Collection Sm. Promenons-Nous Dans Les Bois. (9/X)
Ou memmène-t-on, je devrais dire où nous emmène-t-on car je reçois un corps sur moi dans ce coffre de voiture où lon ma jeté comme un vulgaire sac à patates.
Nous roulons et chaque fois que les parties de mon corps qui ont reçu les aiguilles et remplies maintenant par des piercings, du moins je le pense car je suis dans ma cave depuis mon départ pour la Grèce dans le noir le plus complet, me fonds mal.
La Grèce cest ce que lon fait croire aux personnes les plus proches de nous et je constaterais le beau travail de mon Maître.
Jai les idées de plus en plus claires sur ce que je désire, je voudrais quil fasse de mon corps une uvre dart, chaque parcelle de mon anatomie devra recevoir sa dose de souffrance volontaire et sans aucune contrainte comme cest le cas aujourdhui.
La seule chose que je crains cest quil mest vendu à un autre Maître qui même sil me procure le plaisir masochiste dont jai besoin méloignera de lendroit de vie si agréable que je viens de découvrir au cours de mes jours de voyage comme celui que je fais en Grèce en ce moment.
La Grèce après lAndalousie et les jours de repos pour mon corps que mon Maître semble savoir équilibrer.
Jai hâte de retrouver latelier que Vivian ma installé et ou je vais pouvoir exprimer mes goûts artistiques tous en sachant quil travaille à deux pas de moi et que si jai envie de lui appartenir il me suffit de le rejoindre de me déshabiller lascivement devant lui pour quil me prenne avec toute la douceur dont jai besoin.
Ce sera la partie blanche de notre couple vite rattrapé par la partie noire dans ma cave ou mon corps recevra les punitions par mon Maître qui le transformera pour son plus grand plaisir et le mien en loeuvre que tous vont pouvoir admirer quand je ferais mon exposition.
Je vais demander à Vivian de mettre sur les murs et le plafond de ma salle de peinture des glaces qui me renverront lévolution de cette uvre.
Elles me permettront de me peindre en autoportrait pour rapporter son évolution, il faudra que je trouve le moyen de leur communiquer quils peuvent me renvoyer dans mon enfer volontaire dès que mon cerveau aura reproduit un ou deux tableaux de cette transformation pour retrouver linspiration sur ce que je souhaite devenir pour léternité.
Léternité car il suffira de publier après cette expérience un livre avec les deux moitiés de moi qui vont maider à atteindre ce but et qui feront référence pour les futurs sadomasochistes.
Jai deux problèmes ou vais-je et comment leur communiquer mes envies car Vivian dans la partie blanche de notre vie semble ignorer la partie noire et comme jignore qui est mon Maître il mest difficile de les orienter.
Une solution serait de pouvoir dialoguer avec le ou la soumise qui maccompagne mais boule et cagoule noire men empêche.
Ce qui est certain cest que sur ma langue cest bien un piercing quils mont placé car je sens une boule sur mon palais chaque fois que je la fais bouger la douleur provoquée car la cicatrisation est loin dêtre terminé me procure un petit coup dadrénaline qui fait couler ma chatte.
Quand je serais sorti si je sors un jour quand Vivian me fait lamour je peux lui demander de me prendre de telle ou telle manière mais à dautres comme maintenant jaimerais que lon transperce ma vulve avec un sexe blanc, noir, bridé comme au Japon ou en Chine qui me ferait hurler de plaisir.
Des sons me parviennent à chacune des secousses, cest le ou la compagne de misère et de plaisir qui les émet.
La personne bouge et semble se retourner, je sens un sein sur mon dos, aucun doute une telle poitrine doit appartenir à une jolie femme car je sens la pointe durcie du mamelon.
Je sens au frottement que la femme fait sur mon dos le piercing posé certainement en même temps que sur moi, a-t-elle eu autant de plaisir que jai eu après la douleur intense qui a traversé tout mon être gravant un peu plus mon cerveau denvie détrange autant que de douleur.
Limprobable se produit la femme derrière mon dos semble avoir les mains libres alors quavant de me balancer dans le coffre ils mont replacé les menottes pour me mettent les mains dans le dos.
Une main prend ma main et appuie comme un code.
Long, long, court un temps darrêt, si javais appris le mors jaurais pu correspondre mais cela fait partie de mes lacunes même si on ma élevé dans une stricte rigueur des règles que jenfreignais parfois ce qui a peut-être été la cause des coups de règle que je me ramassais sur les mains et même les fesses suivant la surveillante du dortoir.
Cette main comprend quil lui est inutile de continuer mais continu son chemin et viens se placer à la hauteur de mon sexe.
La promiscuité et la méconnaissance de la personne qui place ces doigts-là ou cela fait du bien me fait soulever la jambe car ça je peux le faire et permettre à ce quils aillent plus loin,
Je mouille énormément et mon clitoris est stimulé, la situation est étrange, je suis en train de me faire masturber dans le coffre dune voiture, dailleurs vu lespace se coffre est supérieur à celui de chacune de nos voitures, ce qui entretient mon angoisse davoir été cédé à un autre Maître.
Les doigts trouvent le piercing que lon ma placé sur mon intimité et lorsquelle tire dessus aucun doute, il est placé sur le capuchon de mon clitoris.
La salope qui maccompagne cherche ma douleur et la trouve, si javais limpression de couler précédemment, maintenant je suis une vraie fontaine.
Je me tortille mais lespace limite le déplacement des doigts en moi qui est un inconvénient au départ mais vite balayé par le plaisir quils mapportent.
Toujours le bien ou le mal, le blanc et le noir jusquà ce que la voiture tressaute sur ses amortisseurs mapportant carrément un orgasme même si je sens que le piercing sort de son logement me faisant hurler de douleur, la boule étant certainement passée par le petit trou fait par laiguille.
Nous roulons quelques centaines de mètres certainement sur un chemin de terre rempli dornières avant que la voiture sarrête, le bruit du coffre souvrant me parvient, je sens quon empoigne celle qui ma donné du plaisir malgré lespace exigu où nous étions.
Je suis saisi à mon tour sans ménagement et porté jusquà ce que lon me jette au sol comme un vulgaire paquet.
Jatterris sur de la terre mais aussi des cailloux qui martyrisent mon corps.
Comment Vivian peut-il me faire autant de mal même si cest moi qui le souhaite car il sait que jaime, même si cest mon Maître et non lui qui dirige ces manuvres, je suis à tout moment entre « On » et « Off » comme pour un bouton mapportant la lumière blanche et la lumière noire ?
Sans oublier In et Off des festivals quand je suis avec celui que jaime ou celui que je hais tout en ladorant.
Jattends un long moment certainement que lon soccupe de ma consur de supplice ce qui est exact car quand on me tire par les cheveux mobligeant à me mettre sur les genoux dans limpossibilité de me relever car chaque fois que jessaye je retombe lamentablement mon cuir chevelu manquant dêtre arraché.
Si cest cela que mon Maître souhaite jen ai trop fait pour quil accepte de soccuper de moi et surtout que Vivian dépense la plus grande partie de notre fortune amassée tout au long de notre mariage pour moffrir la cave de mes rêves les plus secrets pour me plaindre davoir quelques cheveux enlevés.
Moi qui suis une femme très précieuse en temps normal, aimant être toujours tiré à quatre épingles je dois être crade et certainement commencé à puer car la chaleur est étouffante et je sue par tous les pores de ma peau.
Mon bourreau me prend sans ménagement une main et me la tire jusquà une menotte qui enserre mon poignet.
Je me trouve debout sur la plante des pieds mais rapidement je retrouve un certain équilibre car mon deuxième bras se trouve lui aussi menotté.
Il pratique de même pour mes jambes et je suis en croix sans la croix comme jai vu dans un film qui parle de cette perversion pour certains mais plaisir pour dautres.
Le dernier film que nous avons vu avec Vivian était « Domination » film allemand ou lépouse comme moi à des envies S.M. quelle assouvit jusquà accepter des douleurs quaucune femme à ce jour navait acceptées.
Ce film avec la croix vu après la course-poursuite dans lappartement a permis à comprendre mes besoins sans avoir à aller consulter.
Le premier coup de martinet mais plutôt de chat à neuf queues que je reçois me propulse vers mon paradis surtout quand il arrive suivi rapidement dun deuxième.
Je sens que ma voisine avec laquelle jai contact par mon pied droit doit recevoir lez même traitement car jentends à travers la cagoule des coups qui partent mais sans matteindre, mieux jentends les coups droits, gauches recevant personnellement les coups gauches.
La douleur est telle que je finis certainement par tourner de lil satisfait de la raclée que mon maître ma infligée, je devrais dire nous étant deux.
Je pense quil va nous ramener au bercail mais les coups ont cessé et le vide semble sêtre fait autour de nous.
Et dun coup cela recommence mais par-devant sur mes seins et pour finir quelque chose de gros est enfoncé dans mon vagin.
Mes seins me font mal à hurler après le traitement subit lorsque les aiguilles les ont percés mais ceux qui sont étrangers au SM peuvent difficilement comprendre la plénitude que je ressens quand mon Maître me martyrise.
Je sens une légère brise sur mon corps me montrant que nous sommes dehors.
Je finis par être pendu par les poignets mes jambes étant dans lincapacité à me soutenir.
Au départ jai lutté mais jai dû me rendre à lévidence mes muscles se sont tétanisés et étant dans limpossibilité de bouger jaccepte la douleur que mes poignets subissent surtout que les menottes sont capitonnées.
Le temps passe et je sens que quelque chose ou quelquun tourne autour de nous, ma cagoule mest enlevée mais vite remplacée par une boule à bouche, je dois avoir perdu la vue car tous restent noirs.
Impossible de bouger ma langue ce qui me procure une nouvelle douleur due au morceau de métal qui y est placé.
Les coups reprennent sans que je les aie vus arriver, cest la meilleure nuit de ma vie depuis que jai accepté dêtre martyrisée.
Dans la nuit jai beau regarder derrière moi au maximum où ma tête peut tourner mais je vois simplement une ombre qui séloigne comme je vois une ombre à mes côtés autant pendus que moi.
À intervalles réguliers, une fois nos seins une fois nos fesses, le gode placé dans no chatte je vois mieux le lever du jour arrivant et avec lui lespoir de retourner dormir dans ma cave.
Cest bien Aline qui est à mes côtés me regardant autant que je la regarde avec admiration pour la beauté quelle me renvoie torturée comme je le suis.
Nous essayons de parler à intervalles réguliers pour lui demander si elle a mal mais il faut reconnaître lévidence ces putains de boule que notre Maître nous a mise en bouche nuit à notre communication.
Ce sont bien lun de ses seins qui est percé en forme de croix comme les miens quand je baisse la tête.
Un sein car lautre est caché à ma vue met je vois mal pourquoi je devrais être la seule à avoir quatre piercings dans mes seins.
Je sens celui dans ma bouche sans voir celui posé sur le capuchon de mon clitoris, je comprends mieux ceux quAline me présentait dimanche midi quand nous nous sommes retrouvées nues dans notre piscine.
Et dun seul coup alors que je métais une nouvelle fois endormi dans cette forêt où je me trouve ressemblant à lendroit où javais passé une nuit poursuivie par des sangliers, cerfs et autres loups le jour où nous avions trouvé mon lieu de plaisir SM, ils sont là devant nous.
Un coup de cravache me réveille.
Bonjour, je vois que vous avez bien dormi, je me présente, Maître Dominant couvrant toute la France, mon adjoint Maîtresse Gladys, venu spécialement pour vous de Suisse, elle massiste dans bien des domaines mais reste spécialiste de la cire de bougie et autres douleurs liées aux cordes et cordelette en tout genre.
Vous venez de passer une de mes épreuves favorites quand la région le permet que jaie intitulé « Promenons nous dans les bois » sans jamais vous plaindre ce qui fait de vous de bonnes soumises.
Vous avez déjà rencontré sans jamais élever la voix Maître Piercing qui a commencé sur vous la pose de ces petits objets que jai la faiblesse daimer regarder.
À sa demande et pendant plusieurs jours nous allons vous désinfecter les endroits ou les aiguilles vous ont traversé.
Maîtresse Gladys sapproche de nous prend un pulvérisateur, à tous les endroits percés pulvérise un nuage qui rapidement savère être de lalcool à 90° sattardent sur nos clitoris
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