Au Bord Du Lac 2/8

Après avoir fait la connaissance de deux jolies touristes Hollandaises, la suite de nos vacances, se profilait maintenant sous des auspices bien différents. Le lendemain de notre soirée en boite, nous retrouvâmes le groupe d’allumeuses, mignones, il faut bien l’avouer, mais nous étions délivrés d’une certaine pression, et nous regardions leur jeu d’une façon toute différente, nous amusant à les railler, comme elles le faisaient de nous.
La journée passa comme un trait, et, comme à l’habitude, après le diner, je retrouvai Eric.
Nous étions impatients, mais pour tout dire, un peu inquiets. Cette bonne fortune subite nous paraissait peut-être trop belle pour durer. Nous étions en train d’en parler, devant la baraque à frites qui s’était installée à l’entrée du camping, quand elles firent leur apparition. Elles s’étaient arrêtées devant les sanitaires, et nous dévisageaient de loin, sans pour autant s’approcher.
Inutile de dire qu’il ne nous fallut pas longtemps pour les rejoindre.
« Hello ! how are you today ? » lançai-je en préambule.
« Fine thanks » nous fut il répondu.
« what can we do tonight ? do you want to go to the dancing ? » dit Eric, qui avait manifestement révisé.
« Oh, no, it’s impossible, we have to go to bed early » dit Terry « We are tired »
« We can’t stay here for a while » ajouta Ingrid « because our family can come and see us. »
Je comprenais ce soucis de discrétion car j’avais le même. Je n’aurais pas voulu que les membres de ma famille, découvrent une de mes relations, sans que je l’aie décidé, moi-même. Encore plus quand ce sont des amours de vacances, qui s’achèveront, sans doute, dès la rentrée.
« Why don’t we go for a walk, along the lake ? wE could juste have a drink at hte « auberge », not far from here. »
Les deux filles se regardèrent et Ingrid prit la parole.
« We don’t want to drink, because yesterday, we were quite obviously drunk, but we can go for a walk.

»
Elles étaient toutes deux vétues de pantalons, et Pulls, avec des baskets, qui leut permettraient de marcher, ainsi que nous l’étions nous mêmes. Nous traversâmes le camp entre les tentes et les caravanes, nous prenant quelquefois les pieds dans les ficelles, en pouffant de rire, et nous empruntâmes un sentier, qui longeait la rive. Le jour s’achevait, le soleil était déjà couché, et la surface de l’eau noire, brillait du reflet des dernières lueurs du jour. Je pensais les entrainer, un peu plus loin, mon bras autour de la taille d’Ingrid, tandis que Eric,s’était rapproché de Terry, quand une nuée de moustiques s’abattit sur nous, s’acharnant sur toutes les parties découvertes de nos individus. Nous battimes en retraite précipitament, en suivant les deux demoiselles , qui elles, avaient savamment noué leur foulards autour de leurs têtes, pour se protéger des piqures. Dans notre plan, nous avions oublié les moustiques qui chaque soir, venaient envahir les environs : cette année, ils étaient particulièrement nombreux et affamés. Les filles traversèrent le camp au pas de course, et s’arrêtèrent devant une tente canadienne, plus grande que la mienne, mais pas trop loin de celle-ci. Je pensais aussitôt que cette proximité, pouvait s’avérer utile, et aussi qu’il était étonnant que je n’aie pas remarqué les deux filles, alors que je pouvais apercevoir leur abri depuis le mien. Les deux filles s’engouffrèrent sous la toile, nous laissan hésitant sur la conduite à tenir, mais une main saisit mon bras et me tira à l’intérieur, où je fus bientôt suivi par Eric. La fermeture de l’entrée fut prestement refermée, et nous nous retrouvâmes tous les quatre dans un espace, chaud, à peine éclairé par un lampadaire proche, à l’abri des suceurs de sang. L’ensemble de l’endroit était tapissé de matelas, recouverts par des duvets, et des coussins. Ingrid m’entraina vers le fond , sur ce qui devait être son lit, à côté de l’abside, qui était visiblement réservée au rangement, des sacs de sport et valises ouverts débordant de vêtements divers.
Elle s’allongea , et m’attira contre elle.
« C’est gentil de nous accueillir ! » dit Eric
« chhhttt ! » soufflèrent deux voix, lui intimant le silence
« You can stay here, for a moment ; » chuchota Ingrid « but take care, the neighbours are close , and we don’t have to be noisy. »
Je répétai la consigne à Eric, qui, du pouce, me fit signe qu’il avait compris. Les deux filles, se déshabillèrent alors. Leurs pulls, jeans, et T-shirt volèrent vers l’abside, suivis par leurs soutien-gorges,. Elle étaient maintenant enfouies sous leurs duvets. Je me dévétis également, ne gardant que mon caleçon, et écartais le duvet. Ingrid , était étendue, vétue d’une culotte microscopique, sa peau nue tranchant sur le tissu sombre du duvet. Je fis glisser la culotte le long de ses jambes, et elle ne lutta que pour la forme.
« It ‘s not fair, me dit elle tout bas, I want you to be as naked as I do. »
Joignant le geste à la parole, elle me fit basculer sur le dos et s’empressa de m’arracher mon slip. Elle eut un « mmmm ! »de gourmandise en découvrant ma verge et se pencha pour l’emboucher avidement. Tandis qu’elle me suçait ardemment, je la fis déplacer afin que son cul et sa chatte soient à portée de ma main. Je la découvris, chaude et humide, et entrepris de l’investir, d’un puis de plusieurs doigts, alternant mes intromissions dans sa chatte avec son anus, qui fut bientôt ouvert. Elle délaissa alors mon sexe , et vint sur moi, s’empalant d’un coup jusqu’à la garde. Les genoux de chaque côté, elle prenait appui sur ma poitrine pour un va-et-vient régulier, le torse debout dans la pâle lumière, haletant sur moi dans un galop scandé de soupirs, ses mains remontant sous ses seins qu’elle offrit à mes mains curieuses.
« pas mal ! » murmura Eric.
Je tournai la tête, pour le découvrir, allongé sur le dos, le buste relevé par des coussins. La tête de Terry, montant et descendant régulièrement entre ses jambes. Il nous contemplait, pensivement, une main sur la tête de sa compagne.

Notre rythme s’intensifia, et avant de prendre mon plaisir, je l’entendis râler, et le vis plaquer la tête de Terry sur son bas ventre.
« Ahh ! c’est bon !, avale tout !!! »
« chhht.. » tempéra Ingrid
Terry, sans traduire, avait dû comprendre intuitivement ce qu’il lui disait. Elle continua de le sucer jusqu’à ce qu’il n’eut plus une goutte de sperme à lui donner, et avala tout..
La couette rabattue sur nous, je m’endormis contre le corps chaud d’Ingrid. Je fus réveillé par une agréable sensation. J’ouvris les yeux. La tente était dans la pénombre (les lampadaire du camping s’éteignaient à 1h du matin) Une bouche chaude avait entrepris d’absorber régulièrement ma queue, au garde-à-vous, les cheveux d’Ingrid venant chatouiller mon bas ventre et ses mains s’occupaient à caresser doucement l’intérieur de mes cuisses, mes bourses, et parcouraient mon entre-jambe, venant titiller mon anus.
Il ne fallut pas longtemps pour que je sente ma sève monter irrépréssiblement dans mon vit. Ingrid dût le sentir également, et entama de longues et langoureuses sucions, modulant la pression de ses lèvres sur ma queue, puis elle fit des allers et retours autour de mon gland, excitant le frein de sa langue, tout en enserrant mes couilles de ses mains, jusqu’à ce que je jaillisse en elle, dans un soupir de soulagement. Elle pompa mon jus complètement et acheva de me nettoyer avec sa langue, avant de m’essuyer avec un mouchoir prévu à cet effet. Elle vint ensuite serrer son corps nu et chaud contre moi. A voix basse, je la remerciai de cette caresse, et elle m’avoua, qu’elle n’aimait pas cela particulièrement, mais qu’elle devait laisser son lit, sans la moindre trace, sa mère l’aurait remarqué. Elle m’embrassa, sa langue venant flirter avec la mienne, et je sentais le goût de mon sperme pour la première fois. Pas désagréable, mais assez bizarre.
Puis elle me demanda de partir, car le jour allait bientôt se lever.
Je secouai Eric Qui dormait, et après avoir enfilé nos caleçons, nous rejoignimes, chacun notre tente, nos vêtements à la main.

Les jours qui suivirent furent un enchantement, et je passais les plus belles vacances de ma vie. Le jour, avec mon copain Eric, nous faisions de la voile, du ski nautique, et nous baignions, en flirtant, avec un groupe de filles, plutôt mignonnes, qui semblaient maintenant s’intéresser à nous, peut-être parce que nous les rejetions régulièrement sans complexe, puisque chaque soir, à la nuit tombée nous allions rejoindre deux créatures divines, qui elles, n’avaient pas froid aux yeux, et nous faisaient découvrir des chemins érotiques encore inconnus.
Mes parents finirent par arriver, et installèrent leur caravane assez loin de ma tente, me laissant libre de mes allées et venues. J’étais malgré tout heureux de leur venue, qui me libérait d’une autre corvée, puisque je prenais dorénavant mes diners avec eux.
Ce soir là, après avoir emmené nos conquètes au cinéma dans le plus gros bourg des environs, pour un film en V.O, nous étions tous les quatre dans la tente des filles quand Ingrid me demanda si nous avions déjà pris un bain de minuit. Elle en avait entendu parler, mais avait envie de tenter l’expérience.
« tu sais que le bain de minuit se prend nus » l’informai-je **(je traduis en français à partir de là)
« je sais » me dit elle « c’est ce qui est excitant. »
A minuit, nous nous rendimes , vétus de nos seuls sous-vêtements, enroulés dans des serviettes de bain, à la marina, à l’opposé du camping, où nous pensions que nos plongeons et autres ébats aquatiques, passeraient inaperçus.. Nos pas résonnèrent bientôt sur le ponton de bois, flottant en T, faisant clapoter l’eau sous nos pieds. Arrivés au bout, nous hésitâmes un instant , scrutant l’eau sombre, ou se reflétait la lune. Puis les filles, les premières, laissèrent choir leurs serviettes, et se débarassèrent prestement de leurs culottes avant de plonger. Nous les suivimes, et après le premier choc, nous nous mîmes à nager avec vigueur, pour dissiper le froid qui nous envahissait. Après avoir joué à nous éclabousser, on regagna le ponton pour s’y cramponner. L’eau était carrément froide, et les filles grelotaient. Ingrid vint se coller contre moi.
« Regarde mes seins, comme ils sont durs » me dit elle en plaquant ma main sur l’un deux.
Effectivement, il était très dur, avec la chair de poule, et un téton gros comme un crayon, que je pinçai, taquin. Elle s’échappa, et plongea sous l’eau, son fessier blanc éclairé par la lune, me narguant avant de disparaître dans l’onde.
Au loin, sur la berge, je repérais le faisceau d’une torche, qui se déplaçait vers nous.
Je rameutais mes compagnons et nous grimpâmes sur le ponton, nous enroulant dans nos serviettes, avant de nous enfuir, la culotte à la main , tandis qu’un gardien sans même nous poursuivre criait :
« eh vous là-bas ! c’est interdit de se baigner là. »
La tente fut vite réintégrée, et nous fûmes contents de nous blottir sous les épais duvets qui dispensaient une chaleur rassurante. Les filles se collaient contre nous.
« C’est bien joli, le bain de minuit, amis j’ai les roustons, comme des noisettes » dit Eric tout bas. »
Terry interrogea Ingrid, qui demanda
« un soucis ? »
« Oui, enfin non, c’est juste mécanique. Je ne peux pas t’expliquer. »
« Oh, j’ai compris » sourit elle
« tu as compris ? »
« l’eau était très froide, et vous avez besoin d’être réchauffés »
ses mains s’étaient emparées de ma virilité, qui je dois bien l’avouer ,était considérablement réduite. Les jeunes femmes descendirent sous la couette, pour nous réchauffer, à la chaleur de leur bouche, de leurs mains, par des caresses qui firent bientôt remonter notre température corporelle. Et je sentis mon sexe reprendre vie dans ce chaud étui, , mes bourses, se décontractant du même coup. Estimant que j’avais retrouvé une forme suffisante, Ingrid, vint m’embrasser, tout en m’enjambant avant de se laisser tomber sur ce pieu turgescent , donnant le signal d’une cavalcade qui ne s’arrêta qu’avec notre jouissance combinée.
Je pris Ingrid dans mes bras, et elle vint coller ses fesses contre mon ventre, dans la position de la petite cuillère. Nous étions tourné vers l’autre couple qui n’avait pas encore rendu les armes. Terry, était à plat ventre sur le matelas, les reins relevés par plusieurs coussins, et Eric exerçait en elle un coulissement de ses doigts, qui la faisait gémir. Puis il vint se placer derrière elle, et poussant franchement, déclencha un cri de douleur. Je compris qu’il était en train de la sodomiser, mais les cris de terry ne l’arrêtèrent pas, et petit à petit, pendant qu’elle couinait, il continuait sa progression.
A ce moment, une voix surgit tout près de la tente :
« Got verdommer ! ijk net vind jet ………………… ! »
Les deux filles se figèrent. Je reconnus la voix de Jimmy, mais je sentais que ce n’était pas le moment de me faire reconnaître. Subitement, il se tut, et nous entendîmes ses pas s’éloigner.
« Il n’est pas content du tout. Trop de bruit, trop de chahut » chuchota Ingrid « Il dit qu’il va se plaindre aux parents de Terry. Il les connaît bien. »
Je tentai de la rassurer.
« Demain, il aura oublié. C’est les vacances. »
Pendant ce temps, Eric, une main sur la bouche de Terry, s’était mis à la pistonner vigoureusement, étouffant ses plaintes de douleur, qui progressivement se transformèrent en gémissements de plaisir.
Ingrid et moi, nous caressions doucement en nous tenant cois. Seul le claquement régulier d’Eric venant tamponner le cul de Terry, résonnait dans le petit espace, jusqu’à ce qu’il explose dans son conduit avec un soupir d’aise, juste après qu’elle eut pris son pied, en haletant comme une chienne assoiffée.
Il commenta bientôt :
« c’est pas de ma faute, elle ne veut pas baiser, mais elle a un cul de reine. »
Je traduisis pour Ingrid, qui pouffa, et me dit
« Elle réserve sa virginité pour son mari, mais elle adore jouir par son cul. »
« demain je serais absent, toute la journée »me confia Eric « avec mes parents, on va voir une tante, qui crèche dans les parages. »
« aH, Comment je vais faire, tout seul ? »
« Je te fais confiance, tu trouveras bien de quoi t’occuper, et puis, je serais de retour le soir. »

Le lendemain, j’étais debout de bonne heure. Pas assez tôt pour mon père, déjà parti à la pêche, mais trop pour les vacanciers qui faisaient la grasse matinée. J’allais piquer une tête dans le lac, et réveillé par sa fraicheur vivifiante, après un rapide passage douche, enfilai un bermuda et un T-shirt , et rasé de près, me rendis à l’auberge où, Océane entamait sa journée. Les clients étaient rares de si bonne heure, et elle prit le temps de boire un café avec moi.
« alors, on ne te voit pas souvent, » me reprocha t’elle
« c’est ta faute. Je n’ose plus venir pour te voir, alors que tu ne veux pas de moi. Je ne vais pas jouer à l’amoureux transi, et te regarder, en pleurant, avec des yeux de chien battu. »
« Hummm, Je suis bien sure que tu as dû trouver un dérivatif agréable à ta peine incommensurable. »
« Je viens passer mes vacances ici, pas pour me morfondre. » me défendis-je
« Je sais pertinemment que te morfondre, n’a jamais fait partie de tes occupations » lança t’elle ironique. « a ce propos, ma cousine est arrivée hier. »
« laquelle ? »
« tu vois, tout de suite, tu es intéressé ! »
« Non, c’est juste pour m’informer, tu sais bien que c’est fini depuis longtemps avec elle. D’ailleurs ça n’a jamais vraiment commencé. » mentis-je.
« Je vais devoir te laisser, j’ai ma mise en place à faire, et ma grand-mère n’aime pas que je traine avec des vauriens dans ton genre. »
« Voyons, Océane, je connais ta grand-mère. »
« Justement, l’inverse est vrai aussi. »
Voyant qu’elle n’était pas dans de bonnes dispositions , je pris congé et retournai au camping. A la caravane, ma mère, ma sœur et mon petit frère prenaient leur petit déjeuner ? je passais les embrasser. Ma mère avait justement un mot à me dire.
« Tu sais que la petite fille de Mr et Mme Pirez est là. » Ils m’ont encore proposé que tu l’accompagnes sur son voilier. »
« Oui, je sais mam, mais j’ai plein de choses à faire. »
« Tu es en vacances ! prends le temps, mon grand ! et puis ça lui fera tellement plaisir. »
« Ok, si tu la vois, dis lui que je viendrais cet après-midi, la chercher pour un tour. »
« Je vais y aller, ce matin. Ils vnt être ravis !. »
Ma mère avait sympathisé avec un couple de retraités qui passaient trois mois par an dans leur caravane, sur une des terrasses, en haut du camping. Allez savoir pourquoi, au fil de leurs discussions, ils s’étaient mis en tête que leur petite fille, irait parfaitement avec moi. Avec l’assentiment de ma mère, ils n’avaient de cesse de provoquer des rencontres entre elle et moi. J’avais déjà fait de la voile avec elle. Nous étions allé en bateau avec son grand-père. Elle ne m’intéressait pas, et je la laissais indifférent.
Quelques heures plus tard, je retrouvais, Sylvie (c’était son nom), au bord de l’eau, où elle s’affairait déjà à gréer son voilier. C’était une coque, plus longue, et plus plate que celle de mes parents, avec une voilure plus importante, lui conférant un comportement plus sportif.
Sylvie n’avait pas beaucoup changé en un an. C’était une fille, à la peau mate, et aux courts cheveux noirs, avec des yeux verts. Elle était, assez longiligne, et, à peine moins grande que moi, mais elle avait un corps androgyne, peu de seins, et des hanches de garçon , sous une taille peu marquée. Elle portait un maillot deux pièces, short et soutien –gorge, dans les Orange. Comme le bateau lui appartenait, c’est elle qui barrait, et s’occupait de la voile, alors que je menais le foc, et le spi quand c’était nécessaire. Nous étions, vers le milieu du lac. La brise était légère, et nous étions chacun d’un côté du bateau, pour équilibrer la coque, assis au fond, le dos en appui sur le plat-bord, les jambes étendues dans la largeur. Nous venions de virer de bord, pour partir, au petit largue, quand je remarquais que son maillot de bain avait glissé, et dévoilait , à l’entrejambe, la moitié d’une chatte, aux lèvres proéminentes, que ne dissimulaient pas quelques poils follets. Elle ne s’était aperçue de rien, et s’offrait au soleil, son visage allant de l’avant du bateau, à la girouette située en haut du mât.
Que faire ?
Je pouvais lui signaler ou ignorer cette situation indiscrète. Elle pouvait s’offusquer que je porte mes yeux à cet endroit, mais nous étions à un mêtre de distance, et il était difficile de l’ignorer. Je n’arrivais pas à me décider.
Nous approchions maintenant de la berge, et elle amorça le virement de bord, pour passer derrière une ile, dans une partie, plus sauvage, sans plages ou habitations. Je pensais que ce changement de côté allait permettre à son slip de reprendre une position normale , mais il n’en fut rien. Au contraire, son sexe était maintenant complètement dévoilé, l’entrejambe du maillot, coincé dans le sillon de l’aine. Je fis mine de rien, mais quelques instants plus tard, sa main fila vers sa fourche, et ses doigts , qui auraient dû remettre en place le tissu, s’attardèrent sur ses grandes lèvres, les caressant doucement. Sans cesser de se caresser, elle tourna la tête vers moi, ses yeux invisibles derrière ses verres solaires. Petit à petit, ses lèvres s’écartaient, laissant apparaître son fruit rose, et un clito bien tendu. Son majeur s’égara dans la fente, et s’y enfonça. Malgré moi, la situation me faisait de l’effet et mon sexe se tendait dans mon maillot, d’une manière qu’elle ne pouvait ignorer, même si les lunettes qui mangeaient son visage lui faisaient un écran qui masquait la direction de son regard. Elle avait écarté les cuisses, et se masturbait doucement, en gardant une expression impassible.
Impossible me disai-je, que cette fille me fasse de l’effet. Et pourtant, je découvrais autre chose que la petite fille modèle. Celle qui me faisait face dégageait un magnétisme sexuel quasi animal, et devant moi , ne faisait preuve d’aucune inhibition.
La situation était tellement spéciale, et inattendue que je ne résistait pas à sa provocation. Je baissai mon maillot, laissant sortir mon mandrin que je commençai à manualiser, en la regardant à mon tour.
Elle ne marqua aucune surprise, mais calqua le rythme de sa main sur la mienne, et , se pénétrant de plus en plus vite, elle resserra brusquement ses jambes sur sa main, avec un « Ouiiiii ! » de contentement.
Elle les rouvrit pour enlever sa main, sans se rajuster, son sexe ouvert, indécemment exposé. Tout comme mon chibre, tendu à l’air libre, que j’aurais été incapable de remettre dans mon maillot.
Notre périple continua, vers des coins plus reculés, moins touristiques de ce grand lac , et nous entrâmes bientôt dans une large crique, boisée, dont la rive, une court plage, était déserte. Elle manoeuvra habilement pour approcher l’embarcation d’une bouée qui flottait à la surface, sans doute celle d’un pêcheur. Et descendit les voiles. Je tentais de ranger tant bien que mal, le foc, de mon côté. La baume s’était abattue au milieu du bateau, la toile masquant Sylvie. Elle apparut, nue, à l’avant du bateau et plongea. Elle nagea un peu et se retourna, m’interpelant :
« Allez viens, elle est bonne ! »
Je quittai mon maillot et plongeai à sa suite. Elle avait la nage fluide et élégante de ceux qui ont passé beaucoup de temps dans l’eau. Le fond de la crique était fait de roches, qu’on devinait à plusieurs mêtres de profondeur. L’eau était transparent , et je suivais ma coéquipière, dont les fesses blanches, tranchaient par rapport à sa peau brune, au point que, de loin, on pouvait croire qu’elle portait un slip clair..
Elle se redressa dans l’eau quand elle eut pied et attendit que je la rejoigne. Elle s’approcha de moi, et vint saisir ma queue,détendue par l’eau fraiche. Sans dire un mot, elle commença à m’astiquer, ses yeux verts plantés dans les miens. Dès que j’eus repris une consistance suffisante, elle s’accrocha à mon cou, et m’enserra de ses jambes, me guidant d’une main pour que je la pénètre. Dès qu’elle me sentit entrer en elle, elle serra ses jambes et avança son bassin pour que je m’emboite au plus profond d’elle. Puis elle entama un balancement d’avant en arrière, qui produisait un petit clapot entre nos corps, en poussant de petites plaintes, et me griffant le dos, comme un petit animal sauvage. Elle prit rapidement son plaisir dans un jappement, et s’éloigna dans une éclaboussure. Elle revint vers moi et me prit par la main, m’entrainant vers la rive. Elle marchait devant moi, et s’arrêtaquand j’eus de l’eau, à mi-cuisses. Elle s’assit dans l’eau, glissa ses jambes entre les miennes , et vint emboucher ma queue, dans une pipe, sans grande nuance, sa bouche coulissant sur mon membre avec une régularité de métronome, essayant d’aller de plus en plus loin, d’engouffrer le plus possible de moi, son nez venant agacer mon pubis. Je me laissais aller à cette fellation énergique, les bourses raffraichies par les vaguelettes. Elle se dégagea d’un coup, me faisant tomber, le cul dans l’eau, et se releva pour partir vers la berge. Je la suivais de près. Elle courut sur la plage, en riant, vers de grands rochers plats. Quand elle les atteignit, elle me fit face, et, quand je fus près de la rattr, elle se retourna, appuyant ses mains sur la roche, les jambes tendues, légèrement écartées, le dos cambré, les fesses tendues vers moi, offerte.
Je ne pouvais ignorer une telle invitation. Je présentais ma queue à l’entrée de sa chatte, et pesai de tout mon poids, l’investissant d’un coup, poussant jusqu’à ce que mon bassin vienne taper sur ses fesses.
« Ahhh ! »lacha t’elle, « je te sens bien. Vas y maintenant ! »
J’entrepris un mouvement de balancier, d’avant en arrière, en m’appliquant à donner la plus grande amplitude, ressortant presque de sa cavité à chaque recul, et replongeant puissamment , d’un trait, m’aidant de mes mains cramponnées à ses hanches.
« Oui ! encore !, encore ! plus fort ! enfonce encore ! «
ses cris résonnaient dans la crique silencieuse.
« Plus vite ! Encore, plus ! ahhh, baise moi bien ! »
J’accélérais et ses cris s’intensifièrent. Je la ramonais comme un métronome détraqué qui va de plus en plus vite.
Elle haletait , maintenant . Il n’y avait plus de mots, plus de paroles, juste les éructations entrecoupées de cris.
« Hmmmmmm ! Oui ! Rhaaaaa ! han, han han han han ! Ahhh ! »
Je sentais ses muscles internes se crisper sur ma verge. Son sexe coulait , et la mouille dégoulinait le long de ses jambes. Son cul accompagnait le balancement de mon bassin, et ses cuisses et ses fesses vibraient à la fréquence de cet accouplement bestial.
La frénésie fut ralentie d’un coup, et elle plaqua son cul contre moi, jetant les deux mains en arrière pour me plaquer en elle, son corps plié en avant, plaqué sur le rocher.
« Ouiiii !!!, JE VIENS !!!!! Ahh, c’est bon ! Rhaaaa ! Ahhh ! »
Une longue plainte accompagna sa jouissance. Heureusement, nous n’avions pas à craindre de voisins.
Après un temps d’arrêt, je repris mon va-et vient, n’ayant pas encore joui. Ayant senti mon membre encore érigé en elle, elle reprit sa position, mais j’avais déjà une autre idée en tête.
Passant ma main entre ses jambes, je recueillis sa sève, et vint en barbouiller son anus, petit trou étoilé qui me faisait de l’œil depuis tout à l’heure.
Quand j’entrepris d’y introduire un doigt, elle eut un mouvement de recul, mais il passa la barrière de son sphincter, lui arrachant une légère plainte, sans pour autant interrompre le coït. J’entrepris de ramoner ses deux orifices sur le même tempo, pendant un temps, avant d’ajouter un second doigt. Le passage était déjà détendu, et notre baise continua ainsi, mes doigt élargissant son anus qui s’assouplissait. Quand je ressortis de sa chatte pour orienter mon gourdin, un peu plus haut, elle me pria :
« Doucement, je nel’ai jamais fait, de ce côté »
Je présentai mon gland à l’entrée de son cul, et poussai. L’endroit était étroit, et bien que prodigieusement excité et dur, je ne progressai que par millimêtres.
« Aiiie ! Ahhh ! Noooon ! »
Elle poussait des hurlements, mais quand je voulus me retirer
« Non, Aiie ! Reste, ça va aller. »
Je continuai donc, et mon gland franchit la barrière. Je continuai d’avancer petit à petit, jusqu’à ce que mon bassin collé à son cul, je ne puisse aller plus avant
Les cris cessèrent mais je l’entendais souffler fortement
« Vas y maintenant, » murmura t’elle enfin, »tu peux bouger. »
Je balançai alors , coulissant dans son étroit fourreau. Les cris reprirent, mais se transformèrent assez vite en gémissements, qui n’étaient pas de douleur.
Ses hanches se débloquèrent et elle se remit à bouger d’avant en arrière, accompagnant mon pilonnage. Le tempo monta, mes couilles claquant contre ses fesses, scandant la sodomie. Je sentais ma, queue, coulisser dans ses boyaux, et s’enfoncer profondément.
Je m’appuyai alors sur son dos, et attrapai ses petits seins, en torturant les boûts, puis je glissai une main entre ses jambes pour venir titiller son clitoris, bien ferme, et enfoncer mes doigts dans sa chatte. Ce dernier acte eut raison de ma résistance et , alors qu’elle jouissait une nouvelle fois en criant son plaisir, je lâchais ma semence en elle, avec un râle que je ne retins pas.
Nous nous séparâmes,pour aller dans l’eau, nous rincer, revînmes nous sécher, sur le rocher, témoin de nos ébats.
Après un long silence, j’essayai de parler sans avoir l’air ridicule.
« Je n’imaginais pas. Enfin, je ne savais pas que tu… »
« Tu croyais que j’étais un petite bourgeaise coincée, c’est ça ? »
« c’est probablement ça. »
« Eh bien, je suis une petite bourgeoise, mais pas coincée. C’était une bonne baise, pas vrai ? »
« Oui, mais, je ne comprends pas… »
« J’ai eu envie de toi, la première fois qu’on s’est vus, mais tu ne me calculais pas. Tu étais arrogant. J’ai amené quelques gars ici, pour baiser. Pas beaucoup, mais assez pour me rendre compte que l’idée d’une baise avec toi m’obsédait. C’est pour ça que je t’ai provoqué. »
« Le maillot c’était volontaire ? »
« Pas au début, mais quand je m’en suis rendue compte, j’ai décidé de t’allumer un peu. Tu as été plutôt long à la détente. »
« C’est vrai, mais toi, tu regrettes ? »
« Pas du tout, je suis débarrassée de mon obsession, c’est bien. En plus tu as pas mal assuré. »
« Je te remercie, mais je te renvoie le compliment. »
« je n’ai pas tant d’expérience, à 18 ans, mais j’ai vu des films. C’était ma première sodo. J’hésitais à franchir le pas. Finalement, je trouve ça décevant. En fait, il faudrait une deuxième bite, pour compléter le plaisir par devant, sinon il manque quelque chose. »
« désolé, je n’ai qu’une seule queue. »
« T’inquiète, la solution existe. »
« et la suite ? »
« Quelle suite ? Nos parents essaie de nous rapprocher depuis longtemps et ça n’a jamais matché. On a baisé, c’était bon, mais on ne va pas devenir copains pour leur faire plaisir.
Allez, il va falloir y aller avant que le vent tombe, sinon, on va galérer pour rentrer. »

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