Une Soirée Réussie : 3 - Danièle

Résumé des épisodes précédents :
Seul avec un homme mûr dans l’arrière-boutique de son magasin, je succombe à la puissance de son énorme sexe. Je me donne à lui avec beaucoup de tendresse.

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Rentrer chez moi fut laborieux. Rien que le fait de quitter Patrick et son bel organe était une déchirure. Terrassé par l’effort, la performance et le plaisir, j’étais simplement dans l’incapacité d’en recevoir davantage. Mais je savais qu’à ses côtés, rester sages nous aurait été impossible. Et puis il n’y avait pas que moi qui m’étais fait sauter : le repas aussi ! Mais ce soir je me contenterai du sperme de mon amant.

La tête pleine d’étoiles, le sang saturé d’endorphines, ma queue s’allonge un peu et mon ventre me rappelle les moments-clefs de cette soirée « bien remplie ». Les quelques minutes du retour ont liquéfié la semence de mon amant et une belle flaque tapisse le fond de mon shorty.
À l’aide d’un miroir, je regarde l’état de mon petit trou ; rougi par sa performance, il est presque fermé, mais s’ouvre dès que je sollicite le sphincter, et encore une fois, « Patrick » en profite pour s’écouler. Non seulement ce mec est un formidable amant doté d’un puissant organe, mais c’est un impressionnant juteur, un inséminateur. Il a déchargé trois fois dans la soirée des quantités peu habituelles, et semble intarissable ; une machine à foutre… ce qui n’est pas pour me déplaire.
Perdu dans mes rêveries, je me douche et file me coucher sans mettre de réveil, demain, c’est décidé, je n’irai pas au boulot : je serai… convalescent.

Les deux ou trois jours qui suivirent furent un peu perturbés par une certaine gêne anale, vous vous en douterez. Mais rien de bien grave. Je me suis rappelé les conseils avisés de Danièle, une ex petite-amie pharmacienne ; j’applique une pommade anti-hémorroïdaire, cela vous retape un fondement en moins de 48 heures lorsque l’on a « abusé ».

D’ailleurs, pour que vous puissiez suivre le fil, je me dois de vous narrer cette rencontre déterminante dans ma vie sexuelle.

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Danièle donc est une splendide préparatrice en pharmacie de 24 ans n’a jamais eu froid aux yeux. Dès notre première rencontre chez des amis, nous nous étions sentis attirés l’un vers l’autre. En quittant nos hôtes ce soir-là, dans l’ascenseur, cette bombe aux seins prodigieux me regarda droit dans les yeux en me confiant avoir deux problèmes : trop bu pour conduire, et pas envie de finir la nuit seule !
À 19 ans, comment réagir autrement qu’en rougissant et en bandant instantanément ?

— Tu es trop mimi, me lança-t-elle avant de me violer la bouche d’un baiser passionné, sa main embrassant… mon paquet.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et nous nous retrouvâmes dans le hall en train de nous peloter, les lèvres soudées. Mes mains découvraient sa plastique, ses seins opulents. Elle ne portait presque jamais de culotte, tout au plus quelques jours par mois, et mes doigts ne trouvèrent pas d’obstacle en remontant sous sa robe.

— J’ai envie de toi, viens chez moi cette nuit… murmura-t-elle entre deux baisers.

Résister ? Mais pour quoi donc ? Ses chaussures volèrent dès la porte fermée, sa robe tomba à l’entrée du salon, et c’est une superbe femme nue agenouillée qui dégrafe ma ceinture et mon pantalon alors que je retirais ma chemise. Je n’ai le temps d’admirer ses formes, ses mains me saisissent les fesses et propulsent ma verge tendue entre ses lèvres. Non seulement Dan sait sucer, mais en plus, elle a l’air d’aimer cela, et ce n’est de toute évidence pas sa première fellation ; sa langue tourne autour de mon gland longuement puis elle embouche mes 19 centimètres sans sourciller en me regardant droit dans les yeux.

Quelques allers-retours, puis elle me lèche, agace mon frein, puis m’aspire la peau des couilles bruyamment en plantant son nez à la base de la hampe.
Chaque testicule sera gobé, mordillé, lapé, ses yeux rivés dans les miens. Mes doigts se perdent dans ses cheveux frisés, caressent tendrement son visage angélique, son menton… Je lui demande de calmer le jeu, je ne pourrai pas tenir tant sa hardiesse est excitante. Je désire également goûter à ses charmes, découvrir ses saveurs et tenter d’apprivoiser son corps aux formes idéales. Un salon en cuir nous reçoit, je m’y vautre tandis qu’elle me chevauche, m’offrant ses seins à déguster. Ils sont impressionnants tant ils sont gros. Dans quelques jours, j’apprendrai qu’elle chausse du… 115 E.
Danièle est la seule femme que j’ai eu la chance de connaître ayant une aussi forte poitrine… ferme et tenant seule. Des seins en forme de poire, aux aréoles parfaites, des tétons assez proéminents ultrasensibles, et d’une tenue ! Même couchée sur le dos, ils ne perdaient presque pas de leur tenue tant ils étaient denses.

Elle participe activement à cette dégustation, prend elle-même ses seins pour les porter à mes lèvres, roucoule lorsque je les lèche. Puis me tord le cou pour m’embrasser à pleine bouche. Ses fesses se trémoussent dans mes mains, son bassin ondule pour bien écraser son clitoris dur contre ma queue, ses grandes lèvres me branlant doucement au passage. Sa douce odeur se répand dans la pièce, ça sent l’amour, deux êtres s’enflamment rapidement.

Je me laisse glisser en embrassant son ventre, plonge ma langue dans un bruyant « nombrilingus », descends encore et rencontre enfin le petit triangle tant convoité, sa toison pubienne soignée, découvrant toute la douceur de son goût de femme, son empreinte, son véritable parfum, suave, envoûtant, dynamisant. Avec tendresse, je lape largement tout le tour de son sexe pour la laisser dans l’attente.
L’extérieur de ses grandes lèvres, si douces et tendres, frémissent à mon contact. Elle remue et souffle comme une locomotive ; ma langue chatouille enfin ce petit territoire entre l’anus et le bas de son vagin ; une marée de cyprine envahit ma bouche lorsque ses petites lèvres entrent en contact avec mes lèvres et qu’elle propulse son pubis à ma rencontre : nos corps se marient, ils se soudent dans une étreinte buccale pour quelques instants d’éternité, au rythme de ses supplications intenses et du crissement de ses ongles sur le cuir du dossier du canapé.


Dorénavant, sa saveur et la subtilité de sa mouille resteront en moi, gravées sur ma langue et dans mon esprit.

Mes mains écartent ses fesses pour mieux la découvrir pendant que les spasmes de son plaisir la font onduler sur ma bouche et ma langue. Son clito gorgé de désir est décapuchonné, tantôt mordillé, tantôt aspiré ; ma langue se transforme en verge pour partir à la découverte de son vagin goûteux autant qu’enivrant, ressort darder sa rosette, navigue entre les deux au gré de ses spasmes. Ses cris s’intensifient, son bassin se bloque de plus en plus en antépulsion, ma bouche alors se transforme en ventouse épousant complètement son sexe béant et j’aspire de toutes mes forces son vagin et ses lèvres. Ses mains pressent ma tête encore plus fort contre sa vulve tandis qu’elle hurle sa jouissance, traversée de convulsions, répand ses jus intimes dans ma bouche.

Ses doigts écartés passent entre mes cheveux en relâchant progressivement son étreinte, puis elle se laisse à son tour glisser face à moi pour me rejoindre sur la moquette, me chevauchant toujours. Tout en me dévisageant, elle lèche amoureusement le tour de mes lèvres avant de plonger sa langue entre mes lèvres. Son goût se mélange passionnément dans nos bouches, alors qu’elle saisit mon sexe pour le diriger vers son ventre brûlant.

— Laisse-moi te faire jouir… sussure-t-elle.

La première étreinte est encore aujourd’hui pour moi un moment d’exception. Sans vouloir être cartésien, mais seulement analytique, il ne s’agit ni plus ni moins d’une « connexion » entre deux êtres, et il en résultera une éventuelle compatibilité, voire dans certains cas une osmose. Il est clair que parfois deux êtres vont se rendre service, il s’agira alors de sexe. D’autre fois encore, la connexion établie n’est pas effective, et il ne se passe pas grand-chose entre les protagonistes. Cette relation, si tant est que l’on puisse à ce moment-là parler de relation, sera stérile, et court à l’échec, au collapsus.


Quelle relation entretient-on avec son propre corps ? Sommes-nous en parfaite symbiose de corps et d’esprit, avec nous-mêmes ? Est-on sûr de l’objectivité des sensations ressenties lorsque des milliers de récepteurs nerveux propulsent toutes ces réflexions vers notre cerveau ? Les quelques secondes que durent une première pénétration n’ont jamais été anodines pour moi, quel que soit mon âge ou le type de rapport, homo ou hétéro, que je sois actif ou passif, dominant ou dominé. C’est l’instinct de survie qui doit superviser nos actes, je ne peux concevoir cela autrement. La prise de conscience quant à la suite à donner à cette première étreinte doit être quasi immédiate. Et là, ce soir, notre compatibilité est parfaitement osmotique.

Danièle s’empale délicatement sur ma queue gorgée de sang par de petites ondulations du bassin, la tête en arrière, le torse bombé, ses mains sur ma nuque. Son vagin aspire mon gland avec douceur jusqu’à ce que celui-ci rencontre le col et s’immobilise quelques instants. Mes mains caressent son dos tendrement, puis l’enserrent contre mon torse afin de renforcer ce premier contact. Dan contracte sa petite chatte sur mon pieu turgescent et ne semble pas pressée de débuter le ballet qui nous conduira vers les sommets ; avec délicatesse, la pointe de mes doigts parcourt sa colonne vertébrale de part et d’autre pour venir embrasser ses deux globes à pleines mains, puis des paumes, caresser ses cuisses jusqu’à ses genoux pliés.

Imperceptiblement, en relâchant ses muscles puis en recontractant régulièrement ses muscles vaginaux, son sexe caresse amoureusement le mien si chaleureusement inséré au plus profond de sa personne. Ma bouche se régale avec ses seins, lentement son bassin commence à danser, son corps entre activement en action. Je lui demande de m’achever, je n’en peux plus et crains de jouir trop vite.

— Chuutttttttttttt, on s’en moque, on est si bien, me murmure-t-elle en enfonçant sa langue dans mon oreille pour me la lécher.

C’est la première fois que je subis cette caresse, et ne l’oublierai jamais d’ailleurs. Connectée par des milliers de neurones, elle sait exactement où j’en suis, et mène le bal. Son vagin semble être fait de petites mains qui enserrent ma hampe ; mes mains passent sous sa croupe pour lui intimer d’accélérer le rythme, mes couilles me brûlent dangereusement. D’autorité, elle prend mon majeur entre ses doigts et le guide jusqu’à son petit trou pour me faire comprendre ce qu’elle désire. Ma bouche s’ouvre sur son sein et aspire avidement l’aréole au complet en même temps que mon doigt plonge dans son cul serré. Son ventre me pompe la queue d’un seul coup en propulsant son pubis de bas en haut, c’en est trop, trop d’informations et de sensations à gérer, c’est le tilt complet, je pars. Un cri traverse ma gorge, étouffé par le sein de Dan, et de toute façon couvert par l’invitation verbale qu’elle me glisse dans l’oreille alors que son cul monte et descend en s’emballant.

— Oui, viens maintenant, lâche-toi en moi, fais-nous jouiiiiiiiir !

Mon ventre se tend alors que mes couilles se calent en l’air. Un train complet de sperme venu directement de mes tréfonds part à la découverte de son utérus avec toutes les intentions les plus louables. Danièle se contracte et vient à la rencontre de mes assauts, répondant à chaque jet de foutre avec une spontanéité fusionnelle. Ma bouche lâche son sein et rencontre alors la sienne pour un baiser langoureux pendant que sa mouille coule sur mes burnes vidées. Ma nouvelle maîtresse vient de me démâter, à tous les sens du terme.

Nous restons enlacés à dévorer nos langues de très longues minutes, nos sens en ébullition, nos peaux électriques se découvrant, mélangeant nos fluides. Les quelques instants suivant la jouissance sont divins, nous sommes tellement réceptifs ! Ses douces lèvres m’embrassent le visage, le cou, alors que je la remercie de cet orgasme.

— Mais je te remercie pour ces orgasmes également, tu es un merveilleux jeune amant, j’adore ta façon d’aimer !

Mon sexe reprend ses mensurations de repos et recule graduellement dans son vagin. Mon foutre, mélangé à sa délicieuse mouille, s’écoule doucement le long de mes couilles. D’une contraction, Danièle éjecte ma verge de son chaud vagin en me souriant avec complicité.

— Et schwuppdiwupp ! rit-elle.

Se tournant sur le côté, sa main se pose sur mon sexe, étalant nos jus sur mes bourses dans un tendre massage ; puis elle plonge sa tête vers mon entrejambe, donne quelques coups de langue sur ma queue ramollie avant de la prendre entre ses lèvres et de l’aspirer jusqu’aux couilles. Je n’en reviens pas… son côté nature est déroutant. Elle vit l’instant, sans préjugés. Sa langue tourne autour de mon gland qui se demande ce qu’il lui arrive. Mais alors que ma bite s’allonge de nouveau, Dan l’abandonne en se relevant pour m’embrasser d’un baiser autant langoureux que goûteux.

— J’en avais besoin ! J’ai soif, tu veux boire un jus de fruit ?

Je la vois debout devant moi, nue, splendide. Ses 175 centimètres n’en finissent plus d’élégance, ses seins lourds d’une incroyable tenue… Elle se tourne pour aller vers la cuisine ; des jambes parfaites surplombées par un cul à vendre son âme au diable. Svelte, élancée, divinement femme… et une bombe sexuelle de toute évidence.

Nous nous retrouvons vite sous la douche à nous découvrir. Nos mains et surtout nos doigts savonnent chaque centimètre carré de l’autre avec une attention toute particulière. Deux doigts à l’entrée de sa chatte serrée, un autre dans son tendre anus, ma bouche suçant la peau de son cou auront suffi à la faire jouir encore une fois, alors que l’eau ruisselle sur nos corps. Je tombe à genoux pour venir de mes lèvres profiter de sa petite chatte triplement mouillée d’eau, de cyprine et de sperme.
De la pointe de ma langue, je darde l’entrée de son vagin, profitant pleinement de nos jus mêlés. Dan place alors ses doigts de chaque côté de sa vulve et l’écarte, l’ouvre au maximum. Son vagin bée alors, surplombé de son clitoris qu’elle décapuchonne de la pointe de son index. Émerveillé par son sexe ainsi ouvert ruisselant d’eau de douche, le visage à seulement quelques centimètres, j’entends alors un mot qui étrangement n’arrive pas très vite à mon cerveau :

— Pipi !

Effectivement, bien avant que j’en aie compris le réel sens, un jet doré sorti directement de son méat éclabousse mon menton avant de couler dans mon cou et sur mon torse. Ma belle se libère la vessie, me faisant profiter de son concentré. Voyant mon étonnement, cette dernière rit et pisse de plus belle, ne me laissant finalement guère d’autre alternative que de la laisser faire. Contre toute attente, je laisse un peu d’urine pénétrer ma bouche, mais la recrache presque aussitôt, surpris par ce quatrième goût.
Sa miction bien entamée, je décide d’y retourner de suite, plus pour ne pas perdre la face que par envie. Mes lèvres prennent la totalité de sa vulve en bouche qui l’aspire, la lèche, mélangeant toutes les saveurs de ma petite joueuse aux gros seins.

— Bois, c’est tout à toi, oui, lèche-moi ! me dit-elle, sa main dans mes cheveux.

Ce chaud flux transite par ma bouche, mais je le laisse couler sur mon torse, me contentant pour ce dépucelage de « jouer le jeu » en lui dévorant son adorable minou.

Allongée sur le dos en travers de sa couette, moi debout à sa tête, je me penche pour l’embrasser à pleine bouche, puis descend lentement vers ses seins, son ventre… en même temps que ma queue est aspirée par sa bouche, ses jambes s’ouvrent, m’offrant sa succulente petite chatte à dévorer. Je passe ses jambes sous mes bras, prends ses fesses à pleines mains en les écartant outrageusement, pouvant ainsi promener ma bouche de son petit trou jusqu’à son clitoris. Je reste planté dans sa bouche et Dan me suce avec une avidité n’ayant d’égale que sa détermination. Mon pouce trouve rapidement sa place dans son anus bien mouillé de ma salive, mon autre main écarte le capuchon de son gourmand clito pour que ma langue puisse le stimuler. J’adore planter mon nez à l’entrée de son vagin et me saouler de sa merveilleuse odeur.

Sucé et branlé avec tant de vigueur, mes couilles remontent de nouveau et un grand frisson part de mes reins, m’ordonnant de planter mon pieu dans sa bouche accueillante pour y projeter ma semence. De son côté, Dan frotte frénétiquement sa chatte trempée contre ma bouche. Nous sommes synchrones dans notre seconde jouissance commune… et ce sera ainsi presque à chaque fois avec elle.
Secoué par l’orgasme, je nettoie méticuleusement son entrejambe avant de m’écrouler sur le côté. Danièle vient se blottir contre moi, de sa main dirige ma bouche vers la sienne. Au moment où j’ouvre les lèvres pour plonger ma langue à sa rencontre, un liquide chaud envahit l’espace, puis enfin sa langue vient se coller juste derrière mes dents ! La joueuse a gardé mon foutre et me le fait partager dans un étrange et torride baiser.

Heureux, repus, nous nous endormons ainsi, l’un contre l’autre, ma main gauche confortablement posée sur son sein.
Je venais de rencontrer cette femme hors du commun.

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