Gang Bang (1)

L’autre semaine, j’ai reçu un SMS de Paulo !
Ca faisait un bail que je n’avais pas de nouvelles. Faut dire qu’avec son boulot de top model ( voir « Oh meu Brazil »), toujours entre deux avions, aux quatre coins de la planète…et avec le look qu’il a … Je me doute bien que je ne le mettrai jamais en cage et que je ne passerai pas non plus ma vie à attendre ses coups de fil.
« How are you meu amor ? I hope fine. I miss you ! For next week end, I have three days free. Please, comme with Ali at Santorin. We will spend good time all together with Pablo. I kiss you ». Aussitôt je téléphone à Ali pour l’inviter trois jours en week end.
« -Ne prends rien, juste ton maillot de bain rouge…avec quelque chose dessus ! ». tel que je le connais, il aurait été capable de venir en slip de bain ! On s’est donné rendez vous à l’aéroport. Le vendredi matin, je l’ai retrouvé là bas.
« -On va où ?
-Santorin
-C’est où ça ?
-C’est une île grecque
-Wouah ! Super ! C’est Paulo qui régale ?
-T’as tout compris ! »
Les deux heures d’avion ont été chaudes. Il voulait sans arrêt me sauter dessus, qu’on aille baiser dans les toilettes, il n’arrêtait pas de me tripoter. J’ai du mettre un pull sur mes genoux pour que ce soit plus discret. Heureusement qu’on n’avait pas de voisin direct. Faut dire que ça faisait un moment qu’on n’avait pas baisé ensemble ( voir « Ali »). Je lui explique que, d’après ce que j’ai cru comprendre, l’invitation de Paulo ressemblait beaucoup à une proposition de gang bang. Ca l’excite au plus haut point !! On finit par arriver à l’aéroport. Il fait déjà chaud pour la saison. Paulo est là avec un autre mec, à peu près de son âge, il a l’air brésilien lui aussi, plutôt mignon, avec un gros appareil photo à la main. Tous les deux sont en bermudas rose et bleu délavés avec des débardeurs très courts, pieds nus. Le look de parfaits vacanciers. Quand on passe la porte, Paulo se précipite vers moi et me serre dans ses bras.

Vu son look et sa belle gueule, ça ne laisse pas indifférent les autres personnes qui attendent des passagers »-Oh ! Hi, Pablo, a famous photographer « Ali est déjà emballé par le look de Pablo. Bref, on s’embrasse comme du bon pain. Dehors, on monte dans une espèce de jeep décapotée. Paulo et Pablo devants, nous derrière. Les deux ont déjà retiré leurs débardeurs pour mieux profiter du soleil. Je mettrai ma main au feu que Paulo et Pablo ont déjà baisé ensemble, et pas qu’une fois. D’ailleurs, très vite la main droite de Paulo qui conduit, s’égare sur le genou de Pablo puis cherche le mien à l’arrière et rencontre celle d’Ali qui me tripote déjà le genou. Ca promet. Après un petit temps de route, on arrive dans un chemin de terre privé, fermé par une barrière qui mène à une maison en bois peint, au bord d’une petite crique de sable. Wouah ! L’endroit est paradisiaque. Seuls au monde au bord de la grande bleue. Paulo et Pablo ont déjà retiré leurs bermudas pour ne garder qu’un string ficelle rose pour Paulo et bleu ciel pour Pablo. Pablo revient avec deux autres strings vert et jaune pour moi et Ali .Pablo nous contemple avec attention entrain de nous changer. On est tout de suite dans le bain. Paulo me montre une belle collection de maillots, boxers et shorts qu’il a ramené de ses derniers shoots. La mode de l’an prochain. A disposition pour tous. Ils se proposent de nous préparer une salade et nous invitent à aller nous baigner avant de manger. On ne se fait pas prier. L’eau est encore un tout petit peu fraîche mais si on se remue, ça va. Et pour ce qui est de remuer, Ali, très bon nageur, ça lui va très bien. Il me tourne autour comme un papillon de nuits autour d’une lampe. Ses mains se font de plus en plus précises. Je me redresse et décide de me laisser faire. J’ai de l’eau jusqu’aux couilles. Il s’agenouille sur le fond, ses lèvres sont ainsi juste à la hauteur de mon string. Il commence à me mordiller la tige à travers le tissu qui se met à enfler. Ses mains m’enserrent les fesses et me tirent vers lui.
Ses doigts se glissent sous le tissu et dégagent doucement mon gland qui émerge au dessus de l’élastique. Il le prend en bouche et commence à le sucer comme lui seul sait le faire. Le salaud ! C’est trop bon ! ses lèvres chaudes m’enserrent et descendent lentement le long de ma tige, à la limite del’eau. Ali y met toute sa sensualité. J’ai empoigné sa tête et la presse. Je commence des petits va et viens dans sa bouche.
« -Hé ho ! It’s OK You can come ! »
Paulo, depuis la terrasse de la cabane nous appelle pour le repas. Bien sûr, il a tout vu. En arrivant, il me lance un clin d’œil coquin.
« -It was good ?
-Too short ! »
Pour nous inciter à passer plus vite à table, Paulo pose sa main sur le cul de chacun et le pousse gentiment vers la table. Ali lui en fait autant et le gratifie d’un bisou dans le cou. Le ton est donné. L’ouzo est rès bon, les tournées se succèdent. Et la salade grecque encore plus.
« -You are a real good cooker, now ! Je dis à Paulo
-I learned with Pablo… »
Sous la table, les pieds ont commencé à se frôler, à se caresser, les mollets à se frotter, les jambes à s’emmêler. La conversation est joyeuse, animée. Paulo a l’air très content de me voir et de revoir Ali. C’est vrai que notre dernière rencontre à Roissy ( voir « A trois ») avait été plus qu’agréable…
« -Now, we have to rest ! » décrète Paulo. Il pousse la table et étale sur la terrasse de bois de grands draps de bain, côte à côte. On s’allonge, collés les uns au autres et on se laisse aller, soleil et alccol aidant, à une douce torpeur. Nos mains se font doucement baladeuses. Pablo, pour le moment a préféré nous tourner autour avec son appareil, pour nous shooter sous toutes les coutures.
« -Il looks like the gay flag ! Rigole-t-il en désignant nos strings colorés, les uns à côté des autres ! paulo se met à m’embrasser lentement pendant que les mains d’Ali me caressent le cul et que Pablo nous shoote. Pas chien, il se retourne et embrasse Ali goulûment.
N’y tenant plus, j’agrippe Pablo par l’élastique de son string et l’attire vers moi pour l’embrasser. Il n’a rien contre, bien au contraire. Il est temps que je vous décrive Pablo. Il a la même couleur de peau café au lait que Paulo, ils sont à peu près de la même région du Brésil. Un peu plus petit que Paulo, un corps bien proportionné, de très fins abdos –on sent qu’il s’entretient-. Une barbe de trois jours , totalement sans poils surle corps –il se rase sûrement-, un sourire chaleureux à tomber. Trop mignon, quoi. Il commence à se faire un nom dans la photo. Comme nous nous sommes redressés, à genoux, collés l’un à l’autre, Pablo et moi, pour nous embrasser furieusement, Paulo en profite pour glisser sa tête entre nos deux bas ventres et nous lutiner tour à tour le slip. Ali, excité, nous masse les fesses à tous les deux…On passe ainsi un bon moment à se bisouiller les uns les autres. On crève d’envie de se jeter les uns sur les autres, sauvagement, mais on veut faire durer, durer…
Puis Paulo demande à ce qu’on se mette en carré. Je choisis le bas ventre de Pablo comme oreiller. Lui s’occupe d’Ali qui s’occupe de celui de Paulo qui lèche le mien. Rien de tel comme oreiller. Je sens parfaitement bien la bite et les couilles de Pablo contre ma joue ainsi que sa bonne odeur de mâle. De mes deux mains relevées, je lui masse le cul et la raie, lui titillant son trou qui me donne l’impression d’être déjà un peu dilaté. Je vois sa tige émerger et soulever l’élastique du string. Son gland luisant apparaît. Je le chatouille du bout de ma langue. On n’entend plus qu’une série de petits gémissements de plaisir. Tout le monde roucoule et couine. J’allais enfin découvrir à quoi ressemblait la bite du beau gosse Pablo. Et ce, pour moi tout seul. Déjà, ce que j’en voyais me laissait supposer une très belle bête. Du bout des dents j’agrippais l’élastique de son string et tirais vers le bas. Une longue tige très fine se dégageait peu à peu du tissu, terminée par deux belles petites boules.
Je me vautrais dessus avec mes cheveux, la léchant à grands coups de langue. Entièrement rasée, le contact n’en était que plus doux. Je pris en bouche son gland luisant…Il grogna de satisfaction. J’empoignais à deux mains sa tige pour contrôler ma descente le long de sa hampe. Je salivais abondamment. Je voulais essayer de le gober entièrement. J’étais d’autant plus excité que je sentais Paulo qui me gloutonnait de plus en plus…. Le but n’était pas de faire jouir tout de suite mais d’échauffer au plus haut point. Avec mon majeur, le lui labourais la raie. Je pus passer très vite un puis deux doigts dans son trou. Je le sentis se cabrer encore plus. Là encore, Paulo nous fit changer de position, offrant à chacun notre cul et notre raie. J’allais pouvoir me déchainer sur sa rondelle. Il adorait les grands coups de langue le long de sa raie et les petits coups de poussée du bout de la langue pointée. Je n’avais jamais vu une rondelle se dilater aussi vite. Il ondulait, aux anges….
L’après midi se passa ainsi à essayer toutes sortes de positions, de combinaisons des plus imaginatives aux plus érotiques…A ce petit jeu là, Ali était, de loin, le plus extravagant. Déjà qu’il avait fait sensation en étant le seul à ne pas être rasé. Sa touffe épaisse d’où émergeait sa belle bite, sa ligne de poils fournie, tout cela émoustillait pas mal tout un chacun, leur faisant presque regretter de s’être fait raser ! Laquelle j’avais préféré ? Toutes. Quand ils s’étaient mis à trois sur ma bite, quand Paulo m’avait pris contre le mur et moi agrippé à sa taille – ma position préférée, il le savait-quand Ali avait essayé d’englober nos trois bites à la fois, quand on était passé chacun son tour à se faire pénétrer, sucer et sucer en même temps, quand on changeait tous les trois à toute vitesse pour pénétrer Pablo, quand Pablo s’amusait à s’empaler à tour de rôle sur nos bites dressées… On passait son temps à se caresser, se sucer, se branler, se pénétrer. Toutes apportaient des sensations différentes. Le niveau de tension sexuelle était monté à un niveau incroyable. Tout au long de l’après midi, chacun shootait les autres à tour de bras avec l’appareil de Pablo
C’est à ce moment là que Pablo demanda à Paulo s’il pouvait avoir une double pénétration. Personne n’avait jamais fait ça, sauf lui. Il nous expliqua comment s’y prendre. Maintenant, je comprenais mieux pourquoi il se dilatait aussi vite. Il fallait le « préparer » un peu. On s’y mit donc à trois. Un puis deux puis trois doigts, facilement. Le but était de passer les cinq doigts groupés, comme pour un début de fist. On hésitait un peu mais Pablo nous y encourageait fortement. De plus il grognait de satisfaction à chaque fois qu’on ajoutait un doigt ou poussait plus loin. Le gel circulait de mains en mains. On s’encourageait mutuellement. Puis, Pablo m’allongea sur le dos, il vint me couvrir et s’empala sur ma tige.
« -Don’t moove » me dit-il.
Paulo arriva derrière lui et essaya de le pénétrer par petites poussées. Ce ne fut pas évident au début mais Pablo insista vraiment pour qu’il continue. Finalement, avec force gel, Paulo réussit à passer sa bite. Pablo grogna. Paulo attendit que la douleur se fut calmée et commença à bouger tout doucement. La sensation que je ressentis alors était extraordinaire. Je sentais la chaleur du ventre de Pablo et le frottement de la bite de Paulo contre la mienne. Ali s’en donnait à cœur joie, shootant comme un forcené, gros plans sur gros plans. Paulo accéléra un peu son va et vient. Pablo gémissait de plaisir sans discontinuer. Il aurait sans doute aimé que Paulo jouisse dans son ventre mais ce n’était pas le plan de Paulo. A un moment, on se retira tous les deux. Pablo fut surement déçu mais ne le montra pas. Il parlementa en portugais avec Paulo et alla se plonger un temps dans la mer. J’imaginais que c’était pour recontracter son sphincter.
Pendant ce temps, Ali et Paulo m’installèrent le plus confortablement possible pour me faire l’amour à deux, en alternance. En levrette d’abord, puis je m’empalais alternativement sur leurs bites, puis sur le dos. Pablo vint alors me rejoindre et s’offrit, lui aussi aux coups de boutoir. Paulo et Ali passaient alternativement et de plus en plus vite de l’un à l’autre. Ils nous secouaient comme des pruniers. Cette fois, on avait compris qu’ils voulaient au bout, jusqu’à l’explosion finale. Mais, je savais Ali endurant, très endurant. Ca allait être intéressant de savoir qui des deux allait tenir le plus longtemps. Collé à Pablo, j’en profitais pour l’embrasser, le branler. Je sentais son corps vibrer sous les coups de boutoir d’Ali. J’attrapais l’appareil photo et essayais de faire des gros plans de leurs visages déformés par le plaisir qui montait, qui montait. Paulo poussa un grand cri et se vida en longs jets chauds dans mon ventre. Il retomba sur moi. On entendait encore le claquement effréné des couilles d’Ali qui frappaient le cul de Pablo au gré de ses va et viens déchainés. Cela dura encore de longues minutes. Paulo, allongé sur moi, essayant de reprendre son souffle, regardait Ali, admiratif. Pablo avait empoigné Ali par les épaules et le tirait vers lui de toutes ses forces, ses jambes enroulées autour de sa taille, comme s’il ne voulait plus faite qu’un avec lui. Ali finit par exploser dans un énorme tremblement de tout son corps.
Pablo et moi étions sous une énorme tension sexuelle et, nous aussi, nous aurions aimé jouir de toutes nos fibres mais, gentiment, Paulo nous laissa sur le grill jusqu’au soir. On alla donc se rafraichir, se laver et récupérer dans la mer. Puis tout le monde s’écroula,nu, sur le sable et sous le soleil, pour une longue phase de récupération……

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