Big... Bang
Il ne sagit pas là de ma toute première fois, mais de ma toute première grosse bite. Mon premier mec était vraiment très bien bâti et a su en quelques soirées me faire aimer le sexe entre hommes. Quelque peu déniaisé, jai commencé à explorer le côté homo afin de connaître mes limites et surtout de savoir quel type dhomme me convenait le mieux. Il ma fallu ouvrir quelques braguettes pour comprendre que tous nétaient pas aussi bien montés que mon initiateur. Mais un jour pas fait comme un autre, jai eu du mal à croire ce que je découvrais. Cétait ma toute première... grosse bite.
Et cette quéquette de concours est arrivée... en R30 TX ! Non, ce nest pas un processeur, mais une voiture. Une Renault. Elle simmobilise juste à quelques mètres de moi et je peux entendre de la musique séchappant de sa vitre ouverte. Je sors de mes bosquets pour apercevoir le conducteur et men faire une idée en empruntant le trottoir dans sa direction. Le gars me regarde, et lorsque je suis à sa hauteur, baisse complètement sa vitre en me souriant. Pas besoin de tergiverser bien longtemps, il me salut dun signe de tête, me faisant comprendre quil désire engager la conversation.
Les premières paroles sont presque toujours dune grande banalité, ne servent finalement quà briser la glace. Jétais jeune, et même si je savais plutôt me lâcher, parfois, les premiers instants pouvaient être assez gênants, à fortiori en journée. Lhomme dune trentaine dannées, vêtu dun costard dont la veste trônait sur le siège arrière, minvite à le rejoindre pour papoter. Il me demande si je suis un habitué des lieux tout en retirant sa cravate et déboutonnant le col de sa chemise. En fait, je viens de temps à autre, au gré de mes envies, mais lui confie ne pas toujours trouver lobjet de mes désirs. Ce à quoi il me répond... être là, à condition quil puisse les satisfaire, ces fameux désirs.
Je me suis déjà retrouvé dans une voiture dont le propriétaire ne correspondait sexuellement pas à mes attentes.
Il vient également ici dans lespoir de passer un moment sympa autant que pour libérer quelques évidentes tensions, recherchant une tendre bouche... et plus si affinité. Il ponctue ses derniers mots en saisissant fermement son paquet, affichant toujours un grand sourire, précisant par ce geste quil a besoin dévacuer le trop-plein. Son autre main vient se poser sur ma cuisse : les choses sont dites. Je caresse timidement le tissu de son pantalon en passant sur son entrejambe bien rempli ; lambiance du juste avant est dynamisante lorsquil va se passer quelque chose. Je ressens souvent quelques picotements dans le ventre, un mélange de désir, dexcitation et dappréhension. Mais plutôt que de nous exploser à la vue de tous, nous convenons daller dans un coin un peu plus intime que sur le parking ou dans les fourrés. Il démarre et en roulant me dit aussi quil préfère la délicatesse à lexpéditif, dans la mesure du possible, argumentant quil fonctionne beaucoup au feeling. Par ailleurs, le dialogue est étonnamment facile, continu et naturel... Après avoir parcouru une poignée de kilomètres, nous nous arrêtons dans un petit chemin au bord dun ruisseau. Très excité, ma main glisse de sa cuisse vers la bosse convoitée. Il recule son siège et incline le dossier, minvitant à en faire autant tout en dégrafant son pantalon. Il le baisse sans pudeur sur ses genoux, mettant à nu ses organes : un sexe dun volume incroyable. Une veine très saillante se promène en zébrant son épaisse hampe avant de sévanouir à proximité du prépuce. Le gland est presque entièrement recouvert, ne laissant que le sommet du nud découvrir le monde de son gros il unique. Un vrai monstre endormi. Cette bête de concours me laisse abasourdi, sans voix et mes yeux sortent de leur orbite.
- Surpris ? Tu ne mas pas dit que tu espérais un mec bien monté ? lance-t-il le plus simplement du monde.
Cest un sacré matos quil exhibe devant moi, du jamais vu. Je pensais vraiment que ce genre de sexe ne se trouvait que dans les bouquins pornos ! Une première génère toujours un cocktail de sensations inoubliables. Le premier flirt, la première fois où la paume de ma main a étreint le sein dune femme, la première fois que lon se déshabille devant une fille, la première fois où mes lèvres se sont posées sur une petite chatte... La première pénétration vaginale, cette chaleur irradiante, cette douce étreinte autour de mon membre.
Puis le premier homme nu, un an plus tôt, sachant quil sagissait de découvrir une sexualité taxée comme étant immorale par notre société, une déviance même, selon certains !
Imaginez ce tout premier contact lorsque ma main a saisi cette hampe bien plus épaisse que la mienne, la première fois que mes lèvres ont rencontré ce gland, sa chaleur... La première fois que ce tout premier amant... a joui dans ma bouche ! La toute première fois où son gland a pénétré mon ventre en dilatant tendrement mon petit cul vierge. La toute première fois où il a rempli mon ventre de son abondante semence. Chaque première voit une bolée dhormones débouler dans les veines et euphorise tout un corps, autant quil grave linstant dans la mémoire.
Et ce soir, le propriétaire de ce bel organe, visiblement habitué à susciter lémotion, me propose en souriant de men occuper plutôt que de la regarder. À peine a-t-il ouvert sa chemise quil se met à caresser mon dos pour minviter à me pencher sur lui. Fasciné et fort impressionné par cette puissance, je commence par soupeser ce monstre de chair. Elle est incroyablement lourde et encombrante, car encore molle. Mes doigts nen font pas le tour. Son gros nud, encore recouvert de son prépuce, dépasse largement de ma main et ploie sous son propre poids.
Je nen ai encore jamais vu daussi grosse ! ne puis-je mempêcher de dire, le cur battant.
On y va tranquillement. Nous ne sommes pas pressés ?
Pressé, certainement pas. Seulement impressionné par le volume.
Je le décalotte et mes lèvres souvrent pour apprécier ma rencontre. Son goût et son odeur dhomme enivrent mes sens. Son nud tendre se déforme au passage de mes lèvres pour retrouver tout son volume dans ma bouche et en occuper tout lespace. Pour quitter ma bouche, il sétire dans lautre sens, glisse entre mes lèvres. Drôles et exquises sensations quoffrent les très gros volumes. Je joue avec son méat, le lèche comme une glace, puis le ravale avec passion, en tentant davaler une partie de la hampe. De mon autre main, je lui att les bourses. Elles sont à léchelle de la bête, bien gonflée, plutôt pendantes.
Je savoure ma veine en engouffrant cette queue qui durcit et sallonge graduellement en mettant mes maxillaires à rude épreuve. Sa main parcourant mon dos et ses appréciations me rassurent sur ma prestation. Il mencourage à bien le sucer, me demande si jaime ça. Je respire fort et mon bas-ventre chauffe sous lexcitation. Je ressens souvent une douce chaleur qui envahit tout le bas de mon ventre et mon rectum lorsquun mec me plaît. Et lui me plaît ! À sa demande, je moccupe de ses couilles, aspire sa généreuse peau tout en le branlant lentement. Sa main descend maintenant vers mes fesses par-dessus mon jean ; mes lèvres, elles, remontent le long de son épaisse hampe, sucent son frein, puis lèchent de nouveau sa queue jusquaux couilles... je suis sur un petit nuage. Comme pour un jouet hi-tech rempli de fonctions inédites, je meurs denvie de tout découvrir sans trop savoir par où débuter.
Comme mon fessier semble lintéresser, je me redresse rapidement pour laider. En deux secondes, jenvoie valser mes chaussures et retire mon futal, me retrouvant à demi nu dans cette voiture, sur ce petit chemin au bord de leau. Mais quimporte, je replonge moccuper de cette grosse queue maintenant bien bandée dont le gland repose sur le nombril de son propriétaire.
Tu aimes te faire prendre ? me lance-t-il alors que son doigt me pénètre tout naturellement.
Oui, avec beaucoup de douceur. Mais... la tienne est beaucoup trop grosse, elle me fait un peu peur !
Je suis certain que tu vas ladorer. Je te trouve trop gourmand pour ne pas la vouloir en toi.
Et toujours cette boule de feu qui consume mes reins et tout le bas-ventre. Plus je macharne sur sa queue, plus je la trouve énorme, plus je laime. En effet, lidée de me faire sauter mexcite. Mais avec un truc pareil, cest perdre une deuxième fois mon pucelage. Et ça, je nai pas envie de le faire là, sur le capot de la voiture ! Plus il me doigte, plus je me trémousse pour aller à la rencontre de sa paume. En un rien de temps, ce sont deux doigts qui me sondent, et qui me donnent encore plus envie de lui dévorer sa bite de cheval. Je me démonte la mâchoire sur ce membre obsessionnel tout en remuant du cul pour mieux le sentir mexplorer.
Ton cul mexcite, tu me donnes envie de te prendre. Hummm... tu as tellement lair daimer ça.
Trois doigts me fouillent allègrement maintenant, mon cul fait des ruades, car déjà son corps tout entier me pénètre. Alors quil soccupe de moi, il mexplique quil adorerait sentir mon cul lui masser la queue, quil désirerait mentendre crier de plaisir. Et si jimagine bien le plaisir quil pourrait me faire vivre, je ne me vois pas me faire prendre dans cette espace si restreint.
Pas ici. Dis-je entre deux aller-retour. Je veux bien que tu me la mettes, mais pas ici.
Jen ai trop envie, tu me fais bander comme un âne !
Mon esprit part dans tous les sens, partagé entre ce quil se passe en haut et en bas. Je la trouve immense, je désire plus que tout la sentir passer en moi, mais pas dans nimporte quelles conditions. Pourtant, je ne voudrais pas quil reparte sans lavoir reçu en moi. Je tente alors ma chance en lui proposant, sans trop y croire, quil vienne dans mon appartement.
Chez moi. chuchotais-je. Viens chez moi, on sera mieux. Tu pourras me prendre comme tu veux. OK ?
Hummmmmm... volontiers. Mais fais-moi jouir maintenant, tu mas trop chauffé. Suce-moi fort s'il te plaît. Je pourrai te sauter plus longtemps après. Tu mas mis les couilles en feu !
Jempoigne alors cette queue renflée à deux mains pour mieux le branler au rythme de mes succions. Ma bouche distendue et presque douloureuse plonge inlassablement autour de son gland et ma main coulisse pour branler ce puissant mâle de plus en plus vite. Malgré linconfort de ma position, ses doigts me procurent dincroyables frissons dans tout mon ventre, et ce ne sont que des doigts !
Je naurais jamais imaginé ressentir autant de choses quelques mois plus tôt. Je rêver de queues, de giclées de sperme brûlant en bouche, de 69 entre hommes, mais pas vraiment de sodomie ! Stéphane ma fait découvrir ce côté hypersensible de mon anatomie. Sous ses doux mouvements de bassin lors de lentes et profondes étreintes, jai découvert la jouissance anale, la vraie, ravageuse, car purement cérébrale. Mon corps sen souvient et recherche maintenant ce plaisir rare, si rare quil en est dautant plus précieux. Jai bien retenté lexpérience avec dautres mecs, mais soit ils nétaient pas assez bien montés, soit ils ne pensaient quà leur plaisir. Je me contente donc la plupart du temps de leur tailler une bonne pipe, je prends mon pied ainsi et y trouve mon compte. Mais pas celui-là, je suis sûr de moi, il minspire confiance et je ne me sens pas une seconde en danger.
Je souffle presque autant que mon partenaire dans cette course au plaisir. Son ventre se tend à plusieurs reprises, et ses lourdes couilles remontent de plus en plus souvent vers la base de sa verge. Il mavertit quil va bientôt décharger, me dit de faire attention. Peut-être croit-il que son sperme me fait peur, car beaucoup de mecs ne reçoivent pas la semence de leur partenaire en bouche. Mais pour moi, il ne peut en être autrement ! Boire la jouissance de lautre est aussi important que de le sucer, cest fondamental, cest MA jouissance et MA récompense.
Alors quil émet un son grave continu, son nud se dilate, dun coup son ventre se creuse, ses burnes sont remontées de part et dautre de la hampe. Soudain, une onde remonte le long de sa bite de cheval ; une contraction si forte que je la ressens dans mes doigts qui le branle fort. Cest alors quun formidable flot de foutre remplit ma bouche, libérant son puissant goût de mâle. Malgré ma petite expérience de suceur, je sais quil ne faut pas traîner pour avaler avec certains hommes. Et en effet, dans un élan purement syncinétique annonçant une nouvelle averse, ses doigts se replantent dans mon rectum alors quune autre salve jaillit de son méat pour me nourrir de plus belle. Jets après jets, mes mains serrent son mât en remontant vers le gland, ramener sa sève à ma bouche avide. Je rêve parfois dune éjaculation sans fin qui me gaverait de ce breuvage si cher à mes papilles. Mais hélas, un dernier coup de reins terrasse mon asperseur. Presque aussitôt, le gland retrouve son volume standard en glissant vers une phase de repos. Sous mes yeux, ses belles bourses se détendent, la gravité se réattribue ses lois en repoussant les lourdes gonades au fond de leur sac. Ma main les palpe tendrement, comme pour les remercier du plaisir quelles viennent de moffrir, et mon homme du moment retire délicatement ses doigts de mon fondement pour étreindre mes fesses avec fermeté.
Dans un silence absolu, ma bouche peut de nouveau accueillir un peu plus de longueur de cette verge de concours pour un doux câlin et profiter des dernières gouttes de sperme si précieuses. La grosse veine joue avec mes lèvres encore quelques minutes dune douce caresse buccale, et son membre, bien quencore tuméfié, retrouve sa place sur les bourses, là où je lai découvert un peu plus tôt. Je me sens vraiment bien, là, tout de suite. La tête posée sur son ventre, le nez perdu dans ses poils pubiens, ma main flattant ce 3 pièces dont le goût musqué est encore très présent en bouche.
Waouh, tu mas fait une pipe denfer, cétait... génial. Merci ! me complimente-t-il en gratifiant ma croupe dune étreinte. Tu avales toujours ?
Cest moi qui te remercie. Quelle queue ! Elle est vraiment impressionnante et quelles giclées ! Jadore le goût du sperme. Je ny résiste pas.
Cest vraiment bon de jouir dans une bouche.
Je nimagine même pas recracher.
Tu nas pas peur que jen redemande ?
Pire encore : je nattends que ça.
Tu me veux toujours chez toi ? Ton cul me donne envie de faire sa connaissance.
Plus que jamais, mais... tout doux. Promis ?
Tu ne le regretteras pas, promis.
Nous restons ainsi peut-être encore 10 minutes, pas plus pressés lun que lautre de rompre lharmonie du moment. Il promène ses mains avec tendresse sur ma croupe et le bas de mon dos, alors que je câline son bel organe. Quoi quil en soit, nous sommes tous les deux daccord sur un point précis : notre étreinte ne sera pas complète tant quil ne maura pas fait jouir en me prenant. La chaudière est en effet toujours en veille au fond de mon ventre, il est temps de renfiler nos vêtements... pour mieux nous déshabiller une fois de plus.
Nous allons directement chez moi sans que je récupère ma voiture, je me débrouillerais plus tard. Chemin faisant, javoue avoir un peu peur quil me prenne. Relatant mon inexpérience, je lui parle de mon dépucelage, de la façon dont Stéphane ma fait découvrir la sodomie, de sa bienveillance, de la délicatesse avec laquelle il ma initié. Ce à quoi il rétorque quêtre bien monté nest pas ment synonyme de bourrin et quil entend bien me donner du plaisir. Jinsiste en lui demandant dy aller doucement. Longtemps sil veut, mais doucement. Dans lascenseur, il se plaque derrière moi en me collant son sexe contre mes fesses en saisissant mon paquet, chuchotant à mon oreille quil allait bientôt me faire beaucoup de bien. Même si je sais à peu près avec qui je monte, mon cur bat fort, ma timidité refait un peu surface. Pourtant, je le veux, et le plus longtemps possible !
À peine la porte de mon studio refermée, je lui propose à boire, peut-être plus pour gagner du temps que par pure hospitalité dailleurs. Le paradoxe du débutant, je veux, mais en même temps... jangoisse un peu ! Un jus de fruit fait laffaire, je le rejoins sur mon clic-clac et nous sers deux verres. De toute évidence très tactile, il pose sa main sur ma cuisse, certainement un peu pour me rappeler que nous ne sommes pas là que pour trinquer.
Jai vraiment envie de toi. me lance-t-il calmement. Mais si tu ne te sens pas prêt, je ne vais pas te forcer. Je ne veux que ton plaisir. Et un peu le mien aussi ! Tu voudras encore me sucer, si je reviens te voir ?
Jai très envie de toi aussi, mais un peu le trac... Tu comprends ?
On va y aller tout doucement, cest toi qui vas mener le jeu, à ton rythme. Mais tu vas adorer, jen suis certain. Tu me déshabilles ?
Diplomate, psychologue, il sait me mettre à laise et contourner les obstacles. Il se cale au fond du clic-clac. Je commence par lui ôter sa chemise et découvre quil est assez velu, plutôt svelte sans être un athlète. Son parfum agréable est relativement présent sans pour autant me sauter aux narines; je lui retire ensuite ses shoes et ses chaussettes, remonte pour dégrafer sa ceinture, ouvre son pantalon, le fais glisser pour le lui retirer et termine par son caleçon. Sa queue est toujours là, toujours aussi belle et attirante.
À moi de te déshabiller maintenant.
Il pose un genou sur le canapé et sans se hâter meffeuille. Jen profite pour cajoler de la main son irrésistible organe qui commence à reprendre du volume. Une fois complètement nu, je me laisse glisser de côté et ma bouche retrouve avec appétit son intimité. Je le suce longuement, il ne tarde pas à rebander, et jen ai vraiment plein la bouche et plein les mains ; de son côté, il couvre mon corps de caresses sans pour autant oublier de sattarder sur ma queue, puis sur mon anus, dy plonger deux doigts avant de repartir.
Quelle bouche tu as ! Tu suces divinement bien.
Pourtant, elle nest pas facile à sucer. Mais tellement bonne !
Ne fais pas un blocage sur sa taille. Pense plutôt au plaisir quelle te donne et à celui que tu moffres.
Je comprends lallusion, et me sens de nouveau open, en tout cas suffisamment excité pour le recevoir. Je mexcuse et disparais un instant dans la salle de bains. Hormis un pipi obligatoire avant toute pénétration, cest aussi pour y attr un tube de vaseline. Accroupie, japplique directement lembout du tube dans mon anus et écrase un peu le tube. Le contact froid de la pommade se fait nettement sentir, jy mets la dose, mais compte tenu de lengin... jen étale encore un peu tout autour de ma rosette et me doigte un peu pour bien graisser létroit passage avant de revenir vers mon homme le cur battant, le ventre en feu, les joues chaudes, la queue en demi-érection.
Assis confortablement, souriant, il se caresse la queue pour en entretenir la rigidité. Je dépose le tube de vaseline sur la table basse, le message est clair, en piste.
- Viens vite, viens sur moi. me dit-il, aux anges. Jen ai autant envie que toi.
Comme jentreprends de lui présenter mon dos, il minvite plutôt à lui faire face.
- On va le faire ensemble, jai besoin de te voir. Ne tinquiète pas, je suis très câlin, mais pas du tout bisous. Argue-t-il sur un ton des plus posés.
Jaurais pu tomber sur un pointeur, un baiseur, un casseur de cul, mais non, il sagit juste dun homme aimant le sexe. Je le chevauche donc de face, maccroupis de part et dautre de ses cuisses, et abaisse mes fesses jusquà ce quelles entrent en contact avec son sexe. Mes mains écartent mes fesses au maximum pendant quil frotte son gland à lintérieur de ma raie pour repérer les lieux en étalant la pommade. Il passe plusieurs fois sur ma petite porte jusquau moment où il se met en place. Depuis très longtemps, je sais quil faut pousser pour ne pas avoir mal à la pénétration, et se contracter plus ou moins fort lorsque le sexe (ou le gode) recule. Le sphincter est un muscle et plus il séchauffe, plus il devient souple.
Sa main libre saisit ma nuque pour mobliger à venir plaquer mon torse contre lui, ma tête sur son épaule. Dune lente poussée, je me laisse aller en arrière, poussant le plus fort possible sur mon sphincter pour mempaler. Lénorme nud dabord sécrase et saplatit en repoussant les chairs, mais celles-ci cèdent rapidement sous la pression. Il sengage lentement, change de forme pour devenir une ogive pénétrante. Chaque millimètre de progression me distend lanus à la limite de la douleur, je sais quil va passer dun coup, cest pour cela que jincline mon bassin davant en arrière afin de bien me dilater. Avec des mots simples, il me guide, minvite à prendre le temps quil faut, sinquiète de savoir si la douleur est supportable. Après une longue inspiration, il suffit dune petite poussée pour quenfin le nud passe. Le réflexe me fait me contracter douloureusement sur sa queue au niveau du frein, marrachant un cri de douleur lorsque survient une violente brûlure. Figé sur place, le souffle coupé, mais la tête toujours au creux de son épaule, jattends que la désagréable sensation sestompe, ce qui ne tarde pas.
Son nud passé, il na plus besoin de maintenir sa verge maintenant, cest la mienne à demi-molle quil masturbe doucement. La douleur lentement sestompe et je peux reprendre ma danse oscillante et pénétrante. La hampe redevient très épaisse une fois létranglement à la base du gland passé. Elle me distend la rondelle, et je ressens clairement la progression de son nud dans mon rectum. Jessaie de bien synchroniser mes contractions et commence de timides aller-retour. Ses paroles me tranquillisent et dérivent mon esprit tant occupé à gérer un tel stress. Dun autre côté, je ressens une certaine fierté, et suis également très conscient de vivre un moment exceptionnel.
Au fil des minutes, mon ventre devient beaucoup plus tolérant. Il ne doit être en moi que dune dizaine de centimètres, mais je décide darrêter toute progression. Le but nétant pas de méventrer, je vais et viens en remontant lentement. Je cherche maintenant à revenir lentement jusquà la base du gland pour mieux le reprendre en moi et ainsi mhabi à son énorme sexe. Accompagner par ses encouragements, je commence à éprouver du plaisir à le contenir, à le sentir coulisser en moi.
La queue de Stéphane mavait beaucoup impressionné avec ses 20 x 5. Elle avait suscité beaucoup dappréhension de ma part, mais donné tant de plaisir dès les premières minutes critiques écoulées. Celle-ci est beaucoup plus volumineuse, beaucoup plus large, me donne le sentiment davoir atteint mes limites, mais avec une amplitude croissante mon cul reçoit ce monstre dont la tête dilate mes intestins. Dincroyables frissons semparent régulièrement de tout mon être, des sensations qui me prédisposent au plaisir. Cette intense stimulation moblige à descendre toujours plus bas sur son vît. Il me motive en disant que je vais lui gober son gros dard tellement je laspire fort, que je suis du genre à en redemander, et quil va men donner tant que jen veux. Ces mots me dynamisent, me mettent en confiance, et cest avec toujours plus dentrain que je mempale. La gêne et les tiraillements se dissipent au profit dun plaisir naissant.
Ooohhh,.. Que cest bon. Putain que cest bon ! criais-je, la tête toujours dans son cou. Elle est énorme, mais cest ça qui est bon.
Tu ty habitues à ma grosse quéquette, hein ! Tu sens ma chaleur dans ton ventre ?
Je ne sens pas que ça, mécriais-je en haletant.
Cela fait un bon moment que je fais des va-et-vient en veillant à bien respecter les contractions de mon sphincter, une bonne quinzaine de centimètres minvestissent maintenant, et si on veut progresser, il va falloir trouver laccord qui nous convient. La massue de chair glisse hors de moi en me redressant, mais je nai pas le sentiment que mon cul sest refermé pour autant.
En un rien de temps, jouvre le clic-clac et en arrache la housse. Pas mal de copines se sont retrouvées sur ce lit lorsque le flirt se déroulait comme prévu, et cette pensée me traverse lesprit à cet instant. Ce soir, cest bien moi qui ouvre le lit, mais cest également moi qui écarte les jambes !
Lorsque lon se retrouve sur le lit, il se place contre moi, lénorme barre plaquée dans mon dos. Je le saisis à pleine main et le guide entre mes fesses. Sans le moindre heurt, il me possède de nouveau. Mon rectum se détend instantanément sur son passage, moffrant les sensations que jattends dune pénétration anale. Je ne cherche pas la performance, ni à confectionner un tableau de chasse. Je naspire pas à me faire démonter ou casser le cul ni à être la femelle dun mec ! Je prends seulement beaucoup de plaisir à me faire prendre, lorsque cela est bien fait. Et un sexe très large...
Cest maintenant à lui quincombe le mouvement. La position en cuillère est plus relaxante pour moi. Les reins bien cambrés, je tiens sa queue par la base, lui à posé sa main sur mon pubis et sengage par petites poussées. Ses coups de reins sont respectueux, sa queue me pénètre toujours davantage en mirradiant de sensations que je naurais jamais pensé être aussi enivrantes, dynamisantes. Un véritable paradoxe entre éclatement et plaisir, ou plutôt un délicieux mélange des deux. En fait, sa queue est une pompe à endorphine et chaque passage de son nud minjecte une dose de bienêtre.
Plus il senfonce, plus il me stimule par des mots crus, plus jaime ce quil me fait, et lui demande même daller un peu plus profond maintenant. Lépaisse hampe glisse hors de moi pour y revenir toujours plus librement. Il réitère quelques fois cette manuvre qui mexcite terriblement, à tel point que jenvoie les fesses en arrière pour le retrouver au plus vite dans mon ventre. Et ce sont de véritables bouffées de chaleur qui se diffusent sur mon visage lorsquil propulse son nud. Ses couilles butent maintenant régulièrement mes fesses, ce sont donc bien plus de 20 cm qui me pénètrent et me submerge de plaisir. La tête men tourne, saoule de toutes les infos que mon esprit doit gérer, sans compter les mots crus qui décuplent mon excitation. Il nest en aucun cas vulgaire ou irrespectueux, il est simplement incroyablement stimulant, sexuellement comme cérébralement.
Pendant une éternité, il me baise avec tendresse, nayant besoin de reculer que de quelques centimètres avant de revenir échouer son pubis contre ma croupe. Lorsque de nouveau il quitte mon ventre et son gland se dégage de mon anus, un drôle de sentiment menvahit tant il ma habitué à lobésité de sa hampe. Un vide immense se fait sentir, et cest comme si tout lair frais de la pièce emplissait mon rectum. Méticuleusement, il parcourt alors ma raie de son large gland, puis me demande si je veux encore de lui.
- Ouiiii, remet-la moi, sil te plaît. Cest trop bon. limplorais-je en étreignant les draps à pleine main. Encule-moi tout doucement, rempli-moi de toi. Tu vas me faire hurler !
Et il se renfonce en marrachant des râles de bonheur. Je naurais jamais pensé devenir vulgaire en me faisant prendre, mais jai dans les veines un mélange dhormones, je dois être proche de loverdose. Il est loin de me labourer et ne cherche pas à r de la situation ! Il va et vient régulièrement, ce nest que le fait que sa queue est... immense ! Pas besoin den faire beaucoup pour donner un maximum de sensations. Il est en train de me faire découvrir toute la magie dune grosse queue bien employée. Je voudrais que le temps sarrête et surfer indéfiniment sur cette vague de plaisir.
Sans trop men rendre compte, je me retrouve à plat ventre, mes cuisses jointes entre les siennes. Il me semble encore plus long et cest comme si je navais plus de bas ventre. Je répète en boucle quil me baise trop bien, que jadore sa queue ; je lui parle de ses couilles qui ballottent à la naissance de mes fesses, lui crie quil peut jouir en moi, que je veux tout de lui, quil peut me baiser où et quand il le désire, autant quil le désire.
Tu en veux encore ? Tu veux que je te prenne encore un peu ? Mets-toi à quatre pattes.
Il se retire le temps de me redresser et déjà je lui tends ma croupe pour quil se glisse entre mes jambes. Lorsquil pose son nud à lentrée, jenvoie mon cul en arrière en passant ma main entre mes jambes pour lui saisir les couilles. Sa dague plonge en moi, ses mains saisissent mes hanches, et en trois grandes poussées il est tout au fond. Un bonheur indicible me submerge instantanément, la tête men tourne, de terribles bouffées de chaleur mnt, et pourtant il me faut de laction.
Quest-ce quil est bon ton joli cul ! Cest un plaisir de te prendre. On te la déjà dit ?
Oui, mais personne ne ma donné autant de sensations. Remplis-moi de ta queue, de ton foutre !
Je limplore de sactiver, arguant que mes fesses sont dédiées à son plaisir, que jaime que ses couilles battent les miennes et que je voudrais quil me remplisse de sperme. Les quelques centimètres supplémentaires quil menfonce, sil distendent monstrueusement mon ventre, provoque un électrochoc. Il accélère le rythme crescendo, répond à mes attentes en portant davantage ses coups. Ses burnes copulent avec les miennes, jen crie de plaisir, le ventre en feu, la tête remplie déclaires multicolores, submergées par le sentiment de plus être en capacité de gérer.
Je ne suis quun tunnel de chair traversé par le train du bonheur. Tout semballe lorsque mon enculeur crie quil va décharger. Sans savoir pour quelle raison, je nai alors quà agripper fermement mes bourses pour quà mon tour je commence à éjaculer, le goût de son foutre intensément présent dans ma bouche. Je tutoie lorgasme anal, le vrai, sans réellement le savoir.
Ses doigts soudainement crispés dans la chair de mes hanches, il me propulse à plusieurs reprises sa turgescence aux confins de mes intestins pour y déverser sa semence en longues giclées. En réaction, je jouis bruyamment sous ses assauts finals, lanus secoué de multiples spasmes. Il ne mest pas vraiment possible de ressentir distinctement ses jets de sperme. Mais je perçois très nettement son nud qui se dilate à chacune de ses salves, immédiatement suivi dune sorte deffervescence brûlante, sortes détranges gargouillis, comme si des bulles éclataient au bout de sa queue.
Au-delà de ces intenses sensations physiques, il y a surtout cette extrême plénitude, cette béatitude qui menvahit. Faire lamour avec une femme, la pénétrer et gérer sa propre endurance pour lui permettre daccéder à sa jouissance est une chose merveilleuse pour un homme. Mais croyez-moi, pouvoir se libérer mentalement de cette obligation de résultat afin de devenir totalement passif (mais certainement pas inactif !), de ne plus aller chercher le plaisir, mais de le recevoir tel un cadeau est une expérience hors du commun, une véritable offrande que nous fait notre partenaire.
Il simmobilise enfin, immense, que dis-je, gigantesque, et pourtant son plaisir continue de se diffuser en moi comme une onde se propageant en vaguelettes à la surface dune étendue deau. Ses doigts quittent mes hanches, redeviennent caressants et parcourent maintenant mon dos.
Je me sens soudain incroyablement bien. Jai joui dune façon totalement inattendue, incomparable à ce que Stéphane mavait fait vivre. Je pense avoir été beaucoup plus libéré et disposé ce soir ; javais terriblement besoin dun homme. Les circonstances mont permis de lapprécier, de savourer linstant.
Repus, imbriqués lun dans lautre, nous glissons sur le côté, savourant ce calme après ce splendide orgasme. En quelques minutes silencieuses, je le sens retrouver une taille plus raisonnable au creux de mes reins, en appréciant la douce chaleur qui tapisse encore mon ventre, le calme après la tempête, en quelque sorte.
Toutes sortes de pensées vont et viennent dans mon esprit cotonneux, jusquà ce que je ressente le besoin de le remercier pour ce quil vient de me faire vivre. Nous avons longuement parlé ce soir-là, allongés sur le lit. Nous avons fait plus ample connaissance. Étrangement, pas le moindre sentiment de gêne nest venu polluer cet échange, alors quen général, après lorgasme, la plupart des hommes ne pensent quà se rhabiller et partir. Je lai sucé de nouveau avec énormément de tendresse jusquà lui dérober sa douce semence. Il nest reparti que bien plus tard, après avoir échangé nos coordonnées et quil ait pris une douche. Je restais nu ce soir-là ; de mon anus délicieusement ouvert en endolori sécoulait régulièrement un peu de son sperme.
Nous nous sommes revus plusieurs fois et ça a toujours été un festival. Nous navons jamais utilisé de préservatifs. Le sida faisait à peine parler de lui et nous navions pas conscience du danger que représentaient nos pratiques. Cest un peu après Patrick que jai commencé à me protéger. Jai certes eu beaucoup de chance de passer à travers ; jai pu connaître le sexe nature, déguster de belles queues et recevoir leur sperme tant en bouche quailleurs. Ces plaisirs sont aujourdhui soumis à tellement de conditions quils ne sont pratiquement plus envisageables.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!