La Tache De Mayonnaise

Après ma séance adultère dans les bois avec Olivier, il m’avait déposé au bureau afin que je recupere ma voiture. Discrètement, je me rendais au parking, pour prendre ma fiat, rentrer à la maison, et me changer en urgence. J’avais du sperme plein ma robe, ainsi que sous mes bas déchirés qui me collait à la cuisse. Je ne pouvais donc pas me permettre de croiser quelqu’un dans cet état. Alors que je sortais du parking, je croisais la voiture de Richard, qui rentrait de sa pause déjeuner et retournait travailler. Il m’avait forcement vue et devait se demander ou j’allais. Je rentrais rapidement à la maison, ne répondant pas à ses appels. Une fois à la maison je me précipitais dans la chambre, prenais dans mon armoire une élégante jupe portefeuille mi longue en cuir de couleur taupe, ainsi qu’un pull en tissu cotelé elasthanne à haute extensibilité, marron unicolore, moulant avec une encolure dégagée, mettant en valeur ma poitrine pulpeuse. Alors que j’enlevais ma robe, j’entendis la porte s’ouvrir, c’était Richard. Je n’avais plus le temps de changer mes sous vetements et enfilais donc rapidement ma jupe en cuir et mon pull, juste à temps avant que mon mari ne rentre dans la chambre. Essouflée et génée, j’avais toujours mes bas remplis de sperme et ma robe pleine de taches trainant sur le sol.
- Et bien ma chérie que se passe-t-il, j’ai essayé de t’appeler mais tu ne répondais pas.
- Ohhh Richard rien de grave j’ai juste renversé mon sandwich plein de mayonnaise sur ma robe je suis rentrée me changer en vitesse.
- Ahhh, bon tu m’as fait peur, je craignais quelque chose de grave…
- Ohhh tu es trop mignon tu es revenu que pour cela, ne t’inquiète pas, je finis de me préparer et je repars pour le bureau.
- Mais tu es prête, allez viens je t’emmène…
J'étais coincée, prise au piège, sans aucun échappatoire. Je n'avais pas d'autre option que de suivre mon mari, sans avoir eu le temps de me changer, avec le risque que tout le monde aperçoive mes bas déchirés, sous ma robe portefeuille en cuir.

Je prenais mon manteau pour suivre mon mari, et retournais au bureau. Une fois dans la voiture, il me complimenta pour le choix de ma tenue.
- Tu es super sexy dans ta jupe en cuir et ton petit pull moulant même si j'aimais bien ta robe de ce matin, j'aime beaucoup la tenue de l'après-midi
- Merci mon chéri tu sais que j'adore quand tu me fais des compliments
- C'est même plus que des compliments, tu vas me faire bander comme un âne cet après-midi au bureau à te balader comme ça
- Oh Richard s'il te plaît ne sois pas lubrique
- Je ne suis pas lubrique je suis juste surexcité. Tu sais que je raffole de tes formes de bourgeoise mature. Je regrette de ne pas avoir pris un peu de temps pour m'occuper de ton gros cul avant de partir, je t'aurais mis encore un peu de mayonnaise.
- Oh Richard tu es vraiment un coquin
Il continua de conduire de la main gauche, alors que sa main droite se posa sur ma cuisse, afin de me caresser au travers de ma jupe en cuir. Sa main essayait d'écarter ma jupe, avec le risque de faire apparaître mon bas déchiré et rempli de sperme. Je posais ma main sur la sienne afin d'éviter de révéler mon adultère. Je je savais qu'il n'aurait de cesse de jouer avec moi jusqu à ce qu'il puisse enfin me relever ma jupe et me prendre tel un animal bestial, avec le risque de voir le foutre qui me recouvrait les cuisses. il me fallait trouver maintenant un stratagème pour éviter cette situation à tout prix. Je savais qu'il avait un fantasme réel pour l'échangisme , qu'il adorait me partager avec d'autres hommes, me voir me faire baiser dans toutes les positions possibles, mais tout cela sous son contrôle et son approbation, et qu'il ne tolérait pas que je puisse le tromper sans son consentement . J'étais en panique complète il me fallait trouver une solution au plus vite. Je prenais le taureau par les cornes me penchant vers lui alors alors qu’il conduisait.
- Je suis sûr que tu veux vider toute ta mayonnaise dans ma bouche.
Ça tombe bien, je meurs de faim. J’ai envie de te sucer.
- Vas-y prends moi en bouche ma belle salope
Je pris son sexe en bouche, l'avalant entièrement, tout en le masturbant, espérant le faire jouir rapidement et ainsi calmer ses ardeurs pour le reste de la journée. Je savais que le faire jouir était la meilleure solution pour qu'il se concentre sur son travail et ses réunion, me laissant le temps de trouver une solution pour mes sous-vêtements immaculés. Il me tenait la tête par les cheveux tout en se laissant faire, essayant de se concentrer à conduire alors que j'activais la pression de mes lèvres pulpeuses, le masturbant de plus en plus vite. Alors qu'il allait exploser il me releva la tête rapidement.
- T'es vraiment la reine des putes, je vais te donner en pature à mes collaborateurs. Ils vont tous te baiser les uns les autres cet après-midi.
- Ça t'excite de savoir que je me fais prendre par d'autre mec avoue le
- Oui j'aime te regarder te faire défoncer,
- Tu es un petit cochon, un petit vicieux, mais moi je veux juste ton sexe et rien d'autre. Je veux que tu gicles sur mes gros seins. Et si je te faisais une bonne cravate de notaire dans ton bureau pendant ta conférence téléphonique avec la Pologne.
- Tu es vraiment une grosse cochonne. T'essaye de m'exciter avoue le, mais j'ai une autre idée. Une fois arrivé au bureau je te donne 1h pour revenir avec le sperme d'un collab et après je te défoncerai sur le canapé
- Richard tu es un monstre je ne veux que toi. Tu sais que je n'aime pas que tu me partages avec d'autres
- Obéis ma cochonne, et je te promets le plus beau shopping de ta vie ce week-end en récompense
Les évènements me poussaient dans une direction totalement opposée à ma première idée, mais finalement avec un peu de chance je pouvais manipuler cela à mon avantage. Arrivée au bureau, je me rendais dans celui de Patrick, notre directeur commercial qui fantasmait sur moi depuis longtemps, ayant en plus abusé de mon corps lors d'une soirée partouze avec Jérôme dans une usine désaffectée.
Se croyant protégé par un masque, il ne doutait pas que je connaissais la vérité. Il allait devoir m’aider. Je rentrais dans son bureau, fermant la porte et m’installais sur un fauteuil.
- Patrick je vais être très directe avec toi. Je sais que c’était toi à l’usine, et que tu as abusé de moi… Je t’ai reconnu sous ton masque et Jérôme m’a tout avoué. Maintenant si tu ne veux pas que j’en parle à mon mari lui disant que tu m’as violé, il va falloir m’aider …
- Quoi, mais qu’est-ce que tu racontes, je ne comprends pas… Jamais je n’aurais fait….
- Ça suffit !!! Je n’ai pas le temps, ou tu m’aides ou je te denonce ?
- Que veux tu de moi, me faire chanter ?
- Tu vas maccompagner aux toilettes, et m’aider à résoudre un petit problème…
- Je suppose que je n’ai pas le choix ?
- En effet, suis-moi maintenant
Il me suivit tout penaud, marchant quelques mètres derrière moi dans les couloirs de la société. Je me dirigeais vers le patio central des ascenseurs, ou se trouvait les toilettes. Il marqua un temps d'arrêt, attandant que je sois à l'intérieur avant de m’emboitter le pas. Il referma la porte derrière lui, nous laissant tous les 2, debout l'un contre l'autre, confinés dans ce petit espace de quelques mètres carrés.
- Vas-tu enfin me dire ce que tu attends de moi maintenant
- C'est très simple je veux que tu sortes ta bite, que tu te masturbes, et que tu gicles sur mes bas
- Ben voyons, juste comme ça en claquant des doigts, pour ton information je ne suis pas une machine, je ne fonctionne pas sur demande, et au risque de paraître vieux jeux, je suis un sentimental
- Tu n'étais pas très sentimental la dernière fois quand tu m'as mis ta bite dans la bouche pour me remplir de sperme
- Tu sais très bien que les conditions étaient différentes et que nous étions dans un partage de fantasme
- Très bien dis toi que c'est la même chose aujourd'hui maintenant dépêche toi je n'ai pas le temps
Il finit par obtempérer, sorti son sexe flasque, et commença à se masturber sans arrivait à déclencher une érection, son sexe restant définitivement mou.
Je m’impatientais, et à priori mon comportement l’intimidait. Afin de le motiver, je remontais ma jupe en cuir, laissant apparaître mes bas déchirés aux travers desquels on pouvait distinguer les traces de sperme qui avaient séchés. Il me regarda les yeux écarquillés, bredouillant quelques mots, pour finalement me saisir par les épaules et me poussait à m'asseoir sur la cuvette des toilettes. Son sexe prenait quelques forces, se raidissant juste devant mon visage. alors que ses yeux étaient rivés sur mes cuisses, il me prit la main dans laquelle il positionna son sexe à peine dur
- Si tu veux que ça aille plus vite tu as qu'a trouver le bon moyen de me motiver, branle-moi après tout on n'est jamais mieux servi que par soi-même
- J'aurais dû me douter que tu allais profiter de cette situation
- Pour une fois que je suis l'offre et toi la demande, j’en profite, active-toi. Pendant ce temps raconte-moi un petit peu ce qui t'es arrivé ça m'intéresse
- Ça ne te regarde pas
- Raconte-moi, sinon je sors de ces toilettes sans t'avoir donné ce que tu cherches
- Tu es vraiment un beau salaud, de profiter de cette situation mais bon je suppose que je n'ai pas trop de choix. Disons que j'ai une matinée animée qui a laissé des traces et pour les faire disparaître j'ai proposé un petit jeu à mon mari, d'ailleurs si tu ne vois pas d'inconvénient je vais filmer et ne t'inquiète pas on ne verra pas ton visage. En revanche je veux que tu éjacules sur mes cuisses
je branchais mon téléphone tout en continuant à branler le sexe de Patrick qui était devenu bien raide sous la pression de mes caresses. Il profitait entièrement de la situation posant ses deux mains sur mes gros seins afin de les palper avec délectation. Au bout de quelques minutes de cette caresse, et alors que je pensais qu'il allait enfin se vider, il me saisit par les cheveux et le menton m’écarta les lèvres et poussa son sexe fond de ma gorge. Je réagis essayant de le repousser mais sa pression était trop forte, profitant de ma détresse afin de me baiser la bouche. je le suçais afin d'en finir rapidement, alors qu'il avait passé sa main sous l’encolure de mon pull pour profiter de mes mamelles laiteuses. Il me palpait vigoureusement mes gros seins tout en grognant sous la pression de mes caresses buccales, je sentais qu’il allait venir. Il sortit enfin son gros nombre qu’il dirigea vers mes cuisses ecartant mes bas déchirés pour se répandre au même endroit que mon amant du matin.
- Voilà patronne j'espère que tu es satisfaite du travail de ton collaborateur préféré et si tu as d'autres besoins de ce type je suis à ta disposition.
,Il sorti des toilettes, me laissant seule me réajuster avant de rejoindre mon mari dans son bureau pour ce que j'imaginais être un véritable feu d'artifice. Je retournais à mon bureau, et visionnais la petite vidéo, que j'envoyais ensuite à mon mari par WhatsApp avec comme titre « une tâche de mayonnaise qui vient de détruire mes bas ». J'attendais quelques minutes et recevais comme réponse.

@Patricia : Tu es vraiment une grosse pute, je suis curieux de savoir qui est l'heureux élu qui a eu le droit de répondre sa mayonnaise sur tes cuisses de salope . je t'attends dans 30 minutes dans mon bureau, je te promets tu vas déguster ma cochonne .

30 minutes plus tard, comme convenu je rentrais dans son bureau, il était en vidéo conférence via zoom. Il se leva pour prévenir son assistante de ne pas nous déranger et referma la porte reprenant sa place assis à son bureau.
- Viens me montrer tes belles cuisses toute sale, et dis-moi qui est le petit cochon qui t'as fait cette tache de mayonnaise et qui a détruit ces joli bas
Je relevais ma jupe, montrant mes cuisses protégées par mes bas déchirés, et recouvertes de tâches blanches. J'avais donc réussi à dissimuler mon adultère du matin, au prix d'une fellation dont avait profité notre directeur commercial. Néanmoins, même si le danger était derrière moi, il me fallait encore subir les assaults de mon mari qui était de toute évidence surexcité . il me fit signe de passer en dessous de son bureau alors que sa conférence se poursuivait. Je me glissais à genoux devant son fauteuil et libérais son sexe bien droit et bien raide pour l’engouffrer dans ma bouche. Je le suçais de manière rapide mais langoureuse m’apliquant à lécher son membre à grand coup de langue de bas en haut le sachant très friand de cette pratique je ne pouvais le voir mais l’imaginais faisant un effort considérable afin de ne manifester aucun signe devant cette caméra. J'alternais aussi avec mes mains, le masturbant rapidement en espérant qu'ils jouissent vite. À mon grand désarroi, il fut beaucoup plus résistant que prévu. Il avait glissé une main en dessous de son bureau attrapant mes cheveux pour me forcer à le reprendre en bouche. Je continuais cette fellation pendant plusieurs minutes écoutant en parallèle sa conférence qui était en train de se terminer. Il raccrocha le téléphone, coupa la caméra, se releva et me tira par les cheveux pour, m’entrainer vers son canapé sur lequel il me poussa à 4 pattes, fesses en l'air. Il releva ma jupe, révélant mon string toujours souillé par mon amant du matin et me donna une énorme claque sur ma croupe qui était encore rouge de la correction que j'avais prise par Olivier
- Je vois que tu as le cul tout rouge ma salope, la patronne se prend des fessées dans les toilettes par ses collaborateurs. Tu sais qu’ils rêvent tous de gicler sur la poufiasse mature déguisée en bourgeoise que tu es. Tu fais bander les hommes de la boite et ça c’est bon pour la productivité. Et en plus tu sais que ça me rend fou de savoir que tu vas faire malmener par mes employés. Je suis sûr que ça excite la grosse cochonne que tu es.
- Ooooohhhh Richard tu es un démon, prends-moi vite, je veux ton sperme chaud en moi.
- C’est sur ta jupe que je vais gicler ma mayonnaise, pour que tout le monde dans la boite sache que tu viens de te faire baiser comme une grosse pute !!!!!!
- Ahhhhhhhh, Ouiiiiiiiiiii !!!!!!!!
Alors que j'étais à 4 pattes sur le canapé ma jupe relevait, il avait écarté mon string pour me pénétrer d'un coup sec sans aucun préliminaire. il se tenait à mon porte-jarretelles et me défoncait comme une bête immonde avide de profiter des formes de la femelle qui était à sa disposition. Alors que je commençais à gémir bruyamment il m'arracha mon string pour l'utiliser comme un bâillon, me l’attachant autour du visage et de la bouche. Je n'étais que sa poupée, son objet, qu'il avait décidé d'utiliser pour épancher son plaisir de prédateur sexuel. Il me baisa de cette façon pendant quelques minutes avant de me relever pour me pousser contre la porte et me reprendre par derrière jouant avec la proximité de sa secrétaire qui était juste à quelques mètres de l'autre côté de la cloison. Les mouvements de nos corps raisonnaient sur la cloison et la porte, ce qui ne devait sûrement pas échapper à l'assistance, qui ne devait pas en perdre une goutte. Il continuait à me chuchoter à l'oreille des atrocités
- Bouge-moi ton gros cul de sale pute, dis-moi que t'aime sa grosse cochonne
- Oui continue vas-y baise-moi comme un porc je suis ta cochonne défonce moi la chatte
- Tu es la plus grosse des putes que je connaisse, continue à bouger tes belles fesses
Il me palait mes gros seins tout en me parlant à l'oreille. il tira d'un coup sec sur l'encolure de mon pull libérant de la même façon ma poitrine qui balottait au rythme de ses va-et-vient
- Regarde-moi ces beaux gros nichons qui n'attendent que de se faire pétrir tu mérites une belle nichonade!!!!
Alors qu'il continuait à me baiser avec une rare violence, il défie sa cravate, ramena mes bras dans le dos et m’attacha les poignets avec. J'étais maintenant bâillonnais avec ma culotte et attachais avec sa cravate, alors que son énorme sexe me possédait comme un démon, me plaquant le visage contre la porte tout en me tenant fermement par les cheveux. Je jouissais malgré la violence que m'imposait mon mari, gémissant sous mon bâillon telle une chatte en chaleur. Il continua à me marteler la croupe dans cette position pendant plusieurs minutes, avant de me ramener sur le canapé me couchant sur le dos et de me re pénétrer violemment. Il m’avait passé ses bras derrière mes cuisses, afin de m’écarter les jambes qu'il faisait reposer sur ses épaules, amplifiant ainsi l’impact de ses coups de bites dans ma chatte meurtrie. Il accélérait ses mouvements bestiaux tout en me regardant dans les yeux et continuait à me dire des choses cochonnes.
- C'est bien regarde-moi bien dans les yeux quand je te saute. Oui continue, tu bouges bien sous l'homme ma belle, j'adore voir tes belles miches bouger pendant que je te défonce
- Hummmmm, Hummmm, Hummmmm
- Je vais te donner en pâture à tous les mecs du bureau ma salope, tu vas être leur récompense quand ils auront bien performé quand penses-tu ? Ça te plairait de te faire sauter tous les jours au bureau !!!!!
- Hummmmm, Hummmm, Hummmmm
Il me souleva, me prenant debout au milieu de son bureau, face à lui, mes jambes enroulaient autour de son dos, afin d’augmenter la pression et ses mouvements de reins qui rythmaient la danse. Il m’emmena au 7eme ciel, me faisant jouir encore une fois comme une folle, me soutenant de ses mains accrochés à mon gros cul. Il me reccoucha sur le sofa, et continua à me piloner pendant quelques minutes, et alors que j’allais perdre connaissance suite à ces orgasmes multiples, je sentis enfin son foutre chaud se répandre sur mon visage mes cheveux et mes gros seins. Il gicla des quantités de spermes impréssionantes, utilisant mon pull pour essuyer les taches et pour finir me laissait me reposer quelques minutes.
- Regarde-toi tu es toute sale, tu as de la mayonnaise jusque dans les cheveux, je veux que tu restes comme ça toute l'après-midi
- Richard je suis toute sale je dois me nettoyer tout le monde va se douter de ce qu'on vient de faire
- Justement ça m'excite encore plus de savoir qu'ils te prennent pour une grosse salope
- Tu es vraiment un démon c'est sûrement pour ça que je t'aime
- Ma beauté roule-moi une belle patoche tu as gagné une belle séance de shopping ce week-end. Crédit illimité pour t'acheter des vêtements de bourgeoise que je me ferais un plaisir de recouvrir de sperme
Je retournais travailler affrontant le regard moqueur de l'assistante de mon mari qui avait dû profiter de tous les détails de notre échange. J'avais finalement évité le pire, mon mari ne s'était pas aperçu de mon adultère, et en plus j'avais gagné une séance de shopping avec crédit illimité. Il restait pour finir l’homme de ma vie et c'est pour ça que je continuais à l’aimer depuis autant d'années.

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