Petits Jeux Pervers Au Bureau 2 La Petite Cuillère

2- La petite cuillère

Mais revenons à notre histoire. Pour vous décrire un peu les journées au boulot, à part nous, les autres salariés allaient et venaient en mission extérieure. Nous, on restait au bureau à taper les rapports, répondre au téléphone, rédiger les courriers etc... Le directeur allait et venait sans rendre de compte à personne. Il ne nous adressait quasiment jamais la parole et même si il était pas vache avec nous, il avait tendance à nous considérer comme du petit personnel et traitait Marika comme LA personne indispensable au bon fonctionnement de la structure. S'il n'y avait eu que Maud et moi on aurait été vraiment très bien, le souci c'est qu'on avait la chef de service à demeure avec nous, son bureau nous faisant face dans le grand hall d’accueil.

D'une manière générale, parmi les salariés, si tout le monde se méfiait d'elle, personne ne la respectait. Les collègues se foutaient de sa gueule en douce et elle était trop bête pour s'en rendre compte. Ils la baladaient comme ils voulaient sur des dossiers trop compliqués pour elle. Avec nous, elle jouait les petites reines. Jusqu'à présent elle avait été a peu prés supportable mais l'arrivée de Maud l'a fait devenir encore plus autoritaire. Le fait qu'elle est deux « petites jeunes » sous ses ordres, la rendait fière comme c'est pas permis. Franchement je la trouvait pathétique et, dans les jours qui ont suivi l'arrivée de Maud, le peu de sympathie que j'avais pu ressentir pour elle, s'était irrémédiablement envolé.

Maud à très vite cerné le personnage et lui a fait rapidement sentir qu'elle ne la respectait pas mais Marika loin de s'avouer vaincue essayait toujours de nous faire sentir qu'elle était notre supérieure et cela passait par le café. Elle en buvait des litres et croyait vous qu'elle aurait bougé son gros cul pour le faire ? Évidemment, c'était à nous de le préparer, le servir et bien sûr de faire la vaisselle. Moi jusqu'à présent j'avais pas trop mal vécu ça mais Maud ne supportait pas d’être ravalée au rang de bonniche.

Aussi, un matin, ça devait faire 3 semaines que Maud était là qu'elle me fit en riant :
_ Regarde comme je vais l'essuyer sa petite cuillère !

Et elle se la frotta sur les fesses. De la voir essuyer cette petite cuillère sur son jean, de bien l'appliquer entre ses jolies fesses avec un grand sourire me fit pouffer de rire mais eu aussi l'effet de délicieusement me chatouiller l'entrejambe. La vision de cette superbe fille, avec toute sa classe, effec ce petit geste comme si c'était la chose la plus naturelle du monde ! Elle me tendit la petite cuillère et je m’empressais de me frotter le cul avec en riant. Ce matin là quel plaisir de voir l'autre imbécile suçoter sa petite cuillère en nous regardant sourire avec sa tête de chouette empaillée !

Par la suite ça devint un rituel quotidien. On adorait l'idée qu'elle nous lèche le cul même indirectement alors qu'elle faisait sa chef. Avec le temps ce petit jeu avait perdu de sa saveur (si je puis dire) alors on « pimenté » un petit peu. Un matin, Maud m'a demandé de faire le gué à la porte de la cuisine. Elle a carrément ouvert son jean pour se passer la petite cuillère entre ses fesses. Elle était toute rouge d'excitation. Ce jour là j'ai pas osé faire pareil mais j'ai craché dans le café de Marika pour faire bonne mesure. Dans les jours qui ont suivi, j'ai pris l'habitude de faire comme elle. Du coup, régulièrement, soit elle soit moi, on lui faisait profiter de notre « petite saveur ». On prenait un super pied en la voyant sucer cette petite cuillère qu'on s'était frotté sur le trou du cul auparavant.

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