Collection Sm. Enfin Ma Cave. (4/4)
Après avoir découvert que jétais masochisme, Vivian et moi venons dacheter une ancienne maison viticole dans laquelle une cave voûtée va me permettre dassouvir mes besoins de souffrances pour mon corps.
Cest involontairement que jai réveillé ces instincts que certains disent malsain mais qui me sont de plus en plus nécessaires pour atteindre des jouissances montantes crescendo au fil de ce que Vivian accepte dinventer pour me satisfaire.
Jétais attaché dans une pièce dans notre appartement de Beaune quand mon homme est venu me chercher pour me faire faire une balade dans le coffre de notre voiture entièrement nue.
Jai eu peur quil ne mait abandonné dans le bois où une première fois il ma fait connaître des plaisirs et surtout la peur dune course folle dans les orties et les ronces qui ont déchiré mon corps avant de me prendre sauvagement dans une clairière pour mon plus grand bonheur et aussi le sien.
Au même endroit où il sest arrêté la première fois il ma fouetté avec une brassée dortie avant de me remettre dans mon coffre et de me conduire à un endroit inconnu alors que je pensais rentrer à la maison.
Je suis persuadé quaprès cette promenade Vivian me ramène chez nous à Beaune mais nous roulons trop peu de temps pour revenir à notre point de départ.
Quand le coffre souvre, que sans un mot on me fait descendre mintimant lordre à coups de cravache de me mettre à quatre pattes comme une petite chienne docile et que lon me fait avancer sur du gravier puis des pierres lises et froides pour mon plus grand plaisir, ce sont les marches que je descends qui commence à me faire penser ou Vivian me conduit.
La cagoule mempêche de le voir et de voir si jai bien compris lévolution de ma vie mais il semble vouloir que je la garde afin que le noir ou je sois plongé entretienne le mystère de ma nouvelle condition.
Il est vrai que depuis que nous avons acheté notre nouvelle maison et surtout sa cave il est venu régulièrement, mécartant de son organisation.
Une porte qui souvre me ramène dans le monde réel et je sens mes mains puis mes mollets quon attache avant que des bruits de moteurs me retournent et me font reposer sur ce qui doit être une planche sans aucune protection et qui agresse mon dos.
Les moteurs sarrêtent quand mes bras et mes jambes sont écartelés légèrement relevé.
Jai honte de la position que mon mari me fait prendre sans que je puisse my opposer.
Je suis écarté et offert à qui veut de moi, même si je reste persuadé que Vivian qui ma de nombreuses fois prouver son amour se garderait bien dajouter à notre couple un élément extérieur.
Cest ce que je pensais jusquau moment où une langue vient me sucer la chatte et quil me semble quelle tourne différemment sur mon clitoris.
Quand je crie que je refuse quune tierce personne participe à nos jeux la cagoule étouffe ma voix et ce sont carrément quatre mains qui se plaquent sur mon sexe et ma poitrine.
La sensation de honte dêtre offerte à qui veut de moi fait place au plaisir que lon me procure et la jouissance qui memporte balaye toutes mes réticences et mes cris de refus font place à des cris de plaisir.
Les doigts qui viennent de pénétrer en moi sont dautant plus existants que jignore à qui ils appartiennent, Vivian ma souvent doigté depuis le premier jour où il ma fait lamour et je sens quils sont plus fins comme sils appartenaient à une main de femme.
Vivian a-t-il pris une maîtresse, considérant que je suis une femme de mauvaise vie depuis que je lui ai fait voir mes penchants masochistes.
Un jour va-t-il mabandonné dans ma cave et vais-je mourir dune longue agonie ?
La dure réalité de ma condition mest rappelée quand un coup de cravache mest asséné sur ma chatte sans défense suivie par ce quil me semble être des feuilles que lon frotte dessus.
Au début, jai loutrecuidance de penser que celui ou celle qui ma frotté avec ses feuilles est loin dêtre à la hauteur quand une brûlure monte crescendo car ces feuilles devaient être des orties.
Vivian doit avoir apporté ceux qui mont flagellé tout à lheure et que je sens encore me chauffer le fessier.
Je sens que lon menlève ma cagoule et enfin je vais pouvoir regarder comment Vivian a aménagé la cave.
Peine perdue, car la salle est dans le noir et même quand la porte se referme tout a été prévue pour que je ne vois rien.
Cest pendu que je sens de la chaleur venir sur moi par le haut, jignore combien de temps je vais rester dans cette position car mes muscles tétanisent mais le chauffage me permet dattendre sereinement la suite.
Combien de temps ai-je dormi ?
Je me réveille quand un bruit bizarre se fait entendre et que les moteurs démarrent.
Les câbles se détendent me reposant les membres sans pour autant me permettre de me déracher, les bracelets étant hors de portée de main à main.
Je me rendors quand le mouvement des moteurs me remet en position dextension.
Mes membres montent et descendent au gré des moteurs qui doivent avoir un cycle automatique aléatoire et cest rapidement insupportable mais pour moi cet appareil est une merveille de technologie et les périodes de plaisir succèdent au moment où mon corps me fait mal de partout.
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Dans la période où je la subis trois fois les moteurs me font décoller de la planche et mon corps flotte dans les airs mes membres me faisant mal à hurler surtout quen jessaye de garder la tête relevée et quelle retombe malgré moi en arrière.
Qui a testé le mal et le bon est-ce Vivian car tout le temps où je suis placé sous la coupe de la machine je finis par avoir ma chatte qui séchauffe et qui mouille.
Je suis dans lincapacité de dire combien dheure mon mari me laisse dans mon isolement mais quand jentends la porte se rouvrir sans une nouvelle fois ne rien voir et après avoir retrouvé ma cagoule je sens que le système se remet en fonction et que je me retrouve couché au sol.
La cravache me rappelle à son bon vouloir et je sors de la cave à quatre pattes.
Je sens le soleil me chauffer je suis donc sortie mais la barre au sol dune porte-fenêtre et le carrelage dune salle avant de me faire monter des marches certainement en bois recommence à me faire mal aux genoux.
À létage où lon me fait monter je sens de nouveau le froid dun carrelage, une petite tape sur mon fessier me donne un ordre que jai du mal à comprendre.
Je sens le rebord dune baignoire et jentre dans leau qui est à bonne température.
Je mets du temps à comprendre que je suis libre car on ma enlevé ma laisse ainsi que mon collier et je prendre le risque denlever la cagoule.
Je retrouve la salle de bain que javais vu lors de la visite et où javais eu un coup de cur pour la cave où je viens certainement de passer quelques heures.
Je prends conscience que ce bain est le bienvenu car depuis que nous sommes sorties de notre ancien appartement de Beaune, Vivian ma traîné au sol vers le garage au sous-sol, en forêt, sur lallée certainement de lautre côté de la maison car il me revient en mémoire quelle était gravillonnée.
Tout est à ma disposition, gel, savon moussant, je suis si bien que le temps paraît sarrêter surtout que leau de la baignoire transparente doit être à température constante car depuis que je me suis plongé dedans elle a gardé sa chaleur.
Vivian doit aimer les systèmes automatiques comme jai pu le voir, pardon entendre les moteurs me changer de position dans ma cave, car mes bras et mes jambes retrouvent leur élasticité sous leffet de jets puissants qui viennent de démarrer et qui massent mon corps.
Quand les jets sarrête la fraîcheur qui monte du fond la baignoire moblige à en sortir.
Leau est devenue presque glacée car je pense que le système doit injecter de leau réfrigérée.
Ma robe de chambre ma été apportée et devant la grande glace je peux voir que ma chatte et mes fesses sont zébrées par la cravache qui ma fait souffrir pour mon plus grand plaisir quand jétais attaché et a sa merci.
Jentre dans notre chambre déçue que mon lit ou je peux être attaché soit remplacé par un modèle en bois massif certainement acheté chez un brocanteur et rénové par un ébéniste car je sais quun des plaisirs de Vivian est de chiner le dimanche dans ce genre dendroit.
Sur ce lit je comprends ce que mon maître veut faire, il semble quil va séparer ma vie en deux.
La première partie quand je serai une femme respectable comme je létais avant de plonger dans la luxure et la deuxième celle qui deviendra sa chienne dans ma cave à la merci de tous ses vices.
Ses vices vont-ils jusquà me donner à un ou une autre car jai encore ancré en moi ses mains me palpant, me caressant allant même jusquà agresser mon intimité.
Ce que souhaite faire mon mari je vais le découvrir rapidement mais quand je le verrai car la maison est plongée dans le silence, quil soit certain quil naura de ma part aucune question.
Je misole divinement dans mes toilettes car depuis que jai quitté Beaune ce type dendroit mest inconnu et je me pose la question que se serrait-il passé si ce besoin je lavais eu quand jétais pendu par mes chaînes.
Sur le lit une robe longue est posé, cest un véritable voile de couleur beige avec à son côté un écrin ouvert avec une parure de bijou.
Un meuble de maquillage me fait comprendre que Vivian doit mattendre dans la maison et quil souhaite que je me fasse belle.
Depuis quil a déclenché mes instincts les plus bas mais ceux que je préfère, il me semble que nos cerveaux ont fusionné et que ses désirs ou mes désirs nous arrivent naturellement sans que nous ayons besoin de dire le moindre mot.
Je massieds, me coiffe, me maquille avec tous ce dont jai besoin et qui se trouve sur la table avec pour terminer une pointe de parfum tiré dun flacon dun Grand couturier et qui a un numéro entre quatre et six inscrits dessus.
Je mets la parure composée dun bracelet, dun collier et de boucle doreille que je place dans les trous que ma maman ma fait percer quand jétais petite.
Les choses sont bizarres car depuis que je mets des boucles mon cerveau à oublier le plaisir que javais eu quand le bijoutier me les a percés.
Maman avait été étonné quà aucun moment je naie pleuré mais ce que ce jour-là javais oublié de lui dire cest que je venais de connaître mon premier plaisir de jeune fille sortant de la puberté.
Je regarde au sol mais Vivian na prévu aucune paire de chaussures, il veut que je le retrouve simplement vêtu de cette robe, plutôt de ce voile qui me montre la fente de ma chatte épilée au laser quil ma offert il y a un an pour mon anniversaire.
Je suis couverte mais impudique, quand je me déplace sur les dalles en pierres du pays et que passant devant ma Psyché je pense à Esméralda de Notre-Dame de Paris.
Je marrête, tournoie plusieurs fois sur moi-même faisant voler mes voiles comme lamoureuse de Quasimodo.
Le beau, le laid, le plaisir le mal tous les contraires sattirent et jen suis consciente depuis que jai accepté ma condition de femme esclave de son corps et surtout de son amoureux.
Je descends mais dans la salle Vivian brille par son absence.
La porte-fenêtre est ouverte et un store est déployé plongeant la terrasse dans lombre, je mavance voyant quil a fait construire une piscine à lemplacement où il y avait des buissons et une pelouse.
Je sors, Vivian est là.
Il a revêtu un smoking blanc relevant son teint hâlé, dun coup je suis la femme la plus heureuse et amoureuse au monde, mon homme est resplendissant de beauté et cest moi quil a choisi.
Il se lève, sapproche en tenant deux coupes de champagne dans ses mains.
Bien venue chez toi mon amour
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