Dépucelé Par La Mère De Mon Pote

Âgé de 17 ans à l’époque, j’étais encore vierge de tout rapport sexuel, aussi bien avec une femme qu’avec un homme.
J’avais un super copain de mon âge qui s’appelait Régis et chez qui j’allais souvent le samedi pour passer l’après-midi. Il vivait seul avec sa mère qui était divorcée. Ils vivaient dans une grande maison à la campagne avec une piscine qui était dans un grand parc entouré d’un mur assez haut.
Mes parents étaient commerçants et donc le samedi était pour eux une journée de travail assez intense. J’allais donc rendre visite à mon pote, car c’était les vacances printemps et il commençait à faire chaud.
C’est sa mère qui ouvrit la porte.
- Bonjour Michel, tu viens voir Régis ?
- Bonjour Madame, oui, il n’est pas là ?
- Et non, il est parti avec ses grands-parents dans le midi.
- Ha oui c’est vrai il me l’avait dit, excusez-moi de vous déranger pour rien.
- Mais rentre si tu veux, tu as l’air d’avoir chaud, viens boire quelque chose.
- Je ne voudrais pas vous déranger.
- Mais non, voyons, je suis toute seule.
- Merci madame.
- Aller, viens.
La mère de mon pote était très belle, en plus là, elle était habillée assez légèrement avec une robe d’été assez courte et assez moulante. J’avoue que j’étais quelque peu troublé.
- Vient-on va se mettre au bord de la piscine. Je vais chercher des jus de fruits
- Vous voulez de l’aide ?
- Non, non installe toi.
- D’accord.
Elle disparut dans la cuisine. Je m’asseyais sur un fauteuil.
- Alors Michel, comment vas-tu ?
- Ça va, un peu fatigué, les vacances vont faire du bien.
- Oui c’est vrai, Régis aussi est fatigué. Tu peux te mettre à l’aise si tu veux. Tu as amené ton maillot ?
- Heu oui, mais je ne l’ai pas sur moi.
- Oh tu sais, j’ai déjà vu Régis tout nu tu sais, tu peux te changer.
- Heu, là ?
- Mais oui, nous somme que tous les deux, d’ailleurs je vais faire comme toi, je vais mettre mon maillot.


Et là, voilà la mère de mon pote qui se lève et qui quitte sa robe et qui se trouva nue devant moi. Elle avait des seins magnifiques. Je restais sans voix.
- Ça va Michel ? je te gêne ?
- Heu quoi ? Ben c’est-à-dire….
- Tu n’as jamais vu de femme nue ?
- Moi ? non.
- Approche-toi, viens plus près de moi.
- Je m’approchais.
Elle prit ma main et la posa sur un de ses seins. Il était doux et chaud. Son téton se dressa, et je senti que mon sexe prenait plus de place dans mon boxer.
- Tu es presque un homme maintenant Michel. Je vois que je te fais de l’effet, vas y déshabille toi.
- Oui madame.
J’enlevais mon t-shirt, puis mon short et enfin mon boxer. Je me trouvais nu avec mon sexe bandé devant la mère de mon pote.
- Et bien Michel, tu es bien équipé dis donc.
- Merci madame.
Elle saisi mon sexe dans sa main et commença à découvrir mon gland, rien que le contact de sa main sur mon sexe me faisait du bien.
- Ça te plait on dirait ?
- Oh oui madame.
Elle s’agenouilla devant moi et commença à lécher mon gland qui devenait humide. Le contact de sa langue humide sur mon sexe était divin. J’avais le sexe très dur. Elle commença à enfiler mon sexe dans sa bouche.
- Oh madame, qu’est-ce que c’est bon.
- Hummmm, oui et ton sexe est beau et bon aussi.
- Oh merci madame, mais là je ne vais pas tenir longtemps.
- Laisse-toi aller mon petit.
- Oh oui madame, je vais venir.
- Hummmm petit coquin. Tu as envie de jouir, déjà ?
Et là, mon sperme sorti d’un coup en une énorme giclée comme si je libérais tout ce que j’avais en moi. La mère de mon pote avalait tout au fur et à mesure. Elle se dégagea, et je restais devant elle avec mon sexe érigé. Elle s’allongea sur le matelas sur le dos.
- Tu veux bien venir lécher ma chatte ?
- Oh oui madame.
Elle avait remonté ses talons aux fesses, pour m’offrir son sexe ouvert qui était trempé de cyprine.
Je m’approchais, timide ne sachant pas trop comment faire.
- Viens entre mes cuisses Michel
- Oui madame.
- Passe ta langue à l’entrée de ma grotte, tu vois là où c’est mouillé, viens gouter mon liquide de plaisir.
- Oui madame. (je commençais à la lécher, elle se mit à gémir tout de suite).
- Oh oui Michel, continue c’est si bon.
- Hummmm, votre sexe est terrible
- Oh oui mon petit, tu lèche si bien, oh oui huummmm
Son corps ondulait sous ma langue.
- Oh mon chéri, tu es si doué, viens, prends-moi avec ton grand sexe.
- Oui madame
- Arrête avec tes madame, traite moi de salope.
- Comment ?
- Appelle-moi salope
- Mais …
- Vas y, dis le.
- D’accord salope
- Hummm oui comme ça, prends moi chéri.
- Oui salope, je vais te prendre
- Ouiiiii
J’approchais mon sexe de la chatte de ma salope.
- Prends moi fort chéri.
- Oui espèce de salope.
- Ouiii, tu m’excite.
- Espèce de chienne.
- Oh oui, ta chienne.
- Tiens prends ça salope de chienne, je vais te défoncer la chatte.
- Ouiiii mon homme. Je suis à toi.
Je pénétrais cette salope vigoureusement, elle gémissait, elle en redemandait. Je n’avais jamais traité de femme de salope.
- Oh mon chéri, tu me baise super bien, je vais jouir.
- Je vais jouir aussi sale chienne, je vais te remplir.
- Oh oui, remplis-moi.
- Sale pute.
- Ouiiiiiii, je suis ta pute, rien que pour toi, vas-y.
- Haaaaaaaaa, ouiiii, tiens salope de pute.
- HAAAAAAAAAAA
Nous avons eu un orgasme ensemble. Je tombais à coté d’elle, mon sexe ramolissant.
- Merci Michel.
- Merci, salope
- Hummmm, tu y prends gout dis donc.
- Ouiiii, j’aime bien t’appeler comme ça.
- Tu veux rester cette nuit ?
- Si tu veux.
- Je vais t’apprendre plein de bonnes choses.
- D’accord, je vais prévenir mes parents.

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