Humiliations

Humiliations

Laure qui ne manque pas d’idées désire nous réunir : moi, elle, un ami et Camille. Elle s’est entendue avec Camille notre ancienne élève de lycée. Nous nous retrouvons dans sa petite voiture, en route pour chez elle. En route pour ? On verra.
Je suis assis à côté de Camille, court vêtue comme elle aime, comme un vieux con je commence déjà à bander. Elle me roule une pelle, elle sait bien y faire, salope comme elle est et me dit à l’oreille des choses bien méchantes : « tu vas me payer toute cette année de philo, vieux salaud, tu t’es rincé l’œil sur mes petites culottes lorsque j’ouvrais les cuisses à ton intention, tu es un minable profiteur, en plus tu as une petite bite de fonctionnaire mal baisé. » Elle me touche et se marre : « si tu crois que ça peut me satisfaire ? Je préfère celles des camionneurs et Laure adore ça ! Tu ne connais rien aux femmes et tu dissertes sur l’amour, la sexualité… minable !»
Laure décide de s’arrêter sur une ère où il y a des types en quête de femmes qui se vendent ou se donnent. Camille et elle s’y rendent. Des types les abordent. Comme de petites putes elles se font baiser sans rien demander par des types à qui elles exhibent leurs culs de façon indécente.
Elles reviennent dans la voiture. Satisfaites, mais désireuses de continuer leurs jeux.
Laure tripote son type, Camille est plus réservée, en apparence : « tu vois ce qu’est une salope qui aime se faire tirer par des inconnus. Toi, tu es un pauvre intello qui croit encore à « l’amour ». Tu ne sais que faire des « beaux » discours. Moi j’aime me faire foutre, violemment, sans rien dire, une bite au cul ou au con, bien grosse, cela me convient, avec, parfois, une autre bien dure dans la bouche. J’adore ça, comme ta collègue !»
Elle me demande de retirer mon pantalon. Je me retrouve en slip. Elle se marre en tripotant mes couilles et introduit un doigt dans mon anus en touillant bien à fond. « Tu aimes ça, vieux saligaud, qu’une petite jeune t’encule… »
Pendant ce temps Laure s’amuse avec son type.

Ils se tripotent, s’amusent, s’excitent.
On arrive enfin chez Laure.
Je suis en slibard. Laure et son ami et Camille se marrent.
Une bouteille, quelques petites mangeailles.
Laure vient vers moi et commence à me titiller les roustons sous mon slip. « Cher collègue, tu bandes pour moi ou pour elle ? Je suis jalouse car j’ai tout pour te satisfaire, vieux dégueulasse. Tu as tellement aimé t’amuser avec moi durant toute cette année scolaire. »
Elle me branle, malaxe les couilles pendant que Camille est en train de se faire baiser par le type. Laure me dit : « Tu vois ce que c’est qu’un bon baiseur. Il sort sa queue, la dresse et fout les salopes. Toi tu ne sais rien faire. Tu es nul en tout.»
J’ai envie de jouir. Camille vient me ficher un gode dans le cul pendant que Laure exige que je lèche sa chatte polluée de foutre. Je lèche, bouffe son con. Elle sent la mouille de chienne en chaleur, la pisse et le foutre de son dernier baiseur.
Laure et Camille se gouinent, s’embrassent, se caressent, se mettent des doigts dans tous les trous. Un 69 pour couronner le tout.
Retour à table. On boit, on mange. Je me sens seul. Philosophe perdu dans le vice. Excité et humilié.
Je me retrouve allongé sur le dos. Laure commence. Elle s’assoit sur mon visage, je la lèche et sens ses liquides se répandre sur moi. Elle me pisse dessus. Camille s’amuse à me doigter. Elles s’amusent comme des folles. « A toi Camille, compisse le philosophe, il ne mérite que ça. »
Camille se met sur moi et pisse dans ma bouche. Je bande comme un âne. Elles sont heureuses d’avoir eu un philosophe, de le voir souillé.
J’aime les salopes.

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