Episode 9 : La Lope Voudrait Devenir Un Homme.

Moi qui ne parle pas beaucoup -c’est vrai que normalement les chiens ne parlent pas- je prends l’initiative de prendre la parole : « Comment dois-je vous appeler ou t’appeler après que nous ayons… tu as un prénom ? » La réponse ne se fait pas attendre « Ecoute Mon Garçon, Quel que soit l’évolution de notre relation, ton vrai dépucelage, c’est à moi que tu le dois, tu as été mon apprenti et tu as encore des bien choses à apprendre. Alors mets-toi bien ça dans la tête : je reste Ton Maitre et même si tu m’as baisé et que tu pourrais encore le faire, c’est toujours moi qui prend l’initiative et fixe la règle » ; « Oui… Oui Maître ». « D’ailleurs laisse ma main, tu vas voir ce qu’il en est ! ». Maître me commande alors de rester immobile sur le dos, les bras en croix ; demande à Jimmy de me mettre des bracelets aux chevilles et aux poignets puis d’attacher chaque poignet à une cheville. Pendant ce temps, je l’entends se rendre aux toilettes… Il revient.
« Ecoute Jimmy, tu vois ce garçon, à peine un demi-homme a pris la grosse tête. Je vais te dire son pseudo c’est Portdebrest parce qu’il a un bateau là-bas. Je vais lui faire comprendre que je peux en faire un porcdebite avec un c… » et il me fait mettre à genoux, ma tête touche le matelas et mon cul est en l’air puis il s’adresse à moi : « j’ai vu comment tu as résisté à Prof qui voulait te fister et toi Jimmy puisque j’ai vu que tu étais attiré par son cul mets y la main. Toi mon cochon, tu as de la chance, sa main est plus petite que celle de Prof ». Alors que Jimmy m’écarte les fesses afin de bien voir le chantier, Maître se saisit de la bombe de chantilly me la colle au trou et en propulse une bonne quantité dans mon boyau. C’est glacé, je crie de de surprise et ça contracte mes muscles. Jimmy lèche aussitôt ce qui déborde mais Maître l’arrête : « tu n’as pas à lui faire plaisir maintenant, contente toi de l’agrandir ! ». Il me met trois doigts.
Maître, allongé sur le dos devant moi, me montre son œillet.

« Regarde bien, je viens d’aller faire ma crotte, j’ai seulement essuyé et tu vas me laver avec ta langue. Un porc aime mettre son groin dans la fange ! ». L’humiliation reprenait, j’hésitais une seconde ce qui ne changeait rien compte tenu de mes liens. Avant que j’ai eu le temps de réfléchir, Jimmy m’a introduit quatre doigts, ce qui m’a poussé en avant, le nez dans les odeurs. J’ai commencé à fourrer mon nez sur le trou de Maître et ma langue sur ses boules pour finalement lécher son rectum, tourniller ma langue dans son fondement qui n’était pas aussi crade que je le craignais. Jimmy m’a enfilé cinq doigts en tournant c’était pénible, je tentais d’éloigner ma chatte mais de l’autre main, il me retenait en tenant fermement mes bourses et l’arrière train de maître me bloquait le passage. Son anus était maintenant astiqué. Il s’est retourné : « gobes-moi les testicules, comme un porcelet glouton avec les châtaignes ».
Une forte poussée en avant, une douleur fulgurante… La main de Jimmy est entrée. J’en ai le souffle coupé. Tout le monde s’arrête. Maitre félicite Jimmy (pas moi !), lui d’attendre sans bouger pendant un moment et m’enfile sa queue au fond de la gorge. « Tu sens bien que tu restes Mon Garçon, Mon Chien, ma Lope et mon Cochon avec une main dans le cul et ma verge en gorge profonde. Fais-moi bander. » Je n’ai d’autre choix que d’obéir, je lape… je suce… j’aspire… et quand Maître le décide je La prends contre la glotte. Il est maintenant bien bandé, s’amuse avec l’intérieur de ma bouche, de mes joues, mes lèvres, ma langue. Parfois il se retire, me gifle avec sa teub et y retourne... Tout à coup il se retire. D’un geste, il signifie à Jimmy d’en faire autant. Comme ce dernier n’hésite pas, c’est brutal, le passage inverse est douloureux. Des larmes coulent de mes yeux.
Je me sens faible, incapable de dire non mais incapable de dire ce que je voudrais. Je suis effectivement aux ordres de ceux qui, malgré tout me permettent d’explorer de nouveaux chemins dans les relations sexuelles et provoquent en moi autant de soumission que de plaisir.
Jimmy fait remarquer que mon trou de balle se referme lentement. « Colle lui une bonne dose de Chantilly pendant que c’est ouvert ! » dit Maître. Je crois bien que Jimmy y a vidé tout le reste. Glacée par la décompression, la crème me gèle les boyaux, mon intestin se crispe et se referme m’enlevant en même temps toute envie de rapport sexuel. « Jimmy, allonges toi sur le dos », son Vit est tendu, vertical, « Mon Petit Cochon va s’assoir dessus et te caresser les mamelons. » Ce que je fais. Ce n’est pas l’envie qui me fait agir mais le désir d’obéir. Je suis une devenue une LOPETTE. Je suis tout à mon affaire. A califourchon, la bite de Jimmy dans mon cul, mes mains caressent ses tétons.
Lui ne chatouille pas les miens, il les maltraite, les étire, les pince et les tords. Je reste docile. Maitre passe alors derrière moi, me pousse pour m’allonger sur le torse à Jimmy et s’allonge sur moi. Il présente sa verge ! NON, il va me faire une double pénétration anale. Je n’en reviens pas, rien ne me sera épargné. Selon Maître, après le fist et avec la crème, ça devrait entrer. Son gland bute sur l’œillet, Jimmy fait reculer légèrement sa tige et lorsqu’il l’avance à nouveau, elle entraîne l’autre, puis recommence. Centimètre par centimètre l’engin de Maître me pénètre. Malgré les annonces apaisantes, cela me fait mal. Mon sphincter est à vif, ses muscles distendus n’ont pas eu le temps de reprendre leur souplesse. Je serre les dents. Je ne vais pas les laisser croire que je suis une mauviette. Malgré moi des larmes coulent à nouveau. Jimmy se balance de haut en bas, son visage rayonne de bonheur. Moi j’ai mal au cul et Maître ne semble pas à l’aise.
« Je n’arrive pas à entrer complètement, changeons de position » dit-il. Ils se retirent et me détachent les liens entre pieds et mains mais attachent le collier que je porte depuis hier au coin du lit avec Chaîne et cadenas. « Tu es juste libre dans l’enceinte du plumard » rigolent-ils. Maître s’allonge sur le dos la tête en haut du lit, bite dressée ; Jimmy fait de même mais à l’inverse.
Pubis contre pubis, leurs jambes sont croisées. Maître dont la tige est plus courte –mais plus grosse- a ses cuisses sur celles de Jimmy. Maître tient les deux joncs dressés, l’un contre l’autre. « Allez, à genoux au-dessus et assied-toi. » C’est clair, je dois m’y empaler mais au moins je vais pouvoir gérer la descente et donc ma double Pé… Jimmy a pensé à arroser le tout de gel lubrifiant. C’est sympa… J’appuie ma rondelle sur les deux glands et en me dandinant je descends peu à peu. C’est entré.
Quand j’arrive plus bas, les deux verges dont les corps caverneux sont bien gonflés m’élargissent au-delà de la souplesse de mon rectum. A nouveau j’ai mal mais Maître est formel : « tu dois te forcer un peu pour nous donner du plaisir ». J’insiste donc et à force de va et viens, de haut et de bas, d’actions et de pause, j’avance vers l’objectif. Parfois je me force à faire une série de petites respirations rapides. Peut-être que, comme pour les femmes qui accouchent, ça rendra la douleur supportable ! Bientôt je touche leurs monts de vénus. Je respire à fond. J’entends Maître commander et commenter la manœuvre. Je dois me relever un peu et ne plus bouger… Facile à dire… « Jimmy, tu sens comment son cul enserre bien nos tiges, tu l’as juste élargi pour nous prendre tous les deux mais pas trop pour qu’on le sente bien. Il ne faut pas trop casser le joint de nos femelles car leur chatte doit rester agréable pour un seul mec. Tu comprends pourquoi je t’avais formé ainsi ! ».
En expliquant tout ça, je comprends que Maître a déjà possédé des Garçons avant moi et me fais comprendre ma place. Je suis au service de son plaisir et éventuellement de ceux qu’il invite. La leçon continue : « Le Garçon ne doit pas se toucher, d’ailleurs dans cette position il va devoir poser ses mains sur nous pour aider ses cuisses à tenir droit. Maintenant Jimmy nous allons bouger pour ramoner cette chienne ? Oui, je sens bien ma verge serrée entre ta bite et son rectum… j’aime sentir ce double mouvement à l’intérieur de Mon Cochonnet immobile ».
Et Jimmy parle à son tour : « Ce que j’aime dans cette position c’est d’être serré et de sentir nos tiges se caresser et surtout nos glands se croiser quand nous sommes en décalage. Pour moi c’est la quintessence du rapport Homo quand, sans les mains, serrés dans un cul, les sexes s’astiquent l’un l’autre jusqu’à la jouissance. » Pour le moment je ne suis pour eux qu’un moyen, un réceptacle et je ressent toujours un peu de douleur.
Bien qu’ils entendent mes soupirs et mes plaintes, ils s’agitent maintenant de plus en plus vite et ne parlent plus que par syllabes : « - Oui ; - Comme ça ; - A fond ; - c’est bon ; - Essaye… de te… coord.. donner ; Oui c’est… mieux ; - Je vais… ; - Moi aussi ; -OUIIII ! ; - Je jouis… ; - Ah !!! ». Quasiment en même temps ils me balancent leurs semences dans le ventre. Ils ont pris leur plaisir sans penser au mien. Certes j’en ai eu avant mais j’aurais aimé le ressentir simultanément. Les sexes débandent, Ils se retirent et se lèvent. « Viens on va boire un coup » dit Maître. Il s’est adressé à Jimmy, je suis limité dans mes mouvements. Peu importe, je m’allonge et quand ils ont le dos tourné je me touche les mamelons, je vais prendre mon plaisir pendant que le liquide séminal s’écoule derrière moi. Tandis que je présente un doigt devant mon œillet et que de l’autre main je commence à me caresser Jimmy revient : « Le Maître a raison, tu ne penses qu’à toi ».
Franchement j’ai plutôt l’impression que c’est tout le contraire. Il rattache mes mains au collier de mon cou et repart. Je reste donc seul sur le lit. J’ai dû m’endormir et quelqu’un m’a recouvert d’un drap pour ne pas prendre froid. Je ne sais combien de temps, la nuit est tombée. Maître et Jimmy reviennent, ils sont habillés léger. C’est Maître qui parle. « Jimmy vient de me dire qu’il va se marier avec son ami et qu’ensuite il cherchera à rester fidèle à son mari. C’est bien… et triste ! Il ne reviendra pas ». Jimmy reprend « Mon ami s’est absenté pour annoncer la nouvelle à sa famille et, en quelque sorte c’est aujourd’hui l’enterrement de ma vie de garçon. » Je me sens obligé de dire que pour moi le dernier souvenir ne sera pas le meilleur. C’est alors que Jimmy propose une alternative : « nous pourrions terminer par le jeu de celui qui bandes le premier encule l’autre ». « Top là » dit le Maître. Jimmy baisse déjà son caleçon, une demi-molle entre les jambes.
Maître lui passe la main sous le slip. Je leur dis que moi aussi je bande mais je suis sous le drap, je me débats pour m’en débarrasser. Lorsque je réussi Jimmy est à poil, raide comme la justice. Maître intervient « c’est moi le juge, j’ai vu le matériel à Jimmy en premier ». ment, il ne me regardait pas. Maître poursuit « Jimmy va donc enculer une dernière fois Mon Cochonnet jusqu’à ce que vous jouissiez ». « Si je peux me permettre, Je fais remarquer » dit Jimmy ; « Le Cochonnet bande et pas le Maître. Il serait normal que le jeu se poursuive ». En effet, Maître porte son short en jean et pas de bosse visible. Jimmy lui ouvre la braguette et en effet, Maître doit reconnaître : « J’ai déjà beaucoup donné, je n’ai plus ton âge Jimmy, tu exagères ». Ce dernier continue en riant, « comme c’est ma dernière, je crois Maître que… » ; « tu demandes que Jimmy m’encule car il bande, très bien. Détache Mon Garçon et allongeons-nous sur le lit ». Maître se déshabille.
Jimmy s’allonge sur le côté, nu, moi devant lui, rangés comme des cuillers, enfin Maître s’installe devant moi dans la même position. Jimmy enfile sa teub dans mon cul, à sec, je suis encore un peu dilaté. Il me pousse en avant vers les fesses de Maître que je perfore de mon pic. Le malin, il a profité de notre inattention pour se garnir de lubrifiant. J’entre donc facilement. Jimmy a pris le commandement, et donne le coup d’envoi c’est-à-dire le premier coup de rein qui me pousse en avant. Ce faisant j’embroche à fond le trou devant moi. Maître donne le signal du retour en arrière... Je passe la main devant et saisi la verge de Maître qui reste souple. Qu’importe, entre les deux, je suis bien. Nous bougeons ainsi tous les trois à plusieurs reprises. De cette manière nous sommes toujours branchés les uns aux autres sans être complètement collés. C’est alors que Jimmy, décidément déluré ce soir me dit de conduire le rythme.
C’est mon heure. J’enfourne Maître à l’aller et me fait baiser au retour. En avant, j’encule ; en arrière, il m’embroche. J’avance et mon gland coulisse dans un conduit anal ; je recule et mon anus absorbe sa tige. La cadence est soutenue, ni trop lente car elle n’exciterait pas, ni trop rapide pour ne pas risquer l’éjaculation précoce. Jimmy me passe une main sur le pubis et le tapote. Il a raison, je m’applique à faire de même. Maître n’a toujours pas la trique alors un orgasme prostatique serait un beau final. Je suis tendu au maximum, mon sphincter est souple… Jimmy adapte sa position afin de mieux caresser ma prostate avec ses doigts par devant et avec sa longue bite par l’intérieur. Je l’entends me dire ; « C’est bon, je fonce ».
Il accélère Han, Han, Han et dans un cri, rempli mon bocal de son jus. Je sens me venir une éjaculation, et simultanément par l’intérieur je ressens un orgasme du point P intense et ressentis à travers tout le corps. Le jet que j’ai envoyé dans le conduit de Maître produit une réaction en chaîne. Lui aussi Joui de sa prostate. Il n'éjacule cependant pas mais un filet de liquide laiteux lui coule de l'urètre. Je le récupère et le goûte.
Quand je me réveille, Jimmy est parti, Maître est à côté de moi. Il me dit : « Si tu veux, je n’inviterais plus Prof, et si je reste le Maître, je te demande d’être mon régulier. Tu serais mon Garçon et rien d’autre. Je te donnerais les clés et aussi tu prononceras mon prénom. Et il m’embrasse à pleine bouche.

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