Rencontre Au Bord Du Lac

A cette époque je vivais en couple à Bordeaux.
Comme beaucoup d’hommes bi, je menais une double vie.
Tous mes récits sont des faits réels.
Un dimanche de printemps, sous prétexte d’une ballade en vélo, je vais rouler autour du lac, dans des coins propices aux rencontres coquines.
Au bord d’une petite route tranquille bordant un coin de campagne, trois hommes discutent.
A mon passage, les discussions s’arrêtent net, et ils me suivent ostensiblement du regard.
Emoustillé par leur intérêt, je fais demi-tour et repasse devant eux en les saluant.
A côté d’eux, un chemin s’enfonce dans la campagne. Je m’y engage et roule jusqu’à trouver un coin éloigné de la route, à l’abri des regards.
Ils m’ont suivi aussitôt. Le cœur battant plus fort dans ma poitrine, je les attends.
En quelques instants, ils me rejoignent et s’approchent.
Différents les uns des autres, un homme âgé de petite taille, au corps sec, les yeux vicieux, un petit gros d’âge moyen et le troisième est grand, plus jeune.
Aucun ne me plait ni me m’attire. Mais cela ne m’importe guère.
Plutôt passif, la quarantaine sportive, mince, finement musclé, je conserve un corps de jeune homme.
J’ai un succès certain auprès des hommes. J’en profite aussi souvent que j’en ai envie ou la possibilité.
Pratiquement sans mot dire, leurs mains se posent sur moi. Je suis vêtu d’un cuissard de cycliste, qui moule fesses et sexe.En deux temps et trois mouvements, je suis déshabillé, nu devant eux.
Situation qui m’excite énormément. J’adore m’exhiber ou être exhibé devant des hommes complices.
Leurs mains me pelotent les fesses, masturbe mon pénis très tendu pointant vers le ciel, une bouche s’empare de mes tétons. En quelques secondes, je suis au comble de l’excitation et commence à gémir de plaisir. Je m’offre à eux sans entraves. Je me sens « salope », nu, offert, excité.
Le petit gros s’est agenouillé et entreprend un léchage de couilles, alternant avec une fellation.


Le grand titille mes seins ce qui me surexcite. Le plus âgé prend mes fesses à pleines mains, les écarte et s’exclame « quel beau p’tit cul ». A genoux, il me prodigue un anulingus magistral.
Je raffole de ces moments de pluralité, honoré par des hommes sachant donner du plaisir.
Très sensuel, l’intensité de mon plaisir est telle que je peux avoir plusieurs orgasmes dans des mains expertes, ou bien baisé. Les trois coquins savent y faire et je suis une « victime » plus que consentante. Mes gémissements deviennent de petits cris de plaisir tellement je jouis avec leurs langues sur mes zones érogènes.
La langue fait place à un doigt inquisiteur entre mes fesses cambrées pour mieux s’offrir.
le doigt s’insinue dans mon intimité. Je le sens tester la résistance de ma rosette qui naturellement se décontracte lorsque je suis excité.
Le « vieux » me demande si j’aime ça et me fais prendre. Oui, je réponds. Il dit alors au grand « baise-le »
Le grand acquiesce et sort sa queue à demie bandée. Suce-le m’ordonne le « vieux »
A genoux, obéissant, je prends en mains et en bouche la queue du grand, plutôt de bonne taille et assez épaisse.
Ma langue lèche ses couilles, sa tige, le frein du gland et son gland, avant de la prendre en bouche pour une fellation gourmande.
Quand je la sens bien dure, je me relève, la recouvre d’un préservatif que je lubrifie ainsi que ma rosette.
Puis, je lui tourne le dos, penché en avant en appui sur un arbre, la croupe tendue et offerte.
D’une main, il saisit ma hanche. De l’autre, il positionne son vît à l’entrée de mon cul.
Vas-y doucement je lui dis. Je ne veux pas avoir mal. Délicatement, le gland entrouvre ma rosette.
J’aime ce moment où la douleur et le plaisir se confondent, quand l’anus s’ouvre, se détend, devient « chatte »
Petit à petit, il me pénètre jusqu'aux couilles. Sa tige est dure, épaisse. Elle glisse agréablement. Je suis bien lubrifié et mouille un peu naturellement.
Mon fourreau s’est accommodé du sexe qui le dilate lentement. Je suis chanceux. L’homme prend son temps et son plaisir. Les deux autres se caressent en regardant de près la saillie. Le petit gros me masturbe. J’aime être maté, caressé, quand je me fais prendre. Je me sens alors très salope, un animal fait pour le sexe, à la fois masculin et féminin.
Le va et vient du chibre hyper tendu chauffe mes muqueuses excitées.
Un premier orgasme me secoue, me fait crier. Mes voyeurs disent des mots obscènes, que j’ai un cul de salope fait pour la queue..Le grand me lime de plus en plus vite. Un 2e orgasme fessier m’envahit en même temps qu’il jouit dans la capote. La main sur ma queue accélère et me fait jouir, de la queue cette fois. Nos deux complices ont giclé aussi.
Après quelques soubresauts, une petite tape sur mes fesses, mon étalon se retire et se débarrasse du condom.
Ainsi se termina cette séance très érotique qui reste un bon souvenir.
Après quelques compliments et remerciements, les trois lascars s’en retournèrent à leurs véhicules.

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