Contrôle Douanier

Retour de voyage. Tu m'attends à l'aéroport. Nos retrouvailles sont chaudes. 12 jours sans toi, ton corps, ton odeur, ta belle queue, tes doigts, ta langue… je suis en chaleur, en manque. J'ai envie que tu me prennes là maintenant. Dans la voiture, je déballe ta queue tendue et me jette dessus pour te sucer mais après deux va-et-vient rapides, tu me repousses : « Attends » tu remballes ta queue difficilement mais je dois attendre. Je suis dans un état de frustration totale. Mais je respire et patiente en te racontant que je suis étonnée car je n'ai eu aucun contrôle de douane. Tu décides donc de faire ce contrôle toi-même... dans l’ascenseur, tu m’expliques les règles du jeu : je suis une touriste et tu es le douanier qui a tous les droits et va en r. Je souris et acquiesce d’un mouvement de tête.
A peine la porte passée, tu annonces : « Contrôle douanier » tu me pousses immédiatement contre le mur, les bras en l’air et les mains posées sur le mur. D’un geste brusque, tu écartes mes jambes et la fouille commence, tu palpes tout mon corps : les bras les jambes le dos le buste l'entre-jambes. Tu es un douanier. Pas là pour rigoler. Tes gestes n'ont pas leur douceur habituelle. Tu es brusque. Tu me donnes des ordres secs : « Tournez vous, levez les bras, écartez les jambes... »
Comme tu n'es pas sûr que je ne transporte pas de drogue cachée quelque part sur moi, tu ordonnes : « Déshabillez-vous ». D'abord le haut. Tu recommences ton inspection. Tes mains sont rapides, tu me tripotes partout, tes doigts glissent. Tu s totalement de ton pouvoir. Tu t’attardes sur mes seins, bien sûr : mais pas de caresses, non : tu les pinces fort, à plusieurs reprises, trop fort mais j’adore. Nouvel ordre : « Enlevez le bas ». Je m'exécute. Nouvelle inspection générale. Mais là tu vas pouvoir vérifier que je n'ai pas caché de drogue, bien caché. Et tu vas vérifier comme dans les films. « Penchez vous en avant. Plus. Écartez les jambes ». Tes mains courent partout.

Fouillent partout. Tes doigts s'immiscent en moi. Histoire d'être sûr. Mon sexe d'abord que tu fouilles sans ménagement. Tu profites et tu enfonces tes doigts bien au fond de ma chatte trempée. J'essaye de rester digne. Je me plains : « Vous n'avez pas le droit... »
Une claque tombe sauvagement sur mon cul nu « Taisez-vous » tu continues à me doigter très fort, trop fort. Puis tout à coup tu retires tes doigts et ma chatte est vide. Je suis toujours penchée en avant, appuyée sur le mur. Tu m’ordonnes « Ne bougez pas d’un millimètre». Je t’entends chercher dans les tiroirs. Quand tu reviens tu te places derrière moi tu poses tes doigts sur mon petit trou et tu appuies un peu. Je gémis. Une claque. « Penchez-vous plus ». Une claque. « Plus vite ». Je me penche, mon corps fait un angle droit, mon cul est bien accessible. Je sens quelque chose de froid sur mon trou serré, le temps de comprendre que c’est du gel, tu enfonces tes doigts un par un. Au troisième je commence à t’implorer « Doucement ». Tu ne tiens aucun compte de ma demande et continues à me doigter fort et enfonces tes doigts au maximum dans mon cul. Je n'en peux plus. Je gémis. Ta main libre me punit aussitôt et je cris sous la force du coup. Tu pousses tes trois doigts réunis à fond et me baises le cul profondément et brutalement, puis je t'entends défaire ta ceinture... je ferme les yeux. J'essaye de me détendre. Je ne peux rien faire. Tu es la loi l'ordre l'autorité. Qui de moi certes. Mais tu es ma loi. Tu retires tes doigts, tu te poses sur le coté, tu agrippes ma hanche et la fessée que tu m’assènes est d’une telle force que je crie de surprise et de douleur, en quelques coups, je ne sens plus mon cul, tu gifles mon entre-jambes et tu vises bien : mon clito explose sous les claques, je hurle : plaisir et supplice confondus… tu finis en me sodomisant, ta queue s’enfonce facilement dans mon cul élargi par tes doigts, mes jambes tremblent, tu m’encules le plus fort possible, j’arrive à peine à respirer… à chaque coup de rein, « Petite pute » « Traînée » « Salope » « Prends çà… »… je suis au bord de l’évanouissement quand tu jouis longuement, bien enfoncé dans mes entrailles.
Ta jouissance est violente, longue, je sens tes jets brûlants me remplir, ta jute commence à couler le long de mes cuisses. Quand tu te retires, je tombe à genoux, tremblante. Tu te penches, me prends dans tes bras forts, tu me portes à la salle de bain et me douche délicatement, tu me sèches, tu me déposes dans notre lit… « Tu veux un thé mon amour ? »
J’ai aimé ce jeu. Notre plaisir décuplé par notre imaginaire. Je rejoue quand tu veux, tu décides. Ça peut être n'importe quand. Si tu dis "Contrôle douanier", je saurai que tu as envie de jouer. Toutes les variantes sont possibles. Tu seras ma loi et je n'aurai pas d'autre choix que celui d'obéir.
D'ailleurs j'y pense... et si toi aussi tu passais un contrôle douanier ?

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