Sexe Boy De La Maison De Retraite. (4/6)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Sexe Boy c’est maintenant ma principale activité depuis que Gislaine devenue ma souteneuse puisque les clientes qui viennent chez moi depuis que je l’ai rencontré m’ont payé aux nouveaux tarifs prenant au passage sa cote part.
Présentement c’est un couple qui est arrivée à 17 heures comme prévu alors que c’était une femme que j’attendais comme toutes les autres fois.
C’est la femme que son mari prénomme Valentine que je vais honorer sous ses yeux car il semble impuissant à la satisfaire et qui est assis sur la chaise qui est près de la porte sa queue en main.

Valentine est très timide et à sa demande souhaite que je la déshabille en prenant mon temps.
J’ouvre son chemisier après lui avoir enlevé sa veste de tailleur qui doit venir de chez un bon couturier où je découvre ses seins sans aucun soutien, qui comme le mari me l’a dit pendent étant devenus tout plats.
J’en prends un en main avant de sucer son aréole qui durcit légèrement quand je le titille.
Le corps de Valentine a certes vieilli mais ses sensations semblent intactes comme dans sa jeunesse ou comme celui dont j’ignore le nom et que j’évite de regarder, m’a dit qu’elle avait été « Miss tee-shirt mouillé » le jour ou il l’a rencontrée.
Pour la plupart des hommes l’usure du temps sur le corps des femmes est un repoussoir alors que grâce à Constance qui aimait que je la baise malgré cette usure jusqu’à la veille de sa mort est pour moi une source de plaisir.
Je continue, la caressant d’une main évitant de casser le début de plaisir que je vois dans ses yeux, de l’autre en lui détachant les agrafes de sa jupe que j’arrive à faire tomber au sol.
Ma position plus basse qu’elle me permet après les seins de lui lécher l’intérieur du nombril ce qui déclenche en elle un frisson de plaisir.
Ses mains se posent sur ma tête et c’est elle qui me force à descendre à la hauteur de la jolie culotte en dentelle qu’elle a mise restante en cela femme.


Je veux éviter de casser le début d’harmonie que nous avons créé entre nous aussi ma bouche vient en contact du tissu que j’aspire afin qu’il entre dans ma bouche.
C’est à travers cette culotte que les effluves que sa chatte diffuse arrivent à mes narines finissant de me faire bander.
Je veux éviter de continuer à faire des parallèles avec Constance mais je dois reconnaître qu’à des âges presque semblables le vagin de Valentine continue de mouiller.
Je sens que je suis sur la bonne voie pour que ma cliente ressente un plaisir maximal quand en relevant les yeux je vois les siens commencer à se révulser.
Mes mains finissent par baisser le petit morceau de tissu car elle est restée très fluette contrairement à l’une de mes clientes d’hier qui au fil de l’âge était atteint par un embonpoint.
Je lui laisse son porte-jarretelle et ses bas noirs bien que j’aime les femmes mures le fétichisme soit hors de mes fantasmes bien que mon œil apprécie.
J’allais dire que Constance portait les mêmes, alors qu’elle privilégiait les bas de couleurs marron aux bas noirs.
Dans un mouvement tout en douceur je la fais s’allonger près de moi et alors que ma main reprend possession du sein à ma portée aimant énormément le caresser ma langue vient écarter ses grandes lèvres pour sortir avec ma main libre son clito de son capuchon afin d’y insinuer la pointe de ma langue.
Le plaisir qu’elle ressent lui fait dégouliner son puits d’amour et je peux ainsi me régaler de toutes les sécrétions et les odeurs que ma langue et mon nez avait captées au travers de sa petite culotte.
Un seul point noir, le mari qui se trouve dans cette position dans mon champ de vision aussi je prends une initiative car le voir s’astiquer son manche flasque aurait tendance à me faire débander.

• Valentine aimes-tu faire l’amour en levrette ?

Avec la même petite voix qu’elle a eue pour me demander de prendre mon temps pour la dévêtir c’est très naturellement qu’elle exprime son souhait.


• J’aime toutes les positions mais je dois dire que c’est vers la levrette que va ma préférence.

Aussitôt dit aussitôt fait, je l’aide à se positionner bien qu’elle ait gardé une certaine souplesse pour se mouvoir.
Je récupère sur la table de nuit le capuchon dont je me sers systématiquement avec ces femmes leur donnant toute garantie sur l’hygiène que je tiens à apporter à notre relation avant de venir derrière elle et de la pénétrer entrant ma verge jusqu’aux couilles.
La lubrification de son intimité facilite l’opération et c’est en la tenant par les hanches que je la laboure traçant un sillon rectiligne en elle.

• Oh que c’est bon, peux-tu me claquer les fesses j’aime un peu de rudesse.
• Valentine pourquoi demandes-tu cela à Christian, c’est la première fois que tu formules une telle demande, tu es devenue folle.
• Ferme ta bouche, laisse nous baiser comme nous le souhaitons, reste assis dans ton coin et fait toi tout petit, je suis hétéro, mais je pourrais venir t’enculer. Laisse-la exprimer ses désirs tu me payes pour cela.

C’est d’une voix courroucée que je lui donne l’ordre de se taire ce qu’il semble porter ses effets car jusqu’au moment où sa gentille petite femme prend son plaisir sans atteindre l’orgasme alors que Constance. Pardon.
Je prends moi aussi du plaisir mais moins important que s’il s’était abstenu de parler.
Je l’aide à descendre du lit où je m’assoie tournant le dos de l’importun qui nous a gâché une partie de notre plaisir.

Je me relève pour l’accompagner mais elle rejoint son mari précipitamment avant que le couple quitte la chambre.
Je vais vers la porte quand j’entends.

• Jules, avance je te rejoins j’ai oublié mon écharpe.

Il est vrai qu’au sol elle est là alors que dans l’intimité du début elle m’était passée inaperçue.

• J’ai quelques secondes, j’ai sorti mon écharpe de ma poche au moment où vous aviez le dos tourné, je suis revenu pour venir vous demander si je peux revenir sans lui.

• Des femmes de votre classe je les aime énormément vous serez toujours la bienvenue.
• Je vous payerais bien que mon mari me donne peu d’argent je vais économiser.

Je la prends par l’épaule dans un geste amical.

• Valentine, tu es ici chez toi, reviens sans lui mais sans besoin de me payer, pour toi mes prestations seront toujours gratuites et tu pourras me demander de réaliser tous tes fantasmes.
Je suis sûr que quand nous serons tous les deux tu te lâcheras et que j’en réaliserais quelques-uns des miens en même temps que les tiens, je te propose de baiser sans aucun tabou, tu es partante.
• La sodomie, mon mari m’a toujours refusé de me sodomiser et refusait que je le fasse dans ces clubs où il me traînait bien que je n’en aie aucune envie.
• Pour lui ce sont les pédérastes qui s’enculent.
• File, il va se demander ce que nous faisons, téléphone avant de venir car je suis très souvent pris, demande à Gislaine mon numéro et appelle-moi rapidement.

Je la vois repartir et quand elle arrive vers la porte d’entrée.

• Qu’est-ce que tu fais, je vais louper mon match dans notre chambre ?
• J’ai eu du mal à le trouver il était tombé sous le lit.

Timide mais maline, ils referment la porte derrière eux et si Valentine appelle, je lui demanderais discrètement si elle vient seule ou avec son cocu de mari même si c’est un cocu consentant.
S’il vient, hélas mes rendez-vous seront surbookés.

C’est ainsi que prenant mon portable je m’aperçois qu’il est plus de dix-huit heures et que j’ai reçu un message pendant que je faisais ma passe avec Valentine.

• Allo, monsieur Christian puis-je avoir un rendez-vous, pouvez-vous rappeler le 06.

Bien sûr le numéro de cette dame doit rester entre nous aussi je la rappelle.
C’est une voix qui me semble jeune qui me répond et je lui donne un rendez-vous pour le lendemain en début d’après-midi elle se présente et s’appelle Marie.


Quand elle sonne et que je vais ouvrir je suis surpris car j’ai eu raison.
La dame que j’ai devant moi est loin d’avoir l’âge de mes clientes.
Certes, dire qu’elle est jeune serait difficile car elle doit avoir dans les quarante ans et est encore bien mise de sa personne.

• Je peux entrer, j’aimerais rester discrète je suis mariée.
• Bien sûr, dites-moi ce qui vous amène.
• J’aimerais que l’on baise, il y a trois ans que mon mari refuse de me toucher et je refuse d’avoir une aventure lui permettant de divorcer à mes tores.
• Oui mais si je vous fais l’amour il peut le savoir.
• C’est pour cela que je voulais entrer rapidement. En vous payant je suis certaine de votre discrétion, vous auriez trop à perdre.
• J’avoue que moi aussi je dois rester discret, mon métier le demande.
• Baiser les résidentes de notre maison de retraite c’est un métier pour vous.
• C’est ma source de revenus alors vous voyez que vous n’avez rien à craindre, vous savez que je prends 150 € sans limites de temps sauf votre plaisir que je fais atteindre chaque fois à mes clientes.
• Je le sais, dans la maison de retraite je suis à leur service et plusieurs d’entre elles sont sourdes et ont tendance à parler fort c’est ainsi que j’ai connu votre existence et Gislaine m’a donné votre numéro.
Vous voulez bien de moi, je suis assez vieille pour vous.
• Si j’ai des clientes âgées c’est à la suite de la visite de Gislaine qui a parlé de mon goût pour les femmes âgées ma compagne ayant 20 ans de plus que moi mais comment pourrais-je vous refuser un moment de plaisir, suivez-moi.

Je l’emmène dans ma chambre de passe et j’ai le plaisir de la voir se dévêtir me montrant des formes dignes de celles de Constance quand elle avait la quarantaine.
Il est vrai que c’est seulement la deuxième femme de ce calibre que je vois depuis le début de ma vie sexuelle.

• Comment voulez-vous que je vous donne du plaisir.
• Pour cette fois une simple position du missionnaire me suffira étant en manque depuis trois ans je vous l’ai dit.

C’est comme cela qu’elle me suce avant d’écarter les cuisses, aucune différence avec les vagins des dames dont elle s’occupe et j’ai rapidement le plaisir de la voir jouir.
Satisfait de mon travail je lui offre un café qu’elle accepte s’étant rhabillé.

• Je peux revenir dès que je serais divorcé.
• Ma porte vous sera toujours ouverte revenez quand vous le souhaitez après avoir téléphoné.

Je disais cela comme une formule de politesse mais le lendemain vers 22 heures on sonne à ma porte…

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