Collection Sm. Le Chemin De Ma Cave Voûtée. (3/3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après avoir récupéré suite à la course folle que Vivian ma fait faire dans les bois de la ferté mon corps étant couvert de griffures decchymose et de rougeurs due aux orties nous avons signé lachat de ma maison et surtout de sa cave voûtée.
Bien sûr cest la maison de vigneron de la commune de Givry pour laquelle jai eu un coup de cur me voyant déjà dans ma cave pour assouvir mon besoin de masochisme que Vivian a déclenché en moi après la course folle dans notre appartement.
Nous avons signé il y a quelque temps et mon mari a déjà transféré son bureau darchitecte là-bas, chaque matin quand il part il prend soin de mattacher sur le lit de la chambre avec une chaîne qui arrive à mon cou où il ma accroché un magnifique collier.
La seule chose que la longueur de cette attache me permet cest de me rendre dans la salle de bain où un W.C. et une baignoire sont à ma disposition.
Sa situation me permet de rester à la maison et il limite mes mouvements car il a constaté que javais des propensions à dilapider les ressources de notre couple en faisant du shopping et en achetant bon nombre dobjets inutiles.
Il ma fait plaisir en machetant ma nouvelle demeure et surtout sa cave aussi je suis satisfaite quil misole dans cette pièce pendant quil gagne largent de notre couple.
Ce que jaime depuis que ma condition a évolué cest quil refuse de répondre à mes questions.
Attention nous sommes un couple uni et quand je suis libéré de mon collier et de ma chaîne nous avons une vie tout à fait normale.
Midi et soir à table, nous avons les mêmes conversations quavant ma libération sexuelle car depuis quil est devenu sadique pour mon plaisir cest quand nous franchissons la chambre de mes s que je suis à lui comme la soumise que jaime être devenue.
Midi et soir pas tout le temps car certaines fois il a dû sapercevoir que jaime quand il menferme sans manger pendant deux ou trois jours, ces jours-là je nentends aucun bruit dans lappartement il doit partir pour son travail et menfermer.
Nous continuons à voir nos amis et surtout je vois souvent ma copine Aline qui reste une jeune fille sage se contentant de son travail dinfirmière.
Elle est chaste et je la soupçonne dêtre encore vierge à 24 ans, une à deux fois alors que jétais attaché elle a dû venir sonner car chaque fois cétait à ses heures habituelles mais il mest impossible quand je la vois à lui dire pourquoi elle reste bredouille derrière la porte qui a vu le début de mon plaisir extrême et dégradant sil en ait.
Pendant ces heures ou je suis seul Vivian refusant de me mettre la télé comme jai eu le malheur de lui demander une fois et ou la cravache ma fait ravaler mes paroles jai le temps de méditer, pourquoi mon corps a-t-il réagi quand jai été fessé ?
Mes parents et surtout mon père était un être doux et la seule chose que jai en mémoire cest un après-midi où je faisais la sieste les avoir entendus se disputer et comme jentendais maman geindre je me suis approché de la chambre heureusement fermée et jai distinctement entendu un bruit de cuir sur un objet et chaque fois maman disait oui oui.
Jétais déjà adolescente quand avec du retard mon corps sest ouvert à la sexualité et pour arriver à endormir le mal qui me taraudait les entrailles chaque fois quune crise me prenait javais comme seule solution de me tordre mes grandes lèvres et de pincer fortement mon clitoris et de finir par jouir en le caressant délicatement après quun premier orgasme mest traversé.
Puis jai commencé à me mutiler me mangeant les doigts, non pas en menlevant les peaux mortes mais en me rognant les phalanges.
Heureusement Vivian est arrivé et dans un premier temps je me suis assagi et me suis contenté de sa verge en moi jusquau jour où il a eu le malheur, non le bonheur, de me fesser avant de menfiler sauvagement derrière la porte dentrée.
Ce matin il y a quatre jours que je suis enfermé et que mon ventre est vide, jaime quand je suis libéré voir dans la glace de ma salle de bain mon ventre creusé ce que javais perdu lhabitude car comme toute fille devenue sédentaire mes formes sarrondissaient.
Toute la journée jentends des allées et venues allant même jusquau bruit de la poignée de ma chambre que lon touche sans possibilité douvrir Vivian menfermant systématiquement et partant avec la clef.
La pièce où je me trouve est fermée par des volets roulants quand je vois que la nuit est tombée.
Je suis sur le bidet en train de me laver la chatte car malgré mon isolement mon hygiène est primordiale surtout que jusquà hier jeusse mes, bref, quand jentends la porte souvrir.
Mon tortionnaire tend aimé surtout depuis quil a découvert mon secret de domination vient devant moi et sans un mot me met une cagoule certainement en cuir sur le visage.
Tous mes sens sont obstrués sauf ma bouche qui reste libérée grâce à un trou lui permettant de placer sa verge quil me fait sucer.
Je le prends par les couilles que je caresse les serrant légèrement.
Un coup de cravache sur mon dos me rappelle que je dois être douce.
Quand son estomac est vide depuis des heures la sève quil menvoie est suave même si elle manque de saveur surtout maintenant ou je ne vois rien et nentends rien le goût étant le seul quil me reste libre.
Quand jai bien dégluti, je sens quil tire sur une fermeture qui mempêche de parler misolant définitivement de ce monde.
Un coup de sa cravache me fait comprendre que je dois le suivre, un autre alors que je suis debout me fait comprendre que je dois marcher à quatre pattes comme la chienne que je suis devenue pour lui.
Le noir me fait penser à un nouveau jeu et quil va me faire faire le tour de lappartement avant de me faire rentrer à ma niche.
Un léger courant dair frais malgré la chaleur de cet été me fait voir que je me trompe et un bref instant les picotements que le tapis de notre appartement se fait sentir sous mes genoux me montrent que nous sortons.
La honte me prend dêtre nue pour aller dehors et jai des velléités de me relever, le coup de cravache quil massène doit zébrer mon postérieur et je reprends ma position surtout que nous avançons de nouveau.
La surface froide et les trépidations avec un bruit assourdi qui me parviennent me font comprendre que nous sommes dans lascenseur.
Jespère quaucun voisin ne va sortir ou entrer chez eux leur faisant voir que je suis soumise à mon maître mari.
La sensation qui massaille est très étrange et bien plus jouissive que celle que jai ressentie dans les bois de la Ferté.
Comme aujourdhui jétais nue mais à part le chauffeur qui est venu à notre secours jai échappé à la vue dautres personnes.
Il est drôle de vivre sans voir et davoir des sensations par le toucher.
Présentement cest le froid du béton qui déchire mes genoux qui me font voir que nous sommes certainement dans le garage à voitures.
Depuis notre aventure dans les bois je suis resté à la maison soit enfermée nue soit à regarder la télé, sortir même de nuit va me faire du bien et surtout je vais autant mouiller quen ce moment ou sil passait sa main sur ma chatte il sapercevrait que je suis ruisselante.
Un bruit de coffre qui souvre et la cravache me donne lordre de monter, je me redresse tâte le pare-choc et je roule à lintérieur.
Je loupe mon coup et je maffale aux pieds de mon dominateur qui pour me punir massène un grand coup de cravache sur ma fente qui me fait hurler au travers de ma cagoule.
Je me redresse et je recommence la manuvre, jai tellement aimé ce coup reçu me déchirant la chatte que je retombe de la même façon mais Vivian doit comprendre que je le fais par goût et rien ne vient, japprécie le masochisme à lenvers que jaimerais quil me fasse subir plus souvent.
Jentre donc et étant déjà dans le noir le léger bruit du coffre qui se referme après quil a jeté la chaîne à lintérieur atterrissant sur mon corps mais sans me faire mal me confirme que je sors avant de revenir et de faire le chemin à lenvers mourant de honte si lon me voit dans ma déchéance volontaire.
Nous roulons de longues minutes et à chaque fois que la voiture passe dans un trou ou un ralentisseur Vivian qui doit être au volant accélère et je suis ballotté comme un vulgaire sac dans tous les sens.
Je suis sûr quà notre retour jaurais des bleus mais que voulez-vous quand on aime souffrir ces chocs sont doux à supporter.
Nous nous arrêtons après une nouvelle fois que je suis ballotté de droite à gauche ou de gauche à droite.
Un chemin de terre, nous venons de prendre un chemin de terre, la voiture fait demi-tour comme si Vivian voulait être dans le sens du retour.
Le coffre souvre et sans ménagement il me balance au sol.
Je sens que lon me passe des menottes aux chevilles entravant mes mouvements.
Jentends sourdement la voiture partir et le silence de la nuit sinstaller en moi.
Un long moment jattends pétrifié de peur alors que quand nous sommes arrivés jétais confiante, je tâte le sol je suis bien dans un chemin, je trouve une partie de la chaîne que je réduis afin que jévite de me prendre dedans.
Vivian en aurait-il assez davoir une femme maso et ma-t-il abandonné pour retrouver une pouffiasse quil aurait trouvée au cours de ses voyages où je lui faisais confiance.
Jessaye de me relever mais les menottes font leur office et je retombe lourdement qui plus est sur un caillou qui a dû mentailler le haut de la cuisse.
Cest à quatre pattes traînant mes jambes inutiles derrière moi que jessaye de retourner vers la route afin déviter que lon ne me trouve dans quelques jours morts de faim car il faut se souvenir quil a oublié de me nourrir depuis plusieurs jours.
Je parcours quelques mètres et ma tête tape dans un poteau de bois.
Javance mes mains et je constate que je suis contre une barrière du même genre que celle qui ma servie le jour de la visite de la maison que nous avons acheté et où se trouve ma cave.
Jai lintuition que cette barrière départ de ma course folle qui a fini dans les ronces et les orties et qui a permis à mon mari de me faire jouir comme jamais je ne lavais fait est là à laffût même si le coup lier est éculé et quil est hors de question que je cours sans voir ou je vais, jaime souffrir, il aime me faire souffrir mais se manger un chêne de plein fouet serait trop gros pour moi.
Lautre fois il a souhaité que je me caresse la chatte avec le bois horizontal de la barrière qui a échauffé mes sens.
Veut-il que je renouvelle cela aussi je veux passer ma jambe oubliant les menottes mais jarrive à me mettre dans une position mes seins étant en appui dessus et ce sont eux qui subissent la punition quil souhaite que je me donne ?
Je me sers de mes mains et je fais deux allée retour sentant que des échardes pénètrent mes seins.
Jespère que je suis dans le vrai car si je suis retrouvé par des promeneurs sur cette poutre les jambes entravées une cagoule de cuir sur la tête sans oublier le collier avec la chaîne de plusieurs mètres ils risquent davoir la peur de leur vie et la police demandera des comptes à mon mari ce qui me rassure une nouvelle fois car je le vois mal trouver un motif à ce quil me sera arrivé.
« Monsieur lagent ma femme est masochiste et moi qui suit devenu par sa faute sado je lai abandonné dans ce chemin dans ce bois pour éviter de subir ses dépravations quelle souhaite de plus en plus osées. »
Si pour couronner le tout ils investissent notre maison de Givry ou à part le jour de mon coup de cur Vivian me la cachée sen sortira-t-il sil a déjà fait des installations dans la cave, but de notre achat.
Le salaud, un grand coup sur mes fesses que jai par imprudence en me mettant dans cette position sabat sur mon fessier.
Plusieurs coups et je sens que ce sont avec des orties quil a dû aller cueillir quil me frappe, dix coups et mon cul me brûle comme jamais.
Je crie et lon doit mentendre bien que ma bouche soit obstruée.
Et puis il reprend ma laisse de chaîne et jarrive à le suivre en sautant à pieds joints sur une dizaine de mètres.
Il me laisse de nouveau là mais le bruit du moteur me montre quil vient de reprendre le volant et quil la recule jusquà moi.
Même scénario quau départ de Beaune et je reprends ma place dans mon coffre soulagé quil est choisi de me faire du bien sur les lieux de nos exploits dans ce chemin ou si javais pu voir jaurais certainement trouvé des lambeaux de mes vêtements.
Nous roulons bien moins longtemps quà laller, la voiture sarrête quelques secondes et repart.
Quelques mètres, le coffre souvre il me fait descendre et mayant enlevé les menottes le coup de cravache me ramène à quatre pattes.
Cest sur du gravier que je me déplace sans savoir où je suis, ce quil ma fait subir depuis quelques heures et le manque de nourriture obstrue mon cerveau et je suis contente de retrouver le froid dune pierre au sol avant quil me fasse descendre des marches
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