La Vendeuse Docile

- Chéri, aujourd'hui au magasin j'ai reçu la visite de Julien, notre voisin
- Ah ? que voulait notre cher retraité ? tu vends des robes et de la lingerie pour femme et il vit seul si je me souviens bien !
- Il aurait soi-disant fait la connaissance d'une femme et il veut lui fêter son anniversaire, en parlant de ça n'oublie pas le mien dans quelques jours !
- J'y pense qu'est-ce qui te ferait plaisir ?
- Une nuit d'amour me suffira !
- Avec qui ??? !!!!
- Imbécile ! mais revenons a julien, il doit revenir car il est indécis
- Qu'est-ce qui le fait hésiter ?
- Deux modèles de robes, l'une est classique et rouge, l'autre noire est si olé-olé que je n'oserais pas la porter dans la rue ! pourtant j'aimerais bien m'en débarrasser elle vaut une petite fortune !
- Il va se décider pour la noire ce vieux cochon ! tu pari ? !
- Je n'ose pas tout te dire ?
- Que de mystère pour une robe ? parle que diable !
- Il dit que son amie a la même taille que moi à tous points de vue, il parait même qu'elle a mon âge et me ressemble !
- Je ne vois toujours pas le problème ?
- Il veut que j'essaie les robes devant lui ?
- Huuuummmmm?. ça sent l'entourloupe !
- Tu crois ?
- Réfléchit, il aimerait te voir a poil tout simplement !
- NON ?????
- Piège le chérie
- Et comment ?
- Dit lui de venir a la fermeture du magasin et fait lui plaisir
- Tu accepterais que je me mette nue devant julien ? et s'il me viole ?
- Ça ne serait pas du viol étant donné que tu serais consentante !
- Chéri ? comment peux-tu dire une horreur pareille ?
- Ne me dit pas que cet homme bien conservé et une sacrée réputation de tombeur ne te plairait pas pour tirer un coup vite fait
- C'est vrai qu'il est bel homme ?.
- Et que tu mouille pour lui en ce moment ?
- Surement pas !
- Montre ?
- Ne me touche pas !
- Donc, j'ai raison, ta culotte est enfondue
- C'est ta faute, tu n?avais qu'à pas me parler aussi crument
- Bon, alors tu accepte ?
- C?est bien pour te faire plaisir, mais il ne se passera rien entre nous
- Si j'étais toi je ne serais pas aussi affirmatif !

Le lendemain dés l'ouverture de ma modeste boutique, Julien fait les cents pas devant la vitrine, il me voit et entre furtivement

- Bonjour Vanessa, ça va ?
- Très bien Julien, je vous remercie, avez-vous choisi un modèle de robe ?
- Mon, dieu non, je suis toujours aussi indécis
- Bon, finissons-en, comme vous me l'avez suggéré à demi-mots, je vous propose de vous aider à faire votre choix, mais pas avant ce soir dix neuf heures, une fois la boutique fermée
- C'est vrai ? vous feriez cela ??
- Vous pourrez remercier mon mari, c'est lui qui m'y a décidée
- C'est un brave homme ! à ce soir chère Vanessa

Toute la journée je me suis demandée comment sortir de cet imbroglio sans 'dommage corporel', mais en mon âme et conscience je meure d'envie de montrer mon corps a ce retraité ! s'il me demande de passer la mini robe qui ne tolère pas de sous-vêtement je devrais les enlever dans ma cabine d'essayage de fortune je le ferais ! dix huit heure cinquante il est déjà là, je n'ai plus de clients

- Bonsoir Vanessa
- Bonsoir, alors ? laquelle voulez-vous revoir une dernière fois ?
- Les deux s'il vous plait, voulez vous essayer la première sur vous, a vue d'oeil mon amie a exactement les même mensurations, les seins, les fesses, la taille aussi fine, tout quoi !
- Bien, attendez-moi là je vais fermer et je la passe dans la cabine

Lorsqu'il a parlé de mes seins j'avais l'impression de sentir ses mains sur moi, ma chatte réagit en crachant ses premières gouttes au fond de mon string, j'ai l'impression d'être épiée lorsque je me retrouve en slip et soutien-gorge, je prends mon temps tout en réfléchissant ? s'il est jute derrière le rideau il me voit ? je me lance ! Plus de soutient nénés, je tourne lentement quelques fois sur moi-même et me penche afin que mes fesses soient exposée vers l'extérieur

Il me semble entendre souffler fort, il doit mater ma chatte bien chaude enveloppée dans ma petite culotte tachée, ça suffit pour l'instant, je revêts la robe et sort en tirant le rideau d'un coup sec, effectivement Julien est bien là, rouge cramoisi, le col défait, sans doute pour mieux respirer, je passe devant lui en imitant les pas saccadés des mannequins professionnels, un savant tour complet puis je me campe, les mains sur les hanches, jambes écartées, autant que le tissu de la robe le permet

- Elle vous va vachement bien ! elle met vos formes en valeur, cette robe a été dessinée pour vous, c'est comme si votre poitrine était nue
- Elle l'est ?

Je ne rêve pas, ses mains dessinent la courbe de mes reins au bas de mes fesses sans toutefois oser appuyer franchement ? dommage !

- Vous êtes très attirante Vanessa !
- Alors ? que décidez-vous ? je vous fais un paquet cadeau ?
- Raaahh c'est compliqué ! j'hésite encore avec l'autre !
- Bon, j'ai compris je vais la passer, ne restez pas planté là s'il vous plait !
- Soyez rassurée je ne regarde pas
- Huuuummm ?.

. permettez-moi d'en douter

Nouveau déshabillage, cette fois pour ne pas tacher la mini robe moulante je dois retirer mon string trempé avec des gestes calculés je fais glisser le sous-vêtement sur mes hanches, je lève un pied puis l'autre, le fond est très imbibé et mes poils sont poisseux, je m'essuie la chounette avec et le lance sous le rideau de fermeture, une main s'en empare aussitôt, une plainte rauque accompagne la respiration soutenue, sur le coté, le rideau ne prend plus juste, il me mate c'est sûr, après tout mon mari n'est pas contre un petit 'égarement' de ma part, je vais lui en donner pour son argent
Penchée comme précédemment je lui expose ma vulve, pour voir sa réaction, je risque un œil entre mes jambes, le rideau s'est ouvert, un bras se tend vers moi, au lieu de me soustraire a l'attouchement qui va sûrement arriver, je fais un pas en arrière, l'homme grogne de satisfaction et pose ses doigts sur ma vulve qu'il caresse comme il le ferait avec un petit animal

- Elle est douce ta fourrure est très imbibée de mouille, tes lèvres se séparent ! je peux enfoncer un doigt ?
- Je regrette, je dois passer la robe
- Fais vite, je suis impatient de voir l'effet produit sur toi
- Repassez moi le slip que je m?essuie encore l'entrejambe
- Tu mouille abondement
- Pourtant c?est rare quand que ce soit aussi intense
- Tu veux dire que c'est grâce à moi ?
- Je dirais plutôt que c'est votre faute ?
- Si tu savais a quel point je bande...
- Je ne veux pas le savoir. Je n'imaginais pas que cette robe soit fendue si haut
- Jusqu'à ton minou en bas et ouverte sur tes seins en haut, que tu es belle Vanessa...
- Votre compliment me touche, Julien, ce n'est pas raisonnable, et votre petite amie ? Si elle apprenait ça ?
- Mon amie ? je n'ai personne !! la femme dont je suis amoureux c'est toi ! cette robe sexy que je vais acheter est pour toi Vanessa
- Pour moi ? je ne peux accepter un tel cadeau.
..
- Sort de cette cabine

J'ai un choc lorsque je m'aperçois que, caché par le rideau sa verge raide et ses testicules gonflés sont étalés de part et d'autre de la braguette

- Julien ? vous bandez ?
- Je te l'ai dit il y a un instant, ça me faisait trop mal alors je l'ai mis a l'air ! tourne sur toi-même ! penche-toi comme dans la cabine
- La tête en bas ?
- Autant que tu pourras, touche tes pieds avec tes doigts
- J'ai l'impression d'être ouverte en deux !
- Elle est vachement craquée ? je peux toucher avec un doigt ?
- Faites même avec deux ?
- Reste ainsi je vais en mettre deux et mon pouce dans ton anus

Pour tenir l'équilibre et m'offrir le mieux possible, je plaque mes mains sur le montant de la cabine tandis que son souffle saccadé caresse mon entrejambes, comme promis je suis envahie par deux gros doigts et un pouce humecté de salive taraude mon oeillet afin de le distendre

- Julien arrêtez je vais tache la robe ?
- C'n'est pas grave, je vais la souiller davantage dans un moment, va te pencher sur le coin de ton bureau
- Que voulez vous faire ?
- Te bouffer la chatte et le cul
- Juliiieeeeeennnnnn !!! J'en meure d'envie?

Les seins et une joue écrasés sur le formica glacé, je me cambre, une main plaquée sur mon entrecuisse remonte vers la fourche, le plat de cette main entre dans ma fente pour y effec des vas et viens, mon clitoris est labouré au passage m'arrachant des gémissements de plus en plus sonores

- Tu en veux hein ? Je vais t'en donner, tant pis pour le cuni, je vais te prendre de suite, le temps de baisser mon pantalon...

Au même moment le téléphone fixe posé juste a coté de moi sonne !
- Qui ça peut être ?
- Surement mon mari qui s'inquiète de mon retard
- Décroche et met le haut parleur je veux entendre ce qu'il dit
- Vous êtes fou !!! allo ?????
- Chérie ?
- Oouuuuuuuiiiiiiiiiiii ?.

- Que fais-tu ? je m'inquiète, tu semble essoufflée ? ?
- Julien va me pénétrer en levrette dans une seconde, je suis penchée sur le bureau !
- C'est vrai ??
- Oouuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! c?est faaaaiiiiiiiiit ! aaaaaaaaaahhhhhhhhh que c'est booooooonnnnnnnnn !
- Quel salaud ! ne raccroche pas, je veux lui parler
- Vous désirez me parler ? j'entends tout ! votre femme est bonne, je la baise avec la robe que je viens de lui offrir sur elle
- Julien ? dites moi, comment trouvez vous sa moule ?
- Complètement éclatée, elle a enfondu son string et ça lui coule entre les cuisses, si vous voyiez comment elle est bandante avec ce morceau de chiffon noir sur les fesses ! écoutez mon ventre claquer sur son cul !
- Vous ne lui faites pas de cadeau !
- Je peux décharger dedans ?
- Bien sûr et remettez lui sa culotte aussitôt afin qu'elle garde le maximum de foutre dans son vagin
- Soyez rassuré je vous la renvoie a la maison dés que j'ai terminé de la besogner, seriez vous d'accord pour que je puisse la revoir ?
- Ça dépend de vos achats futurs !
- Deux autres robes et je la sodomise demain soir
- VENDU !!

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