Décembre : Le Piège Se Resserre...

Je n’avais rien de spécial à faire ce jour-là mais j’avais des RTT à prendre, alors je les ai prises. Juste une journée à m’occuper de mes s et à prendre du bon temps. Une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal. Et puis, Noël approchant, j’aurais bien quelques courses à faire…
Il était 9h30 environ. J’avais déposé les filles à l’école depuis quelques temps déjà et je trainais sur l’ordinateur en prenant un café quand quelqu’un sonna à la porte. Je n’attendais personne et ouvrais en pensant tomber sur un voisin, un livreur ou quelque chose comme ça.
Je tombais sur Françoise. J’ai dû rester bouche bée quelques temps. Non seulement Françoise était à ma porte, mais quelle Françoise ! Habillée avec un épais manteau long (il faisait frais mais pas assez froid pour cela) légèrement entr’ouvert laissant ainsi entrevoir qu’elle était presque nue en-dessous : culotte sexy, bas, porte-jarretelles et soutien-gorge. Rien de plus. Si, des talons hauts.
_ Et bien ? Vous me laissez entrer ou vous me laissez ici à la vue des voisins ?
Un mélange d’excitation et de crainte traversa mon esprit à ces mots. Plus par réflexe qu’autre chose, je fis donc rentrer en toute hâte mon « invitée ».
_ Que faites-vous ici ? Vous vous rendez compte du risque que vous me faites prendre ?
_ Un peu de réciprocité voyons, vous êtes bien venus à la maison, non ?
_ Vous m’aviez un peu invité tout de même. Et puis d’abord, je ne suis même pas supposé être là aujourd’hui !
_ Je vous ai vu déposer les filles à l’école ce matin. J’en ai déduit que vous aviez pris un congé. Comme je sais que votre femme est ment à son travail, j’ai décidé de venir, ma fille m’a dit où ses copines habitaient. J’ai téléphoné au boulot pour prévenir que je prenais ma journée, je me suis changée et me voilà ! Ne me dites pas que cela ne vous fait pas plaisir !
Ce disant, elle se colla à moi en faisant glisser son manteau au sol. Je sentais ses seins s’écraser contre ma poitrine, sa main me caresser et se diriger vers mon bas-ventre et ses lèvres se collèrent contre les miennes.


_ Et si un voisin vous voit et raconte tout à ma femme ? Vous y avez pensé ? Vous n’êtes plus mariée vous !
_ Ça, c’était à vous d’y penser avant !
Elle se dirigea vers le salon, s’assit dans le fauteuil, écarta grand les jambes et pointa du doigt sa chatte que je devinais à travers le fin tissu de son string (j’avais eu l’occasion de m’en rendre compte quand elle me tournait le dos).
_ Assez parler, venez me lécher la chatte maintenant !
_ Pas chez moi voyons ! Si vous voulez, on peut se donner rendez-vous dans 10 minutes chez vous si vous voulez.
_ Non, j’en ai envie tout de suite. Venez me lécher ! Je ne me répèterai pas.
_ Ou sinon ?
_ Sinon ? Premièrement vous ne profiterez plus jamais de mes charmes.
_ Il y a un deuxièmement ?
_ Je dis tout à votre femme ! Alors ?
_ Vous n’oseriez pas…
_ Vous prenez le risque ? Je n’ai rien à perdre, moi. Et puis… Ce n’est pas comme si je vous demandais quelque chose dont vous n’avez pas envie. Vous en mourrez d’envie même.
Je ne pouvais qu’en convenir. Je m’agenouillai devant elle, entre ses cuisses et entrepris de lécher son sexe à travers le tissu de son string dans un premier temps, puis en l’écartant pour avoir un accès direct à sa fente par la suite. Que c’était bon ! Quel fruit divin, parfumé et tellement juteux !
Je ne pouvais m’empêcher de penser aux nombreuses fois où j’avais fait plaisir à madame dans ce même fauteuil, dans cette même position. Malgré cela, je bandais dur et commençais à déplacer ma main vers ma braguette pour me soulager un peu.
C’est alors qu’une vive douleur me traversa. Françoise m’avait donné un violent coup de la pointe de son talon dans le flanc. De quoi calmer quelque peu mes ardeurs.
_ Je ne vous ai pas autorisé à vous caresser. Occupez-vous de ma chatte et faites-moi jouir. Elle ne vous plait pas, ma chatte ?
_ Si ! bien sûr !
_ Alors appliquez-vous sur votre travail.
Je repris ma « besogne ».
Françoise semblait de plus en plus excitée, prête à jouir, tandis que je recommençais à bander dur, terriblement frustré de ne pouvoir me branler en même temps.
Au bout de quelques minutes, un flot abondant inonda ma bouche alors qu’elle jouissait bruyamment, prise de convulsions. Autant par plaisir que pour limiter les taches, je m’appliquais à tout avaler, collant ma bouche contre sa fente et continuant à la laper, à titiller son clitoris, à la fouiller de la langue.
Visiblement satisfaite, Françoise se leva et me demanda où se trouvait ma chambre. Je le lui indiquai et elle me dit d’aller l’y attendre, allongé et nu sur le lit. J’obtempérais, un peu anxieux. Françoise arriva dans la chambre avec son manteau, en sorti des préservatifs et entreprit de suite de m’en enfiler un, sans même prendre la peine de me caresser, de m’embrasser ou de me lécher ma queue bien raide. Elle se mit alors à quatre pattes sur le lit après avoir retiré son string.
_ Prenez-moi en levrette. Et ne vous avisez pas de jouir avant que je ne vous le dise !
Comment résister à une telle proposition ? Enfin… Un tel ordre.
Je me mis derrière elle, caressais et écartais ses fesses, dévoilant sa fente et son petit trou et je présentais mon gland devant son sexe, appuyant lentement pour la pénétrer en douceur. Et avec une grande facilité. La salope était tellement humide que je rentrai dedans sans la moindre difficulté.
Je me mis alors à la besogner avec soin et application, gérant mon rythme pour ne pas trop m’exciter et ne pas jouir avant elle. Visiblement, je ne devais pas trop mal me débrouiller puisqu’elle semblait y prendre du plaisir, m’encourageant régulièrement de phrases salaces. « Défonce-moi la chatte ! Pilonne-moi de ta queue, continue ! Tu aimes me baiser comme ça mon salaud, hein ? » Elle se cambrait de plus en plus, m’offrant une vue magnifique et des sensations inégalées.
_ Oh ! Oui…. Je vais jouuuiiiiir ! Mais pas toi ! Retiens-toi !
Elle jouit et je parvins à me retenir au prix d’un effort insensé.

Elle se retira alors, me fit mettre sur le dos et me chevaucha, un peu comme la dernière fois. Tandis que je caressais ses seins si lourds, elle prit ma queue, la frotta contre sa chatte trempée et, à ma plus grande surprise, la frotta contre son anus avant de l’y insérer doucement.
Ma femme me refusant systématiquement ce genre de plaisir, dire que j’étais excité est un euphémisme. Elle s’empala entièrement sur mon chibre et s’immobilisa. J’étais pour ma part à deux doigts de jouir tellement elle était serrée de ce côté.
_ J’ai envie de jouir du cul, mais pour cela, j’ai besoin que vous teniez bon encore quelques temps. Vous pouvez tenir ?
_ Je vais essayer…
Elle ne semblait pas satisfaite de la réponse.
_ Je vais vous y aider.
Elle me prit alors les tétons et les pinça sans ménagement. La douleur était atroce et, comme pour son coup de talon, l’effet fut immédiat : mon excitation baissait d’un cran.
_ Voilà qui est mieux, non ?
Elle avait maintenant l’air parfaitement satisfait alors que je devais encore faire la grimace. Elle commença un lent va-et-vient qui devint de plus en plus rapide au fil du temps. J’étais de nouveau très excité, sur le point de craquer à plusieurs reprises mais je ne voulais pas prendre le risque de jouir sans son accord. Je ne sais pas trop ce que je redoutais, mais je savais qu’il valait certainement mieux éviter.
J’ai donc dû encore me retenir avec beaucoup d’efforts tandis que je la sentais jouir, son cul serré se contractant autour de ma queue. Elle se retira, le frottement que cela produisit me tétanisa de plaisir. Elle retira le préservatif.
_ Vous pouvez jouir maintenant.
Un geyser de foutre sorti de mon gland, accompagné d’une jouissance comme je n’en avais jamais connue. Elle ne m’avait pas touché, même pas frôlé… Mais la simple autorisation de jouir après m’être retenu si longtemps avait suffi à me libérer et à provoquer cet orgasme…
Après quelques temps, alors que je ne m’étais toujours pas remis, Françoise jouait avec son téléphone.

_ Donnez-moi votre numéro. Vous êtes plutôt un bon coup finalement, je pourrais avoir de nouveau envie de vous prochainement.
_ Non, pas mon numéro. Vous n’y pensez pas ! Si ma femme tombe sur un sms, un message ou un appel, je suis cuis moi !
_ Vous pourrez toujours trouver une excuse. Alors que si je vais la trouver en lui disant que vous m’avez enculé dans votre lit, vous n’en aurez pas.
_ Mais vous êtes…
_ Une salope ? Oui. Votre numéro maintenant. De toute manière, je vous tiens par les couilles. Au sens propre comme au figuré.
J’obtempérai. François composa mon numéro pour s’assurer que tout allait bien, se rhabilla et se dirigea vers la sortie.
_ Je vous laisse. Vous avez du ménage à faire dans le salon et vous devriez au moins laver la housse de couette avant le retour de votre femme. Et vérifiez vos appels, je n’aime pas qu’on me fasse attendre.
J’étais donc piégé.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!