La Matraque Du Gendarme

Je vais vous raconter une de mes histoires, vécue comme toujours. C'est par une annonce passée sur un site que j'ai rencontré Mat. Mon annonce disait en substance: Cherche passif/actif pour éclate mutuelle, branle, caresse, lèche, suce pour initier en profondeur les novices motivés. Respect et discrétion. J'avais précisé maxi 55 et s'ensuivait, une courte description. Moi 52 174 95 actif/passif poilu, 19X5.
Mon annonce publiée, j'ai attendu jusqu'en fin d’après midi une réponse rédigée ainsi : Salut, j'ai lue ton annonce que je trouve hyper intéressante. Je suis jeune novice de 28 ans, cheveux bruns courts, barbe courte 175 63 kg. Je recherche un initiateur pour des jeux actifs/passifs. Après quelques échanges par mail. Dont un échange de photos mutuel de nos entre cuisses, nous avons convenus d'un rendez-vous pour le soir. Je le sentais un peu stressé sur la façon d'amener le plan sexe. Je lui ai précisé que l'on prendrait l'apéritif afin de faire connaissance et que rien n'était défini, et que chacun pouvait stopper à tout moment, s'il n'y avait pas d'affinité.
Il est 20heures et mon téléphone bipe . Nous avons échangés nos numéro pour se prévenir. Je suis là me dit-il. Auparavant j'ai préparé quelques amuses-bouches pour l'apéritif que j'ai disposés sur la table. J'ouvre la porte, et je découvre un beau mec athlétique, en short chamarré et rayé. Tee shirt bleu qui moule à merveille ses pectoraux. Il est brun, une barbe de 4 jours, des yeux marrons, et un sourire craquant. Il entre, je l'accueille au salon. Nous échangeons quelques banalités et nous asseyons dans le canapé après avoir servi deux whiskies. Il s'appelle Mat et me dit qu'il est gendarme. Très souvent en mission à l'étranger. Et qu'il repart dans quelques jours. Très cool ce mec. Néanmoins, les poils drus sombres de ses cuisses et ses mollets, provoquent une démangeaison au niveau de mon entre jambes, c'est épidermique chez moi.

Nous discutons un bon quart d'heure, et ma main n'y tient plus. Mes doigts se posent sur sa cuisse velue délicatement. Et là il prend carrément ma main et la pose sur son sexe par dessus sa braguette. J'étais loin de m'attendre à cela. Pour un novice, il me semble hardi le gaillard. Je porte un pantalon de lin, il pose à son tour sa main sur mon sexe. Il sent la bête éveillée sous le tissus fin.

Retires moi ça. M'intime t-il dans un ordre sec en désignant mon fut.
Je me lève pour ouvrir la ceinture et la braguette quand il me dit
- D ailleurs, tu vires tout. Fous toi à poil.
La tournure de la soirée change tout à coup. Il décide de prendre les choses en mains.

Je me désape, le pantalon tombe, je relève le tee-shirt par dessus ma tête. Mon boxer tombe.Il est debout face à moi et me mate en ayant juste ôtées ses baskets et chaussettes et son tee shirt. Et là Mat me dit: «bouges pas j'en rêve depuis toujours». Il tombe à mes pieds et chope ma queue déjà bien bandée. Il entrouvre ses lèvres et vient gober mon gland, qu'il vient de décalotter complètement en douceur entre son pouce et son index. Je reçois comme une décharge électrique au moment ou il entre mon sexe dans sa bouche. La fraîcheur et la douceur de son palais sont un régal. Il fait entrer et ressortir mon zob qui a pris toute son ampleur , il maintient la base de mon sexe, et le branle.
Tu me dis si je ne m'y prends pas bien.
Mes soupirs de plaisirs, sont un encouragement. Il sort sa langue et part lécher mes testicules. Pour un novice ça me semble être curieux.

Je ne dis rien car je prend du plaisir mais je vois que le naturel prend le dessus. C'est lui le chef. Il veut contrôler et donner ses ordres comme avec les hommes qu'il dirige. Mes mains caressent son dos puisqu'il est toujours à genoux. Je palpe son torse et titille ses petits mamelons. Mes doigts suivent les courbes de ses pectoraux. Et je caresse les muscles de ses bras.

Que tu es beau. Quel beau corps seyant lui dis-je
Merci répond il.
Il repart de plus belle sur ma queue. Et là j'avoue que je pose une de mes mains sur l’arrière de son crane. J'ai trop envie de m'enfoncer en lui. Il se laisse faire ainsi. Je n'insiste pas outre mesure. Je relâche mon emprise assez vite pour qu'il respire. Sa langue tourne autour de mon gland. Je viens de lui demander de le faire. Il est très motivé, et bien appliqué. Que c'est bon. Il faut que je ralentisse la cadence sinon je vais venir dans sa bouche. Et puis j'ai bien envie de découvrir ce qui est encore enfermé dans son short. Voir si la photo est digne de l'original. Mat se redresse. Mes mains partent sur le bouton de short. Il est rapide car il ouvre son short quasi simultanément. Le short tombe et je me mets à genoux à mon tour, et je viens prendre à pleine dents la barre massive qui déforme le boxer noir. Putain ce calibre. Je mordille dans le sens de la longueur pendant qu'il insinue ses doigts dans l'élastique pour baisser son boxer. Une belle queue ferme et tendue vient claquer ma joue, au moment ou elle sort de sa prison de tissus. J'en ai trop envie en deux temps trois mouvements, je m'acharne dessus. Je part de son gland pour descendre jusqu'à ses couilles. La peau de ce monstre de chair est douce. Elle fait 20 sur 6. Un bon morceau circoncis. J'adore les queues circoncisent avec la démarcation de la teinte de peau plus claire sur 4 à 5 centimètres après le gland, et plus sombre plus bas. Ses burnes sont petites, deux prunelles, mais je prend plaisir à les suçoter l'une après l'autre en tirant sur la peau. Mat est nature, c'est à dire que son sexe est poilu. Non rasé, ses poils drus entrent dans ma bouche par moments. Cela ne m’empêche pas de jouer et de titiller sa queue massive. Je lève mes yeux vers lui comme pas défi. Il regarde vers moi. Trop fier de voir son engin défoncer la gueule d'un mec. Il prend son pied le militaire. Son bassin s'active d'avant en arrière.
Je caresse ses cuisses et ses mollets velus d'une main. L'autre caresse son fessier poilu. Je n'ose pas encore y aventurer un doigt. J'ai bien compris qu'il voulait mener la manœuvre. En tout cas pas besoin de maintenir son sexe d'une main . Il est bien rigide. Ma langue joue avec son méat, elle entre dans la petite fente et Mat se cabre. Au moins je sens que cela lui fait de l'effet. Et j'aspire sur son gland. Je suce, je lèche, je pompe un max. Et je rentre toute sa queue en gorge profonde que je maintien au fond de ma gorge , bouche close dessus. Et je reste ainsi quelques secondes avant de reculer et ressortir sa pine baveuse. Je lui propose de s'allonger en 69. Il refuse le 69, il veut que je vienne lui mettre ma queue dans sa bouche au dessus de lui. Ni une, ni deux, c'est parti. Il veut à son tour me faire une gorge profonde. A la dure, comme un bon militaire qu'il est. Mes couilles cognent sur son menton. Il aime visiblement ce genre de traitement. En tous cas, qu'est ce qu'il suce bien ce type. J'ai trop envie de lui dévorer le fion. Je lui soumets. Il est open. Je change d'angle. Je remonte ses jambes et ma langue se perd dans sa toison anale abondante. Il frémit dés le premier contact. J'écarte ses jambes et ma tête vient se lover juste au dessus de son trou. Je lèche comme un animal qui lape sa boisson. Ma langue part de son trou pour tourner tout autour. Puis elle remonte le long de sa queue. Engloutie et aspire son gland pour faire le chemin inverse.

Mat couine, il aime ce traitement, et à chaque retour au centre de sa corolle je sens qu'elle s'ouvre un peu plus. Et la pointe de ma langue pénètre davantage. Je mollarde deux, trois fois pour bien lubrifier. Et mon index vient écarter son fondement. Il entre sans forcer et fait le tour de son boyau anal. Cela contente mon partenaire qui me demande de venir m'allonger sur lui. Que nos ventres se touchent. Je sens son sexe turgescent. Nos verges s'épousent et se soudent. Il semble se contracter pour mieux sentir le contact de ma queue contre la sienne.
Il me demande de descendre mon corps pour que ma queue arrive a la hauteur de son entre jambes. Il coince ma bite entre ses jambes. Elle est tendue à l’extrême. J’att un sachet de gel et enduit son trou car il me demande de faire coulisser ma queue sans l'enfoncer entre ses deux lobes de fesses à l'horizontale. Je comprends qu'il souhaite que nous passions aux choses plus sérieuses. J'ai bien sur enfilé un préservatif.
Coulisses contre moi fini t 'il par lâcher
Ses fesses bougent comme pour exciter davantage ma queue. Ce novice est vraiment bien volontaire, je pense un instant. Il est allongé sur le dos, moi sur lui, nos queues se rencontrent et soudain il saisit ma flèche pour la diriger entre ses fesses.
-Viens j'en ai trop envie, lance t-il comme une plainte.
Il empoigne ma verge et la positionne au dessus de son anus. Je sens mon gland pénétrer entre ses fesses. Ses sphincters font vite barrage. Je pousse légèrement, et là il pousse un cri, tel un rugissement.
Oh tu me fais trop mal. Arrêtes, arrêtes , c'est trop douloureux.

J'ai été trop confiant et trop brutal. Et je sais que lorsque l'on a mal ce n'est pas la peine d'insister. Je me redresse. Il me dit, j'ai envie d'essayer de sodomiser un mec. En l’occurrence moi, en fait. Je me mets en levrette et lui présente mon anus. Je mets du gel mais je me sens ouvert par le désir. J'ai trop envie qu'il me prenne. Je suis positionné sur le rebord les fesses offertes. Il avance vers moi. Peine à trouver mon trou du premier coup. Mais ça y est il bute contre l'entrée. Un premier coup de rein de maître. Il entre dans l’arène. Un second coup plus profond et je sens sa queue me pénétrer. A peine est il entré qu'il commence à me déboîter en de vigoureux coups de reins. Et il maintient mes hanches pour que je n'y échappe pas.
Bien sur je commence à miauler. J'adore sentir cette virilité en moi. Et voilà Mat qui me lance
Oh putain que c'est bon. Tu as un super cul bien étroit.
Je vois bien qu'il y prend plaisir tant la hargne d'y rentrer ses roubignoles l'accompagne. Je couine, je chuinte, c'est trop bon. Il me bourre bien à fond et j'y prend aussi un tel plaisir, que cela le motive davantage. Les coups sont profonds pour ressortir presque en entier et s'y renfoncer sans vergogne. Il a bien calé ses jambes de chaque coté de mes cuisses et il maintient mon corps ainsi je ne peux me dérober.
Je veux te prendre en missionnaire . Fini t il par dire au moment ou il dé cule.
Je me positionne sur le dos, jambes relevées. Il vient a genoux pour me pénétrer. Il manque d'aisance , il veut me faire un trou là ou il n'y en a pas. Il n'y arrive pas, et je lui propose de s'allonger que je puisse venir le chevaucher. Il s'installe et je me présente de dos et descend genoux fléchis sur son gourdin. Il le guide de ses mains. Je sens cette pine qui réinvestie mon antre. Je descend jusqu'à venir m'empaler dessus. Et je commence à monter et descendre. Je le sens plein de fougue. Il aime et donne des coups de reins pour accompagner mes mouvements.

Je sens cette vigueur en moi profondément. Quel kiff ! Une de ses mains accompagne mon corps lorsqu'il descend. L'autre empoigne ma bite bien raide et la masturbe. Il faut que je le vois. Je me relève et me tourne pour venir me ré-empaler . Son visage est radieux, et sa bite revient en moi. Je m'active dans un rodéo. Mon cul est en feu. Je sens soudain un désir monter en moi. Bien plus fort que tout. Je suis submergé par un courant qui traverse mon corps . Une onde qui part de mes fesses pour traverser mon corps et redescendre dans mon sexe. Plus raide que jamais il le saisi à nouveau. Et le branle. Et j'assiste en haletant à une montée de testostérone. Que c'est bon mes fesses se rétractent et enserrent son sexe plus fortement. Mat donne des coups de reins. Et je me met à jouir en criant. Mon sperme jailli. Je ne peux retenir cette déferlante de plaisir. C'est la première fois que je jouis de l'anus ainsi. C'est trop bon.
Ça monte me dit il soudain. Ou veux tu que je jouisse ?
- Sur mon visage, je veux ta sauce sur ma gueule
Il se retire, ôte en vitesse le préservatif. Et je me mets à genoux. Il branle vigoureusement sa queue turgescente. Il se met à crier, je ferme les yeux et je sens une giclée chaude sur mon front suivie d'une pluie de sperme sur le front les yeux et les joues. Puis un jet plus franc sur mon nez qui coule sur la commissure de mes lèvres. Cette chaleur associée à la puissance des jets est bienfaitrice. Mat rigole, mon visage enfourtré l'amuse. Il saisit l'essuie tout et me tend trois feuilles. J'essuie mon visage, pendant que lui éponge son chibre toujours gonflé. Je sens le sperme, je vais pouvoir aller à la douche. Mat se rhabille, il m'avoue avoir adoré. Mais me demande d’effacer son numéro de mon portable.
Je suis missionné en Turquie par l'armée, on ne se reverra pas.
Je pense que je n'oublierais pas de sitôt le gendarme de 28 ans qui m'a fait grimper au plafond.

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