Dépucelé Par La Mère De Mon Pote 2

- Voilà, mes parents sont prévenus que je reste chez vous la semaine.
- La semaine ? et bien, tu vas apprendre beaucoup de choses.
- Oui madame, j’ai soif d’apprendre
- Très bien, pour commencer on va aller dîner au restaurant.
- Bien madame, je vais prendre une douche et me changer.
- Très bien, je vais me préparer aussi.
Quand je revins dans le salon, la mère de mon pote avait enfilé une robe d’été mi-cuisses. En la regardant marcher, je devinais qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Pour ce qui est d’une culotte je n’osais pas y penser.
- Je vais sortir la voiture, attends-moi dehors.
- Oui madame.
Quand je montais dans la voiture, je vis sa robe remontée jusqu’en haut de. Ses cuisses et je devinais qu’elle avait fait l’impasse sur le port d’une culotte. Je me mis à bander tout de suite. Elle avait une voiture automatique. Elle écarta les cuisses pour être mieux à son aise. En conduisant, comme sa main droite était libre, elle se mit à caresser ma cuisse et passa sa main sur mon short sentant mon érection. Elle ne dit rien cependant. Nous arrivâmes au restaurant et nous installâmes en terrasse. Nous nous assîmes l’un en face de l’autre. Le serveur nous apportât les cartes. Je sentis que la mère de mon pote faisait monter son pied entre mes jambes pour arriver contre mon sexe qui était bandé. Elle le tritura avec ses orteils, je me mordais la lèvre inférieure. Je la voyais sourire. Elle se leva pour aller aux toilettes.
Je restais seul, 5 minutes environ. Quand elle revînt, elle me donna discrètement une petite boule en tissu. En me chuchotant à l’oreille.
- Tiens bébé, c’est mon string, il est trempé de cyprine, sent le bien, après tu iras aux toilettes et tu remplaceras ton boxer par mon string, mais auparavant, tu te masturberas pour jouir dans ton boxer, ramènes le moi.
- Maintenant ?
- Oui, maintenant.
- Mais madame, je ne pourrais jamais.
- Obéis moi, fais-le, sinon tu rentres chez tes parents.


- D’accord madame.
Je sentis donc son string qui sentait la mouille à plein nez. C’était délicieux. Je me levais donc pour aller aux toilettes à mon tour. Je me déshabillais et une fois nu, je me masturbais jusqu’à jouis sur mon boxer. Enfin une fois essuyé, j’enfilais le string qui séparait mes deux couilles l’une de lautre.je bandais de nouveau. Je revins à table et donna mon boxer à la mère de mon pote.
- Merci Michel, hummm, ça sent bon.
- Merci madame.
- Tu peux m’appeler Christine.
- D’accord Christine.
- Tu es bien dans mon string ?
- Oui, très bien.
- Pas trop mal aux testicules ?
- Un peu gêné par la ficelle qui a tendance à les séparer.
- Oui je sais, c’est fait exprès, mais pense à tout à l’heure quand je serais nue et que je te donnerais mon corps.
- Oh oui, madame, euh Christine.
Je bandais encore plus, j’imaginais Christine sans rien.
Le serveur nous amenait l’addition, Christine la payait et nous nous dirigeâmes vars la voiture.
- Avant de monter dans la voiture, tu vas quitter ton short Michel.
- D’accord.
J’ouvris la porte de la voiture et m’exécutât avant de rentrer dans la voiture. Mon sexe sortait du string, et mes couilles étaient très écartées l’une de l’autre. Christine, en s’asseyant remontât sa robe jusqu’aux premiers poils de son sexe.
- Alors, Michel, je vois que tu bandes encore. Tu as envie de moi ?
- Oh oui Christine, très envie de vous.
- Passe ton doigt sur ma fente
- Oui Christine, hummm comme c’est mouillé et chaud…
- Lèche ton doigt
- Ouiii hummm, trop bon votre mouille.
- On y va ?
- Oh oui Christine.
Nous roulions en direction de la maison, je bandais comme un fou, mon désir montait de plus en plus.
- Tu vas voir Michel, je vais t’apprendre l’amour.

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