Le Chantier (59)

Angélina le nouveau proviseur remplaçant Éliane qui va gérer notre club libertin dédier aux femmes s’est trouvé être l’une des opposantes avec le curé à celui-ci.
J’ai chargé les louves de voir ce qu’elles peuvent entreprendre pour casser ce mouvement qui risque de donner une mauvaise image avant son ouverture surtout que les travaux vont prendre encore six mois.

J’ai la chance de rencontrer à la mairie le fils de maman qui depuis qu’elle l’a mise au monde à arrêter tous rapports sexuels hommes ou femmes.
Les louves qui devaient m’emmener le fils m’ont amené la maman aussi.
Aidé par Benoit, je la fais venir sur mon lit des plaisirs et pendant que je la rassure il lui fait l’amour l’amenant jusqu’à l’orgasme malgré sa réticence vue le jeune âge du jeune homme.
Dans le même temps, Nadia et Ange ôte son pucelage à 22 ans au fils sa maman ayant fermé les yeux quand son sexe est entré dans la vulve d’une des deux jolies salopes.
Je les raccompagne et Angélina m’invite à venir manger ce soir.
Je la piège en venant avec Christian sous couvert de passer une soirée avec mon homme.

• Angélina, puis-je vous invité à danser ?

Christian avec son intelligence a compris ce que j’attends de lui ce qui m’enchante de le voir prendre la belle par la main et la plaquer sur son corps.
Il la colle au plus près et je remarque que son regard se trouble, je connais assez mon homme pour savoir qu’il bande surtout que par-dessus l’épaule de sa danseuse j’ai écarté mes cuisses lui montrant mon intimité nue sachant qu’une petite culotte serait superflue de la manière dont ma nouvelle amie m’a porté l’invitation.
Dès que les pas du slow la tourne vers moi je les referme pour mieux les rouvrir dès que Christian est face à moi.
À ce petit jeu, je finis par me lever m’approcher du couple l’écarter gentiment, défaire la ceinture et sortir la belle queue noire de mon fiancé.

• Angélina, agenouille-toi, je t’offre la queue de mon homme !

Le regard apeuré qu’elle montre me rappelle qu’hier elle m’a avoué avoir senti en elle celle de Benoit pour la première fois après une vie ponctuée d’interdit, je lui prends la main pour qu’elle s’agenouille alors que Christian a pris son sexe en main attendant qu’une bouche vienne le sucer.



• Elle est grosse.
• Suce là.

Comme je suis placé je vois sa langue sortir de sa bouche et il est incroyable de penser qu’à son âge elle la pose pour la première fois sur une queue.
Bien qu’hier elle a accepté de se faire pénétrer, je dois reconnaître que le morceau qui lui est présenté aujourd’hui représente un tout autre gabarie et ferait reculer plus d’une femme de bonne famille.
Moi-même au début de mon émancipation sur mon lit des plaisirs dans mon jardin auprès de ma piscine sa vue a dû m’apeurer mais les évènements se sont succédé à une telle vitesse que depuis se souvenir est floue dans ma mémoire.
La seule chose qui est sûre c’est que quand je m’agenouille moi-même les moments où elle me pénètre maintenant son doux à mon corps et me font ruisseler la chatte.
Je profite de cette position pour rejoindre sa langue sur la hampe qui nous est offerte en profitant pour passer une main dans la fente de la robe longue d’Angélina pour lui caresser la chatte à travers sa petite culotte.

• Veux-tu qu’elle te prenne ?

Le regard de détresse que je vois de l’autre côté du membre que nous offre Christian me montre toute l’envie d’être pourfendu sans pour autant agir.
Je me relève embrasse mon amant, relève la belle pour mieux lui enlever sa robe en dégrafant la grosse épingle de nourrice qui est sur son épaule me montrant ses seins ayant comme les miens tendance à légèrement tombée mais d’un volume fort agréable à mettre sous ma langue.
Dans le même temps Christian l’embrasse fougueusement ce qui me permet de faire rouler sa petite culotte vers ses pieds pour retourner m’agenouiller et lécher sa toison car contrairement à nous elle a gardé sa touffe en l’état.
J’arrive à attr son bouton et il faut que le mâle qui aspire à la pénétrer la soutienne car ses jambes sont flageolantes.

• Emmène-nous dans ta chambre.

L’ordre que je lui donne semble lui redonner un moment de conscience et nous arrivons à prendre le couloir presque en la portant.

Avant de nous retrouver sur le lit, j’ai le temps de voir qu’elle a préparé le moment à la fin de ma visite, drap et couverture ouverts comme il est fait dans les grands hôtels et sa chemise de nuit en pilou sagement posé à son pied.
Je m’allonge et comme la salope que j’aime être dans ces moments-là dans un premier temps je l’attire sur moi mes seins rejoignant les siens et nos bouches se trouvant ainsi que nos langues.
Christian voulant participer à la fête de nos corps se place derrière notre belle et d’un mouvement précis lui entre sa verge dans une partie de son corps impossible à voir pour moi.
Secrètement j’espère qu’il l’a pénétré dans son sexe car il est trop tôt pour la sodomiser, chaque plaisir en son temps et vu sa grosseur un minimum de préparation sera nécessaire.
Les grognements que je sens sortir de sa gorge sous ma langue me montrent que le traitement qu’elle subi semble lui plaire et j’attends sagement qu’il décide de passer à une autre phase car le poids du corps de la femelle qui jouit sur moi m’empêche tout mouvement.
Christian doit la manœuvrer comme une poupée gonflable la plaçant en levrette ce qui me libère et qui me permet de pivoter pour me retrouver sous elle la tête sous sa toison qu’il faudra qu’elle enlève car même si la verge masculine toujours en elle l’ouvre, j’ai plus de poils en bouche qu’il ne m’en faut.
Christian comme il sait si bien le faire sort son sexe de la chatte pour me le mettre dans ma bouche malgré sa grosseur et je sens le vagin d’Angélique venir inonder ma figure car sous la puissance de la jouissance qui la dévaste ses glandes lâchent de longs jets de cyprine qui viennent couler le long de la verge que je suce.
J’ai conscience que notre amie vient d’atteindre un point de non-retour surtout quand mon homme quitte ma bouche pour mieux retourner dans sa chatte et que dans les secondes qui suivent j’ai le plaisir de boire de nouveaux jets sortants.
C’est placé comme cela que je vois Angélina s’envoler ses muscles vaginaux transcendés par le baobab qui la pénètre.

Elle s’écroule à mes côtés tête tête-bêche et je sens sa main se poser sur mon sexe sans avoir le courage d’aller plus loin.
La pénétration qu’elle vient de subir, non, la pénétration qu’elle vient d’accepter l’ont laminé et c’est naturellement que je sens le poids de sa chatte ruisselante venir sur ma figure au risque de m’.
Christian sent que je suis en perdition et c’est pour m’aider qu’il écarte notre nouvelle maîtresse me permettant de me retourner et dans un grand sourire enlève sa capote et entrer en moi me permettant de récupérer la mémoire sur les premières pénétrations qui ont scellé notre amour.
J’aime le prêter à celle qui comme Angélina le mérite mais j’aime qu’il me fasse jouir et c’est le cas dans la position du missionnaire les jambes lui bloquant le dos.
Nous nous embrassons tendrement.

• Chérie, j’ai bien senti que notre amie était une femme fontaine, je sentais les petits jets que son corps émettait le long de ma verge pour entrer dans ta bouche, tu es trempé, j’ai l’impression qu’elle t’a donné une douche.
• C’est quoi une femme fontaine, c’est dangereux, il faut que j’aille voir un médecin, Valérie il faudra que tu me donnes le nom de l’un d’eux dans ta ville.
• Dors ma belle, être femme fontaine plaît à de nombreux hommes mais surtout aux femmes et à moi-même, récupère la nuit est loin d’être fini.

Au lieu de continuer à faire la sieste elle se redresse s’assoie dans une position impudique nous montrant sa toison brune et d’un saut partie vers la salle de bain, elle revient avec de la mousse à raser, un paquet de rasoir jetable et une serviette.

• J’avais acheté ces rasoirs il y a trois ans mais j’ai eu le malheur d’en parler à confesse avec mon curé à Béthune qui m’a dit que c’était un péché d’enlever ce que la nature avait conçu aussi je les avais rangés dans une valise à maquillage Antonin se rasant électriquement.
Un instant j’ai senti que mes poils te gênaient enlève-les.


Comme une femme impudique elle reprend la position ses jambes écartées comme une grenouille me tend un premier rasoir donnant la bombe à Christian qui me regarde avec un beau sourire badigeonne la chatte semblant apprécier la douceur de la mousse sur sa peau ses poils et sa main.
En quelques minutes je commence à la raser obliger pour enlever ceux les plus près de son anus de me placer la tête à quelques centimètres de sa chatte qui est béante et rempli de mousse.
Comme je suis placé j’ai la surprise de voir une cicatrice au haut de sa chatte mais même bien faîte une cicatrice pour une femme accouchant par césarienne reste visible.
Je manque de lui poser une question mais je finis par faire l’impensable, je mets ma langue dans cette mousse et j’arrive sans le voir à attr son clito.
Je saisis un coin de la serviette et j’enlève le maximum de la mousse avant de retourner titiller son excroissance.
Son sexe émet facilement des jets de cyprine mais son clito est assez développé, j’arrive à le prendre dans ma bouche et comme je sais le faire je le prends entre mes dents ce qui déclenche de nouveau ses jets de cyprine.
Heureusement que j’avais évité d’aller me doucher car il me faudrait y retourner.
Une nouvelle fois notre belle montre de bonnes dispositions pour être une des plus belles baiseuses de notre groupe, Nadia va devoir bien se tenir sans oublier Sosso même si elle est éloignée.
Criss qui vient de nous quitter pour la retrouver va s’en donner à cœur joie avec l’accord de sa femme, la prochaine fois qu’ils viendront je lui réserve sa rondelle.
Il est presque minuit quand nous allons nous doucher et que je la vois aller dans son armoire se rhabiller.

• Que fais-tu Angélina ?
• Emmenez-moi à votre club, je veux voir si Antonin assure bien, je suis anxieuse.

Tout le temps où nous l’avons baisé elle semblait avoir oublié son fils, mais les mauvaises habitudes reviennent vite.

• Laisse-le vivre, il faudra bien que tu le lâches quand il va assurer son travail dans le club.
• C’est plus fort que moi, je sais qu’il faut que j’arrête de m’en occuper mais j’ai peur qu’on ne lui fasse du mal, il est si fragile, s’il le faut j’y vais à pied.
• Je me prépare, je t’emmène, Christian nous rentrons.
• Laissez-moi dormir, je me débrouillerais demain matin.

Quelques minutes après dans la nuit noire nous arrivons au club tous est calme de l’extérieur, tout semble dormir…

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