Dans La Cour De La Ferme

Quand l'envie vous tiraille et que vous êtes seul, c'est terrible. Car l'idée d'avoir une relation dans l'immédiat, ne vous quitte plus. Heureusement il existe des sites de tchat ou le contact est quasi immédiat. Un bon pseudo pour éviter toute ambiguïté et le retour est rapide. De plus l'excitation monte d'un cran lorsque les profils se complètent, et que la rencontre se précise.

Lorsque brusquement l'envie d'un corps à corps vous prend alors que vous êtes seul, cela devient obsédant. Le site auquel je fais référence vous met en contact direct avec les connectés de la région. Une proximité qui permet un contact très rapide. Le rayon d'action est d'une cinquantaine de kilomètres pas plus. Je tape mon pseudo : Planqgay suivi de mon age et de la ville ou on se situe.
Le temps de prendre connaissance des connectés. Un message me parvient. Le mec à 37 ans il me dit être passif et être dispo de suite. S'en suit quelques échanges, et très vite nous convenons de nous rencontrer dans les 30 minutes qui suivent. Malheureusement, je vais attendre 45 minutes pour me rendre à l'évidence qu'il y a quand même pas mal de mythos, mais c'est le risque.

Je reviens face à mon écran et réitère. Un Mathieu 27 ans m'explique qu'il veut un plan direct. A à peine une vingtaine de kilomètres. Le mec est cash, il lui faut une queue, il recherche une bonne sodo. Un échange de
numéros de téléphone se fait. Il me donne l'adresse par texto. Le temps d'enfiler un blouson. Je pars pour aller le retrouver en pleine campagne. C'est un lieu dit, il me précise qu'il ne faut pas aller jusqu'au bout du chemin. Tu stoppes à la première ferme sur la gauche et tu me préviens, je viendrais. Ma meuf dort et le bruit d'un moteur pourrait la réveiller.

Au fait je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Fred j'ai 49 ans je suis actif, taille normale un peu costaud.

J'arrive, je me gare, j'envoie le texto et j'attends. Quelques minutes plus tard, j'aperçois une masse sombre dans la nuit, car j'ai oublié de vous préciser qu'il est 23 heures passées. Il ouvre la portière et s'installe à coté de moi. Ce mec est bien mignon, brun belle gueule vêtu d'un jean et d'un pull fin marine, un blouson par dessus. Il me demande d'entrer dans la cour de la ferme. Qui semble abandonnée, et elle l'est. Je coupe le moteur et suis en plein milieu. Il m'avait demandé de prévoir du gel et des capotes, je les prends et je le suis. Il est descendu et à poussée la portière sans la claquer pour ne pas faire de nuit. Pour un plan direct, c'est un plan direct. Il ouvre son jean qu'il descend et s'allonge sur le capot de ma voiture sur le ventre. Cul tendu à l'air, il veut que je l'enfile direct.

J' avoue être un peu décontenancé par la situation. «Tu suces?» lui dis je au moment ou je baisse mon pantalon de jogging. Je ne porte rien dessous.
«Non, je veux sentir ta bite». Le lieu, et la situation n'est pas plus excitante que cela. Je me paluche, et je commence à malaxer son petit cul. Mon membre durcit car j'avoue que ses fesses sont étroites et douces au toucher. Je sors le gel de ma poche et je commence à le doigter, tellement son petit cul et sa position allongée sur la calandre me stimule. Mon sexe se déploie pour atteindre son volume maximum 20x5. Je flagelle son petit cul avec ma barre raide. Mes doigts tournent dans son fondement étroit, très étroit d ailleurs. Va t'il pouvoir me recevoir? Pour l'instant mon majeur titille sa prostate. Mathieu tortille de la croupe. Ça me stimule. J'ouvre l'emballage de la capote que je remet dans ma poche. Ne jamais laisser de preuves, c'est une résolution que je tiens toujours. Je déroule la capote et enduit le tout de gel. Le moment est venu, je vais te baiser mon garçon. Ta nana dort, et toi tu veux de la bite. Tu vas en avoir. Je frotte bien mon sexe à l'entrée de son trou.
Vas y doucement
Oui t’inquiètes

Je laisse entrer le premier tiers, et je m’arrête.
Il est vraiment très étroit. Il souffle, il me dit être gêné. Je ressors, remets du gel. Je lui masse bien la prostate et branle ma bite pour qu'elle garde de sa superbe. Et je repars à l'assaut. Et là je l'enfile presque en entier.
J'entends qu'il piaille tout bas.
Pas trop fort, en douceur

Je me recule en partie tout en restant en lui, puis je reviens. Le flux et le reflux sous un petit rythme chaloupé. Il écarte grand les jambes. J'ai relevé son blouson et son pull, et je le maintiens fermement par les hanches. Putain que c'est bon une petite taille de guêpe. Des hanches que mes mains épousent parfaitement. Et ma queue qui durcit encore, j'adore. Son torse est collé contre la calandre et moi j’accélère et le bourre à fond. Il couine discrètement mais il réagit à mes coups de hanches. L'étroitesse de son bassin me fait kiffer. Que je suis bien en lui. C'est bien bon.

Alors t'aimes ma bite? C'est cela que tu voulais? Une bonne queue qui te fourrage le cul pendant que ta meuf dort tranquillement?
Oui c'est trop bon , oh...hummm c'est trop bon.

Sa main droite s'est insinuée entre ses jambes. Il se branle. Je passe ma main par dessous pour venir toucher sa bite. Pas très épaisse. Fine mais ferme je dirais d’après mes connaissances 3x17. Et je palpe ses burnes. Et il aime de plus en plus ce qu'il subit. Il ne peut pas s'exprimer fortement au vu du lieu et de l'heure. Tout se fait par chuchotements. Je prends du plaisir car je réalise que je suis en train de faire un truc que j'avais jamais fait en extérieur, de nuit dans de telles conditions. Je change le rythme de mes coups de bites. Parfois tout doux, puis à un rythme plus vif. Des coups parfois profonds qui le plaquent un peu plus sur le métal du capot. Je le lime à fond. Je profite c'est le mec le plus jeune que je baise jusqu'à présent. Je me dis qu'il n'a pas froid aux yeux, en tous cas.

Sa main s'active plus rapidement. Et je comprends qu'il s'est fait jouir ainsi.
Je vais lui donner le coup de grâce. Tout cela m'excite un max. Je suis sur la pointe des pieds, je sais que je monte en puissance. Quelques bons coups de reins plus en profondeur. Et je suis transporté. Une vague de bonnes ondes me submerge. Mon corps se fait tremblant. Cette montée de sève. Ahhh... Oui, un soubresaut suivi d'un second , je me répands dans la capote. Puis le coup de grâce final, l'instant de relâchement. Ou on a tout donné. Le corps vidé, je le retiens pour ne pas m'étaler sur lui. Je m'écarte lentement comme sonné par ce que je viens de vivre. Mathieu me demande du papier pour s'essuyer. Retour à la réalité. J'ai ce qu'il faut dans la voiture. Il remonte son jean, j'ai encore l'impression de caresser la peau de ses hanches que je maintenais fermement voilà quelques minutes. Cette séance de baise était sauvage. J'ai à peine entrevu son visage d'ange. Par contre j'avoue que son petit cul m'a donné du plaisir. Et lui en a visiblement pris aussi. Il repart à pieds dans le chemin, moi je prends le chemin opposé. Non je n'ai pas rêvé. Hier soir il voulait que j'y retourne par un sms reçu vers 22 heures. Impossible ce soir pour moi.

Par contre sur mon pare choc, il y a deux traces longues de quelques centimètres. Les coulées de son sperme quand il a déchargé. Cela me fait sourire à chaque fois que je prends ma caisse. La prochaine pluie, les effacera, mais pour l'instant je garde un souvenir de Mathieu.

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