Rencontre Au Cinéma

A l'époque j'avais 22 ans et je vivais dans une sous préfecture. Les soirées étaient mornes. Mis à par quelques bistrots et un cinéma il n'y avait rien de bien folichon. J'allais souvent au cinéma et les films présentés dataient de l'année d'avant certainement. Mais j'y allais quelques fois. En semaine la salle était pratiquement vide. En rentrant la séance avait déjà commencée. Il faut décrire la salle un petit peu : Le projecteur installé au premier était enfermé dans une salle et de chaque coté il y avait des fauteuils. Donc la séance ayant débuté je fit le choix d'aller ver le renfoncement à coté de la salle du projecteur.
Une fille était assise et je me mis à coté d'elle. La lueur de l'écran me fit voir son visage assez quelconque. Le corps semblait être convenable. De toute façon dans cette ville, pour coucher avec une fille il fallait passer par des promesses de mariage. C'était dans les années 5O.
Sans rien dire je lui passait un bras autour des épaule : elle ne réagit pas. Je poussais mon avantage un peu plus loin et voulais l'embrasser. A ma grande surprise elle répondit à mon baiser fort profond. Le manque de fille me faisait déjà bander. Je posais une main sur un sein : elle semblait aimer. Je mis une main sur ses genoux ; elle la pris et la menât plus haut, vers son sexe. Je ne pouvais pas résister à l'invitation et soulevais la jupe pour mettre ma main en contact direct avec sa peau.
Je soulevais un coté de son slip et me mis en mesure de lui chercher l'intimité de son sexe qui était entièrement mouillé.
Personne dans la salle ne pouvait nous voir, je me penchais et elle écartait les jambes pour que je la suce. Elle aimait ce genre de choses. Enfin je lui demandais de me sucer aussi. Elle le fit avec maladresse mais je pouvais jouir.
En sortant du cinéma je lui demandais qui elle était : c'était une Algérienne adoptée par un couple de gendarme donc par le lieutenant en garnison dans la ville depuis peu.

Elle était à peu près libre de faire ce qu'elle voulait : j'en profitais pour l'inviter chez moi pour faire l'amour, ce qu'elle acceptait sans gène.
C'est donc sans autre forme de procès que je lui dis que nous allions passer une bonne partie de la nuit ensemble. Elle en fut très heureuses et montrât ses talents de baiseuse qui était grands. Mise à part sucer elle aimait tout faire : baiser, se branler, se faire enculer, les nuits passées avec elle me laissent un souvenir impérissable encore aujourd’hui. Nous nous sommes séparés parce que le père adoptif était muté par avancement bien loin de la petite ville tranquille.

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