Leslienr06

Leslie NR06 – Nouveaux récits
Souvenir du passé. Ma collègue

Un jour, ma collègue, Marie, marié à un homme d’affaires en déplacement depuis plusieurs jours, me retrouva à la cafétéria.
En prenant notre café, nous avons parlé un peu et à un moment Marie, me confia que la solitude lui pesait et elle me demanda si cela ne me gênait pas de passer la soirée de vendredi chez elle et pourquoi pas, si cela m’était possible, rester pour le week-end.

Depuis le début de notre relation de travail, le courant entre nous est passé et nous avons été très proches l'une de l'autre rapidement, lors de séances café où parfois le midi au déjeuner, nous nous racontons ce qui ne se raconte dans des moments intimes entre filles.
Elle sait que je ne suis pas vraiment une femme, et je lui ai racontée mes premières aventures et la première fois où je me suis branlée. De son côté, sans fausse honte, elle m’a raconté sa première masturbation et ses premières aventures avec les hommes, et sa déception de n’avoir, entre leurs bras, qu’atteins la jouissance, mais jamais l’orgasme.
Et, elle m’a raconté que déçue des rapports avec les hommes, elle s’est tournée vers les femmes et me confia que dans ses relations lesbiennes, elle avait souvent un orgasme.
Marie me parlait de ses relations lesbiennes avec beaucoup de détails
Il a même fallut, par contre, que je le lui raconte en détail mon premier rapport sexuel, si j’avais eu mal, et c’est ainsi que j’appris de sa bouche que Marie ne s’était jamais fait sodomisée, même pas par son mari ou ses amants et amantes de passage.

D’ailleurs, lors nos discussions, Marie ne se cachait pas pour me draguer et me faire comprendre qu’elle passerait volontiers un moment avec moi, en disant :
- Avec une fille comme toi, ça ne peut être que différent…
J’avoue que Marie m’attire, jolie femme de vingt-cinq ans, je sais tout d’elle, elle mesure un mètre soixante dix, pèse cinquante –six kilos, et annonce un quatre-vingt-cinq B, donc une femme fine à la poitrine menue comme je les aime, avec des cheveux châtains foncés et les yeux verts.


Ce jour là, je me suis laissé attendrir par la tristesse de Marie, mais aussi pour avoir l’occasion de voir ce qu’elle ferait avec moi chez elle, étant bien sûr moi-même attirée…

Le vendredi en début de soirée, je sonnais à la grille d’entré du pavillon de chez Marie, maison bourgeoise en banlieue ouest de Paris.
J’avais pris soin de me faire jolie pour l’occasion et c’est habillée s’une jupe courte noire et très moulante avec un corsage blanc, sans soutien-gorge, que je me sui présentée chez Marie.
Après m’avoir ouvert automatiquement la porte d’entrée sur la rue, elle m’attendait sur le perron devant l’entrée de la maison…
Ne travaillant jamais le vendredi après-midi, Marie avait eue le temps de se préparer et de me recevoir dans une tenue d’intérieur très jolie. Elle était habillée d’une courte robe dos nu, avec un décolleté vertigineux qui masquait à peine sa jolie poitrine, juché sur des hauts talons, elle faisait sensation… Réussissant même à commencer à me faire bander.

Après m’avoir fait visiter la maison et m’installer dans la chambre d’amis, nous nous sommes retrouvées au salon pour boire un apéritif agrémenté de petits toasts.
Très rapidement la conversation s’orienta vers ses désirs, et plus elle en parlait et plus elle se rapprochait de moi, à un moment elle me dit :
- Et si nous nous mettions nues toutes les deux, nous serions plus à l’aise.
- Alors là, lui dis-je, toi tu es directe !
- Tu penses que je t’ai invité pour parler de la pluie et du beau temps, tu sais que je te désire depuis longtemps…
Et en disant cela elle se lève et commence à se déshabillée, elle rapidement nue devant moi et je n’ai d’autre choix que de faire comme elle.
En déshabillant, je me tournais pour cacher mon sexe, un peu trop gros au dire de certaines de mes ex-maîtresses, mais Marie ne fut pas de cet avis et me félicita de pouvoir disposer d’un aussi joli membre…

Marie commence à écarter les jambes, et me demande de venir la caresser.

Marie non seulement se laisse doigter, mais me demande de lui caresser aussi les seins.
Le spectacle de Marie, prenant du plaisir sous mes doigts, m'excite et je bande de plus en plus, Marie voyant mon sexe raide le prend d’une main et commence à me branler en prenant du plaisir.
Après un court instant Marie hurle et me dit qu'elle jouit.
Puis, Marie se met sur le dos et me demande de venir sur elle en soixante-neuf et pendant que je lui suce la chatte, elle me prend dans sa bouche pour me sucer elle aussi.
Arès un long moment, je me dégage et avertis Marie que je vais la prendre, au-dessus d’elle je la pénètre et la lime pendant un sacré moment et là surprise, si je jouis au fond du sexe de Marie, je sens que pour la première fois celle-ci a un orgasme monstrueux avec une queue en elle.

Ce vendredi soir, nous avons encore fait l’amour avec Marie jusqu’à forts tard dans la nuit, Marie ayant orgasme sur orgasme était devenue insatiable, réclamant que je lui fasse encore et encore l’amour…
C’est exténuée que je me suis endormie, dans le lit conjugal, dans les bras de ma collègue-amante, frissonnante et heureuse du plaisir qu’elle avait obtenu.

Le lendemain, nous avons vaquées, dans la maison, quasiment nues, elle portant un soutien-gorge seins nus et un string ouvert, mettant tout son corps en valeur et laissant à volonté ses appâts libres d’être caressés et ses orifices accessibles pour être visités, mais durant toute la journée elle m’a refusé sa petite rondelle en me disant juste :
- Pas maintenant ma chérie, pas maintenant.
Mais elle jouissait en hurlant et se laissant caresser l’œillet par mes doigts, elles adoraient mes caresses et feulait en frémissant et prenait un pied d’enfer quand je la pénétrais.
Nous nous sommes fait livrer le diner, le traiteur japonais nous livra quelques minutes plus tard et nous avons mangé en regardant un film porno.
Marie m’expliqua qu’elle ne se lassait pas de le voir car non seulement il y avait des scènes de lesbiennes, mais en plus un bel éphèbe, au joli membre, donnait du plaisir à ces dames.

Lorsque le repas fut terminé, Marie disparue dans sa chambre en me demandant d’attendre qu’elle m’appelle.
- Tu verras ce sera une surprise, ajouta-t-elle.

Quand Marie, m’a appelé, je me suis rendue dans sa chambre où une douce lumière éclairait l’endroit. Nue sur le lit en levrette, Marie m’attendait le cul tendu et offert, allant même jusqu'à ouvrir ses fesses de ses deux mains pour me faire découvrir son anus encore vierge.
C'était très excitant et surtout je trouvais un petit trou tout neuf, jamais exploré, qui palpitait de désir ou de peur…
- Viens, me dit-elle, sodomise-moi !
Le temps de réaliser et j’étais derrière elle pour une longue préparation, tremblante elle se laissa faire et guidée sans dire un mot, juste avant que je lui pénètre l’anus :
- Soit douce, chérie !
Marie, comme s’il elle le savait, s’est branlée le clitoris pendant que je l’enculais, en me disant :
Parait que ça soulage et met dans tous les états celle qui se fait enculer…

Le dimanche, une amie est venue rendre visite à Marie et je soupçonne Marie d’avoir prévue le coup, mais ce qui est sur, c’est que la belle amie s’est retrouvée en train de sucer Marie en ayant mon membre dans son cul…
Avec Marie, nous avons entretenue une relation pendant quelque temps, puis elle a démissionnée pour suivre un homme qui la faisait grimper au rideau…

A suivre…

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