Voyage En Chine 2/3

Ma chine (suite 1)
Le lendemain matin, jin me serre de près mais discrètement je le remets à sa place, lui faisant comprendre qu’il n’y aurait pas de suite, même si mon corps réclame encore sa possession. Nous partons de bonne heure, il fait encore nuit, et je n’ai pas beaucoup dormi. En montant dans le car, dans le fond comme d’habitude ,Delphine, seule pendant ce voyage, de mon âge, avec qui nous avons sympathisé s’assoie à côté de moi et posant une main sur ma cuisse, me dit « je t’ai vu hier soir rentrer dans la chambre du guide et marc aussi ; rassure-toi cela ne m’a pas choquée ». Ses propos me réveillent complétement ; j’espère qu’ils sauront tenir leurs langues ; puis doucement je m’endors, fatiguée de ma nuit. Un peu plus tard je me réveille et je constate que ma tête repose sur son épaule ; je me redresse, mais déposant un discret bisou sur les lèvres, elle repose ma tête sur son épaule alors que sa main, cachée par un vêtement, me caresse la cuisse remontant jusqu’à mon entrejambe. Si le contact me surprend, je l’accepte et j’avance mon bassin à l’encontre de ses doigts qui maintenant me caressent la chatte à travers mon jean ; étonnée, je la regarde et un doux sourire me rassure ; à nouveau, je m’endors sur son épaule.
Les visites s’enchainent et quand nous revenons à l’hôtel, je suis complètement vannée ; en souriant, Delphine, discrètement me dit, » cela me m’étonne pas si tu veux je vais te faire couler un bain et ensuite un bon massage et dodo. En chine, le repas se fait tôt, 17h30 et à peine fini, elle me prend par la main et un peu comme un zombie, je la suis, sous le regard amusé de Jean.
Dans l’ascenseur, elle m’embrasse tendrement « je comprends que tu sois épuisée, le bain va te faire du bien ». À peine arrivée dans sa chambre, elle m’assoie sur le lit et file faire couler le bain ; à son retour, je n’ai pas bougé et quand elle commence à me déshabiller, je me laisse faire ; très vite je me retrouve nue et me prenant par la main, elle m’emmène dans la salle de bain et m’aide à rentrer dans le bain ; le contact de l’eau me fait du bien et les yeux fermés, je me détends doucement.

Soudain un mouvement de l’eau, c’est Delphine totalement nue qui enjambe le rebord et vient se placer en face de moi, ses jambes entourant les miennes « cela ne te gêne pas ? » petit signe de tête pour accord, je la regarde ; un beau corps que je n’ai pas deviné sous ses vêtements de voyage, deux jolis seins, dont les mamelons sont très développés avec de gros tétons.
Ses mains se promènent sur mes jambes en un doux massage ; refermant les yeux et m’allongeant le plus possible, je me laisse faire ; j’aime le contact des femmes et là en plus c’est un grand moment de détente ; en m’allongeant, j’ai rapproché mon bassin et bientôt ses doigts me caressent l’entrejambe, glissant jusqu’à mon sillon ; je ne peux retenir un gémissement lorsqu’elle atteint mon bouton et qu’habillement elle le sollicite ; seules les femmes savent le faire aussi bien. Mon ventre se tend et une douce chaleur m’envahie ce n’est pas l’eau mais le parcours de ses doigts autour de ma chatte ; mon bassin se tend vers la caresse et quand ses doigts me pénètrent, un cri rauque sort de mes lèvres. Assurée de son effet, maintenant , elle me branle , trois doigts me fouillent alors que son autre main joue avec mes seins. quittant sa position assise, elle se met à genoux et ses lèvres viennent se poser sur les miennes en un doux baiser, puis prenant ma tête à deux mains, sa langue force l’ouverture et elle m’embrasse alors fougueusement ; sa langue fouille ma bouche, alors que son corps se colle sur moi ; je sens la pointe tendue de ses seins sur ma peau ; j’ai envie d’elle , son corps m’affole, ses doigts qui parcourent le mien me chavirent.
« Viens sur le lit, j’ai envie de toi, fais-moi jouir » ma bouche se plaque sur la sienne et c’est à mon tour de lui rouler une pelle profonde. Se relevant, elle me tend la main et sans tenir compte de nos corps qui s’égouttent sur la moquette, elle m’entraine vers le lit, m’allonge en travers et se jetant sur ma chatte mouillée, elle me dit » laisse toi faire, c’est moi qui vais te faire l’amour, jouer avec ta chatte et te faire jouir ; j’ai envie de toi depuis le début et ce soir, c’est mon tour de profiter de ton corps » m’écartant les cuisses, sa bouche vient se poser sur mon abricot et sa langue pénètre entre mes petites lèvres d’où s’écoule un filet de cyprine ; j’aime qu’une femme me suce, me titille le clito, me pénètre avec sa langue et elle sait y faire ; ma chatte s’ouvre totalement et quand à ses baisers torrides sur mes petites lèvres , elle ajoute la pénétration de ses doigts , ma moule se remplie de jute, ma jouissance monte , d’autant plus qu’elle essaie maintenant de faire pénétrer la totalité de sa main ; ses doigts vrillent dans l’ouverture béante et soudainement , j’explose ; sa main est en entier dans mon con et ses doigts ont trouvé mon point sensible ; sa bouche se pose sur la mienne pour atténuer mes cris de plaisirs ; longue, puissante , ma jouissance déferle, et ma jute s’écoule abondamment ; après plusieurs minutes de ce traitement, je suis anéantie par le plaisir et quand elle retire sa main un grand vide m’envahit.
Se plaquant contre moi, elle insert ses jambes entre les miennes et c’est bientôt sa chatte qui vient se frotter contre la mienne ;nos fentes s’entrecroissent ; nos lèvres se collent l’une contre l’autre ,alors qu’elle triture mon clito avec deux doigts ; j’essaie de lui rendre la pareille, mais elle me repousse » laisse moi jouer avec toi, prend ton pied ainsi, moi c’est ce que je voulais et ma jouissance est là aussi ; en effet mes lèvres sont couvertes de son plaisir et nos sécrétions se mélangent et coulent sur nos cuisses. J’ai envie de boire son plaisir et enfin elle accepte que je participe et c’est dans un 69 que nous nous retrouvons, ma bouche , enfin pouvant laper sa cyprine, ma langue pouvant fouiller sa chatte, mes lèvres pouvant lui tirer sur son clito proéminant ; elle me rend la pareille et c’est presque ensemble que nous partons, ce qui déclenche chez elle un long jet de cyprine qui me relit la bouche et se repend sur mon visage ,tellement, il est puissant ; un long feulement traduit sa jouissance et quand apaisées toutes les deux, nous nous allongeons côte à côte et par un langoureux baiser, nous nous enlaçons ;je réalise alors que jean doit s’inquiéter mais je n’ai pas envie de partir et l’appelant au téléphone pour le prévenir ; mais c’est au répondeur que je laisse le message car malgré l’heure tardive, il ne répond pas ; étonnée mais pas inquiété, c’est dans les bras de Delphine, heureuse de me garder, que je m’endors.
A suivre

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