Découverte De Molly La Salope -- Episode 2

Ce qu'il s'est passé hier est très bizarre.
Mon mari a découvert mon petit secret pendant que j'étais au travail. En rentrant, j'ai du céder à son chantage et je suis devenu, l'espace d'une soirée, son objet sexuel.
Il m'a fait souffrir et m'a humilié, mais pourtant je ne ressens aucune haine envers lui... En y repensant, la soirée d'hier était même plutôt agréable.
C'est en ressassant ces pensées absurdes que j'ouvris un œil, le lendemain.

Je me suis endormie au pied de notre lit double, lovée aux pieds de mon homme. Il dort toujours et soudain, ses ordres de la veille me reviennent, comme résonnant dans ma tête :
Il m'a chargée de préparer son petit déjeuné et de lui apporter au lit. Poussée par une force insoupçonnée, je me lève et m'exécute. Même si rien ne m'y oblige, j'ai assez envie de faire plaisir à Roland, et de toutes façons, tant qu'il aura un moyen de pression sur moi, je ne pourrais pas vraiment faire autrement.
Je ne prends pas la peine de m'habiller et c'est vêtue d'un simple tangua rouge et de son soutient-gorge assorti que je commence à préparer le déjeuné de mon mari. Tout en m'affairant, je me rappelle qu'il m'a fait poser ma journée et me demande ce qu'il a derrière la tête pour aujourd'hui.
Quand je reviens dans la chambre, chargée d'un joli plateau garni du petit déjeuné habituel de mon chéri, celui-ci est en train d'emmerger.
-"Pose ça là. C'est bien." dit-il.
Je pose le plateau sur ses genoux et commence à monter sur le lit quand, d'un regard noir, il m'arrête.
-"Qui t'a autorisé à faire ça ?"
-"Pardon, monsieur, je descend", lui répondis-je.
-"Je préfère ça. Viens t'agenouiller près de moi, et baisse la tête."
Je suis ses ordres, et il commence à petit-déjeuner. Au bout d'une dizaine de minute, ma position devient inconfortable et je bouge pour soulager mes muscles. Quand il a fini de déjeuner, il pose une main sur ma tête et me caresse les cheveux.


-"C'est bien, Molly, tu est une bonne chienne. Aujourd'hui nous allons mettre en place une nouvelle routine, un nouveau mode de vie. Pour commencer, tu vas venir prendre ton petit-déjeuner, toi aussi."
Il avait prononcé la dernière phrase avec beaucoup plus de dureté que nécessaire. Joignant le geste à la parole, il empoigne mes cheveux et me tire brutalement sur lui. La douleur est violente mais je serre les dents, je ne voudrais pas le décevoir.
Il approche mon visage de son entrejambe. Comprenant tout de suite ce qu'il attend de moi, je baisse son caleçon, et découvre une queue gonflée. Une telle vision aurait pu m'exciter s'il n'y avait pas eu l'odeur.
Une senteur âcre et forte m'assaillie, mélange de sueur et d'urine. Je marquais un temps d'arrêt qui me valut une légère claque sur la joue droite.
-"Et bien, qu'est-ce que t'attends ? Suce moi immédiatement."
Avec répugnance, je commence à lécher le bout de son gland et ma situation, qui m'avait parue enviable au réveil, me répugnait et m’exaspérait maintenant.
Obligée de sucer une bite sale ! Trouvant sûrement que je prenais trop mon temps, Roland enfonça violemment ma tête sur son membre. J'essayai de retirer ma tête avec un hoquet de surprise mais il maintenait ma tête fermement. Mon nez écrasé contre les poils de son bas-ventre, je commençai à sufoquer et la terreur montait en moi.
Enfin, il relâcha sa prise et l'air pu s’engouffrer dans mes poumons.
-"A chaque fois que tu ne seras pas totalement concentrée sur ce que tu es en train de faire, tu seras punie. C'est clair ?"
-"Oui, très clair."
La claque fusa.
-"Oui, Maître, très clair." me rattrapais-je.
Il se détendit et s'affala, me laissant carte blanche pour lui donner du plaisir.
Au bout de vingt bonnes minutes de pipes, il se redressa, tira ma tête en arrière et m'ordonna d'ouvrir la bouche.
Avec répugnance, j'ouvre ma bouche, prête à recevoir mon dû. Le sperme chaud arrive directement dans ma bouche.
Il y en a tellement que quelques gouttes finissent sur les draps.
-"Avale tout ça, petite salope. Et nettoie bien ma queue." Sa voix, froide et sans appel me pousse à obéir et j'avale trois grosses gorgées de sperme, avant de récupérer les quelques gouttes au bout de son sexe déjà dégonflé.
Avec un sourire de satisfaction, Roland se lève et enfile un peignoir.
-"Maître, est-ce que je peux aller prendre une douche ?" Demandais-je.
-"Quand tu auras nettoyé les quelques gouttes sur les draps, et que tu auras rangé le petit-déj, tu pourras oui."
Résignée, je lèche et avale les gouttes de sperme froid sur le lit et att le plateau. L'esprit un peu embrumé par ce qu'il vient de se passer, je ne remarque pas la tasse en équilibre, qui valse et se fracasse sur le sol.
Je ramasse avec précipitation les morceaux de porcelaine par terre, prête à recevoir une correction, mais mon conjoint réagit très calmement et, en me caressant doucement les cheveux, dit :
-"Ce n'est pas grave, esclave, tout le monde fait des erreurs, tu seras par contre sévèrement punie.. Tu comprends ?"
-"Oui Maître, c'est normal"
Est-ce que c'est vraiment moi qui viens de prononcer cette phrase ? Je ne sais plus ou j'en suis.

Un peu plus tard, je rentre dans la salle de bain, me déshabille et commence à allumer l'eau.
C'est alors que la porte s'ouvre en grand et que mon mari apparaît, toujours seulement vêtu de son peignoir.
-"L'heure de la punition a sonnée ma grande, alors à genoux !"
Je ne comprend pas trop ce qu'il veut faire, mais je me mets quand même à genoux.
Il laisse tomber au sol son peignoir, enjambe le rebord de la baignoire et s'assois sur le bord de la baignoire. Il coupe l'eau et met le bouchon au fond de la baignoire.
-"Approche toi et ouvre la bouche petite pute."
L'ordre s'impose à moi.

D'un coup, je reçois en pleine figure un fluide chaud, acide, qui m'oblige à fermer les yeux et ruisselle sur mes seins et mes cuisses, qui s'écoule le long de ma chatte.

Il est en train de me pisser dessus le bâtard !
-"AH NON, C'EST DEGUEULASSE PUTAIN !"
-"Ta gueule grosse salope, t'es une sale chienne, c'est tout ce que tu mérites. OUVRE LA BOUCHE !"
Il m'att la tête et m'oblige à ouvrir la bouche. Elle se remplie très vite de pisse et j'avale avec dégoût des gorgées de l'urine de mon maître.
Le fond de la baignoire commence à se remplir de liquide jaune. Quand il a fini d'uriner, Roland se lève, m'att un sein et, en le pressant fortement, ce qui m'arrache un cri de douleur, me tire vers le fond de la baignoire. Je suis pliée en quatre et il pose un pied sur ma tête, écrasant mon visage dans le fond de la baignoire, dans sa pisse malhodorante.
-"Tu vas boire ma pisse, et tu vas en être fière. Tu n'est qu'un objet, et les objets ne cassent pas d'autres objets. Tu vas donc avaler ma déjection, lécher le fond de cette baignoire jusqu'à ce que j'ai jugé que la leçon était rentrée."
Je suis désespérée. Le visage couvert de larmes, je commence ma tâche d'esclave soumise. Je viens probablement de passer la plus mauvaise journée de ma vie. Je me suis faite réduire en esclavage par mon mari et il en , mais jusqu'où est-il prêt à aller pour m'humilier ?
En sortant de la salle de bain, je vois du coin de l'oeil son sourire satisfait il est content de lui le con !

Quand, bien plus tard, je sors, enfin douchée, de la salle de bain, j'ai l'impression de sortir de l'enfer mais je sais qu'après une telle humiliation, je n'aurais plus la force de contredire le moindre de ses ordres.
Je me rends compte que cet homme a réussi à me briser, à retirer la dernière goutte de volonté en moi.
Il a fait de mon son esclave personnelle, sa chose, totalement soumise et prête à obéir à toutes ses envies, complètement soumise.


De son côté, Roland s'aperçoit aussi d'une chose. Il est peut-être allé trop loin cette fois-ci, mais au fur et à mesure qu'il s'affirme dans sa position de maître, il en prend de plus en plus goût.


A suivre...

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