Description D'Une Rencontre Dans Un Cinéma Gay

A la sortie de mon cinéma préféré, un jour, je rencontre quelqu'un que je connais et de politiquement correct. Il m'apostrophe :
- Qu'est-ce que tu faisais la-dedans ?
- Ben je suis allé me faire enculer !
- Et tu dis ça comme ça ?
- Et comment tu veux que je te le dise ? T'es choqué ?
- Euh non, bredouiia-t-il, un peu gêné quand même.
- Alors, pourquoi tu te sens mal ? Vous me faites rigoler, vous les bien-pensants, les donneurs de leçons. Vous faites les compréhensifs, mais, dés qu'on parle de cul, et surtout si c'est entre hommes, y a plus personne. Qu'est-ce que j'ai fait de mal ? J'ai violé personne et personne m'a obligé.
- Ca va, je m'excuse, dit Robert. J'ai été stupide, ça te va ?
- Ouais, ça va... De temps en temps, ça m'énerve !
- Tiens, tu me raconterais, tout le fil d'une rencontre ?
- Pourquoi ? Tu veux faire un film, ou tu veux écrire un livre ?
- Et pourquoi pas ! Ca peut, peut-être les aider....
- Après tout, pourquoi pas !
Quand j'étais jeune, Je savais que ce cinéma passait des films de cul. Je n'ai jamais osé y entrer, avant d'avoir 18 ans. Ce jour-là, j'étais le premier, devant la caisse. Je ne pensais pas aux homos. Je voulais juste voir un film de cul. J'ai été déçu. En dehors des scènes de baise, il n'y avait rien. Pas d'histoire d'amour, juste du cul. Je suis resté plusieurs mois sans venir, et j'ai décidé de tenter ma chance une nouvelle fois. En réalité, je ne savais pas ce que je venais chercher. Cette fois-là, ce fut spécial. J'étais assis au bord d'une rangée de siège. Je regardais l'insipide film de cul proposé, quand un mec vint s'asseoir à côté de moi. Il approcha lentement son genou du mien.

Je retins mon souffle. Je sentais une excitation nouvelle, monter en moi. Bientôt, le gars posa sa main sur ma cuisse. Toujours aussi lentement, sa main remonta jusqu'à mon entrejambe. Ses doigts tapotèrent mon sexe à travers le tissu du pantalon. Il saisit la fermeture éclair de ma braguette et l'abaissa. Sa main s'introduisit dans le pantalon et les doigts s'insinuèrent dans mon slip. Ils s'emparèrent de ma pine et la caressèrent. Les doigts se sont enroulés autour de ma queue et l'ont sortie de son logement. Instinctivement, j'ai écarté les cuisses. Les doigts du mec passèrent sous mes couilles et les ortirent également de mon pantalon. Le mec se pencha vers moi, saisit mon pantalon sur mes hanches et le descendit jusqu'à mes pieds. Il releva ma tête vers l'écran, et commença à me branler. Je bandais déjà comme un malade.
Pendant qu'il secouait ma pine, il sortit la sienne et tenta de la mettre dans ma main. Sentant ma résistance, il abandonna son projet.
- C'est la première fois que tu viens ici ?
- Oui, soufflais-je.
- Bouges pas !
Il se pencha et pris ma queue dans sa bouche. Surpris par la caresse intime, je jouis immédiatement. Le gars sortit un mouchoir, et me nettoya. Il se pencha et glizza à mon oreille :
- La prochaine fois, c'est toi qui suceras !
J'ai mis plus d'un an à revenir. Cette perspective me terrifiait.
Petit à petit, et à force de visites, j'ai appris le langage du cinéma gay. Par exemple, rechercher les attouchements. Tu te mets en bordure de rangée et t'attends qu'un mec vienne s'asseoir à tes côtés. Ca, je l'ai découvert tout seul. A force de me faire branler ou sucer, un mec m'a demandé mon cul. Je devais le suivre au fond de la salle. Derrière la dernière rangée de fauteuils, c'est le lieu de rendez-vous. Ceux qui sont debout, appuyés sur les dossiers, sont là pour se faire tripoter ou se faire sucer.
Il arrive que certains arrivent jusqu'à la sodomie. Ceux qui sont contre le mur du fond, ont une pancarte autour du cou, disant que leur cul est disponible. Les amateurs vous amènent jusqu'aux dossiers des fauteuils, ou vous emmènent dans d'autres salles. Parce qu'il y a aussi les voyeurs et les exhibitionnistes. Moi, je suis un peu de tout.
En réalité, je n'aime pas trop donner ma bouche. Par contre mon cul, sans problème. Et, en plus, si c'et devant tout le monde, ce n'est encore que mieux.
La plus belle rencontre que j'ai jamais faite, je te la raconte maintenant.
C'était à mes débuts. J'étais debout derrière les fauteuils, quand il est arrivé. Il s'est glissé dans mon dos. C'était l'été et j'étais habillé léger. Je portais un short en vichy, et un string. Le gars a effleuré mon cul avec sa bite. Comme pour me faire sentir qu'il en avait une grosse. Je répondis à son offre, par une reculade épousant ses cuisses. Le gars a passé sé main sur son cul, et j'ai entendu un grognement dans mon cou. Il s'est légèrement baissé et a caressé une de mes cuisses, totalement imberbe. Un trésaillement lui indiqua que j'étais receptif à la caresse. Un doigt s'insinua entre mes fesses, insistant sur la profondeur de ma raie.
Passant les bras par devant, il défit lentement les boutons de ma braguette. Comme ses hanches étaient plaquées sur mon cul, le short ne tomba pas. Il le saisit sur mes hanches, en même temps que mon slip. Les deux vêtements glissèrent le long de mes cuisses et de mes jambes avec une lenteur ...! Quand il se releva, il constata que ma queue était raide. Il mit un doigt dans sa bouche, et le ressortit, enduit de salive. Il le glissa entre mes fesses, et l'introduit dans mon cul. Il le ressorti, le glissa dans sa bouche, posa ses mains sur ses hanches et son gland sur mon petit trou. D'un violent coup de reins, il enfoça sa grosse queue, au fond de mon cul. Une main sur la bouche pour m'empêcher de crier, il commença à aller et venir, entre mes fesses.
Quand il eut jouit, il remonta mon short, puis me prit par la main. Il m'emmna dans une pièce à l'étage au-dessus. Là, ils passaient un porno gay. Je n'en avait jamais vu. Ce fut une révélation. Il me traîna sur la scène, et commença à me déshabiller. Avec une lenteur exaspèrante, il me débarrassa, dans l'ordre, de mon pantalon, ma chemise et enfin de mon slip. Il m'a laissé là, à poils et est allé s'asseoir au premier rang. Ce fauteuil n'avait pas de vis-à-vis. Il était là pour ça. Je descendis de la scène et m'approchai de lui. Je me mis à genoux et ouvris sa braguette. Je sortis la bite du slip, et embouchai le bâton de chair. Quand je fus satisfait de l'humidification de l'engin, je me suis relevé, j'ai enjambé ses cuisses, et je me suis empalé sur sa queue, me penchant en avant, pour que tous ceux qui regardaient, pussent bien voir, que le membre était bien au fond de mon cul.
Voilà, satisfait ?
Il me montrait son entrejambe,
- Tu vois ce que ça me fait ?
Sa queue était aussi raide, que le tissu de mes poches.

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