Le Piège (2)

En arrivant ce soir, Rachida tient une petite valise en guise de sac à main. Comme elle savait que j’étais seul à la maison, elle m’embrassa sans aucune gêne, et nous faisons même entendre nos succions et claquements de langues sans retenue aucune.
Soudain, elle se retire avec un rappel au calme de manière assez ferme :
-arrêtes ta comédie stp, je suis là pour un travail précis et délicat, tu vas rester sage pour que ce soit vite fait. Après, je serai à toi, OK ?
Ne voyant pas de quoi il s’agissait, je continuai de peloter ses petits seins espérant les exciter. Elle me laissa un peu faire avant de me pousser fermement en disant :
-les filles ne font pas ce travail, si en plus tu es excité comme ça au départ, je ne fais rien. T’as qu’à garder ton buisson.
Et pour être sure de ma collaboration, elle tira fort sur mes poils pubiens me faisant cambrer puis plier. Me rappelant notre accord, je m’assoie sagement malgré mon excitation d’autant plus qu’en retirant sa djellaba elle se retrouve dans une tenue estivale hyper sexy.
-je sais que ça t’excite, mais tu auras une récompense si tu te calmes un petit moment… vingt petites minutes, et peut-être moins le permettent… dénudes-toi stp et mets toi à califourchon…
Elle prit une serviette de la main gauche et un rasoir jetable de la droite. Elle essuya mon pubis depuis le nombril avant de passer quelques coups de rasoir de haut en bas. Puis passant la serviette dans le même sens, elle exprima sa satisfaction, posa la serviette sur mon pénis érigé, puis le tira de côté pour accéder à ce repli entre le haut de ma cuisse et le bas de mon pubis. Elle commença du côté de ma cuisse avant de renverser mon matériel de l’autre côté.
-je vais être obligé d’attendre un peu que tu te calmes, sinon je vais être obligé de supporter le côté pénible de mon aventure.
Elle s’assoie un peu éloignée de moi en se couvrant les cuisses, en parlant de son travail et de choses diverses en jetant des coups d’œil à mon érection, alors que de mon côté, je regarde plutôt son visage ou ses cheveux en évitant des pensées.


-je crois qu’on peut reprendre, dit elle estimant que la bosse devenait moins tendue. Elle rase mon autre cuisse avant de se lever en emmenant la serviette.
-une seconde, je reviens…
Et je n’ai pas attendu plus longtemps pour sentir la serviette, maintenant trempée, refroidir mon érection.
-je passe à l’essentiel, dit-elle.
En gardant la serviette mouillée sur mon sexe, elle le releva vers le nombril pour raser le peu de poils sur mes testicules et sur la racine de ma tige. En regardant ma tige relevée et érigée, elle y met de la salive avec ses doigts pour raser les derniers poils puis l’essuya avec la serviette, puis la renversant vers l’avant et passa son doigt dessus en y mettant de la salive avant de passer le rasoir puis la serviette mouillée.
-ohh, voilà un beau résultat. Tu mérites bien ta récompense, et je tiens ma promesse. Tu peux te lever. Je vais te sucer la bite, ma tu ne me tire pas les cheveux et tu n’appuies pas sur ma tête.
N’ayant jamais subi ce traitement, je me laisse faire le plus passivement. Elle commence par lécher mon gland de tous les côtés en étalant sa salive sur tout mon pénis qu’elle commença à masturber d’une main. Quand mon gland est aspiré par sa bouche, je sentis ma tension monter et le mouvement de ses mains devenir plus rapide. Au moment où j’allais éjaculer, elle retira sa bouche et le fis éjaculer sur la serviette en continuant le mouvement de ses mains…
-ce n’est pas vraiment une récompense, mais tu ne peux pas encore dire que je suis passée dans ton lit ?
-alors allons-y, ma petite chérie, dis-je en l’entraînant vers l’escalier de ma chambre…
Levant sa main, je la fais tourner alors qu’elle sourit coquinement. Me plaçant derrière elle, je déboutonne sa petite chemise qu’elle laisse tomber à terre, je relève son bras et caresse son aisselle. Elle rit en pliant sa tête sur mon torse alors que je libère son petit short qui rejoint la chemise. Je m’amuse à la chatouiller un peu en caressant ses petits seins tout érigés, je la sens fondre dans mes bras et décide de l’achever en attaquant sa bouche et sa nuque, son principal point sensible.
Son baiser est si chaud, si fort que je bande flattant son pubis de mon sexe, et je la sens bien excitée d’après ses gémissements de plus en plus forts.
-ma petite puce chérie, je voudrais que tu enlèves ta culotte en me regardant, me disant que c’est un plaisir de le faire pour moi.
-pourquoi le dire, il n’y a personne d’autre ici
-pour mon plaisir, ce n’est pas ce que tu veux ?
-j’enlève ma petite culotte moi-même, pour ton plaisir et le mien, dit-elle avec un clin d’œil coquin en retirant son petit vêtement…
-pour me montrer tes petites fesses et ton minou soigné.
-oui
-quoi oui ?
-pour te montrer mes petites fesses et mon minou soigné.
-viens ma petite puce, mets-toi à quatre pattes sur le lit, aller stp, je veux te faire un truc bien…
-non, ne m’encules pas, stp pleurnicha-t-elle.
-n’aies pas peur ma petite puce, lui dis-je en pelotant ses petits seins, je ne vais pas le faire.
Quand elle sent mon pénis pénétrer son vagin, elle pousse vraiment un soupir de soulagement, et mes mains qui tenaient très fort ses hanches avant la pénétration, deviennent douces et caressantes quand elle commence à coopérer. Quand je suis au fond de sa vulve, je sens qu’elle tente d’écarter ses cuisses, je passe mon bras droit entre ses cuisses relevant la droite pour obtenir un petit écart supplémentaire.
-oh mon chéri, tu es vraiment un amour dit-elle en jouissant.
Ses bras et sa tête sont alors sur le lit, alors que ses dents mordent l’oreiller et que son fessier est encore relevé. Sous l’effet d’un sentiment que je ne saurais préciser, je retire doucement mon bras, alors qu’elle garde son genou élevé. Je caresse chaleureusement ses fesses et son doux pubis imberbe, avant de m’étendre à côté d’elle. Alors que je passe ma jambe sous son corps et caresse ses seins, elle s’assoupit et finit par s’allonger sur mon corps. Quand elle déposa une bise sur mes lèvres, je lui offris ma langue qu’elle aspira dans sa bouche pour jouer avec.
Je n’avais rien contre, tout au contraire, et je m’y suis laissé aller. Petit à petit, elle se retrouva sur le dos, les mains sous la tête, les seins pointant vers le haut et un sourire heureux sur ses lèvres qu’elle léchait coquettement.
Comment ne pas y mettre ma langue, ne pas poser mes mains sur ses aisselles, ne pas caresser ses petits bras levés, comment ne pas caresser ces petits seins pointant vers le haut, et comment ne pas caresser ce ventre si blanc à la peau si douce, et comment éviter ce pubis en le sachant imberbe, et comment garder un pénis devenu si dur à l’extérieur d’un nid que je savait si douillet. Et quand elle a relevé son pubis en gémissant, aurais-je pus encore me retenir. Et comment sentir jaillir sa mouille et retenir mon plaisir, et comment entendre son cri jouissant, sans la serrer très fort et s’endormir un instant.
Je me réveille avec le pénis entre ses jambes, ma bouche ayant coulé entre ses seins et une érection intenable. Je fais pénétrer doucement mon vit, alors qu’elle étale ma salive entre ses seins avec le même sourire coquin. Elle cambre son pubis dans une sort de dans du ventre avant d’inonder le canal de ce qui est alors le jus de son plaisir. Elle m’invite à me retirer en caressant mes hanches en se pressant de récupérer les quelques gouttes qui sortent de son sexe et les laissent couler entre ses seins.
-tu ne veux pas, entre les seins ?
-je n’ai jamais fait… toi, tu aimes ? tu veux ?
-avec toi, oui… je veux bien essayer, viens…dit-elle avec un clin d’œil coquin.
J’avais déjà fantasmé de ce genre de baise, mais je ne savais pas que cela existait. Et les seins de mes fantasmes sont plus gros.
A suivre...

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