Humiliée

Je réveillai mon épouse vers six heures ; elle me demanda pourquoi nous devions nous lever si tôt.

- Nous sortons pour la journée, lui précisai-je

Nous nous douchâmes ensemble, nous savonnâmes mutuellement ; et avant qu’elle ne se séchât, je lui rasais les grandes lèvres et taillais le reste de sa toison pubienne en forme de cœur dont la pointe effleurait son capuchon. A son grand étonnement, je ne lui imposai aucune tenue vestimentaire ; je lui conseillai juste de ne pas se maquiller. Nous avalâmes un solide petit-déjeuner, avant de quitter notre domicile vers sept heures trente.

Nous roulions depuis environ une demi-heure en ce dernier vendredi d’août ; ma belle ignorait notre destination. Nous y arrivâmes peu avant huit heures. Je garai notre voiture à l’orée d’un bois.

Cette aventure commença une nuit de fin décembre ; après nous être ébattus intensément pendant plus de deux heures, ma belle avait demandé d’être inondée de sperme.

- Maintenant ? lui avais-je dit.
- Je veux que mon corps en soit intégralement enduit, avait-elle répondu. Ce ne sera pas possible si tu es seul ; quand tes testicules seront taris, mes seins et mon ventre au grand maximum seront recouverts de ta semence ! Et je veux que tout mon corps soit luisant !

J’avais réalisé l’immensité de son souhait, que moi seul n’aurais pu exaucer.

- Es-tu consciente que tu seras humiliée si plusieurs hommes te douchent de sperme ? lui avais-je rétorqué.
- C’est une expérience que je veux vivre au moins une fois : je veux être une femme soumise enduite de semence mâle !

Notre discussion en était restée là ; nous n’avions plus abordé ce sujet depuis lors.

Je n’étais cependant pas resté inactif quant à cette requête ; peu après cette discussion en alcôve, j’avais échafaudé un scénario pour la satisfaire. Les scènes détaillées s’étaient précisées après trois mois, puis j’avais prospecté aux alentours de notre domicile pour trouver un lieu insolite, idoine pour satisfaire la demande de mon épouse.

Et enfin, j’avais préparé la veille tous les objets et ustensiles spéciaux pour cette journée ; je les avais rangés dans un sac que j’avais enfermé dans le coffre de notre voiture. J’avais même prêté attention au bulletin météorologique télévisé : il était prévu pour le lendemain un temps ensoleillé et une température douce et agréable, dix-sept degrés le matin et vingt-cinq l’après-midi.

Nous empruntâmes un large chemin forestier ; nous nous y enfonçâmes sur quelques centaines de mètres ; j’enlaçai et embrassai ma belle, qui me demanda :

- Que faisons-nous ici ?

Je lui répondis par une question :

- Te souviens-tu de la requête que tu a émise il y a plus de six mois ?

Alors que je laissais mon épouse chercher la réponse, je me glissais derrière elle et lui dégrafais les boutons de son pantalon que je fis glisser le long de ses jambes : je comptais la dévêtir au milieu de l’allée, elle se laissa faire.

Elle balbutia quelques phrases très éloignées de la réponse que j’attendais, je lui retirais son slip : comme elle ne portait pas de chaussettes, elle était dorénavant nue de la taille aux chevilles. Je lui retirais sa chemise et son bustier. Je rangeais tous ces vêtements dans le sac.

La durée de l’effeuillage ne fut pas suffisante à ma belle pour trouver la réponse à la question posée ; j’éclairais donc sa lanterne tout en la guidant hors de l’allée.

- Les feuillages de ces arbustes masquent ce lieu des passants qui arpenteront le chemin forestier ; en restant ici, tu leur seras donc invisible, expliquai-je

Elle resta coite, à l’écoute d’explications complémentaires. Je lui tendis une culotte saumon tout en renchérissant :

- Si tu vois passer un homme à ton goût, tu l’appelles pour l’attirer ici.

Elle enfila la pièce de lingerie, dont l’élastique enserrait sa taille à quelque trois centimètres sous son nombril. Le tulle léger et transparent écrasait contre sa peau le cœur sculpté dans sa toison, et recouvrait l’intégralité de ses fesses.


Je sortis du sac un plaid que j’étalais entre deux arbres distants d’environ deux mètres, j’y fis agenouiller mon épouse ; ses cuisses et son tronc étaient verticaux. Je nouais une cordelette à chacun de ses poignets.

- Pourquoi m’attaches-tu ? demanda-t-elle.

Je lui rappelais sa requête vieille de quelques mois, en insistant sur sa demande de soumission. Je fixai aux troncs les extrémités libres des cordelettes : je les tendis pour que les bras fussent en croix.

- C’était la nuit où je t’ai expliqué que je voulais être douchée de sperme, réalisa-t-elle.

Je l’incitai à écarter les genoux.

- Plus, insistai-je.

Elle obtempéra. Je tendis de nouvelles cordelettes entre les bases de ses cuisses et les troncs ; je lui fis croiser ses pieds, entravai ses chevilles, retirai ses escarpins que je rangeais dans le sac, et me postai debout face à ma belle pour l’admirer. Le sillon qui séparait ses seins était particulièrement marqué ; sa toison en forme de cœur et son capuchon au dessus de ses petites lèvres qui disparaissaient sous son ventre étaient parfaitement visibles à travers le tulle saumon. Une telle position la rendait clairement vulnérable.

Je lui indiquai les consignes : ses amants de passage ne devaient sous aucun prétexte lui dénouer les liens des chevilles ou des genoux ; ils pouvaient lui libérer les poignets à condition des les rattacher avant de la quitter ; enfin ils pouvaient baisser sa culotte sous réserve de la rajuster a la fin des ébats. Bien sur, en qualité de soumise, elle ne devait en aucun cas prendre la moindre initiative, et encore moins proposer quoique ce fût. Je l’embrassai, m’éloignai de quelques dizaines de mètres et pris un poste d’observation hors de vue de mon épouse que je pouvais admirer de trois-quarts de face et qui s’était assise sur les talons : ses bras étaient dorénavant ouverts en V, comme pouvaient l’être ceux d’un tire-bouchon Charles de Gaulle.
Il était huit heures trente environ.

Ma belle héla le premier passant vers neuf heures. L’homme d’environ quarante ans franchit les frondaisons qui la cachait, et s’apprêtait à la détacher en la voyant ; elle refusa évidemment, et expliqua qu’elle était sexuellement à sa disposition. Le quadragénaire s’approcha d’elle, en expliquant :

- Je n’ai pas beaucoup de temps, donc fais vite !

Il baissa pantalon et caleçon et exigea une fellation. Mon épouse goba la verge, qu’elle pompa pendant de longues minutes. Ce premier partenaire de la journée éjacula dans la bouche de ma belle qui déglutit, demanda ensuite qu’elle nettoyât son sexe luisant de sperme. Elle lécha donc gland, verge et bourses. Il se rajusta, et quitta la scène sans dire un mot.

Ce premier mâle de la journée s’était conduit comme un égoïste : il n’avait songé qu’à son plaisir personnel, sans même se préoccuper des attentes de sa partenaire ; pour preuve, il n’avait pas eu la moindre considération pour la poitrine offerte ; de plus, mon épouse était restée assise en sa présence, le goujat n’avait pas souhaité lui demander de se dresser pour admirer l’intégralité des charmes de ma belle. Je savais qu’une simple fellation ne pouvait satisfaire une nymphomane infatigable de son calibre.

Plusieurs femmes passèrent sans voir ma belle avant qu’un second homme, d’environ trente celui-ci, se présentât. Elle l’appela et lui précisa qu’il pouvait tout lui demander. Il exigea qu’elle se dressât sur les genoux, et admira sa beauté.

- Cette pointe de cœur en forme de flèche est une véritable incitation à la luxure, la félicita-t-il.

Il s’approcha davantage et palpa d’une main les seins offerts ; il eut de nouveaux mots d’admiration :

- Bien que ta poitrine soit généreuse, tes seins sont particulièrement fermes !

Et lorsqu’il effleura les aréoles, mon épouse tressaillit. Il eut un nouveau mot gentil :

- Et en plus, ils sont sensibles ; tu as vraiment beaucoup de qualités !

Il du se pencher pour glisser son autre main dans la culotte, et un doigt entre les lèvres pour exciter le clitoris.
Ma belle émit des soupirs bruyants à chaque respiration ; le trentenaire caressa la vulve plus intensément, les gémissements se firent plus bruyants.

L’homme lâcha momentanément les seins pour libérer son sexe. Mon épouse baissa la tête pour sucer la verge ; bien que l’inclinaison de son buste fût limitée, puisque ses bras attachés par les poignets le retenait, la base des ses seins se décolèrent de sa poitrine. Elle aurait pu s’asseoir, mais les caresses sur son sexe auraient alors cessé. Et après de longues minutes, l’homme fit sortir son pénis de la bouche de ma belle et déversa une modique quantité de sa semence sur les seins qui s’agitaient. Le trentenaire se redressa, mon épouse s’assit sur les talons et fit disparaître le sperme du sexe de son partenaire à grands coups de langue. Il se rhabilla, remercia mon épouse et s’en fut. Il était onze heures.

La prestation de ce trentenaire était meilleure que celle du quadragénaire, mais restait toutefois insuffisante : le partage des sensations entre les deux partenaires sexuels restait déséquilibré ; pour compenser une fellation, un cunnilingus aurait été de meilleur aloi que des caresses vulvaires sans pénétrations vaginales. Quant à mon épouse qui attendait une douche de sperme, elle ne reçut qu’une piètre giclée de semence sur les seins. J’imaginais aisément sa déception. La mienne était profonde : quand midi sonna au clocher d’une lointaine église, seuls deux hommes s’étaient présentés à elle, et ils n’avaient pas été à la hauteur des attentes de ma belle. J’espérais que l’après midi fût plus intense.

Un troisième homme, d’environ cinquante ans, passa vers treize heures trente ; mon épouse l’invita :

- Monsieur s’il vous plaît, venez me rejoindre.

Lorsque ce nouveau partenaire eut franchi les frondaisons, elle insista :

- Je suis sexuellement à votre disposition.
- J’ai une réunion professionnelle dans un peu plus d’une heure, expliqua-t-il ; tu imagines que je ne peux pas m’y présenter en sentant la fornication.

Il lut la déception sur le visage de ma belle ; il fit donc une contre-proposition.

- Je comptais passer une demi-heure dans ce bois pour me détendre en déjeunant. Ma pause sera d’autant plus relaxante si tu acceptes de te masturber pendant que je mange.

Elle accepta d’un hochement de tête. L’homme se dirigea vers elle en précisant :

- Je vais te détacher !
- Uniquement les poignets, pas les genoux ni les chevilles, s’exclama-t-elle. Et il faudra me rattacher avant que vous partiez.

Il remarqua le sperme séché sur ses seins.

- Apparemment, je ne suis pas le premier que tu sollicites, s’exclama-t-il. Dommage que je n’ai pas le temps de profiter de toi ! jusqu’à quelle heure es-tu disponible ici ?
- Jusqu’à la tombée de la nuit, répondit ma belle.

Il prit donc rendez-vous :

- Alors je reviendrai si j’ai le temps.

Le quinquagénaire libéra les bras de mon épouse, qui immédiatement malaxa sa poitrine ; il sortit son sandwich, commença son repas et exigea d’abréger les caresses mammaires :

- J’ai vraiment peu de temps ; cesse donc ces caresses gnangnan sur tes seins, et passe aux choses sérieuses !

Ma belle glissa ses mains dans sa culotte, et ouvrit ses lèvres au niveau de son clitoris qu’elle pinça vigoureusement.

- Une dernière demande, expliqua l’homme ; baisse ton slip jusqu’à la base de tes cuisses, que je puisse observer en détail comment tu maltraites tes organes génitaux !

Quand elle reprit ses caresses sur son clitoris, celui-ci avait déjà triplé de volume. Tout en terminant son repas, l’homme alternait félicitations et exigences. Par exemple :

- Bravo pour la taille de ton clitoris !

Suivi de :

- Enfonce tes doigts encore plus profondément dans ton vagin !

Lorsqu’il eut mangé son sandwich, ma belle était haletante et allongée bras en croix sur le dos ; ses talons écartaient ses fesses ; elle présentait au quinquagénaire son clitoris gonflé, son anus et son vagin fortement dilatés ; elle avait atteint un puissant orgasme au point que son corps fut parcouru de spasmes impressionnants pendant plus d’une minute.

Avant de rejoindre sa réunion, le quinquagénaire aida mon épouse à se redresser ; il rattacha ses poignets, et ajusta sa culotte. C’était un homme généreux : il avait procuré énormément de plaisir à ma belle sans attendre quoique ce fût en retour. Il contrastait avec le goujat de neuf heures.

Aucun homme seul ne passa dans l’allée avant seize heures trente. Je m’impatientais, j’imaginais que mon épouse également. Puis j’entendis une discussion dans le lointain : Un groupe de personnes s’approchait de nous ; il s’agissait de trois hommes que ma belle interpella :

- Messieurs s’il vous plaît, j’ai une proposition à vous faire !

Lorsqu’ils virent mon épouse attachée nue, ils s’exclamèrent :
- Que faites-vous ici ainsi ?
- Je m’offre à vous, répondit-elle.

Ils s’interrogèrent du regard. Ma belle les interrompit :

- Quel age avez-vous ?

Deux d’entre eux avaient dix huit ans, et le dernier dix-neuf. Quand elle expliqua qu’elle s’offrait à eux sexuellement parlant, les membres du trio réalisèrent qu’ils pouvaient assouvir bien des fantasmes. Le plus âgé demanda :

- Et toi, quel age as-tu ?
- Vingt sept ans, répondit-elle.
- Tu es belle, et en plus sexuellement expérimentée, remarqua l’un d’eux. On peut te caresser les seins ?

Le tutoiement avait déjà remplacé le vouvoiement.

- Bien sur, répondit ma belle.

Les trois jeunes palpèrent la poitrine de mon épouse à tour de rôle ; ils ne semblaient pas s’en lasser. L’un d’eux fit remarquer :

- C’est agréable. Ils sont fermes !

Une nouvelle question fusa :

- On peut voir ton sexe ?

Pour toute réponse, ma belle se redressa. Nouvelle interrogation :

- Vous avez vu les gars, son slip est transparent ! On peut toucher ?

Elle acquiesça ; trois mains glissèrent dans la culotte et atteignirent vulve et grandes lèvres, trois autres malaxaient les seins. Nouvelle question :

- Est-ce que tu suces ?
- Oui, répondit-elle.

Les trois jeunes s’éloignèrent d’elle, puis échangèrent quelques mots à voix basse. Elle se rassit sur ses talons. L’un d’eux demanda :

- On peut te détacher ?
- Uniquement les poignets si vous me les renouer avant de partir, répondit-elle. Pour ce qui est des genoux et des chevilles, il n’en est pas question !

Le plus âgé expliqua à ses amis qu’il avait une idée ; il s’adressa une nouvelle fois à mon épouse :

- Tu vas nous sucer l’un après l’autre ; surtout, n’avale pas !

Les trois jeunes hommes se dévêtirent entièrement, l’un d’eux présenta à ma belle sa verge tendue qu’elle aspira ; sa bouche fut remplie de sperme en moins d’une minute. Le trio libéra ses mains, l’un des jeunes expliqua :

- Tu vas cracher le contenu de ta bouche dans tes mains, et t’en enduire la poitrine comme si tu la savonnais !

Elle obéit. Elle commença par étaler la semence sur ses clavicules, puis fis lentement glisser ses mains sur ses seins. Lorsque ses doigts atteignirent ses aréoles, un nouvel ordre fusa :

- Tu passes trop rapidement sur tes tétons ; insiste donc un peu plus !

Elle les pinça délicatement à plusieurs reprises. Un second jeune approcha son sexe de la bouche de ma belle, qui engloutit le pénis d’un coup. Une nouvelle fois, sa bouche fut remplie très rapidement. Elle reçut un nouvel ordre :

- Cette fois, tu vas enduire ton sein droit ; il doit briller !

L’idée des trois jeunes était originale ; je me demandais cependant ce qu’ils voulaient exiger de mon épouse une fois son corps couvert de sperme.

Elle saisit son sein de ses deux mains, l’enduisit consciencieusement. Elle reçut quelques mots d’encouragement, par exemple :

- C’est une bonne idée de soulever ton sein ; comme cela, tu n’oublies pas d’en enduire la base collée contre ta poitrine !

Ces jeunes compensaient leur inexpérience par une imagination débordante. En quarante minutes, ma belle avait couvert son torse du cou à la taille. Pour y parvenir, elle avait du pratiquer en tout quatre fellations ; à plusieurs reprises, les jeunes l’avaient empêchée de souiller sa culotte.

Elle fut sollicitée pour une cinquième fellation. Elle reçut néanmoins l’ordre de patienter avant de cracher le sperme dans ses mains. Et lorsque sa bouche fut de nouveau remplie, les jeunes exigèrent :

- Une fois que tu auras craché une nouvelle fois la semence dans tes mains, tu les glisseras dans ton slip et enduiras tes fesses !

Elle malaxa ses fesses pendant plusieurs minutes ; elle entendit alors un nouvel ordre :

- Penche-toi en avant et enduis ta raie !

Son torse était parallèle au sol, ses seins perlaient et s’agitaient sous sa poitrine. Alors qu’elle glissait des doigts poisseux entre ses fesses, elle sentit des mains saisir l’élastique de sa culotte.

- Si vous la baisser, il vous faudra la rajuster avant de me laisser, s’exclama-t-elle.

Le vêtement arriva rapidement au niveau de ses genoux. Elle posa ses avant-bras sur la couverture, pour éviter que son visage ne chute trop brutalement sur le sol. Une fois sa joue droite confortablement installée sur le plaid, elle repris le malaxage de ses fesses qui pointaient vers le ciel, et l’enduction de sa raie.

Elle sentit soudain une giclée chaude atteindre son coccyx : l’un des jeunes s’était masturbé, et avait lâché sa semence sur son corps. Elle reçut un nouvel ordre :

- Enduis tes phalanges de sperme, puis écarte tes fesses : nous voulons voir un de tes doigts s’enfoncer au tréfonds de tes entrailles !

Elle obtempéra, puis enfonça un de ses majeurs dans son anus ; « plus profond », lui dit une voix masculine. En quelques secondes, son doigt disparut totalement en elle.

Imposer à mon épouse une telle masturbation était une idée lumineuse ; non seulement son corps s’enduisait peu à peu de semence masculine, mais en plus son anus se souillait. La respiration de ma belle devenait rauque, son plaisir devenait évident. Un nouveau jet inonda son coccyx, l’un des jeunes lui adressa une nouvelle requête :

- Je suis sur qu’il y a suffisamment de place pour un second doigt !

Elle enduisit les phalanges de sa main libre de semence chaude, puis fit lentement pénétrer son second majeur dans son anus. Et quelques minutes plus tard, elle y agitait quatre doigts. Sa respiration rauque devenait de plus en plus bruyante. Soudain, son corps se cabra : ses cuisses et son tronc reprirent leur position verticale. Elle retint sa respiration tout en agitant frénétiquement ses doigts dans sons anus. Elle reprit sa respiration quelques secondes plus tard, alors que ses doigts remuaient toujours en elle. Elle se cabra une seconde fois, sa respiration cessa quelques secondes.

Elle se cabra cinq fois avant qu’elle criât puissamment et que son corps explosât ; ses mains se décolèrent de ses fesses, et se posèrent sur le sol pour lui éviter de perdre son équilibre. Les cordelettes qui fixaient ses genoux aux arbres se tendirent à plusieurs reprises, car elle avait perdu le contrôle des mouvements de ses membres inférieurs pendant plusieurs secondes.

Elle s’allongea pendant plusieurs minutes sur le dos, fesses contre ses talons, pour reprendre ses esprits et le contrôle de son corps. Les trois jeunes hommes s’inquiétaient pour elle, et lui demandèrent si elle allait bien.

- Pour le mieux, leur répondit-elle.
- Que t’est-il arrivé ? demanda l’un d’eux.
- Jeunes gens, vous venez d’être témoins d’un puissant orgasme féminin, répondit-elle.

Leurs dernières questions prouvaient qu’ils ne connaissaient pas tous les arcanes de l’anatomie féminine. Et la question suivante était surréaliste.

- Veux-tu que nous nous arrêtions ?
- Certainement pas, répondit ma belle.
- On peut te sauter, insistèrent-ils.
- Je vous en supplie ; ne me laissez pas en état de manque !

Elle se redressa en position verticale sur ses genoux ; l’un des trois jeunes hommes s’allongea sur le dos entre les jambes de ma belle qui s’assit sur son bassin pour faire pénétrer la verge dans son vagin. Par manque d’expérience, le jeune éjacula trop vite ; il en fut de même pour ses deux amis.

Les jeunes rattachèrent les poignets de ma belle, et rajustèrent sa culotte.

- Vous me quittez déjà, s’inquiéta-t-elle.
- Pas encore, répondit l’un d’eux ; redresse toi sur tes genoux.

Il s’approchèrent d’elle, s’agenouillèrent. Deux d’entre eux saisirent l’élastique de la culotte, alors que le troisième se masturbait. Lorsqu’il aspergea le ventre de ma belle sous son nombril, il remplaça l’un de ses collègues qui tenait la pièce de lingerie décollée du ventre de mon épouse. Ils purent tous les trois envoyer un giclée de semence entre le capuchon et la taille. Ils regardèrent le sperme couler lentement vers le sexe de ma belle. Lorsque les premières gouttes atteignirent le capuchon, ils lâchèrent l’élastique, la semence s’étala entre la taille et les petites lèvres et sur toute la largeur de son abdomen, coincée entre la peau et le tulle.

Ils libérèrent une nouvelle fois les poignets de ma belle, qui pratiqua plusieurs fellations ; elle s’enduisit ainsi les cuisses, les mollets, les pieds, le dos et le visage ; elle se shampooina également de sperme. Après la dernière fellation, les trois jeunes baissèrent une nouvelle fois la culotte de mon épouse jusqu’aux genoux, et lui demandèrent de se caresser le sexe de ses mains enduites de sperme. Elle se masturba jusqu’à l’orgasme, aussi puissant que le précédent. Après avoir crié, elle s’allongea une nouvelle fois sur le dos. Ses talons écartaient ses fesses, et ses mains ses petites lèvres. Elle s’adressa aux jeunes adultes :

- Je vous offre mes deux orifices intimes grand ouverts !

Elle resta dans cette position quelques longues minutes, puis se redressa. Les trois jeunes hommes rattachèrent ses poignets et rajustèrent sa culotte imbibée de sperme une dernière fois. Ils se rhabillèrent et s’éloignèrent ; il était huit heures passés.

Je m’apprêtais à rejoindre mon épouse, lorsque le quinquagénaire revint. Il l’observa pendant quelques longues secondes, puis s’exclama :

- Apparemment, tu as passé du très bon temps ; explique-moi les faits qui t’ont le plus marquée depuis mon départ.

Elle réfléchit quelques courts instants avant de répondre :

- Je me suis enduite de sperme de jeunes hommes devant eux ; je me suis masturbée deux fois en leur présence, j’ai atteint l’orgasme le plus puissant que j’ai jamais eu, ils m’ont sautée à tour de rôle.
- Comment as-tu fait pour atteindre ce puissant orgasme ? demanda le quinquagénaire.
- A la demande des jeunes hommes, je me suis excitée l’anus avec quatre doigts, répondit ma belle. Je n’aurais jamais pensé jouir de la sorte uniquement en me tripotant l’anus !
- Qu’as-tu fait pour les remercier ? insista le quadragénaire. Car ils méritent bien une récompense.
- Je les ai autorisés à me souiller, répondit-elle. J’ai le corps enduit de leurs spermes, ma bouche, mon vagin et mon anus remplis de leurs semences. Et je suis heureuse et comblée.
- C’est dommage que tu sois souillée, précisa-t-il ; j’aurais bien voulu profiter de ton corps.

J’intervins à cet instant pour libérer ma belle, qui me présenta au quinquagénaire.

- Voulez-vous réellement profiter de son corps ? demandai-je. Dans ce cas, je vous propose de la savonner !

Il nous regarda d’un air surpris. Je renchéris :

- Il y a un plan d’eau aux alentours ; Elle s’y rince, élimine le maximum de sperme lors de cette première trempette ; et quand elle sort, vous la savonnez pour retirer tout ce qui la souille. Vous pourrez même insister en frottant ses zones les plus érogènes !

Le quinquagénaire réfléchit quelques secondes, puis déclina l’invitation.

- Je vous remercie, mais je ne peux accepter. Grâce à elle, la réunion commerciale à laquelle j’ai participé m’a permis de remporter un gros contrat. Aller plus loin avec elle serait abusé.

Il nous quitta ; mon épouse et moi regagnâmes notre domicile.

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