Oh Meu Paulo !!

Meu Paulo…

Il y a deux nuits de ça, j’ai eu la surprise de ma vie.
C’était au cœur de la nuit, je dormais profondément, seul sous la couette, vêtu d’un seul slip offert par Paulo. C’est sûrement le bruit de la clé dans la serrure qui m’a réveillé. Quelqu’un essayait d’entrer ! Et apparemment, il avait la clé ! Ca ne pouvait don être que Paulo !! J’étais très surpris et, en même temps, fou de joie. D’habitude, Paulo prévenait toujours. De plus, ça faisait un bail qu’on ne s’était pas revu. Depuis Santorin, en fait. Je décidais, en un clin d’œil, de me livrer à mon petit jeu favori : faire semblant de dormir et voir ce qui va se passer…
Paulo n’allume pas, fait le moins de bruit possible. Je l’entends se déshabiller dans la chambre. Je commence déjà à bander rien qu’à la perspective de tout ce qui m’attend mais, d’un autre côté, si je veux lui faire croire que je dors, il ne faut pas que je bande trop. Ca va pas être simple ! Je le sens se glisser délicatement sous la couette. Déjà, je sens son odeur délicate de cannelle et de musc. Il vient se coller très doucement contre moi. Je sens sa bite tendue au niveau de mon slip. Lui aussi a gardé le sien. Il commence à me caresser lentement les cheveux, très très légèrement. J’admire sa retenue car je sais bien qu’il n’a qu’une envie : se jeter sauvagement sur moi et me défoncer ! Je sens son souffle chaud sur ma nuque. Ses doigts descendent lentement le long de ma colonne vertébrale…Je suis électrisé. Je fais mine de m’agiter un peu dans mon sommeil. Il s’arrête. Il ne veut donc pas que je me réveille trop vite. Il reprend ses caresses du bout de ses doigts et vient jouer avec la fine ceinture élastique de mon slip. Il glisse le bout de ses doigts sous le tissu. Je me mets en chien de fusil, aux trois quarts sur le ventre, les jambes bien écartées… Ses doigts continuent à me chatouiller les globes de mon cul et commencent à dégager lentement mon slip vers le bas de mes fesses.

Le bout de ses doigts s’aventure vers le haut de ma raie. Du bout de son index, il parcourt ma raie vers le bas, plusieurs fois. Il a mouillé son doigt de sa salive et s’attarde sur ma rondelle qu’il masse doucement. Je le sens se déplacer doucement vers le bas du lit et je sens bientôt la pointe de sa langue qui glisse le long de ma colonne en direction de ma raie. Je bouge légèrement pour encore mieux m’offrir à sa caresse. Je sens maintenant la pointe chaude et mouillée de sa langue qui me parcourt la raie. Très délicatement, il a écarté mes globes pour mieux y promener sa langue. Trop trop bon de sentir ce petit bout de chair chaude et humide me caresser. Maintenant, i l se concentre sur ma rondelle comme s’il cherchait à forcer doucement le passage de la pointe de sa langue. Ouuuiii ! Vas y mon Paulo, vas y ! Force moi ! Je la sens que se fraye un petit passage dans mon trou…Coool ! On dirait son gland, en plus vibrant ! Il a retiré sa langue et présenté son index qui cherche lui aussi à me pénétrer. Des petites poussées qu’il alterne avec des petits coups de langue chaude. Trop délicieux ! Je gémis un peu. Il s’arrête. Comme je ne fais pas mine de me réveiller, il reprend ses caresses de plus belle, très très doucement. C’est trop bon cette lenteur. J’aurais envie qu’il soit brutal et j’aime encore plus quand il se contrôle un max. Il a passé le bout de son index dans mo trou et le tourne très lentement pour me dilater doucement. Je suis entrain de réfléchir à la façon dont je vais faire mine de me réveiller et comment je vais m’y prendre. Je décide, pour le moment, de le laisser continuer son approche langoureuse. Il a retiré son doigt et l’a enduit copieusement de salive. Il le glisse à nouveau en moi. Je le sens bouger en de très lents va et vient. Il me caresse l’intérieur du ventre avec douceur.. Je le sens à nouveau se déplacer derrière mon dos. Il va sûrement chercher à me pénétrer en douceur. Je sens sa bite raidie qui vient coulisser lentement dans ma raie.
Depuis le temps que je l’attendais !! Toujours aussi longue, chaude et lisse, sa bite. Son gland, dégoulinant de mouille me caresse la raie. Il s’approche de mon trou, le chatouille, le caresse, le force un peu…Sans réfléchir, je passe mes mains derrière moi, j’empoigne sa queue et ses couilles à pleines mains et le tire vers mon trou. Il rigole à pleins poumons.
« - I was sure you are not asleep !
-Oh ! Meu Paulo !! »

Je me retourne sur le dos, jambes écartées, offert à son sexe brûlant de désir. J’empoigne sa bouche, je laboure son dos de mes ongles et l’aspire en moi, violemment. On s’embrasse avidement. Nos langues virevoltent, nos dents s’entrechoquent. Je n’arrive plus à respirer mais j’en veux encore, encore !! On s’est retrouvé. Je roule dans le lit, agrippé à lui, accroché à sa bouche, son dard planté en moi. Dessus, dessous. Je suis fou de l’avoir retrouvé ainsi, par surprise, au cœur de la nuit. Oh, Paulo !! Je veux le dévorer entièrement, par petits bouts. Sa belle gueule, ses pecs, ses abdos, sa ligne de poils, sa bite, ses couilles, son cul fabuleux….TOUT ! Je suis terriblement excité. Mais j’ai aussi envie que ça dure tout le reste de la nuit, que ça soit inoubliable. Alors, je m’oblige à me calmer un peu et je l’entraîne vers la douche pour le laver, le parfumer, le préparer à cette nuit d’amour. Pour le défatiguer du voyage aussi. Il se laisse faire comme un bébé. Je le savonne partout, partout. Je me frotte à lui partout, partout. Pendant tout ce temps, sa bite est fièrement dressée vers le plafond. La mienne aussi. Je le rince longuement, je l’essuie voluptueusement. Je le ramène dans la chambre, allume une bougie, mets son disque préféré en sourdine, prends un peu d’huile de massage et commence à lui masser le dos, à califourchon sur lui. Comme Paulo a toujours été d’un naturel comique et farceur, il me prend la bouteille d’huile des mains, s’asperge copieusement et m’asperge largement aussi !
« - Massagem brasileira ! » rigole-t-il en m’incitant à me frotter à lui de tout mon corps.
Très vite, ça devient trop rigolo. On se glisse dessus sans arriver à se saisir vraiment. Trop bon aussi. Ca nous fait bander d’autant plus fort. Il restera plus qu’à porter les draps à la laverie demain ! Une fois de plus, il avait encore raison. Cette façon de s’enduire tout le corps d’huile est…terriblement excitante et sensuelle. Les frottements peau contre peau sont comme électriques, les sensations sont décuplées. J’ai toujours pensé que Paulo avait une expérience et un passé érotique chargés, très chargés même. Normal, avec sa belle gueule, les expériences n’ont pas du lui manquer. Il faudra que je le tarabuste là-dessus, un de ces quatre matins… Bien sûr, je m’occupe aussi de ses fesses et de son petit trou que je me mets à titiller. Il s’offre en se cabrant légèrement. Magnifique spectacle de voir cette superbe croupe à la peau caramel, luisante dans les reflets de la bougie, ainsi offerte ! J’ai quand même, entre mes jambes, un top model brésilien ! Je le retourne sur le dos. Sa bite se redresse aussitôt vers le plafond, tendue comme un arc. Je fais mine de l’ignorer pour masser ses pecs et ses abdos. Il me tire les mains vers sa queue. J’avais déjà remarqué, sous la douche, qu’il avait laissé légèrement repousser sa toison bouclée et assez rase et qu’il avait dessiné, au rasoir, des stries sans poils. Très joli ! Je le complimente. Par contre, ses couilles, parfaitement rasées, sont incroyablement douces au toucher. Je les masse doucement, à l’huile. Puis j’en viens à m’occuper sérieusement de sa bite qui attend impatiemment ma bouche. Son gland humide brille. Je le lèche doucement. Il adore. Je suis obligé de lui essuyer un peu sa queue avec le drap car elle a reçu pas mal d’huile de massage dans nos ébats. Je lui gobe le gland doucement. Il gémit. Je descends lentement, je remonte, je redescends. Sa tige chaude emplit ma bouche. J’aspire, je suce, j pompe, du mieux que je peux. Je lui fais des gorges profondes. Il se cabre. Il empoigne mes cheveux et appuie en cadence.
Parfois, c’est lui qui me baise la bouche en de longs allers et retours. Je sais qu’il adore ça et je fais durer. Tout en le suçant, j’ai passé mes mains sous son cul et mon majeur s’active sur sa raie et sa rondelle. Le doigt plein d’huile, je passe facilement une phalange et me mets à le dilater. Assez vite, il me fait mettre en position de 69 pour que, moi aussi, j’en profite. On s’essuie un peu nos bites avec le drap. Ca y est, je sens sa bouche chaude qui me gobe et son doigt qui me doigte. Trop coool !
Sa bite est trop bonne. Bien longue et fine, lisse, chaude. Je la sucerai jusqu’au bout de la nuit. Un vrai sucre d’orge ! Je l’ai trop bien en bouche !. En plus, ses boules bien rasées occupent largement ma main pendant que mon autre main s’active sur son trou. Partant du bas de sa bite, je remonte lentement en le léchant. Arrivé au gland, je le gobe doucement et je redescends le long de sa tige, jusqu’aux couilles… Paulo me crie :
« -I want to fuck you !!
-No problem !! »
Il sz’enduit copieusement la bite d’huile de massage et me propose de m’empaler sur son dard. J’adore ça et il le sait… Déjà bien dilaté et excité, je n’ai aucun mal à faire entrer son gland. Je resserre mon sphincter… Il adore ça ! Je contrôle doucement ma descente sur sa tige de fer. Je remonte doucement, je redescends, je me fais plaisir… Une fois bien à fond et coulissant à l’aise, j’accentue mon va et vient en ressortant parfois complètement pour mieux m’empaler la fois suivante. Parfois, je m’amuse à serrer les fesses et à essayer de glisser quand même. Il grogne de plaisir. Puis il me fait mettre en levrette. Sa bouche et son souffle chaud viennent se coller sur mon trou. Je sens sa langue pointée qui me pénètre et me caresse. On dirait son gland mais en plus chaud et en plus vibrant. Trop bon ! Je me recule du plus que je peux pour qu’il me pénètre encore plus. Puis il me présente sa bite et d’abord, c’est moi qui vais et viens sur elle. Lentement, puissamment. Il a agrippé mon bassin et me tire fortement vers lui à chaque fois que je m’enfonce en lui. Puis il prend le relais et commence à me labourer de toute la longueur de sa bite. J’ondule fortement du bassin pour le sentir encore plus coulisser dans mon ventre. Ah, c’est trop trop bon ! Ca dure ainsi un bon moment. Me connaissant par cœur, il veut me satisfaire encore plus en m’offrant ma position favorite. Je m’accroche à la barre d’exercices, j’accroche mes jambes à sa taille et je viens m’empaler sur lui. Il se met à me pilonner fortement par-dessous en me secouant comme un prunier. Dernière étape avant l’explosion, il me fait mettre sur le dos, jambes écartées – c’est sa position favorite à lui, pour jouir-. Il se passe son anneau vibrant à la base de sa bite – sa love technology, à lui, comme il dit-, me pose les pieds sur ses épaules et me transperce d’un seul coup. Il se met alors à me pistonner de plus en plus violemment, les yeux dans les yeux. J’ai accroché ses fesses de mes deux mains et je le tire violemment vers moi à chaque coup de bite. Il n’y a rien que j n’adore plus que ça ! Sentir son dard brûlant me transpercer, sentir ses fesses se durcir sous mes mains, voir son visage rayonner de plaisir. De plus, à chaque fois qu’il me pénètre à fond, je ressens la vibration de son anneau qui me fait comme de l’électricité dans la rondelle. Trop coool ! Du coup, je le retiens quelques secondes à chaque coup de boutoir. Il se penche et vient m’embrasser à pleine bouche tout en continuant à me trombonner allègrement. Je le sais endurant mais j’ai aussi compris que c’est ainsi qu’il voulait jouir. Alors, je l’ »aide du mieux que je peux en espérant que ça durera le plus longtemps possible. Il a encore augmenté la cadence de ses coups de boutoir. Son corps commence à se couvrir d’une fine pellicule de sueur. Il perd son souffle. IL va venir. Il se durcit de tout son corps, rugit et esplose dans mon ventre. Je sens son foutre brûlant m’inonder, ses couilles se vident littéralement en plusieurs jets chauds. Il a toujours beaucoup juté. Il tremble comme une feuille. Il s’écroule sur moi…
« -Jo ! Jo ! Jo !! »
Je suis heureux de lui voir donné tout ce plaisir, de le sentir s’abandonner ainsi en moi, de rester en moi, de sentir sa bite diminuer très lentement, de sentir on sperme couler lentement le long de mes cuisses…Je le caresse, lui murmure des mots doux. C’est l’extase…Je le laisse récupérer et même sombrer un peu, légèrement comateux. Ce sera bientôt à moi de jouir à mon tour. Déjà, il se préoccupe de moi, de ma bite. Alors, je le mets sur le ventre, lui écarte les jambes au maximum, m’allonge complètement sur lui et le pénètre très doucement. J’ondule doucement de tout mon corps sur le sien. Il apprécie la lenteur. Je le lime calmement, en profondeur. Je sens son sperme qui coule le long de mes cuisses. Il passe ses mains derrière lui, récupère son jus et …s’enduit les cheveux avec ! L’odeur me submerge. Il se met en levrette et s’offre à mes coups de bite. Il a récupéré son anneau vibrant et me l’a enfilé sur la base de ma queue. Ca me fait une sensation bien agréable dans toute ma queue. Je le pilonne de plus en plus vite, décidé, moi aussi, à jouir de cette façon. Ma bite brûlante fouraille dans ses entrailles, dans son ventre chaud, dans son fourreau délicieux. Mes couilles cognent contre son cul à chaque fois que je l’embroche à fond. Il a empoigné mes fesses et me tire à lui. Je l’ai, moi aussi empoigné par les épaules et le tire vers moi, comme si je ne voulais plus faire qu’un avec lui. Je lui crie que j’aime son cul, son ventre, ses couilles. Que je veux le défoncer de toutes mes forces. Je lui demande s’il sent bien ma bite. Je sens bien que je pars en live mais c’est bien ça que j’aime, lâcher la rampe et se laisser emporter par le désir. Je sens monter une vague de chaleur dans tout le corps. Je vais exploser … Un hurlement, trois jets chauds. J’ai joui dans son cul.
« -Oh ! Meu Paulo !! »
On retombe, enchassés l’un dans l’autre et on sombre dans un état comateux dans une odeur de foutre qui submerge tout.
Plus tard dans la nuit, il me reprendra à nouveau. Cette fois, il réussira à me pénétrer sans me réveiller complètement. Ce n’est que lorsqu’il s’activera puissamment dans mon ventre que j’émergerai complètement. J’adore être ainsi réveillé. Là encore, il m’inondera de son sperme chaud. On passera le reste de peu de nuit à essayer de récupérer un peu, endormis dans les bras l’un de l’autre. Vers midi, on émergea. Il m’entraîna vers la douche et me fit une superbe pipe, tout ruissselant d’eau. Il garda mon sperme en bouche, se releva et vint m’embrasser à pleine bouche. J’en avalais ainsi une bonne part.
On se lava soigneusement, on enfila deux mini slips de sa collection et on passa le reste de la journée, en slips, à lire, à picorer, à écouter de la musique… Bref à glander. Il se promènera ainsi dans l’appart toute la journée, vêtu de son seul mini slip en mousseline vert flashy, rehaussé d’une fine ceinture orangée qui laisse parfaitement deviner ses formes. Je porterai le même en jaune citron. De temps à autre, il me prend en photo avec son smartphone. J’en fais autant avec l’appareil numérique. Ca me fera des souvenirs pour quand il sera parti… A un moment, il va ainsi sur le balcon. Je lui crie que, soit il va déclencher une émeute, soit il va attr une pneumonie. Il me fait signe de venir le rejoindre. En bas, dans le petit parc de l’autre côté de la rue, deux jeunes homos s’embrassent sur un banc. Paulo les siffle, leur fait un signe amical de la main et m’enserre la taille. C’est tout Paulo, ça. Son exubérance sud américaine ! Ils nous font un signe de la main. Plusieurs fois, au cours de la journée, il viendra me câliner, se lover contre moi dans le canapé, me caresser. A la forme de sa bite, je vois bien qu’il remettrait ça volontiers. Paulo a toujours eu un très gros appétit pour la baise. Je le laisse faire comme il le sent…Parfois ça pousse un peu plus loin, caresses appuyées, léchouilles, mains glissées sous les slips. Mais ça n’ira pas plus loin. On dirait que la nuit l’a rassasié. Dans l’après midi, il me demanda si je pouvais lui arranger un peu sa toison. Je n’avais rien contre, bien au contraire. Il m’indiqua ce qu’il aimerait, à savoir raccourcir l’arc de cercle de poils autour de sa bite, couper les poils comme pour une barbe de trois jours et ajouter quelques stries sans poils, à ma guise. Tondeuse, rasoir mécanique, mousse à raser, tout y passe. Il adore se faire tripoter à cet endroit là. Y’a qu’à voir l’état de sa bite pour s’en persuader. Il me demanda même de lui raser de près sa raie. Je le charriais en lui demandant qui lui faisait ça habituellement. Je le prévenais aussi de ne surtout pas bouger, sinon couic ! Le résultat lui parut trop beau. D’ailleurs, j’en fis une photo. En gros plan.
La fin d’après midi arriva très vite. Le soir, il devait déjà repartir. Je n’eus pas le courage de l’accompagner à l’aéroport. Je passais une bonne heure à pleurer, le nez dans l’oreiller. A ressentir le vide immense de son absence.

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