Cet Été Là Iii

A ma question sur le message qu'il venait de recevoir Vincent me répondit de manière laconique et évita le sujet en allumant la télé, zappant jusqu'aux chaines sportives. Nous regardâmes un instant une rediffusion d'une match de tennis mais très vite le grand brun se rapprocha de moi, nos corps s'enlacèrent, peau contre peau, nos lèvres se joignirent, nos langue joutèrent ensemble dans de long et passionnés baisers. J'étais allongé sur le canapé de cuir, son corps avait glissé au dessus de moi, en appui sur une main, sur ses genoux il m'embrassait avec fougue alors que mes propres mains glissaient sur son dos, le bout de mes doigts traçant de bas en haut et haut en bas sa colonne vertébrale, allant de sa nuque au creux de ses reins. Nos hanches se frottaient les unes aux autres, nos sexes durs et tendus se pressaient l'un contre l'autre, la fougue de la jeunesse, le désir sexuel nous submergeaient de nouveau. Ses doigts fins et long se refermèrent autour de nos verges et ils nous masturba de long instants avant de se jeter en arrière, se redressant sur ses genoux, une main plaquée sur mon torse, ses doigts pinçant et jouant de mon téton droit, allant chercher l'autre et lui faisant subir le même sort, la même délicieuse . Vincent me regardait de haut en souriant, en s'amusant des petits gémissements de pur plaisir qui s'échappaient de mes poumons alors qu'ils jouaient de mes tétons d'une main et de l'autre me masturbait avec force, tirant sur la peau de mon sexe, calotant et décalottant mon gland, frottant son pouce tout autour. Il savait ce qu'il faisait, il savait où il voulait me mener et il ne fallut guère de temps pour qu'il atteigne son but, ses caresses, ses gestes arrachant de mon corps un cri de pure extase alors que j'éjaculais avec force ma semence. De sa main, de ses doigts pompant ma verge il s'assurait que mes jets de sperme s'écrasent tous sur mon torse, sur mon cou, sur mon ventre jusqu'aux ultimes gouttes résiduelles.



Une fois de plus Vincent avait joué de mon corps et j'avais aimé ce sentiment d'être dominé, d'être manipulé entre ses mains...Je n'étais pas faible ni soumis loin de là mais sans le réaliser pleinement j'aimais ce qui venait de se passer. Il me regardait là, moi encore allongé sur le canapé, lui debout.
"Parfait, merveilleux." dit-il alors un large sourire sur son visage. "Tu es vraiment beau et bandant Iwao..." ajouta-t-il avant d'être interrompu par le bruit assez strident du carillon de la porte d'entrée. Qui cela pouvait-il être, en un instant certains instincts m'avaient fait me redresser machinalement, j'étais debout et me dirigeais vers l'un des deux fauteuils où il y avait une large serviette de bain. Le brun m'interrompit avant que je ne puisse la prendre, me disant de rester ainsi et d'aller ouvrir. Bien sur je protestais mais il me claqua les fesses avec un de ses sourire arguant que je n'allais pas regretter, ajoutant de lui faire confiance... Confiance c'est bien cela qui éveilla cette audace en moi, qui me donna la force de m'exécuter.

C'est d'un pas timide que j'avançais vers la porte d'entrée, traversant le hall nu comme un ver, des trainées de ma propre semence sur mon torse, sur mon cou, sur mon ventre. Je devais être rouge comme une pivoine mais je ne m'en rendais pas compte, Vincent me suivait de peu. Il rit même lorsque timidement je regardais par l'œilleton de la porte. quelle ne fut pas ma surprise réalisant qu'il s'agissait du grand roux de Johan. J'ouvris alors et le fit rentrer, Je crois qu'il rentra machinalement dans le hall et réalisa seulement une fois à l'intérieur ma nudité, celle de Vincent et mon état... Le roux était dans un état second comme tétanisé par la surprise de nous avoir trouvé nus comme au premier jour, ma peau striée de jets de sperme. J'étais moi même un peu déconnecté de la réalité et ne réalisa pas qu'en un instant le maitre des lieux avait non seulement refermé la porte mais déposé une bisou de bonjour sur la joue de Johan.


Johan il était encore hagard de surprise, ce grand roux à la musculature prononcée était vêtu d'un T-shirt large blanc et bleu ainsi que de long shorts de basket. ne laissant voir que ses mollets recouvert d'un duvet roux. Il s'était mis instinctivement à bander et son érection déformait ses shorts. C'est Vincent qui brisa le silence. Le roux et moi avions les yeux rivés l'un sur l'autre, le rouge de mes joues devait être encore plus enflammé et nous étions là en silence à nous toiser, ne sachant ni lui ni moi que dire que faire. Par contre, Vincent lui avait son idée derrière la tête et en un instant ils nous surpris tout deux, poussant d'un geste ferme les shorts de Johan à ses pieds, révélant que le rouquin ne portait aucun sous vêtements. Il poussa un cri de surprise et instinctivement fit un pas en arrière se cognant le dos contre le mur du hall. Moi mon regard avait glissé droit sur son entrejambe et je la voyait là bien droite finissant de se gorger de sang, sa verge, assez longue et épaisse. La peau avait glissé légèrement en arrière et dévoilait la moitié d'un gland d'un rouge profond, presque violacé et il y avait cette touffe, cette forêt de poils pubiens roux qui m'hypnotisaient comme jamais.

Un gémissement s'échappèrent de mes poumons lorsque des mains agrippèrent fermement mes épaules et qu'un pied d'accrocha ma jambe, me poussant vers le bas, me forçant presque à genoux. Il, ce diable de Vincent, se jouait encore de moi, jouait de moi "Dis bonjour à Johan." lâcha-t-il me plaquant la face contre l'entrejambe de ce dernier. J'aurais pu protester, j'aurais pu me pousser, me lancer en arrière, lui dire qu'il était con et tout mais.... non mon corps me dit d'agir autrement, me fit agir autrement... Mes narines étaient assaillies par cette odeur forte et puissance où se mêlaient fragrances intimes et une pointe de transpiration. Un mélange puissant et addictif, presque hypnotisant, celui d'un homme, d'un jeune homme d'à peine 17 ans chargé d'hormones.
Il ne nous le révéla que par après mais Vincent l'avait surpris par ses messages alors qu'il venait juste de finir de tondre la pelouse et de faire quelques travaux de jardinage. Il avait juste eut le temps de s'essuyer de laver ses mains et d'enfiler une autre tenue avant de venir, zappant la case douche.

Vincent avait fait un pas en arrière, ses mains derrière la nuque il s'appuyait contre l'autre mur du hall et nous regardait. Moi je ne m'en étais pas rendu compte, je n'avais pas prêté attention à la disparition de sa poigne sur mes épaules, j'étais là à genoux devant Johan et je frottais mon visage contre son entrejambe, je respirais profondément son odeur qui agissait sur moi comme un aphrodisiaque. Mes lèvres s'écartèrent, ma langue sortit et glissa sur sa hampe, sur ses couilles, sur sa toison. Je me rendis à peine compte de ses doigts qui glissèrent dans mes cheveux, jouant avec. Me laissant libre, ne me guidant pas Johan gémissait, grognait de plaisir alors que je dévorais son sexe, tétant, suçant avidement son phallus, sa verge, sa queue. Ses jambes finirent par trembler, ses hanches bougèrent d'avant en arrière, son souffle se fit plus fort, plus profond alors qu'il donnait quelques coups de reins, plongeant son dard au fond de ma gorge, son gland étirant mes parois de chair. Johan avait atteint son point de non retour et son corps, ses instincts guidaient à présent ses gestes. Sa poigne se fit plus forte dans mes cheveux, il écrasa mon nez dans ses poils pubiens, s'enfonçant aussi loin qu'il pouvait dans ma bouche, dans ma gorge et il grogna violement alors que les deux premier jets de son sperme chaud s'écrasaient au fond de ma gorge droit au travers de mon œsophage vers mon estomac. Il recula un peu et ses jets suivant remplir ma bouche de son nectar, me forçant à déglutir et avaler avant de m'offrir dans un dernier spasme un ultime jet de son foutre. Nous restèrent là ainsi, son sexe encore dur entre mes lèvres, ma langue tournant lentement autour de son extrémité si sensible quelques minutes, une ou deux tout au plus, lui haletant comme une locomotive, assailli, abattu par un tel plaisir, moi savourant cette friandise, ce délice offert à mon appétit.
Nous venions d'assouvir une part de nos pulsions sexuelles, Johan commenta crument comment cela était bon et ce serait mentir pour moi de dire que cela ne l'avait pas été. Oui j'aimais cela, j'aimais les saveurs, les fragrances de son sexe, le sentir dans ma bouche, le sentir pulser et vibrer. Oui j'aimais ce gout puissant et fort de son sperme jaillissant dans ma bouche, coulant vers mon estomac...

Johan bandait encore lorsque je me redressa, je pouvais voir que Vincent lui aussi était dur comme fer, son sexe pointant haut, son gland d'un rouge plus vif entièrement exposé. Le roux se pencha alors en avant, pressant ses lèvres aux miennes, murmurant un "Bonjour Iwao." qui me fit sourire, surtout quand il ajouta "Merci." Vincent lui dit alors de se mettre à l'aise et c'est avec mon aide qu'il se débarrassa de son T-shirt, marcha hors de ses short et retira ses baskets. Nous étions alors tous trois nus, le sexe bandé, trois jeune mecs encore ado dans la fleur de l'âge, rempli d'hormones et de pulsions à satisfaire. Le brun pris alors la parole, proposant à notre ami de prendre une douche et de nous rejoindre pour une partie de ce jeu de plateau auquel nous avions joué avant ses vacances. Nous acceptâmes tout deux et Johan se dirigea vers les escaliers et en haut la salle de bain alors que Vincent et moi nous nous rendions au salon. Il sorti d'un rangement la boite du jeu et la posa sur la grande table avant d'aller s'assoir dans le canapé, me laissant déballer la boite et ses composants.

Lorsque j'eu fini de mettre en place le jeu, je regardai vers Vincent. il était toujours sur le canapé et avait remis une chaine sport à la télé. Il tenait en main son smartphone et me souriait, ses jambes bien écartées laissaient voir son sexe encore dur mais légèrement débandé, la peau, le prépuce recouvrant partiellement son gland. Cet Apollon brun tapota sa cuisse et écarta un peu plus les jambes ne laissant aucun doute sur ce qu'il voulait et ce serait vous mentir que dire que je m'opposais à cette idée. En un instant j'étais lové à ses pieds, ma tête entre ses cuisses, mes lèvres capturant se sexe qui se gorgeait à nouveau de sang. De deux doigts il pressa sur mon front, repoussant ma tête en arrière pour me montrer l'écran de son smartphone, il y avait là la conversation qu'il avait eut avec Johan, me montrant deux lignes précise.

"Peux-tu rester pour la nuit?"
"Oui."

Cela me fit sourire comme un ange qualifia par après Vincent. Moi mes lèvres s'enroulèrent sur son sexe et je le pris tout entier en ma bouche, ma langue jouant avec. Je ne m'en rendait pas compte mais j'étais en moi extrêmement heureux de passer le reste de la journée et la nuit avec mes deux meilleurs amis.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!