Dans Le Sous-Sol De Mon Immeuble (Fiction Écrite En 06/2013).

Agé de 20 ans à peine, je vis dans la banlieue est de Paris où mon père travaille comme ouvrier d’entretien dans une cité HLM. Sa compagne Fatima est, quant à elle, gardienne d’une loge de la même cité. Sa fille Karima, jeune mère célibataire âgée de 25 ans, partage notre logement avec son bébé de quelques mois.

Notre logement est tout juste suffisant et pour avoir la possibilité de retrouver quelques potes, j’ai aménagé dans le sous-sol de l’immeuble un local vide et sans usage. Depuis quelques mois maintenant, j’y retrouve Hervé, un ex copain de lycée, et Frédéric un pote qui habite le même immeuble. Bien sur ce ne sont pas les seuls à y venir… Nous y bavardons, refaisons le monde à notre goût, buvons raisonnablement, fumons des pétards de temps à autre...

Souvent Karima ne demandait où je pouvais bien disparaître presque tous les soirs après la journée de boulot et le diner… Chaque fois je lui répondais que c’était une histoire de mecs et qu’elle n’avait pas à s’en occuper ! Je commençais à en avoir assez qu’elle me pose toujours la même question si bien que ce dernier vendredi je lui ai dit :
- Si tu veux voir où je vais, tu n’as qu’à venir avec moi !
- D’accord Kévin, attends-moi, je couche bébé et j’arrive.

Quelques instants plus tard, nous retrouvons Hervé et Frédéric qui sont accompagnés par deux filles que je ne connaissais pas encore. Ce soir, nous fêtons l’anniversaire de Frédéric et en prévision, j’ai garni le réfrigérateur (de la récup’) d’une provision de bières, gin et vodka. Pendant que nous bavardons de nos projets pour le weekend un DVD défile sur l’écran d’une vieille télévision… sans que nous y prêtions trop attention.

Soudain, l’une des filles s’écrie :
- Mais c’est un film de cul ! Cochons ! Vous nous avez tendu un piège !

Et en se tournant vers sa copine elle dit soudain :
- Viens ! Partons ! Ne restons pas là !

Pourtant rien ne s’est passé ! Nous n’avions aucune mauvaise intention… Bref nous nous retrouvons trois garçons en compagnie de Karima… qui s’écrie :
- Quelles connes, elles ne savent pas ce qu’elles perdent ! Une bonne baise, çà n’a jamais fait de mal ! Bien au contraire ! Se faire ramoner la chatte et le cu… qu’est ce que c’est bon !

Oui mais si je la suis bien : Les deux filles étaient avec Hervé et Frédéric… Nous serions restés à l’écart elle et moi… ou bien ??? Quelle surprise lorsque je vois Karima se lever, faire glisser sa robe légère et apparaître sous nos yeux en soutif et string noirs…

Je savais que c’était une jolie femme aux formes un peu dodues mais là, je peux la contempler tout à loisir.

Je découvre sa poitrine opulente avec des seins ronds et généreux de jeune mère, ses hanches bien galbées sous une taille étroite et flexible si bien que je commence à ressentir une certaine raideur dans mon boxer. Je tente en vain de la refréner… nous n’avons aucun lien de sang mais je la considère un peu comme une grande sœur ! Elle dit à Frédéric qui est affalé sur un fauteuil quelque peu déglingué :
- Baisse ton jean, à toi l’honneur !

En disant cela, elle s’agenouille près de lui et d’une main, elle fait descendre son boxer pour aller caresser la queue déjà à moitié bandée. Puis elle l’embouche, allant et venant sur cette tige de chair qu’elle enduit de salive tout en masturbant les couilles rondes qui roulent entre les cuisses de mon copain. Après quelques minutes de cette fellation, elle se retourne vers nous et demande :
- Vous avez des capotes ? J’ai envie de me faire sauter !

Bien sûr, nous en avons ! Même si ce local ne nous a jamais réellement servi de baisodrome, nous sommes prudents lorsqu’il nous arrive de sauter une meuf de rencontre. Et là, je pense que Karima n’a pas envie de se faire engrosser une seconde fois… Elle-même déchire l’enveloppe du préservatif et le déroule sur la bite de Frédéric qui est littéralement à la fête. Elle lui dit :
- Viens maintenant ! Baise-moi comme une chienne ! Ce sera mon cadeau d’anniv’

Aussitôt elle fait glisser son string et sauter son soutif et se met à quatre pattes pour que Frédéric la prenne en levrette. Waouh quelle belle meuf ! Sa peau bistre n’est entachée par aucune touffe de poils : sa chatte est complètement nue… Ses seins lourds balancent sous son buste mais ils sont semble t’il tellement fermes qu’ils restent bien en place ! Mon copain se place derrière son fessier et s’introduit d’une seule poussée tout au fond de la chatte qui s’offre à lui. Rapidement il entreprend le va-et-vient, baisant Karima avec force et vigueur et chaque fois fait claquer son pubis contre le cul en s’écrasant sur les rotondités des fesses charnues.

- Oh que c’est bon de se faire sauter ! çà faisait si longtemps ! Hervé, approche toi que je te suce, tu me baiseras aussi après.

L’ambiance tourne carrément à l’orgie même si Karima est la seule femme… Elle s’offre aux males présents. Elle se fait baiser par Frédéric et suce en même la queue qu’Hervé branlait quelques minutes plus tôt. Moi-même, je n’en peux plus tant je bande. J’ai également sorti ma queue de mon boxer pour me masturber doucement !
- Kévin, ne gicle pas ! Je m’occuperai de toi ensuite !

A ce moment-là, Frédéric jouit et entraine Karima dans sa jouissance et tous les deux s’affalent sur le fauteuil. Hervé reste la queue bandée… dressée comme un pieu devant son ventre… Dès que Frédéric se dégage de Karima, celle-ci se retourne, saisit la bite d’Hervé et dit :
- Belle bête ! Tu vas bien me baiser ! Assieds-toi sur le fauteuil, je vais m’empaler sur ta queue !

De nouveau Karima couvre le sexe qui va la pénétrer, enjambe les cuisses d’Hervé et en lui faisant face, elle introduit le vit dans sa chatte en descendant doucement sur la tête :
- Waouh ! Quelle queue ! Vas-y mon salaud ! Remplis-moi bien !

Et là, les seins ballottant devant le visage d’Hervé, elle entreprend de se baiser elle-même, montant et descendant sur la bite en des mouvements lents. Comme hypnotisé par cette poitrine ronde, Hervé la couvre des mains et pince les tétons entre ses doigts.
- Oh oui ! Continue, c’est bon ! Bouffe moi les tétons !

Ce coquin ne se fait pas prier… il approche sa bouche d’un sein et saisit le bourgeon entre ses lèvres, tire dessus et l’étire. Karima frémit de tout son corps sous cette caresse buccale mais n’arrête pas de se baiser, allant de plus en plus vite dans ses mouvements, à la recherche rapide d’une nouvelle jouissance. Celle-ci arrive, soudaine ! Karima se tétanise en bramant plusieurs fois :
- Oouuaahhh ! Que c’est bon ! Vas-y ! lâche-toi !

Je vois Hervé faire quelques mouvements du bassin pour faire aller et venir son sexe dans celui de Karima et il jouit à son tour alors que sa partenaire s’affale sur son torse.
Elle reste ainsi de longues minutes à récupérer puis elle se relève et ôte le préservatif de la queue d’Hervé. Elle se baisse à nouveau sur ce sexe et l’embrasse en disant :
- Merci ma belle ! Tu m’as bien fait jouir !

Nous restons encore à bavarder tous les quatre… à moitié nus mais, vue l’heure déjà tardive Frédéric et Hervé nous quittent et je reste seul dans ce local qui m’a permis de découvrir dans Karima une sacrée baiseuse ! En moins d’une demi-heure, elle s’est fait prendre par deux mecs à la suite… Et il me semble que cela ne lui suffit pas car dès que mes potes sont partis, elle m’entreprend. Elle est toujours nue et je ne porte que mon boxer car en cette fin de printemps, il fait chaud dans cette pièce ! Elle s’approche de moi, se fait chatte en me disant :
- Grâce à toi, je me suis bien fait baiser ce soir ! Tes potes peuvent me demander quand ils voudront ! Mais maintenant, c’est toi que je veux !

Et elle baisse mon boxer, découvrant ma bite à moitié bandée. Elle m’avait demandé pendant qu’Hervé la baisait d’arrêter de me branler si bien que j’étais resté les couilles pleines… Aussitôt elle embouche ma queue dans une gorge profonde que je savoure. Mes copines ne m’ont jamais sucé jusqu’à avoir mon pubis en contact avec leur bouche… Elle m’aspire jusqu’au fond, travaillant avec ses lèvres et ses joues pour m’aspirer ! Je bande désormais comme un cerf quand Karima s’exclame :
- Kevin ! Ta bite est faite pour sodomiser les filles ! Elle est longue et fine ! Tu vas me défoncer la rondelle ! Il a bientôt deux ans que je ne me suis pas fait prendre par derrière ! J’en ai marre de godes !
- OK ma belle ! Quand tu veux et ce que tu veux ! Ce sera notre secret !

Aussitôt Karima se replace en levrette sur le vieux fauteuil et je me couvre. Il n’y a pas besoin de préparation supplémentaire tant la soirée que nous venons de vivre et la perspective de baiser et sodomiser cette belle femme, m’excite… Je lui baise d’abord la chatte à longs traits, sortant et entrant pour mieux la reprendre ensuite.
Je vois son œillet qui palpite et semble m‘appeler à chaque fois ! Que c’est excitant ! Ce n’est pas la première fille à qui je vais défoncer le cul, mais celle-là me branche terrible !

Puis j’appuie la pointe de ma bite à l’entrée secrète dont l’anneau s’écarte doucement :
- Vas doucement, nous n’avons pas de gel !

C’est vrai que rien n’était prémédité ce soir… Nous avions juste des capotes… J’entre donc doucement dans ce cul serré qui se moule bien sur ma queue… dès que je suis entré à fond :
- Hhuuummmm ! C’est bon ! Que tu es serrée !
- Oui, c’est bon ! Tu as été doux ! Vas y maintenant, ne me fais plus attendre !
- OK ! Tu vas voir comment je vais te défoncer la rondelle…
- Oh oui, défonce moi le cul… j’aime tant çà ! c’est presque meilleur que par devant !

Mes mains accrochées autour de la taille de Karima, je la sodomise à longs traits mais je veille à rester dans son cul pour n’avoir pas à forcer sur son anneau… Que c’est bon ! Chaque fois que j’arrive au fond, elle pousse un feulement de bête fauve et s’agite comme si elle voulait que j’aille encore plus loin. Elle avait raison quand elle nous disait tout à l’heure qu’elle était en manque de baise ! C’est vraiment une chaudasse qui aime la queue par tous les trous !

Je sens mon plaisir monter dans mes reins et dans ma queue et quand j’envoie la sauce au fond de la capote, Karima jouit à son tour. Je reste en elle de longues minutes car nous avons besoin de récupérer un peu… puis d’elle-même, elle se dégage, se retourne, ôte la capote et gobe à nouveau ma bite après avoir dit d’un air salace :
- Kevin ! Je veux goûter ton sperme !

Et elle entreprend de nettoyer mes sécrétions abondantes qui engluent mon sexe. Elle me pompe si bien que je suis à nouveau raide, prêt à repartir pour une autre partie de galipettes mais ce n’est pas ce que veut Karima : Elle me pompe à fond jusqu’à ce que je gicle dans sa bouche et sur ses seins !

Quelques temps plus tard, nous regagnons discrètement nos chambres respectives non sans nous être encore copieusement embrassés comme des furieux. Avant de nous quitter Karima me dit doucement à l’oreille :
- Quand tu en auras envie, dis le moi ! On ira dans le sous-sol.

C’est sur ! Je vais bien en profiter ! Une femme comme çà, avec de l’expérience, gourmande, c’est le pied ! Ensuite, pas de complicatio

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!