Eva Termine Son Initiation

Je m'aspergeai le visage d'eau fraîche. J'étais dans les toilettes de la cafétéria de ma fac, et depuis un quart d'heure, je parlais à un garçon trop mignon. Plus la conversation durait, et plus j'étais mal à l'aise, et j'avais eu besoin d'une pause toilette pour me remettre d'aplomb. Je n'avais jamais été très à l'aise avec les garçons, j'avais même toujours été franchement timide. Voilà pourquoi j'étais restée vierge jusqu'à ce que mon Chéri me dépucelle trois mois plus tôt. Je l'appelais « mon Chéri » faute de mieux. Je ne savais pas vraiment comment définir notre relation. En trois mois on s'était vus plusieurs fois à la fac, mais on n'avait baisé que deux fois. Et si à chaque il m'avait totalement comblée, en se montrant tout à la fois tendre et sauvage, il n'était clairement pas mon « petit copain ». On ne sortait pas ensemble sauf pour baiser, il ne m'emmenait pas au ciné, au resto où à d'autres endroits de ce genre, et je savais qu'il baisait d'autres filles. Du coup, comme il ne me baisait pas assez souvent à mon goût, je m'étais décidée à aller draguer d'autres mecs. Mais plus facile à décider qu'à faire : j'étais très timide. Ce mec mignon à qui je parlais depuis un quart d'heure était le premier mec inconnu avec qui je parvenais à avoir un contact prolongé depuis un mois. Et au lieu de l'aborder, je m'étais contentée de loucher sur lui à distance jusqu'à ce qu'il vienne me voir… Pas terrible ! A présent j'avais bien établi le contact, mais maintenant qu'est ce que je devais faire ? Lui dire carrément que je voulais qu'il me baise ? J'étais un peu perdue. Inspirant profondément, je décidai malgré tout de retourner le voir, et de tout faire pour obtenir ce que je voulais.

Une fois retournée dans la cafétéria, je me figeai : le mec mignon était toujours à la table où je l'avais laissée, mais il n'était pas seul. Il discutait avec animation avec une très belle fille. Elle était brune, de taille moyenne genre 1,75m une un visage d'ange, et un corps de déesse.

Je vis tout de suite que je n'étais pas de taille à rivaliser. J'étais plutôt mignonne, de taille petite, un beau visage, et un corps attirant, du moins selon mon Chéri. Mais elle, c'était juste une bombe, on jouait pas dans la même catégorie. D'ailleurs, elle et le mec mignon échangeaient leurs numéros. C'était cuit pour moi. Dépitée, j'allais m'asseoir à une autre table. Je ruminais depuis une dizaine de minutes quand soudain quelqu'un vint s'asseoir en face de moi. C'était la belle brune qui m'avait « volé » le mec mignon. Elle me souriait d'un air agréable. Vue de près, elle était encore plus sexy : de beaux yeux noisettes, un visage parfait comme ceux qu'ont les mannequins, et les courbes de son corps étaient si harmonieuses. Elle était le rêve de tous les mecs… et le cauchemar de toutes les filles.

« Salut, je m'appelle Katherine et toi ? Me demanda-t-elle. »

« Eva. Grognai-je en me demandant ce qu'elle me voulait. »

« Je suis venue m'excuser me dit Katherine comme si elle avait lu dans mes pensées. J'ai contrarié tes plans non ? »

« De quoi tu parles ? »

« Je parle du mec dont j'ai chopé le numéro y a deux secondes. Tu le voulais non ? »

J'hallucinais. De 1 comment elle le savait ? A croire qu'elle m'avait observée pendant que je discutais avec le mec, ou pire pendant que je louchais sur lui… Et de 2 qu'est ce qu'elle me voulait ? Me narguer ?

« Mouais je sais pas, on discutait c'est tout. Répondis-je. »

Elle eut un petit sourire condescendant parfaitement insupportable.

« C'est pas en discutant avec des mecs que tu les mettras dans ton lit tu sais... »

« Quoi ?! »

Vu de l'extérieur on aurait pu croire que j'étais indignée voire choquée par son aplomb. Mais en fait j'étais juste surprise qu'elle aborde le sujet comme ça avec une inconnue aussi soudainement et tranquillement. Jamais je n'aurais fait ça.

« Oh allez fais pas ta Vierge Marie… Je t'ai vu baver sur lui… tu rêvais de l'avoir entre tes cuisses non ? Je te comprends.
Mais bon vu que t'es nulle en drague ça arrivera jamais, au lieu de ça, c'est moi qui l'aurai en moi. »

Bon ok j'étais tombée sur une barge. Je savais pas pour qui elle se prenait celle là, mais j'avais deux envies : lui coller une gifle bien sentie, ou alors me casser et la planter là. Soyons sérieux, je n'envisageai la première solution que deux secondes, le temps de me rappeler que je m'étais jamais battue de ma vie, que je n'oserais jamais, et qu'elle faisait presque deux têtes de plus que moi. Du coup je pris l'option numéro 2 : me tirer la tête haute. Je me levai et fis mine de quitter la table, mais Katherine fut plus rapide. Elle mit sa jambe en opposition, et m'obligea à me rasseoir.

« Assis ! Dit elle avec une telle autorité dans la voix que je ne songeai pas à désobéir. »

Un peu honteuse je restai assise et attendis.

« Bon écoute, reprit elle, je sais que ça peut paraître un peu bizarre, mais franchement quand je t'ai vue faire tes yeux de poisson mort à ce mec… quand je t'ai vue rougir comme une truite trop cuite à chaque phrase que vous échangiez… j'sais pas, appelle ça mon côté Joséphine ange gardien, mais j'ai eu envie de t'aider. »

Je restai complètement interdite. Je savais vraiment pas quoi dire. Reprenant contenance, je finis par répondre :

« T'es bien gentille mais j'ai pas besoin de ton aide… Merci, au revoir. »

« Ah oui ? Dis moi, combien de mecs t'as baisé dans ta vie ? Si t'en as eu suffisamment pour les compter sur les doigts de tes deux mains, je bois l'eau des chiottes... »

Je rougis légèrement avant de répondre :

« J'en ai eu qu'un, on a baisé deux fois. »

 Je savais pas pourquoi j'étais honnête, la gêne sans doute je n'arrivais pas à me concentrer. Katherine hocha la tête et dit :

« Tu vois ? On a le même âge, et pourtant, je me suis tapée vingt fois plus de mecs que toi… T'en aurais rien à faire je te laisserais tranquille, mais ça se voit que tu veux plus.
Je peux t'aider. »

Je ne savais toujours pas quoi dire. Katherine enchaîna :

« Écoute, tu te compliques la vie. T'es sexy, t'as envie de mecs, mais t'es trop timide pour les choper. Je peux t'aider, t'apprendre comment faire, et au bout d'un moment tu pourras coucher avec autant de mecs que tu veux... »

Je m'apprêtai à envoyer cette madame-je-me-mêle-de-tout sur les roses quand je me pris à m'imaginer me faire baiser par tous ces mecs… Le désir, exacerbé par le manque me fit répondre :
« Ok je veux bien. »

Elle eut un sourire satisfait :

« Bon ! Eh bien ça te dit qu'on commence dés maintenant ? Je sais exactement où t'emmener. »

Un peu gênée et inquiète je la suivis. Je me demandai dans quelle histoire je m'étais embarquée. Si j'avais su comment le journée se finirait, je l'aurai suivie en courant…

Katherine m'amena à une salle un peu à part. Lorsque nous entrâmes dans la pièce, je fus totalement surprise : je m'attendais à une sorte de bar, de salle où les jeunes « branchés » se réunissaient et où Katherine me dégoterait un beau mec. Mais on était… dans la salle du club d'échecs. On était entourés de mecs et de filles passionnés d'échecs, pour qui ce jeu était tout, et qui sans vouloir être méchante étaient loin d'être des canons. J'arrivai pas à croire qu'une fille aussi sexy que Katherine venait choper des mecs dans un endroit pareil. Surtout que plusieurs membres du club d'échecs la saluèrent, comme si elle venait souvent ici. Je la regardai d'un air franchement étonné. Elle me sourit et dit :

« Critique pas tout de suite, je vais te montrer un mec. »

Elle m'amena à distance d'une table et m'y désigna un mec.

« Tu vois celui là ? Avoue qu'il est mignon non ? Il s'appelle Jean. »

Elle me désignait un mec châtain les cheveux courts, des yeux verts. Il était penché sur son plateau d'échecs d'un air parfaitement concentré. Autant que je pouvais en juger, il était vraiment doué, son adversaire n'avait presque plus de pièces.
Il était craquant, mais clairement pas un dieu du stade. J'étais un peu étonnée, je m'attendais à un autre type de cible venant de Katherine.

« Euh t'es sûre que tu veux ce mec là ? »

« Je l'ai déjà eu tu sais. Il est pas mauvais... »

« Je t'imaginais pas baiser ce genre de mec... »

Katherine eut petit rire :

« Madame n'est pas satisfaite ? Madame veut un Apollon ? »

« Non mais... »

« Écoute, ce mec est mignon, et pas trop mauvais au lit. En plus c'est un mec un peu timide comme toi donc c'est une très bonne cible pour toi. Allez vas y. »

Le coeur battant de stress et les joues rougies par la gêne, je vins m'installer en face de Jean.

« Salut me dit il avec un sourire, tu es nouvelle ? »

« Oui, répondis-je d'un ton pâteux. »

« Tu as déjà joué aux échecs ? »

« Euh… vite fait. »

Mince comment lui dire que j'étais pas là pour ça ? Et voilà que Jean se mit à m'expliquer les règles du jeu parlant si vite que j'avais pas le temps d'en placer une. Merde comment j'étais censée lui dire que j'étais là pour baiser ? Après m'avoir expliquée les règles, il me fit démarrer une partie. Je n'avais toujours rien dit de séduisant. J'étais complètement perdue. Je me dis que si je jouais avec lui, je pourrais lui parler longtemps et peut être le séduire. Mais j'avais un peu sur estimé mes compétences aux échecs : en moins de 5 minutes j'étais déjà sur le point de perdre tant j'étais nulle à ce jeu et tant j'étais perturbée. Jean avait beau jouer gentiment, il me ratatinait. Je me noyais complètement.

Soudain Katherine fit irruption à notre table l'air exaspéré.

« Stop je suis désolée mais là j'en peux plus. Désolée Eva, ma petite, mais je sais pas en quoi t'es la plus nulle : aux échecs ou en drague. Bon déjà, là, tu bouges ton fou ici, ensuite tu lui prends son cavalier avec ta tour comme ça . Là il va devoir mettre sa reine en protection de son roi, et donc tu lui prends avec ton cavalier. Voilà, là déjà tu reviens dans la partie. »

J'étais un peu sonnée, elle parlait encore plus vite que Jean.

« Euh… répondis-je. »

« Katherine ? Dit Jean stupéfait, qu'est ce que tu… »

« Ensuite, reprit Katherine question drague c'est facile avec ce genre de mecs : regarde. Toi dit-elle à Jean, au lieu de rester la bouche ouverte comme ça tu sors tes fesses de la pièce et tu m'attends dehors. Ce soir c'est bonga party pour toi. »

Jean ouvrit la bouche et la referma. Puis sans un mot, il quitta la salle.

« Tu vois ? C'est pas dur ! Persifla Katherine. »

« Ok mais... »

Elle me coupa la parole :

« Écoute, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle, la mauvaise c'est que t'es définitivement nulle pour draguer, peut être la plus mauvaise fille que j'ai jamais vue. »

« Ok merci… Et la bonne c'est quoi ? »

« La bonne nouvelle, c'est que je sais comment arranger ça. »

« Ah oui ? »

« Ouais. T'es nerveuse parce que tu penses à ce que tu vas faire avec le mec après l'avoir dragué… Et comme le côté sexe tu le maîtrises pas, tu paniques pendant que tu dragues et tu sais plus quoi dire. »

« Tu crois ? Répondis-je dubitative. »

« J'en suis sûre. Faut déjà que t'apprenne à baiser avant de t'apprendre à draguer. Comme ça, tu seras à l'aise. »

« Bon, si tu le dis… C'est toi la prof. »

Nous allâmes donc tous les trois chez Jean. Tout comme moi, il paraissait assez surpris du tournant pris par les événements, mais curieusement, ne semblait pas s'en plaindre… Quant à moi, j'essayai de comprendre comment j'en étais arrivée là. Une fois chez Jean, Katherine prit les choses en mains.

Elle nous saisit tous les deux par le pantalon, et nous entraîna dans la chambre de Jean. Elle me poussa sur une chaise et dit :

« Toi tu restes assise et tu prends note… pour l'instant. »

Puis elle se tourna vers jean et le poussa sur le lit. Il s'y étala de tout son long, tombant sur le dos.

« Et toi, lui dit elle, je te préviens je serai pas aussi douce que la dernière fois… La petite a besoin de voir une vraie femme en action. »

Jean semblait terriblement excité. Au point de ne presque plus pouvoir parler. Tout ce qu'il put dire c'était :

« Ok va y, fais comme tu le sens. »

Elle se pencha sur lui, et lui arracha le pantalon. Elle vint ensuite sur lui pour l'embrasser fougueusement. On aurait dit qu'elle voulait lui dévorer la bouche tant elle l'embrassait sauvagement. Elle avait enroulé ses bras autour de sa nuque, et le tenait étroitement. Sa poitrine se collait contre Jean, tandis que ses fesses frottaient régulièrement son caleçon, déjà déformé par une monstrueuse bosse. Katherine était toute habillée, mais ce contact devait être délicieux. Elle était très entreprenante, et très « animale », elle prenait totalement possession de Jean. Je me sentais incroyablement chaude en observant ce spectacle. Je ne pouvais que rêver être aussi chaude lors de préliminaires ! Et ce n'était que le début.

Elle plaqua à nouveau Jean contre le matelas, puis en un tour de mains, elle lui arracha sa chemise, dévoilant un corps fin, sans une once de graisse avec des muscles très légèrement dessinés. Ce n'était peut être pas le corps d'un Apollon, mais Katherine se jeta dessus comme si il s'agissait de tablettes de chocolat. Puis elle descendit, sa bouche traçant un sillon brûlant sur le corps de Jean, et lui arracha le caleçon avec les dents (oh là là là !) dévoilant une belle verge, d'au moins 16 ou 17 centimètres. Avec un sourire gourmand, Katherine se jeta dessus et démarra une belle fellation. J'en avais déjà fait à mon Chéri, et je l'avais même fait jouir par ce moyen une fois. Je m'estimais donc naturellement douée pour la chose. Pourtant en voyant Katherine gober ce sexe et le sucer comme une folle, je me dis que je ne savais peut être rien de la fellation. Elle prenait la bite de Jean dans sa bouche, coulissait avec, l'inondant de salive, allait à un rythme effréné, arrachant au « pauvre » garçon des hurlements de plaisir, avant de brutalement ralentir et la déguster comme c'était une glace. Elle sortait parfois sa langue pour donner des coups ça et là, ou lécher la verge tout le long, et parfois aussi s'occupait des boules de monsieur.

Tout en le suçant, elle faisait quantité de commentaires, du style « tu vois en le suçant comme ça il est totalement à moi », ou encore « tout en suçant bouge ta langue comme ça, effet garanti ! » et aussi « 

Jean semblait totalement assommé par ce traitement, il se tenait le visage à deux mains, et semblait sur le point de défaillir. Mais Katherine n'en n'avait pas fini. Elle fit tomber son jean et son shorty, ne gardant que le haut. Après quoi, elle s'empala sur lui, et démarra ses terribles va-et-vient. Elle le chevauchait d'avant en arrière, allant à un rythme très élevé, le culbutant férocement. Jean gémissait à en perdre la voix, comme si il était une fille. Katherine le tenait par le menton, et le regardait droit dans les yeux en signe de défi, un sourire moqueur aux lèvres. Elle alternait ses coups de reins allant aussi bien de gauche à droite ou de haut en bas que d'avant en arrière. Elle me faisait là aussi des commentaires du style « tu vois faut bouger comme ça ». De temps à autre, elle lui griffait le torse. Elle me fournissait un spectacle incroyable, elle était telle une amazone chevauchant son homme comme une déesse, bougeant son corps de rêve magnifiquement, et surtout dominant totalement Jean. C'était incroyable de voir un mec aussi dominé, se tenir le visage dans les mains, de l'entendre gémir comme si c'était lui qui était pénétré, de voir Katherine mener totalement la danse. Ça me donnait une terrible envie : moi aussi, je voulais baiser comme ça, moi aussi, je voulais dompter des hommes de cette façon. Moi aussi je voulais être une amazone, moi aussi, je voulais dominer. J'étais incroyablement chaude, j'avais l'impression de pouvoir ressentir tout ce que ressentaient Katherine et Jean. Le champion d'échecs n'était pas le genre de mec à pouvoir subir longtemps le traitement que lui infligeait Katherine : les coups de reins de la brune étaient de plus en plus forts, et il ne tarda pas à avoir un puissant orgasme, qui lui arracha un véritable hurlement. Katherine poussa un petit cri à son tour, elle en avait eu un elle aussi.

Essoufflée mais visiblement heureuse, Katherine se rhabilla, et dit

« J'ai besoin d'un verre, tu viens Eva ? »

Je la suivis après avoir jeté un coup d’œil à Jean : il était étalé sur son lit, complètement sonné, l'air de se demander si il n'allait pas mourir et rejoindre le Paradis. Je suivis Katherine hors de la chambre, tout en l'observant. Je me demandai si une fille de son genre pouvait vraiment être comblée sexuellement par un mec comme Jean. Après un ou deux verres pris dans la cuisine de Jean, Katherine me demanda.

« Alors, t'en as pensé quoi ? »

« Euh… Ca avait l'air incroyable, t'es sacrément douée. Mais Jean a pas l'air de tenir très longtemps... »

Katherine eut un sourire.

« Faut savoir qu'en général les mecs supportent pas un traitement de ce genre très longtemps, ils tardent pas à jouir. Tu dois donc trouver ton compte rapidement, atteindre l'orgasme vite. »

« D'accord, je m'en souviendrai... »

Je me demandais si mon Chéri était capable de tenir le choc.

«  Est ce que tu te sens de faire la même chose ? »

« La même chose ? Tu… tu veux dire baiser comme toi ? »

Katherine eut un sourire devant mon incertitude.

« Comme moi, pas exactement, ment t'auras pas le même niveau que moi, mais je voulais dire, baiser Jean en le dominant. Ca te donnera de la confiance en toi, garanti ! »

« Mais tu crois qu'il se laissera faire ? »

« Il est plus docile que beaucoup de mecs… Et si il se rebelle trop pour toi, je serai là... »

Je me sentais incroyablement nerveuse, mais Katherine sans se préoccuper de mon hésitation m'entraîna dans la chambre. Jean était visiblement remis de ses émotions.

« Prêt à reprendre du service ? Lui demanda Katherine. »

« Avec joie, répondit Jean. »

« Bon… Je vais m'asseoir ici, et c'est la miss ici présente qui va s'occuper de toi. Eva, ce monsieur n'attend plus que toi. »

D'un pas hésitant, je m'approchai de Jean. Mon coeur cognait dans ma poitrine comme si j'allais me jeter du haut d'une falaise. Rouge comme une pivoine, je saisi le visage de Jean à deux mains et l'embrassa doucement. Il me rendit mon baiser sur le même ton.

« On est pas à la maternelle ici… Roule lui une pelle bon sang ! M'intima Katherine. »

Je pris mon courage à deux mains, et me jetai sur Jean, l'embrassant avec fougue. Embrasser, ça, je savais faire. J'étais peut être novice en sexe, mais pas en baisers. Je me mis rapidement à donner le ton dans notre baiser, Jean étant totalement dépassé. Le désir commençait à monter en moi, et je me laissai emporter. Je le poussai sur le lit, et retirai mon pantalon et mon shorty. Son sexe était à nouveau dressé, je le voulais en moi, maintenant. Je m'empalais dessus avec un gémissement et me mis à faire des va-et-vient. Je tâchai d'imiter Katherine, même si je me doutais que j'étais loin d'atteindre son niveau. Néanmoins, je chevauchai Jean avec application, lui donnant des coups de reins rythmés et puissants. Je le vis bien vite se décomposer sous le plaisir que je lui apportai, et il ne tarda pas à gémir. J'envoyais un garçon inconnu il y a encore une heure au 7ème ciel ! Moi ! La petite Eva coincée était entrain de baiser ce mec mignon de plus en plus vite, allant d'avant en arrière, le faisant gémir toujours plus fort. Le plaisir devenait intense, je fermai les yeux tant il était fort… Et soudain, tout changea.

Je sentis soudain les mains de Jean me saisir les hanches, et me renverser. Je le sentis me retourner, et me prendre en levrette avant que je n'aie eu le temps de faire quoique ce soit. Il se mit à me baiser fortement me pilonnant à un rythme élevé. Il était moins doué que mon Chéri qui excellait dans cette position, mais je prenais un sacré pied quand même. Jean me tenait fermement par les hanches et me limait sans s'interrompre, c'était sauvage, presque brutal, mais j'adorais ça. Mais je me rappelais que j'étais censée dominer. J'en étais loin là… Je pensais à reprendre le dessus, mais de 1, le plaisir était trop intense, et de 2 je ne voyais pas comment faire dans cette position. Pire, à chaque aller retour de Jean en moi, je me sentais plus proche de l'orgasme. Il fallait faire vite « Katherine viens m'aider ! » je jetai un coup d’œil à ma prof : elle restait impassible sur son fauteuil, un léger sourire aux lèvres. Jean, comprenant qu'il avait gagné me tira par les cheveux, et se mit à accélérer encore. Le plaisir était intense, et je finis par avoir un délicieux orgasme en même temps que lui.

Sonnée, je restai un peu étendu sur le lit, tandis que Jean s'allongeait, savourant son triomphe. Souriante, Katherine se leva de son siège, et me fit signe de me rhabiller et la suivre. Je m'exécutai docilement. J'étais mécontente de moi. Jean m'avait dominée facilement, j'étais loin d'être comme Katherine ! Celle ci cependant ne semblait pas déçue de ma prestation. Nous nous assîmes dans sa cuisine, et elle me tendit une bouteille.

« Bois. »

« Je bois pas trop... »

« Je t'ai pas dit de te descendre toute la bouteille. Bois une gorgée. Après une partie de sexe, l'alcool y a pas mieux. »

Je bus une gorgée, et effectivement, ça faisait du bien. Ca ne diminuait pas la chaleur qui m'habitait depuis un moment déjà, mais ça ne l'augmentait pas non plus. Ca… l'entretenait en quelque sorte. C'était une douce sensation. Je rebus une gorgée et dis d'un ton piteux :

« Il m'a démontée. »

Katherine eut un gloussement.

« Oui. Mais t'as pas dit ton dernier mot. On va retourner dans cette chambre et tu vas lui faire voir 36 chandelles ok ? »

« On est pas sur un ring de boxe ici que je sache.  Répliquai-je. »

« Non, mais un orgasme apporté par une fougueuse cavalière met bien plus KO que n'importe quel direct… Je me suis tapée un boxeur, je sais de quoi je parle. »

J'avalai une autre gorgée. Je tâchai de réfléchir à comment satisfaire les exigences de ma prof. Me jeter simplement sur Jean en cherchant à le chevaucher ça marchait pas de toute évidence. Il fallait que je sois plus subtile… Katherine me donna des conseils, et je sus alors comment partir du bon pied. Je pris un peu de temps pour boire une ou deux gorgées de plus, histoire de me préparer mentalement à ce qui allait arriver. L'alcool aidant, je finis par me sentir totalement prête. D'un pas décidé, je retournai dans la chambre.

Jean nous attendait assis sur le lit, l'air de se demander ce qui allait lui arriver encore. Je me dirigeai droit sur lui, tandis que Katherine reprenait sa place sur la chaise. Je m'assis sur le lit à côté de Jean, et je lui murmurai :

« Prêt pour un second tour ? »

J'avais pris une voix basse et sensuelle, le genre de voix que Katherine m'avait conseillé d'utiliser pour exciter un garçon. Je me faisais l'effet d'être une parfaite idiote, mais Jean sembla apprécier. Nous nous embrassâmes aussitôt. J'enroulai un bras autour de son cou, il me tint les hanches avec ses mains. Nous nous embrassâmes de plus en plus fort. Je le sentis faire une légère pression il voulait m'allonger sur le lit. Je le poussais d'un coup plus fort, et le plaquais sur le matelas. Il était surpris. Je lui enlevai le haut promptement, et lui embrassai le torse, puis le bassin. Je descendais sensuellement, faisant monter la pression. La dernière fois, je m'y étais pris trop vite et trop fort, et à ce petit jeu, j'avais fini par perdre. Cette fois, j'y allais progressivement. Arrivé en bas du bassin, je retirai son jean, et prit son sexe en main. Il était déjà bien dur, c'était flatteur ! Je le pris en bouche et démarrai une fellation. J'avais beau ne pas avoir autant de technique que Katherine, j'étais quand même douée pour la chose. J'avais même fait jouir mon Chéri par ce seul biais, preuve que j'étais douée. Je dévorai donc la bite de Jean comme une folle, le pompait avec avidité, le léchait, le suçait. Je jouais de ma langue sur son gland, lui massait les boules, m'arrêtai parfois pour le branler sauvagement. Bref, je lui faisais la totale, l'envoyant au paradis rien qu'avec ma bouche et mes mains. Jean gémissait en se tenant le visage dans les mains. Je jetai un petit coup d'oeil à Katherine : elle approuvait ce que je lui faisais d'un petit hochement de tête. Je continuais de le sucer avec passion et vigueur, et je sentais que je tenais le bon bout (si j'ose dire), car Jean était de plus en plus sonné par le plaisir, et je prenais de plus en plus le contrôle.

Je finis par cesser ma fellation. Je ne voulais pas que Jean jouisse tout de suite. Il était étendu sur le lit, les yeux fermés, complètement assommé par le plaisir. J'étais ravie et étonnée de voir ce que j'étais capable de faire à un mec quand je me libérais. Et ce n'était qu'un début. Si Jean semblait sonné, son engin lui était toujours fièrement dressé. Je m'empalais dessus d'un coup sec. Je poussai un petit gémissement, et dit :
« Tu vas voir de quel bois je me chauffe ! »

Je démarrai alors de puissants va-et-vient, baisant Jean avec toute la dextérité dont j'étais capable. J'allais d'avant en arrière de plus en plus vite, secouant mes hanches comme jamais. J'observai Jean, et m'émerveillai de le voir se tordre de plaisir, de l'entendre gémir et de le sentir décoller sous mes assauts. C'était vraiment quelque chose de grisant de voir un homme succomber de la sorte sous votre talent. Je n'avais pas vraiment de technique, mais plus jeune, j'avais fait de l'équitation, et ça m'aidait vraiment. Je chevauchais Jean comme on chevauche un cheval. Je le baisais avec force et application, variant le rythme afin de toujours le surprendre. J'allais au début aussi vite que possible en accélérant progressivement. Jean se mettait alors à crier très fort, et je gémissais moi aussi. Puis je ralentissais le rythme, goûtant cette belle bite que j'avais en moi. Je le baisais alors en ondulant du bassin, nous frissonnions de plaisir, mais ce n'était pas l'extase brute que l'on ressentait lorsque j'allais à fond. Je prenais bien le temps de toiser Jean d'un regard supérieur. C'est pendant ces moments là qu'il se révoltait. Il se redressa une ou deux fois, avec la ferme intention de reprendre le dessus. Suivant les conseils de Katherine, je restais attentive pour anticiper ces moments là, et l'empêcher de reprendre le contrôle. Quand il se redressait, je le plaquais contre le matelas d'un coup, je le lui tenais les mains, et une fois, je le saisis même par les cheveux. A chaque fois, je reprennais aussitôt mes va-et-vient sur un rythme élevé, histoire de l'assommer de plaisir, et d'éviter la pure épreuve de force : il avait beau ne pas être un rugbyman, il était toujours plus fort que moi. Au bout d'un moment, je venais pour la quatrième fois de refouler Jean alors qu'il cherchait à prendre le dessus, et repris mes coups de reins sauvages et rapides. Je le défiai du regard en le fixant dans les yeux, tout en le baisant avec passion, et alors que je voyais son regard chavirer sous le plaisir, je sentis s'insinuer en moi un sentiment délicieux : un sentiment de victoire. Il était sous moi, entrain de gémir de plaisir, c'est moi qui le baisais, moi qui décidais du rythme, moi qui avais le contrôle. Il ne pouvait rien faire d'autre que se laisser aller.

Soudain je vis quelque chose bouger sur le côté. Katherine s'était levée. Elle vint se mettre derrière moi, et enroula ses bras autour de ma taille. Ses lèvres vinrent embrasser ma nuque, tandis que ses mains remontèrent vers ma poitrine. Elle se mit à masser mes seins à travers mon débardeur, avec plus de dextérité que mon Chéri. C'était la première fois qu'une fille me faisait un truc aussi érotique, et j'en restai paralysée momentanément. Elle me murmura à l'oreille « t'arrêtes pas ma petite, reprends ta chevauchée. » Comme hypnotisée, je me remis à baiser Jean. Je me mis cette fois à bondir et rebondir sur sa queue comme une folle lui arrachant de véritables hurlements de plaisir. L'extase montait et montait en moi, je me sentais complètement partir. La bite de Jean que je baisais comme une sauvage, les lèvres et les mains de Katherine qui me faisaient bouillir, tout cela me rendait complètement folle. Je vivais en même temps ma première expérience de dominante et ma première expérience bi, il y avait de quoi être retournée ! Je finis par avoir un dévastateur orgasme en même temps que Jean, qui nous laissa tous les deux vidés et sonnés de bien être.

Mais je réalisai bien vite que je n'étais pas rassasiée : loin de là. J'en voulais encore plus, et je voulais un « adversaire » plus coriace que Jean. Lui, je l'avais complètement baisé, il me fallait quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus résistant. Katherine au même moment reprit ses baisers et ses caresses sur moi, elle me rendit vite folle. Je me demandai à quoi elle ressemblerait, si « sa petite » la domptait un bon coup… J'eus une folle envie d'essayer.

Je me retournai, et me mis à embrasser Katherine avec passion. Je mettais de côté le fait que c'était une fille et que c'était la première fois que j'embrassais une fille de la sorte, pour simplement me concentrer sur le baiser. J'enroulai mes bras autour de sa nuque, puis mes jambes autour de ses hanches. Katherine me rendit mon baiser sur le même ton passionné mais je la sentais un brin surprise par ma fougue. Je devais en profiter. Je la poussai et la plaquai contre le matelas d'un coup, et m'installai sur elle. Je vis la surprise dans ses yeux, qui devint excitation lorsque je saisis ses poignets pour le tenir prisonnière. Je me mis ensuite à embrasser son cou, avant de descendre sur son buste que je léchai. Je lui retirai ensuite son débardeur, admirant son corps de rêve. Décidée à me mettre à l'aise je retirai à mon tour mon débardeur puis mon soutif, et pour une fois, je ne fus pas gênée d'être nue. Je saisis Katherine par la nuque, et l'obligeai à enfouir sa tête dans ma poitrine. Je ne le regrettai pas. Elle se mit à les embrasser avec une passions si brûlante que j'en fus toute retournée. Pendant qu'elle me dévorait la poitrine, je lui retirai son soutif. Puis je lui tirai les cheveux pour la sortir de mes seins, avant de la re-plaquer contre le matelas. J'avais une folle envie de sentir sa langue en moi, aussi je m'assis sur son visage, et lui ordonnai :

« Lèche moi ! »

Et alors, je vécus le cuni le plus incroyable de ma vie. La langue de Katherine tournoyait sur mon intimité comme une tornade. Le plaisir montait et montait en moi en vagues titanesques. Ma vue ne tarda pas à se brouiller et je lâchai bien vite de grands gémissements. J'avais beau être en position dominante, assise comme ça sur son visage, je ne me sentais pas du tout en contrôle. A chaque coup de langue de Katherine, je décollais, purement et simplement. Le plaisir montait et montai en moi, en une vague irrépressible. Mon cerveau était complètement paralysé, tout ce que j'étais capable de comprendre, c'est que je prenais un pied monstrueux. Ce qui devait arriver arriva. J'eus un monstrueux orgasme, peut être le plus intense que j'aie eu jusque là. Katherine en profita pour reprendre le dessus.

Elle me renversa et me plaqua à mon tour contre le matelas. Épuisée et sonnée par l'orgasme que je venais d'avoir, je pensais ne pas être en état de lui résister. Faiblement, je tentai de la renverser en enroulant mes jambes autour de sa taille. A ma grande surprise, cela fonctionna. J'avais du mal à croire que je domptais si aisément une telle amazone. Je la regardai droit dans les yeux d'un air moqueur. Jamais je ne m'étais sentie aussi puissante, aussi dominante. Cette fille qui domptait tout le monde, je l'avais à ma merci à présent ! Je résolus de lui faire autant de bien qu'elle m'en avait fait. Je décidai de lui faire un cuni. C'était la première fois que je faisais ça à une fille, mais je venais de recevoir une brillante leçon de la part de Katherine. Je lui dévorai l'intimité comme elle m'avait fait juste avant. Ma langue tourbillonna en elle, lui arrachant des gémissements d'extase. J'étais on peut plus fière de moi. Cette belle brune était étendue sur le lit à gémir de toute ses forces, et c'était grâce à moi. Seulement, je me rendis bientôt compte que même si je lui faisais du bien, j'étais loin de lui faire autant de bien qu'elle m'en avait fait tout à l'heure. J'avais beau accélérer le rythme de mes coups de langue, et me donner à fond, je n'y arrivais pas. De toute façon, je ne tardai pas à découvrir que je ne dominais pas vraiment Katherine. Celle-ci se laissait juste faire, et dés qu'elle en eut envie, elle reprit aisément le dessus.

Elle enroula ses jambes autour de ma nuque, et d'un simple mouvement, me renversa. Elle était désormais assise sur mon visage, en total contrôle. D'une voix autoritaire, elle m'ordonna de la lécher, et je n'eus plus qu'à m'exécuter docilement. Là encore, j'essayai d'être aussi douée qu'elle tout à l'heure, mais rien à faire. Pire, c'était Katherine qui dictait son rythme, me baisant la bouche en donnant des coups de reins. Elle me punissait pour ma rébellion, c'était un peu humiliant, mais surtout incroyablement bon.

J'avais renoncé à tout espoir de la dominer, lorsque soudain Jean entra en scène. Nous voir faire des choses l'avait probablement excité à fond, et lui avait permis de retrouver sa vigueur. Il décida visiblement de prendre mon parti : par derrière elle, il la saisit par les hanches, et la renversa. Il la mit à quatre pattes sur le lit, et la prit en levrette sauvagement. Je ne le pensais pas capable d'une telle sauvagerie, à croire qu'on évoluait tous sous la houlette de Katherine. Il la limait avec passion, la culbutant fortement. Katherine agrippait les draps, et gémissait doucement. Décidée à en profiter, je vins derrière elle, et claquai ses fesses si rondes et fermes. Puis je vins devant elle, et la tirant par les cheveux, je l'obligeai à me regarder dans les yeux.

« Eh bien alors, qu'est ce qui t'arrive ? Tu te fais mâter ma pauvre ? »

Katherine émit un drôle de bruit, à mi-chemin entre le ricanement et le gémissement. Puis, elle se redressa d'un coup, et poussant Jean, le fit tomber étalé sur le matelas. Elle se retrouva sur lui, lui tournant le dos, et le baisant comme une sauvage. Elle se déchaînait littéralement sur lui, se déhanchant comme une folle, arrachant de vrais hurlements à Jean. Tout en le baisant, elle souriait d'un air satisfait.

« Pff t'es nul Jean, tu te fais complètement mâté par une fille. T'as pas honte ? »

Je savais bien que j'étais de mauvaise foi en disant ça : Katherine n'était pas n'importe quelle fille. Mais bon, je ne pouvais m'empêcher de rajouter une couche de moquerie. Et je me disais que si je titillais Jean, il pourrait m'aider à dompter Katherine. Car je me sentais toujours très en confiance, et me dis que je pouvais peut être réussir à la mâter avec son aide. Je vins devant Katherine et l'embrassa avec passion et vigueur. Elle me rendit mon baiser sur le même ton, mais avec dix fois plus de sauvagerie. Lorsqu'elle me saisit par les hanches, et me jeta sur le matelas, je me dis que c'était peine perdue : impossible de dominer une telle tigresse, elle était trop sauvage, trop indomptable.

Katherine pivota, pour baiser Jean de face. Elle le chevauchait avec toujours plus de vigueur et de passion. Quant à moi, elle se mit à me doigter, afin que je me tienne tranquille. Son index fit des va-et-vient terribles en moi, et je ne tardai pas à gémir au moins autant que Jean. Elle nous baisait tous les deux à sa guise, chevauchant Jean avec force, au point de le bousculer sur le lit, et me doigtant avec vigueur, au point que j'en vienne à me dire qu'aucune bite ne m'avait fait ce qu'elle me faisait avec son index. Jean était sans doute celui qui prenait le plus son pied : Katherine allait et venait très vite sur lui, il était tout rouge, et criait à fond. Ses yeux étaient fermés, et il semblait sur le point de s'évanouir. Il ne put tenir très longtemps avant d'avoir un merveilleux orgasme qui le fit hurler et le laissa à moitié inconscient sur son lit. Katherine qui avait joui elle aussi vint vers moi. Elle se mit à quatre pattes devant moi, et se mit à me lécher. Elle reprit ses coups de langue en tornade, et le plaisir me balaya comme un ouragan. Je me mis à pousser de grands gémissements, et sentis l'extase monter en moi, et me remplir de façon insupportable. J'étais comme pleine d'un plaisir insupportable, et qui augmentait encore et encore à chaque coup de langue de Katherine. Je n'en pouvais plus, je devenais presque folle à cause de ce plaisir trop grand, trop intense. Ma vue se brouillait, et je criais : « stooop stoop Katherine je t'en supplie arrête, c'est trop c'est trop, je peux je peux pas… STOP ! » mais bien sûr, je ne voulais surtout pas qu'elle s'arrête, et elle le savait. Elle accéléra au contraire, et je me demandai si elle n'allait pas finir par me . Je finis par exploser dans un immense orgasme tout le plaisir me quittant d'un coup, me faisant trembler comme une feuille.

Je restai étendue, soulagée et assommée. Je sentis vaguement Katherine s'allonger à côté de moi, mais pendant de très longues minutes, je ne pouvais plus parler ni penser. Je ne pouvais que rester étendue et essayer de me remettre de cet incroyable orgasme, le meilleur de ma vie jusqu'à présent.

Un peu plus tard, Katherine me dit :

« Je peux te confier quelque chose ? »

« Quoi ? Dis-je encore haletante. »

« Je t'ai menti. Je t'ai pas abordée ce matin parce que tu me faisais pitié. Je t'ai abordée parce que t'es belle et que je te voulais. Je t'ai montée cette histoire de « leçon », parce que je pensais que tu serais un meilleur coup si je te donnais confiance en toi. »
« Et ça a marché ? Lui demandai-je avec un faible sourire. »

Elle me répondit avec son sourire vicieux :

« Oh que oui ! Mais faut encore que tu t'entraînes. T'auras qu'à utiliser celui-là pour apprendre à bien dominer. Dit-elle en désignant Jean. »

Je souris, et m'étendis à nouveau, savourant cette incroyable journée, qui m'avait apporté plus d'orgasme que le reste de ma vie. Je me dis que la prochaine fois que je verrai mon Chéri, il aurait une drôle de surprise…

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