La Vendangeuse

J'avais une envie folle de me faire du bien. Je prends un petit chemin à ma droite. Je remarque que des filles sont dans la vigne : elles vendangent. Je vais quand même le plus loin possible sous un grand pin parasol. Des grands buissons me protège de la vue. Je sors du véhicule, j'inspecte pour vois si personne ne m'aperçoit. Rien à l'horizon. J'enlève ma robe rouge que je plie soigneusement dans la voiture. Mon soutien gorge ne fait pas long feu.
Mes mains se pose sur ma poitrine. Je caresse les deux seins que je sens gonfler. Je me pince à peine les tétons : c'est agréable.
C'est au tour du string tout en dentelle, celui qui excite tant mon mec. Mon envie ne se calme pas, je sais depuis que je suis hors de la voiture que je vais me faire du bien.
Quand je suis les fesses contre le capot, que ma main tient le gode, je commence ma manœuvre. Au début je passe vite fait ma main sur le sexe il est mouillé. Un doigt suffit pour le moment : je le passe dans la fente.
J'ai commencé par le mettre en bas, sur le périnée. Seul mon poignet touche ma chatte. Cette partie de mon corps est assez sensible. Je la masse avec deux doigts, je les approche dangereusement et de mon anus et de mon sexe. Je sens la chaleur du moteur contre mes fesses. Ça m'excite encore plus.
Je pense brusquement aux filles qui vendangent u peu plus bas. Si une vient elle va me voir, elle va me dénoncer.
Et puis tant pis, je prends le risque. Cette fois ma main est sur ma chatte. Le périnée sert d'avant goût. J'ouvre comme je peux mon cul. Je pose le gode, je le rentre à peine. Il tient seul pour le moment.
Je continue ma caresse très intime. En me posant plus sur le capot, le gode me pénètre. Je le sens entrer dans mon cul.
Plus je pousse en arrière plus je suis prise. Ah, se branler et s'enculer à la fois : plus qu'un ravissement : un genre de paradis, en plein air pour moi. J'ai trouvé le bon moyen de me faire du bien en me masturbant.

Il me manque une vrai bite dans le con. Tant pis, je me contente ainsi.
Et je reste toujours appuyée contre le capot, les yeux fermés. Entendant des voix s'approcher. J'ai le temps de jouir avant que les filles passent, parce que se sont les vendangeuses.Et puis je suis bien cachée.
Sauf qu'une des nanas à envie de faire son pipi. Elle vient se poser juste derrière ma voiture. Je peux voir ses cheveux de là où je suis. Quand elle lève la tête elle me voit. Je pense qu’elle va me dénoncer.
Elle vient souriante vers moi.
Je peux t'aider ?
Comment ,
J'aime lécher les filles, tu veux ?
Et comment.
Tu est bien fichue. J'ai envie que tu t'occupe de moi aussi.
Elle vient tout près, me regarde dans les yeux après m'avoir évaluée. Je lui plais semble-t-il. Sa bouche se pose sur la mienne, sa langue n'est pas en reste. Ses mains sont celles d'une travailleuse de la terre. Elles me font frémir, comme celle d'un homme.
Quand elle se met nue contre moi, je sens sont corps fin et odorant d'une bonne transpiration. Elle a une fourrure intacte. Ses mains se posent sur mes fesses. Elle me serre à cet endroit. Je sens mon pubis contre le sien. Elle écarte ma raie, elle y passe une main.
Et je me laisse faire par une femme qui me fouille sans complexe. Je sens qu'un doigt se pose sur le petit trou, que je réserve à la queue de mon mari.
Elle masse le petit trou. Je sens que c'est agréable que c'est bon que si elle continue....Je part dans une orgasme imprévu.
Elle profite de mon désarroi pour poser sa bouche dans ma fente. Sa langue passe sans problème. J'écarte bien les cuisses, je me donne à elle. Sa langue fait des merveilles de sensation. J'ai envie qu'elle aille au bout.
C'est pourtant la première fille que j'accepte. Elle continue sur mon cul, elle entre profondément son doigt. Elle a prit le gode, elle le suce avant de le prendre pour elle. Elle se baise devant moi. Je vois l'engin la pénétrer, elle fait bien aller et venir.

Mets moi un doigt dans le cul.
Tu aimes ?
Oui.
Ma main passe sur ses fesses, je cherche juste la raie. J'y insinue un doigt. Je trouve vite son cul. Je le masse juste un peu avant d'enter. Je sens le gode à travers une fine parois. Je suis le même mouvement qu'elle amine.
Tu va me faire jouir.
Tu m'as faite jouir déjà.
Elle ne dit rien, elle lève a tête, les yeux ans le vague quand elle pousse un petit cri :
Je jouis.
Tu veux encore ?
Merci après je ne pourrais plus vendanger.
Elle se rhabille, m’envoie un baiser. Je n'ai pus qu’à rependre mes vêtement dans la voiture et garder un souvenir fugace de cette rencontre imprévue.

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