La Ferme

Mon amie a une ferme isolée en pleine brousse du midi, dans les Corbières. En plein été il y fait chaud. Aussi notre tenue est légère. Le seul qui pourrait être gêné de nous voir presque nues serait le régisseur. Heureusement qu'en Août les travaux, chez elle au moins, cessent.
Nous restons à peu près nues. Ça nous permet de nous mal tenir : quand elle m'embrasse sur la bouche, qu'elle me caresses quand je passe volontairement tout près d'elle.
Une petite pièce d'eau juste à coté nous permet de nous baigner. C'est là où je préfère qu'elle m'aime. Nues nous nous caressons comme des chattes. Elle commence toujours par m'embrasser, recommencer, puis ensuite s'occuper en détail de mon corps consentant. J'aime quand nos seins se caressent lentement, comme j'aime sentir son ventre contre moi.
Cette dernière nuit nous nous sommes longuement aimées, comme rarement. Contrairement à ce que pense les gens, le « vulgus pecum », nous ne nous faisons pas l'amour sans arrêt, tous les soirs. Mais quand nous nous aimons, alors là, il faut mieux de pas nous voir. Nous mettons en œuvre pratiquement toutes les méthodes pour notre plaisir.
Bien sur si l'une ne peut pas pour des raisons physiques, l'autre se contente seule avec ses mains ou un gode en cas de besoins trop pressants. Nous pourrions en faire autant dans un appartement ou une simple chambre d'hôtel. Mais c'est bien mieux chez nous.
J'étais encore vierge quand nous nous sommes aimées la première fois. Je me suis donnée à elle plutôt qu'à un type : j'avais peur des bites en moi.
C'est elle qui après m'avoir léchée, embrassé partout, après surtout avoir mis sa langue dans mon sexe, a voulu que je sois « normale ». Elle me proposé de faire un 69. J'aime ce genre de baise où je me fais lécher par une langue agile toute ma fente, y compris en bas, tout en bas, sur oui, dans le cul.
Cette fois là, elle me faisait presque jouir avec sa langue quand elle m'a mis son gode dans le sexe.

Un seul coup rapide un peu sec à suffit. J'avais le con occupé par elle. J'ai eu un peu mal, mais ensuite j'ai connu le véritable orgasme avec un machin en moi. Je voulais le lui rendre, il a fallut attendre que je jouisse. Aussi depuis j'ai mon propre gode.
Avant notre première fois, je ne pensais jamais avoir tant de plaisir avec mon sexe, même si, rarement je me touchais.
J'avais horreur des hommes. Elle m'a obligée à me donner à trois d'entre eux. Devant elle en plus. Le premier était dur avec moi, sa bite entrait profond dan mon vagin , à me faire presque mal. Le deuxième m'a fait venir sur lui. Il a fallut que je me baise seule avec sa bite. C'était plus agréable, j'ai joui pour la première fois avec un mec.
Et elle qui regardais comment je faisais. C'est elle qui a exigé que le dernier me sodomise. Qu'il m'a fait mal en entrant dans mon cul fragile. Mais un instant après, je trouvais ça bien meilleur que dans le vagin.
J'aime bien de temps en temps prendre une bite à l'anus. Elle aussi en profite en me léchant et mettant des doigts dans le cul. J'aime bien ça.
Quand je vois des femmes accompagnées je me demande si elles se font sodomiser ou non. Je me sens supérieure aux vierges de l'anus.
Un matin, nous étions à Carcassonne pour une affaire administrative quand elle a eu envie de moi. Nous avons été dans un parc, à coté de la gare. Un banc libre nous attendait. Elle m'a fait enlever le culotte, a enlever la sienne. Culs nus nous sommes caressées. La peur d'être surprises nous mettait un plaisir en plus. Je me voyais exposées les fesses offertes à tous. Ce qui me manquais un peu était sa langue. Nous nous caressions ensemble. Nos mouvement coordonnés nous ont menés au plaisir divin.
Nous avons déjeuner dans un restaurant proche qu'elle connaissait. Elle passait ses mains sous la nappe pour venir sur mes jambes que j'ouvrais par habitude. Je crois que j'ai joui plus que les autres fois devant tout les clients, en gémissant en plus.
Le seul témoin direct était les serveur qui devait bander.
Ce soir là j'ai exigé qu'elle me fasse l'amour. Je pensais à la bite du pauvre serveur qui devait se branler, seul dans les toilettes de l'établissement. Pour une fois je l'aurais voulu dans mon cul.
Je le lui ai dit. Le surlendemain j'avais un type qui attendais, un de ses ex qui venait pour moi, pour mes fesses. Elle tenait à faire un 69 pendant que j'étais sodomisée. J'ai joui comme rarement, je crois lui avoir remplis la bouche de me secrétions. Et elle, patiente, elle attendait que je sois dégagée de la bite pour la faire rebander pour se la faire mettre dans le con, comme si ma langue de lui suffisait plus.

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