver… Je suis à jeun depuis quelques semaines alors, je vais profiter à fond de ce que cette femme chaude et avide de sexe va m’offrir.

Les mains crochetées autour de sa taille, je vais et je viens, faisant claquer mon pubis contre ses fesses dans un bruit qui nous excite l’un comme l’autre… Sa gaine est de plus en plus chaude et humide et je sens que ma compagne joue de ses muscles internes pour presser le bout de mon sexe lorsqu’il est au fond du sien… C’est bon et je me retiens de partir trop vite… Je veux profiter au maximum de cette aubaine sexuelle que m’offre cette femme dans la pleine maturité de la quarantaine.
Elle est chaude à souhait, poussant des râles de plaisir lorsque je navigue en elle mais soudain elle s’écrie :
• Ne te retiens plus… Je vais partir !
• OK ! J’arrive !

Moins de dix secondes plus tard, je me tétanise et me vide au plus profond de ma maîtresse du jour qui de son côté pousse un rugissement au moment où la jouissance l’emporte. Nous restons embrochés de longues minutes à savourer la béatitude d’une belle jouissance partagée… Quand je veux me dégager, Sylvie (puisque tel est son prénom) suit mon mouvement en disant :
• Reste… tu n’as pas encore débandé… reste encore en moi, c’est si bon !
• D’accord, c’est toi qui voit !

Nous restons ainsi de longues minutes… que c’est bon… cette femme est un mélange de violence et de douceur… Cette violence qui se déchaîne lorsqu’elle fait l’amour et la douceur qui s’exprime aussitôt après… C’est une jouisseuse dans tous les sens du terme ! Finalement je débande et mon sexe sort de la douce chaleur humide dans laquelle il baignait. Aussitôt Sylvie se retourne, s’agenouille devant moi en disant :
• Je vais te faire renaître… j’en veux encore !

Et aussitôt, elle entreprend une fellation digne d’une pro’ du sexe… Tantôt je suis au fond de sa bouche, tantôt je sens ses lèvres sur la hampe, la langue pointue titille le méat… Toutes ces caresses alternent si bien que je ne tarde pas à bander comme un cerf en rut ! Sylvie dit alors :
• Tu es à point ! allonge-toi sur la couchette, c’est moi qui vais te faire l’amour !

Sitôt dit, sitôt fait ! Un dernier baiser sur mon vit, Sylvie m’enjambe, place ses jambes de part et d’autre de mes hanches et doucement elle descend en me faisant entrer en elle… Je l’aide à maintenir son équilibre lorsqu’elle commence les mouvements de va et vient tout en regardant avec convoitise les deux beaux fruits qui se balancent devant moi.

L’un et l’autre nous savourons ces instants… mon sexe entre et sort de celui de Sylvie en fonction de ses mouvements… Il n’y a pas besoin de guide pour trouver l’entrée… cela se fait naturellement et de plus en plus rapidement… Je sens ma jouissance monter doucement en disant en moi-même : quelle baiseuse !!! Oui, je comprends maintenant que Sylvie avait envie d’une partie de jambes en l’air… C’est elle-même qui est allée au devant de moi… J’aurais eu tort de la décevoir…

Soudain, elle s’abat sur mon torse, pressant sa jolie poitrine sur la mienne et se tétanise au moment de jouir… Je me lâche à mon tour car, inconsciemment, je l’attendais… Nous restons ainsi de longues minutes puis nous nous désunissons.

C’est côte à côte sur la couchette que nous récupérons quelque peu… Je dis à Sylvie combien je suis bien près d’elle… et elle me rétorque qu’elle aussi se sent bien ! Elle se redresse pour m’embrasser, je ne puis que lui donner mes lèvres… Sa langue chaude et agile titille la mienne dans un baiser profond… Je la renverse sous moi et nos corps s’épousent alors que je lui embrasse les seins doux et fermes à la fois, triturant les tétons entre mes dents… puis j’entre doucement dans son sexe qui est trempé de mouille…

Nous faisons l’amour longtemps, doucement, presque tendrement comme deux amants de longue date jusqu’à ce qu’une nouvelle jouissance nous emporte presque simultanément…

Nous avons bien étrenné le nouveau camping-car…

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