Philippe, Mon Voisin Impitoyable - Bonus Avec Richard (Partie 1)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

(Cette partie de l’histoire se focalise sur mon aventure avec Richard, (l'ami de Philippe). Elle se déroule à la fin de « Philippe, mon voisin impitoyable - Partie 5 », juste après que je me sois rendu chez Richard pour lui rendre sa clé.)

Allongée dans le lit aux côtés de Richard et enveloppée dans un drap, je feignais de dormir tout en repensant à ce qu’il venait de se passer. Sans réfléchir, je m’étais rendu à son appartement avec une robe aguicheuse et il m’avait donné ce que j’étais venu chercher : une incroyable partie de jambes en l’air et plusieurs orgasmes. Cette fois-ci personne ne m’avait ou fait de chantage, j’y étais allée de mon plein gré. La relation que j’avais eue avec Philippe m’avait bien changé. Du haut de mes 21 ans et en seulement quelques mois, j’étais passée de la jeune fille sage qui n’avait eu que très peu d’expériences sexuelles à la maitresse d’un homme marié de 30 ans mon aîné qui me démontait le bassin à chaque fois qu’il me baisait et qui m’avait fait aimer ça. Cependant, après l’embuscade qu’il m’avait tendu pour que je couche avec Richard afin que ce dernier garde le silence sur notre relation et surtout vu la façon dont il m’avait humilié par la suite, j’avais décidé que jamais plus je ne retournerai avec lui. Et puis il y avait Richard, justement, qui me troublait de plus en plus. Rien de tout ça n’avait de sens, lui aussi méritait mon mépris et ma colère pour m’avoir fait chanter, mais ces derniers temps, plus rien de ce que je faisais n’avait vraiment de sens et ses coups de reins me faisait complètement perdre la tête.

Une sonnerie de téléphone retentit dans la chambre. Je sentis le lit bouger et quelques secondes plus tard, la voix grave de Richard résonna dans mes oreilles. La conversation semblait plutôt intime et il ne tarda pas à quitter la pièce pour continuer sa discussion. Je savais qu’il était divorcé, Philippe l’avait mentionné une fois, mais peut-être avait-il quelqu’un d’autre dans sa vie (à 50 ans c’était même prévisible) auquel cas, une fois de plus, je n’étais pas à ma place.

Dans un moment de lucidité, j’ouvris les yeux, je sortis du lit puis me rhabillai à toute vitesse. Il fallait que je sorte de là. Il était temps que je redevienne la Morgane que j’avais été autrefois, ce qui signifiait : plus de sexe avec qui que ce soit sans être dans une relation sérieuse, encore moins s’il était assez vieux pour être mon père et surtout s’il était marié ou en couple. Il fallait que ça s’arrête. Je décidai de ne plus revenir ici, lieu ultime de la perversion et de la débauche. Richard était quelque part dans le fond de l’appartement mais je pouvais toujours l’entendre. Je récupérai toutes les affaires que j’avais pu laisser ici avant, puis profitant du fait qu’il soit occupé, je quittai les lieux sans rien dire après avoir déposé sa clé sur la table de la salle à manger.

Lorsque j’arrivai devant mon immeuble, j’aperçus Philippe au loin. Lui aussi m’avait vu et il se dirigeait tout droit sur moi. Je ne voulais pas le voir et encore moins lui parler. J’accélérai mes pas puis une fois à l’intérieur du bâtiment, je grimpai les marches de l’escalier le plus vite possible.
-Morgane, attends, s’énerva-t-il en me poursuivant.
Refusant de subir une nouvelle confrontation avec lui, je me mis à courir et une fois arrivée en haut, je me ruai vers ma porte d’entrée. À toute vitesse, je déverrouillai la serrure, m’engloutis dans mon appartement puis je claquai la porte derrière moi avant qu’il n’eut le temps de me rattr.

Juillet 2011 arriva. Une bonne semaine s’était écoulée depuis ma dernière partie de jambe en l’air avec Richard et j’avais aussi réussi à éviter Philippe pendant tout ce temps. J’avais eu besoin de changer d’air, d’oublier que j’avais un vagin entre les cuisses et pour cela, j’étais allée passer quelques jours chez une amie. Cependant, nous étions déjà vendredi et le temps de retourner chez moi était arrivé.

Il était presque 18h lorsque je gravis les marches de l’escalier qui menait à mon appartement.
De loin, j’entendis des voix et des éclats de rire. Mon cœur s’accéléra. Une fois arrivée sur le palier, je sursautai lorsque je tombai sur Philippe et Richard en train de discuter tranquillement. Je devais vraiment avoir la poisse. Quand ils me virent, ils s’arrêtèrent aussitôt. J’étais tellement mal à l’aise que je virai au rouge. Sans un mot, je m’avançai vers ma porte d’entrée puis je sorti mes clés pour ouvrir la porte. Ce moment me sembla vraiment interminable. Quand je déverrouillai enfin la serrure, je m’engouffrai dans mon appartement, puis après leur avoir lancé un bref regard, je refermai derrière moi.

Fait plutôt rare, mes parents étaient tous les deux déjà à la maison, ma mère dans la cuisine et mon père dans le salon. Après les avoir embrassé, j’allai dans ma chambre déposer mon sac de voyage puis je filai me doucher avant d’aller aider ma mère. Alors que nous nous apprêtions à diner, quelqu’un sonna à la porte et mon père alla ouvrir. C’était Richard. Que pouvait-il bien vouloir ? Ma gorge se noua et le stresse commença à m’envahir.
-Bonsoir, dit-il. Excusez-moi de vous déranger. C’est à propos de votre fille.
Mon sang se glaça. Il n’allait tout de même pas révéler à mes parents mes coucheries avec Philippe ? Il m’avait fait payer de ma personne pour qu’il garde ça pour lui. Tétanisée, je m’avançai vers la porte en le suppliant du regard.
-Que se passe-t-il avec ma fille ? l’interrogea mon père.
-J’ai trouvé ça par terre.
Dans sa main se trouvait un post-it avec mon prénom écrit dessus.
-Je pense que c’était collé sur votre porte, poursuivit-il en me gratifiant d’un regard indiscret.
Curieux, mon père attrapa le bout de papier mais avant qu’il n’ait eu le temps de lire quoi que ce soit, je lui arrachai sauvagement des mains.
-Tu as un admirateur secret ou quoi ? me demanda-t-il étonné par ma réaction.
Rouge de honte, je ne lui répondis pas.
-Ah, les jeunes ! s’exclama-t-il en secouant la tête.

-Merci, lançai-je timidement à l’égard de Richard.
Puis, après l’avoir remercié à son tour, mon père referma la porte et nous nous installâmes à table pour diner. Alors que ma mère était en train de me servir, je lus ce qu’il y avait d’écrit au dos du post-it : « Sois chez moi à 21h ce soir et mets ton string noir en dentelle. Tu ne voudrais pas que j’ébruite tes petits secrets…Richard ». Le sang me monta à la tête. J’étais à la fois furieuse et effrayée. Que ce serait-il passé si mon père avait pu lire ça ?
-Alors, lança ma mère, c’est ton petit ami qui t’écrit des mots d’amour ?
-Je n’ai pas de petit ami maman, répliquai-je en essayant de rester le plus désinvolte possible. C’était juste un mot de Lucas.
-Si tu le dis, lança-t-elle amusée.
Puis, me forçant à garder une attitude normale, je déchirai le bout de papier en mille morceaux sous la table.

A 21h pile, je sonnai à l’appartement de Richard. J’avais dû raconter à mes parents que j’allais passer la nuit chez une amie et après cette histoire de post-it, j’avais dû être encore plus convaincante que jamais pour qu’ils ne se doutent de rien. Lorsqu’il m’ouvrit, la colère que j’avais ressentie un peu plus tôt en lisant son mot s’intensifia.
-Très ponctuelle ! me dit-il en me faisant entrer.
Avec appréhension, je pénétrai à nouveau dans l’appartement dans lequel je m’étais juré de ne plus revenir.
-À quoi vous jouez ? lâchai-je, incapable de me retenir plus longtemps. Nous avions fait un arrangement. Vous m’avez quasiment à faire cet arrangement !
-Toi, à quoi tu joues ! me répondit-il froidement en m’agrippant les poignets. Tu croyais pouvoir débarquer chez moi à n’importe quelle heure pour satisfaire tes besoins de jeune fille en chaleur et te volatiliser ensuite dès que j’aurai eu le dos tourné ?
-Ça n’avait pourtant pas eu l’air de vous déplaire, lui lançai-je sur le même ton.
-Tu sais très bien de quoi je parle ! dit-il énervé.

Décidée à ne pas me laisser intimider, je me forçai à soutenir son regard noir. Même dans cet état-là, il me troublait énormément.
-Moi aussi je peux jouer à ce jeu-là Morgane !
Brutalement, il lâcha mes poignets, m’attrapa par la taille et me colla contre la table à manger en prenant bien soin de frotter son entrejambe contre moi. Nerveuse, mon corps défaillit et je lâchai mon sac par terre. Il était bien trop près de moi et sentant l’excitation m’envahir, je tentai de me dégager et de le repousser. En vain. Il faisait une tête de plus que moi et était beaucoup plus imposant.
-Aujourd’hui c’est moi qui ai envie de toi ma grande, me dit-il sèchement.
Sans ménagement, il remonta ma jupe moulante en haut de mes cuisses puis commença à me caresser à travers mon string. Incapable de résister plus longtemps à ses attouchements, je le laissai faire. Il écarta ensuite mon string sur le côté et introduit son majeur dans ma chatte. Je me mordis la lèvre et le fixai dans les yeux. Il m’enfonça un deuxième doigt et cette fois je ne pu m’empêcher de gémir. Il aurait pu faire ce qu’il voulait de moi, j’étais complètement sous son emprise. Il approcha ensuite ses lèvres des miennes, m’embrassa furieusement et me doigta. C’était trop bon. Puis brusquement, il se retira.

Il me poussa sur la table et sauvagement, il releva ma chemise, dévoilant ainsi mon soutien-gorge noir en dentelle qui s’accordait parfaitement avec le string qu’il m’avait ordonné de mettre. Lentement, il approcha sa bouche de mon nombril, me lécha la peau, puis descendit vers mon bassin, tout en me débarrassant du dernier bout de tissu qui couvrait encore mon intimité. Une fois arrivé sur mon pubis rasé, il m’écarta les cuisses au maximum et remonta mes jambes, puis délicatement, passa sa langue sur mon clitoris. Je me cambrai de plaisir. Il joua de longues minutes avec ma petite boule de chair, la lécha et la suça, puis de ses deux mains, il alla libérer mes seins de mon soutien-gorge pour aller caresser mes tétons. J’étais au bord de l’explosion. Il remonta ensuite sa bouche vers mon ventre, puis vers mes seins qu’il lécha fougueusement et enfin mon cou et mes lèvres. Tout en m’embrassant, je l’entendis ouvrir sa braguette et peu de temps après, je sentis son gland à l’entrée de mon vagin. D’une main, il maintint ma tête sur la table en m’agrippant par les cheveux, puis d’un coup sec, il s’insinua en moi.

Mon souffle se coupa. Il resta comme ça un moment avant de se décider à bouger. Petit à petit, il se retira, puis il me pénétra à nouveau, cette fois-ci jusqu’à la garde. Il me martela ainsi de ses coups de bite pendant de nombreuses minutes. C’était extraordinaire. Je ne pouvais plus retenir mes gémissements. Les mouvements brusques de son bassin et ses grognements me rendaient complètement folle. Sa queue était tellement énorme qu’il me faisait mal, mais le plaisir était encore plus intense. Sentant que je n’allais pas tarder à jouir, je plongeai mes mains sous sa chemise pour l’agripper le plus possible et le forcer à aller encore plus loin en moi. Quelques secondes plus tard, les parois de mon sexe en feu se contractèrent autour de son énorme bite, puis dans un hurlement de plaisir, je jouis. Épuisée, je restai clouée sur la table le temps de récupérer un peu, tandis que Richard, toujours calé entre mes cuisses, avait les yeux rivés sur moi.
-Tu comptes t’enfuir à nouveau ? me demanda-t-il froidement en approchant ses lèvres de mon visage.
Cette façon qu’il avait de me parler, de me regarder, comme s’il me possédait…Il me faisait presque peur, mais c’était exactement ce qui m’excitait le plus chez lui. Je fis un non timide de la tête.
-Très bien ! Parce qu’il me reste encore assez d’énergie pour te mettre complètement KO.
Il se décolla de la table puis m’aida à me redresser. Je repensai aux nouvelles résolutions que je m’étais imposée la semaine dernière : plus de sexe avec qui que ce soit sans être dans une relation sérieuse, encore moins s’il était assez vieux pour être mon père ! J’avais cédé à la première tentation. A quoi bon lutter ? Peut-être étais-je tout simplement devenu accros ? Peut-être fallait-il que tout ceci m’explose à la figure une bonne fois pour toute ? Je ne savais même pas si Richard avait vraiment quelqu'un dans sa vie, mais là tout de suite, je m’en fichais. Pour le moment il était avec moi et j’étais à lui. J’avais envie de lui, j’avais envie qu’il me démonte, encore et encore, jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir sur mes jambes. Puis, sur cette pensée, je le suivis dans la chambre et je le laissai me baiser jusqu’à ce qu’il se soit vidé en moi.



***A SUIVRE***

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