Une Soirée Réussie : 9 - Sex In The City

9. Une soirée réussie : Sex in the city
Résumé de l’épisode précédent :
Patrick et Franck, deux hommes bisexuels, ont déployé beaucoup d’énergie et de savoir-faire pour combler mes besoins de gros sexes et de sperme, faisant de ce trio inattendu un beau voyage.

Franck a toujours sa gueule d’ange. Une douche, un bon petit-déjeuner sur la terrasse de Patrick, voilà certainement un des ingrédients d’une journée qui démarre bien.
— Quand même, les gars, lance-t-il, je suis venu pour soi-disant quelques heures, j’ai l’impression d’r.
— Tu ne te sens pas bien avec nous ? lui demande alors notre hôte. J’apprécie ta présence, et ne pense pas être le seul à le faire. Alors si le cœur t’en dit…
— Vous savez ce qui me ferait plaisir, les garçons ? m’écriais-je, ravi de la tournure que prend la journée.
— Euh… oui, on le sait tous les deux ! rétorque Franck. Tu nous l’as prouvé à plusieurs reprises.
Patrick manque de s’ avec son café.
— C’est vrai. Dis-je en riant. Mais sans blague. On pourrait prendre la voiture et partir pique-niquer ! Je connais une petite clairière au bout d’un chemin, juste au bord d’une rivière, sous les arbres… J’adorerais passer une journée au soleil. Sauf si vous avez d’autres obligations ! Moi, je suis libre comme l’air.
L’idée séduit, et en quelques phrases, menu, destination, véhicule… tout est décidé. Enthousiaste, je file sous la douche, rapidement rejoint par Pat. Les fringues sont comme moi : vite enfiler. Me voyant ne pas mettre de sous-vêtements, ils m’imitent. L’effet est immédiat : comme le dirait Coluche, on ne voit pas que leur sexe, mais aussi la religion !
Et nous voilà en route, un panier avec un peu de vaisselle et une couverture dans le coffre. En route, nous achetons quelques victuailles pour le pique-nique, quelques boissons, et en avant, cheveux au vent, toutes vitres ouvertes. Assis derrière, mes inquiétudes semblent loin, enfin, je les chasse dès qu’elles se pointent.


Même si nous parlons de tout et n’importe quoi, le sexe revient souvent sur le tapis. C’est ce qui nous a réunis, à la base. Franck raconte une anecdote avec une auto-stoppeuse, Patrick quelques scènes de garçons affolés par ce qu’ils venaient de découvrir, et moi la fois ou une copine m’a laissé seul une semaine pour aller faire un stage et que, la mort dans l’âme, j’ai terminé dans un sex-shop.
ooOOOoo
Une semaine. Une semaine complète, du dimanche après-midi jusqu’au vendredi tard dans la nuit, je ne vais pas voir Danièle. Une formation « obligatoire » me l’avait ravi. Lors d’un des derniers baisers sur le quai de la gare au moment de sauter dans son train pour la capitale, ma sulfureuse pharmacienne me demande de bien veiller à ne pas rester trop sage, et de TOUT lui raconter le soir quand elle m’appellera.
— Tu me manques déjà. lui dis-je alors que le chef de gare siffle le départ, emportant ma belle.
Alors qu’elle s’éloigne, je déambule jusqu’au buffet prendre un café et fumer une cigarette, le cœur un peu gros. Cette semaine sera l’occasion de faire le point, et peut-être de me désenvoûter de mon égérie, ce dont je doute fort. Il est presque 18 h 00, trop tôt et à la fois trop tard pour un cinéma, je pars à pied dans la ville prendre l’air, espérant détourner ainsi mon esprit hanté par cette femme. Son joli fessier, son sexe aux saveurs enivrantes, et sa poitrine opulente me tournent en boucle derrière les yeux, de façon obsessionnelle.
De rues piétonnes en ruelles, je me retrouve non loin d’un sex-shop projetant des films en cabine, et me dis que même si ce type de cinéma n’est pas top, louper le début ou la fin d’un film porno n’a pas trop d’importance, je rentre donc sans conviction. Glauque au possible, le public du dimanche après-midi n’est pas non plus des plus mondain, quelques petits vieux en quête de sensations, des gens qui s’ennuient et cherchent à le temps, un peu comme moi d’ailleurs. Je regarde les films projetés et demande des jetons au caissier, probablement un étudiant qui se fait 4 sous en pouvant réviser tranquille.
« Bonne chance ! » s’exclame-t-il en me souriant. Je ne relève pas, le remercie, et descends les escaliers.
Le couloir distribue une dizaine de cabines dont certaines laissent sourdre des onomatopées caractéristiques de ce genre d’art, et l’odeur y est presque insupportable. Je voulais me changer les idées, c’est réussi. En passant devant une cabine entrouverte, une femme se fait sodomiser à l’écran par un étalon noir, et le spectateur, lui, se branle les yeux rivés sur la scène. Lorsqu’il m’aperçoit, il m’invite à venir le rejoindre d’un signe de tête, mais je préfère l’ignorer. Je rentre deux portes plus loin, m’assieds et jette un jeton sans avoir pris la peine de regarder de quel type de film il s’agissait.
Une belle femme se fait prendre par un homme d’une quarantaine d’années alors qu’elle suce un jeune homme. Puis ils tournent, et c’est le jeune minet qui prend la bonne grosse bite de l’autre en bouche pendant que la femme lui prodigue une feuille de rose. En effet, quelques minutes après, madame dessous, le jeune à quatre pattes en 69 tend sa croupe à cette bonne queue, et le veinard se fait prendre puissamment. Bien que très classique, mon pantalon à pince se tend, et la belle queue qui le fouille me donne envie. Je repense à Stéphane et sa belle arme, à quelques bonnes queues rencontrées ces derniers mois, et… suis un peu jaloux, frustré.
Lorsque ce bel étalon décharge de bons jets de foutre sur le visage de ses comparses, j’en oublie Danièle et une furieuse envie de sucer me prend, et ce n’est pas ici que je trouverai une bonne queue à pomper. Je quitte ma cabine et fais un tour dans le couloir désert, pas un mec, juste quelques traces de sperme ici et là, sinon, nada. Remontant l’escalier, plus personne dans la salle, seul le caissier qui relève la tête et sourit :
— Alors ? Bon film, non ?
Je lui demande s’il sait lequel j’ai vu, curieux de comprendre. En fait, étant le dernier… il n’y avait plus qu’un seul voyant et le numéro s’affichait, évidemment ! Très naturellement, il voudrait savoir lequel des deux acteurs est à mon avis le mieux loti ; je lui réponds que si le plus âgé remporte un Oscar, je veux bien de la Palme d’Or !
— Sympa comme réponse, tu peux m’appeler Oscar, si tu veux.
dit-il en plaçant sa main sur son entrejambe.
Je viens de voir une bonne grosse queue à l’écran, je ressors d’en bas le manque chevillé au ventre, et voilà que ce mec m’allume ! Je n’y crois pas.
— Tu n’as pas le profil à te taper du troisième âge, entre nous, tu mérites mieux… Je ferme boutique dans quelques minutes. ose-t-il alors franchement.
Ne me voyant pas offusqué, il se lève et va donner un coup de clef à la porte avant de revenir à sa caisse.
— J’en ai une qui ne devrait pas te décevoir. me lance-t-il.
Joignant le geste à la parole, il déboucle sa ceinture, baisse son pantalon et sort de son caleçon un sexe d’une beauté phénoménale. Bien qu’au repos, elle est déjà bien grosse, épaisse, le gland bien en relief sous un prépuce n’en laissant apparaître que le dernier quart et le méat. Sa toison pubienne ne fait que quelques millimètres, et de belles grosses couilles entièrement rasées également, maintiennent son gros bout à l’horizontale. Je ne peux que lui dire :
— Euh… en effet, Oscar est très musclé ! Mais on ne peut pas faire grand-chose ici, en plein milieu de la boutique ?
— Je ferme et coupe les lumières, et je te fais visiter la remise. OK ?
Le mec est cool, direct, très sûr de lui… et briguer un Oscar ne se refuse pas dans une carrière de bitophile. Effectivement, l’éclairage de sécurité prend le relais, et je le suis. Nous passons derrière une gondole cachant une porte ouvrant sur une pièce borgne d’une quinzaine de mètres carrés. Des cartons, des sacs d’objets, des piles de revues meublent presque entièrement l’espace, mis à part un des coins occupé par une table faisant surtout office de bureau avec une chaise.
Sans réellement se justifier, il m’explique qu’il se prénomme Hervé, et qu’il bosse ici 4 après-midi par semaine y compris le dimanche, que c’est purement alimentaire. Et qu’à 22 ans, les voix off venant des cabines, les godes en vitrine et toute la littérature porno sous ses yeux ont un impact évident sur « Oscar », et qu’il n’est pas rare, une fois la boutique fermée, qu’il soit obligé de se branler ici même pour soulager les tensions.
Mais ce soir, lorsqu’il a vu que j’étais le dernier, jeune et tendre, il n’a pas hésité une seconde, ne risquant finalement qu’un refus.
Je m’accroupis alors qu’il dégrafe son pantalon et baisse son caleçon pour me livrer son anatomie. Son sexe est vraiment très beau, mes mains s’en saisissent et découvrent sa douceur, caressent ses bonnes bourses toutes lisses. Déjà un début d’érection l’étire quelque peu, et la peau du prépuce se tend sous l’effet dilatatoire. Une main rassemble et serre ses testicules, l’autre à plat frottant tendrement sa très courte toison pubienne à ras sa hampe, mes lèvres se posent sur le bout de son gland, et ma pointe de langue lèche son méat. D’une contraction de sa verge sous la caresse, le prépuce se retranche derrière le gland, le révélant d’un coup. Je le glisse à l’intérieur de ma bouche et le savoure. Lisse, rond, gros, ma langue le lèche avec beaucoup de respect, découvrant son goût suave. Mais sa queue n’arrête pas de grossir, de s’allonger, et lorsque mes lèvres partent explorer sa hampe, ma bouche fait un grand O majuscule. Elle est bonne, et je me fais vraiment plaisir à sucer ce beau morceau, me disant qu’il y a quelques instants, je jalousais ce jeune acteur de baiser avec ce mec bien monté. Là, c’est bien moi qui me retrouve avec une belle barre en bouche, en face d’un beau mec sympa.
—Comme c’est bon de se faire sucer ! Surtout quand tu passes tes journées à voir des films de cul ! lâche-t-il alors que ma bouche l’avale au maximum en penchant la tête alternativement de gauche et de droite à chaque aller-retour. Mes doigts tiennent la base de sa queue bien tendue pour bien tenir son gros gland dégagé, je peux ainsi l’admirer, le parcourir de la langue, et lui gober les couilles.
— T’as une grosse queue, elle m’excite vraiment.
Je le pompe vigoureusement, dévorant Oscar avec un appétit certain, mais Hervé me demande de ralentir, m’affirmant qu’il jute plus lorsqu’on le suce longtemps.
— Si tu aimes te faire prendre comme tu aimes sucer, on ne doit pas s’ennuyer avec toi ! pense-t-il tout haut.
— J’aime bien me faire prendre, mais je préfère sucer… enfin, je prends beaucoup de plaisir à en donner, à faire jouir.
Il me demande si je veux bien lui montrer mes fesses, me disant qu’il est chaud comme la braise, et qu’il a besoin de mettre ses doigts quelque part. Je me lève alors et me déshabille, ne gardant que ma chemise ouverte. Il en profite pour enlever complètement son pantalon, sa grosse queue bien raide battant la mesure. Ma main vient le prendre en charge tandis que la sienne att ma fesse et la serre.
— Tu as une belle queue aussi, dis-moi. Penche-toi un peu sur la table, que je découvre un peu ton cul.
Légèrement penché, je prends appui des deux mains, et Hervé écarte largement mes fesses pour me pénétrer… de son regard. Ses commentaires sont crus, excitants, et je m’offre à sa vue en m’écartant de mes mains. La sienne, de main, prend mes couilles et les caresse, alors qu’il mouille son doigt de salive et me l’enfonce doucement. Voyant que je n’offre aucune résistance, c’est maintenant deux doigts qui me taraudent l’anus en de lents va-et-vient vrillés.
— Je suis trop excité, sinon, je te prendrais là, sur la table. Mais je vais jouir en deux minutes, ce serait dommage, ton cul mérite mieux ! Tu me fais bander comme un âne, suce-moi encore s’il te plaît !
Je le fais s’asseoir sur la table, sa grosse queue pointée vers moi, le gland violacé. Alors que ma main l’enserre et que ma bouche l’accueille avidement, ses doigts se posent sur ma tête, m’impliquant un rythme régulier et continu, un gros pompage.
— Oui, comme ça, pas trop vite, tu vas voir, je vais bientôt juter, je ne tiendrai pas très longtemps.
Bien que très gros, son mandrin coulisse parfaitement entre mes lèvres, son bout distendu fonçant chaque fois jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il dirige ma bouche de ses mains pour me baiser jusqu’aux amygdales, fermement, certes, mais sans aucune brutalité.
— Putain, ta bouche est trop bonne, tu me pompes comme un dieu, je vais te remplir de mon foutre !
J’aime ses mots. Ils sont dynamisants, et jouent un rôle important dans cette conquête du plaisir. Stéphane m’avait « donné » des bases très saines, m’initiant avec beaucoup de respect. Et depuis, je découvrais d’autres méthodes, d’autres comportements. Je malaxe ses belles couilles, et me concentre sur ma succion de manière à ne pas faillir. Je suis bien, concentré sur sa grosse queue, et espère qu’Oscar ne va pas me décevoir, qu’il va bien m’arroser la glotte.
— J’espère que tu avales et que tu aimes le foutre, parce que je vais me vider les couilles, vas-y, oui, tu me pompes bien, oui, je viens, ohhhhhhhh, bois, oui, bois mon foutre !
Son gland gonfle, sa hampe vibre, et son sperme chaud gicle dans ma bouche, diffusant instantanément son goût si particulier, mélange de salé et de soufré un peu métallique. Je me sers de son mouvement comme d’un piston, déglutissant lorsqu’il recule pour pouvoir recevoir la dose suivante quand il se plante en moi. Puis on y retourne, copieusement, il me remplit de nouveau la gueule, et ses mains ne relâchent aucunement leur étreinte, comme pour me signifier qu’il en reste encore. Chaque aller-retour, lentement asséné, me livre un bon godet de semence, jusqu’au sixième coup de son bon gros boutoir.
Enfoncé au trois quarts, ses mains glissent sur ma nuque tout en me parlant d’une voix plus essoufflée, mais posée, me remerciant de bien lui avoir vider ses couilles. Reprenant son souffle, il m’affirme que ma bouche n’a été que du bonheur, et que si je le désire, il me remplira mon beau petit cul. Je le sens mollir lentement, ses bourses se font de nouveau plus pendantes dans ma main. Les quelques gouttes de semence restant dans son urètre me parviennent alors que je fais de petits mouvements tout doux, sa main dans mes cheveux.
— Tu aimes ça, hein, la bite ? Tu as frappé à la bonne porte, j’ai plein de foutre pour toi, regarde mes couilles comme elles sont grosses, pleines. Bouffe-moi-les, suce-les, oui, bouffe-moi bien les couilles.
Je me dis au fond de moi :
— Là, il vient de décharger ! Et il en veut encore ? Soit !
Docilement, je m’exécute. Il a replié sa jambe et posé son pied sur le bureau, avancé son cul jusqu’au bord de la table, le buste en arrière afin de bien exposer son volumineux paquet. Il vient de jouir et malgré cela, il semble partant pour y retourner. Lorsqu’à peine il parlait de mon cul, je m’imaginais… une autre fois !
— Elles sont bonnes tes grosses burnes, ta queue est bonne, et tu m’as bien joui dans la bouche, j’adore ça. lui dis-je. Et tu te sens encore d’attaque ? testais-je en le regardant dans les yeux.
— Fais-moi rebander, et je te prends. Ce n’est pas le gel qui va nous manquer, ici, ni les capotes.
Il veut mon cul, pourquoi refuser ? Ce n’est pas une brute, s’il me baise comme il a guidé ma tête pour le pomper, je devrais prendre mon pied avec une grosse bite comme ça. Avec gourmandise, et un certain défi, je m’occupe de son sexe, le reprenant entre mes lèvres pour le sucer. Je n’y vais pas par quatre chemins, et m’active volontiers en me masturbant un peu. Mon ventre à faim, et je ressens cette pression caractéristique, celle de mon sperme impatient de jaillir.
Contre toute attente, Oscar s’allonge de nouveau et renfle tout d’abord de la base, ses corps caverneux se gorgeant à chaque minute un peu plus.
— Tu vois, il n’est pas très compliqué ! commente-t-il. Il a besoin d’attention, c’est tout !
Et cela semble bien vrai, puisque le revoilà raide et agréablement menaçant.
— Attends, j’ai ce qu’il faut.
Il se lève, emmenant sa grosse matraque jusqu’à un carton du stock, l’ouvre, et en extrait un gros tube de gel avant de revenir vers moi, d’ouvrir un tiroir et d’en sortir des condoms.
— Toujours partant ? sourit-il en me proposant le gel.
— Plus que jamais, mais encule-moi doucement.
Sans aucune réserve, pendant que je le tiens par la base de sa queue, il ajuste le latex sur son beau gland, puis, avec mes lèvres, je le déroule sur sa colonne de chair, tout en le suçant.
Les jambes assez écartées, je m’allonge sur la table et offre ainsi ma croupe. Hervé se place de côté, d’une main écarte mes fesses, et de l’autre plaque le tube de gel directement contre ma rondelle, faisant pénétrer une grosse quantité de gel directement dans mon rectum.
— J’aime quand ça glisse bien ! commente-t-il en se plaçant devant mon trou encore petit.
De son gros bout, il étale un peu de gel dans une douce caresse, décrivant de petits cercles, et donnant des petits coups de queue dans mon sillon, et rend ainsi l’attente… intenable, me faisant me trémousser.
Enfin il se place à l’entrée, retrousse ma chemise haut sur mon dos, pose ses mains sur mes côtes de part et d’autre de mon buste en me disant d’une voix extrêmement sensuelle qu’il va maintenant m’enculer et rechercher au fond de mon cul mon plaisir. Il m’affirme que je peux gueuler si j’en ai envie, hurler de plaisir, ça ne gênera personne, et qu’il ne s’arrêtera que si j’ai mal, mais que sinon, il ne déculera que quand mon foutre aura giclé de ma queue. En prononçant ces mots, mon cul s’est ouvert tout seul, et il n’a qu’à imprimer une légère pression pour commencer à me pénétrer sans aucune gêne.
— Viens doucement en moi, fouille-moi, oui, je veux sentir tes grosses couilles contre les miennes.
Ses ongles, en partant de mes épaules, griffent délicatement de chaque côté de ma colonne vertébrale, descendant au même rythme que son mandrin me pénètre. D’autres auraient pris cinq minutes avec une queue de cette grosseur, mais lui a bien senti mon… potentiel. Lorsque ses bourses se collent aux miennes, ses mains sont arrivées haut sur mes hanches, le cul plein de son membre qui déforme mon rectum et repousse mes sphincters. La pression que sa queue impose à mon fondement est exquise. Comme toute sodomie partagée, dans mon cas, je ne ressens pas de douleur. Evidemment, un sexe de cette dimension ne passe pas inaperçu ! Mais lorsque je veux un homme, il trouve toujours sa place sans trop de problème, entre quelques secondes et quelques minutes selon son diamètre et sa longueur.
— Ne bouge pas trop vite, que je te sente bien. Laisse-moi m’habi, tu es gros comme la queue d’un âne.
Très doucement, alors que ses mains caressent le bas de mon dos, Oscar entame un va-et-vient mesuré, ne reculant que de 5 centimètres à peine. J’aime beaucoup partir du fond et ensuite revenir, plutôt que de rentrer peu d’abord, et c’est bien qu’il opère ainsi ce soir. Tout en me prenant, mon enculeur me parle, me demande de lui décrire mon ressenti, ce qui visiblement l’excite, puisqu’il recule déjà plus. Il est bien large, et frotte confortablement mon trou en poussant bien de son poids pour accen le phénomène.
— Ton cul, putain, ton cul ! Qu’il est bon !
Nous sommes chauds tous les deux, et il me plante son dard en alternant les rythmes et la profondeur, me faisant le désirer lorsqu’il s’attarde au bord, et gémir de plaisir en s’enfonçant. Il aime baiser, et sait faire ce qu’il faut avec sa bite, sentant exactement quelles sont mes attentes, et surtout en y répondant avec efficacité.
— Je vais te baiser jusqu’à ce que tu boites, dans toutes les positions, ton cul le mérite. Tu l’aimes, ma grosse queue ? Tu aimes la sentir?.
Bien sûr que je l’aime beaucoup, sa queue. Et surtout comme il la manie ! Il explore mes reins sans retenue, avec une précision chirurgicale, montant en cadence et en amplitude. Rapidement, il me la met sur la longueur, m’arrachant des gémissements lorsqu’il revient me faire claquer ses burnes contre moi. Epaisse, longue, l’homme déforme mon rectum avec tact et détermination me donnant un plaisir intense, une sensation de satiété.
— Viens, mets-toi à genoux par terre, tu vas aimer. demande t-il en se retirant, voulant varier les postures.
Je me place à quatre pattes, mais il me demande de poser ma tête au sol et de me cambrer davantage, puis remet plein de gel dans mon trou béant. Le contraste du liquide froid avec la chaleur de son membre est terrible, mais il ne me laisse pas le temps d’y réfléchir, c’est debout au-dessus de mon cul qu’il me pénètre en fléchissant ses genoux. C’est la première fois que je vis un tel moment, une telle sensation. Son gland en s’enfonçant, comprime le gel qui en partie s’enfonce dans mes intestins, mais aussi ressort lorsque je pousse, dans un agréable bruit de baise. Il m’encule bien droit, et j’ai l’impression qu’il va ressortir par ma bouche.
— Oui, vas-y, baise-moi, prends-moi fort, tu vas me faire jouir comme ça.
Je vis un film de cul sans caméra. Ce n’est pas de l’amour, c’est du sexe, il m’encule, du gel coule de partout, son gourdin me fait vibrer, et j’aime cela, j’en redemande.
La pression monte, mais j’en veux encore. Ses couilles qui tombent sur mon scrotum et baignent dans le gel… j’ai l’impression qu’il m’a toujours enculé, qu’il connaît mon corps depuis des années, tant je frissonne, tant j’en tremble. Mais il veut maintenant m’entreprendre couché sur la table, et m’y installe sur le dos, prenant une jambe à l’équerre contre son buste, l’autre pendante. Lorsqu’il me pénètre de nouveau, son gland se place sur ma prostate, et une douce sensation se répand dans tout mon bas-ventre.
— Je vais te faire jouir ce coup-ci, si tu veux. me dit-il.
Et alors qu’il promène sa grosse queue très très lentement dans mon ventre, il branle ma queue dégoulinante de gel avec fermeté.
— Oh oui, c’est bon ta queue là, doucement dans mon cul. Tu m’encules bien, je vais jouir. Oui, continue à me mettre doucement, comme ça, oui.
Cette fois, c’est moi qui le guide vers ma jouissance, lui indiquant ce dont j’ai besoin. Il se sert de sa hampe et de son gland comme un violoniste de son archet, m’emmenant à chaque pénétration un peu plus dans les nuages. Chaque coup de queue me transporte, et soudain, mon corps se tend d’un coup comme un arc, tétanisé. Sa main ne bouge plus, tenant mon gland bien décalotté, le frein tendu à rompre, et seul alors son vit, qui me semble soudain disproportionné, hypertrophié, bouge par petits coups de rein successifs dans mes entrailles. Mon cœur bat à rompre, ma gorge émet un grognement tandis que de violentes ondes de plaisir partent de mes fesses et de mon ventre pour se propager au travers de ma hampe jusque sur la peau de mon buste et de mon ventre lorsque de longues giclées de sperme s’y étalent. Je jouis avec une intensité inimaginable sous les petits coups de queue de mon amants, me vidant de toute ma substance, comme si sa verge et mon cul ne faisaient qu’un tout, soudés dans cette splendide étreinte. Oscar et Hervé me font vivre mon premier vrai orgasme anal, une véritable hémorragie séminale, je ne savais pas contenir autant de sperme.
Immobile, impassible, son sexe tel une massue plantée en moi, il attend mon retour dans un parfait silence. Mon sphincter se relâche doucement, et lui permet alors de sortir sans me blesser. Délicatement, ma jambe, jusque-là contre son torse, est déposée, et c’est en entendant qu’il retire son préservatif que je rouvre les yeux. Sa splendide queue est là à quelques centimètres de mon visage, raide, gonflée, le méat perlant.
— Regarde comme tu me fais bander ! Tu le veux, ou je t’asperge avec ?
La tête sur le côté, de la main je lui prends la queue et la glisse entre mes lèvres pour recevoir sa bonne crème chaude. Ma main et ma bouche, associées dans cet acte, ont raison de son plaisir en quelques grands mouvements, et mon donneur d’orgasmes s’épanche alors généreusement dans ma bouche avide de son jus de couille.
Repu de sexe, je reste un long moment vautré sur cette table, Oscar débandant calmement entre mes lèvres, sans pouvoir envisager le moindre mouvement. Mon ventre est détendu, mon petit cul semble en bon état, et mes papilles gustatives finissent de repaître mon cerveau du délicieux goût qu’elles ressentent.
C’est Hervé qui le premier rompt le silence :
— Tu as bien mérité la Palme d’Or. Désolé, je n’ai que du foutre à t’offrir !
Lorsque je m’assieds au bord de la table, mon sperme dégouline de ma poitrine, et mon fondement glisse sur l’incroyable quantité de gel étalé entre mes fesses. Hervé sort un rouleau de papier destiné au ménage, et accroupi, je fais alors un terrible essuyage intime, mon cul béant libérant une bonne partie du liquide.
— Wouahhh, tu m’as calibré, avec ta grosse queue. Je ne suis plus étanche !
Nus, moi sur la table, et lui sur la chaise, sa très belle bite reposant sur ses lourds testicules, nous fumons une cigarette en échangeant quelques propos. Universitaire, il loge dans une chambre en ville, et ne peux pas recevoir. Il a quelques copines, étudiantes également, mais n’entretient rien de régulier, privilégiant ses études à une vie de couple qu’il juge trop contraignante, ne serait-ce que par rapport au sexe, et à ses gros besoins. Une femme, ça ne fait pas « tout », et de temps en temps, un mec qui n’a pas froid au yeux…
Je lui parle alors de ce que je vis depuis quelques semaines avec Danièle, de mon étonnement face à sa réaction positive en lui avouant ma bisexualité, de nos ébats sulfureux. Lui me confit alors avoir toujours gardé cela pour lui, et que s’il devait véritablement tomber amoureux d’une femme et parler d’avenir avec elle, il lui parlerait également de ses… pulsions, par franchise. Mais en attendant, il aimerait bien me revoir dans de meilleurs conditions. Je lui propose naturellement de le recevoir chez moi la prochaine fois, s’il est d’accord.
— Jeudi soir, après la fermeture, je veux bien. Ca me laisse le temps de recharger mes accus, et toi de t’en remettre ! Appelle-moi ici pour me le confirmer.
Il est 20h45, et en suis étonné, j’ai l’impression d’avoir baisé toute la nuit tant ce fut bon. Je pense alors de nouveau à Danièle, son train arrivant vers les 22h00 me laisse largement le temps de rentrer. Elle ne m’appellera pas avant 23h00. Pour cette première soirée sans elle, je vais avoir beaucoup de choses à lui raconter. Je ne vais rien lui cacher.
ooOOOoo
— Tu n’as pas froid aux yeux, hein ! s’exclame Franck. En tout cas, pour être si jeune, tu assures un max.
— C’est clair ! rétorque notre chauffeur. L’essayer, c’est l’approuver. Bon, à parler de cul, on va devoir s’arrêter dans un coin avant d’arriver, non ?
— Ou arriver au plus vite pour mieux se lâcher ! répond Franck. C’est selon.
— 20 minutes, vous tiendrez ? dis-je. Une fois là-bas, tous à poils, et je m’occupe de vous, les garçons. Ça vous convient ?
— Et comment ?
Tout au bout d’un chemin sinueux à flanc de montagne, nous arrivons dans un véritable Eden. Une prairie d’herbe tendre d’une centaine de mètres de diamètres s’y cache, entourée de sapins et de feuillus. Dès le moteur coupé, le gargouillis de l’eau nous parvient. Je leur fait découvrir le petit torrent de montagne, avec quelques trous d’eau d’une rare limpidité, véritables jacuzi naturels.
Ils reconnaissent que l’idée de balade est excellente, et qu’un peu de calme fait toujours le plus grand bien.
— Rassurez-moi, les mecs. fis-je en prenant un air grave. Vous allez me sauter, tout de même.
Pince sans rire, Franck réagit au quart de tour :
— On va commencer par ça d’ailleurs. Qu’en penses-tu Patrick ? On le fout à poils ?
— Ouf, j’ai eu peur. J’ai le droit à la dernière cigarette du condamné
Tout en tirant quelques tafes sur cette maudite cigarette, je les regarde sortir du coffre les affaires, jeter la couverture sur l’herbe. Je savoure ma chance. Qu’ils sont beaux mes deux mecs à la lumière du jour. Je suis sous le charme.

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