Une Journée Au Paradis.

Depuis maintenant deux ans, je fais partie du cheptel d'esclaves de Maîtresse Tana.
Nous ne nous voyons pas très souvent, mais lorsque nous nous voyons, c'est pour une séance très longue et très particulière.
Voici l'une d'entre elle.
Pour mon grand bonheur, j'avais appris que je bénéficierais inopinément d’une journée de libre et, immédiatement, l'idée d'une de ces longues et torrides séances sous la férule de ma Divine Maîtresse m'avait sauté à l'esprit. Deux semaines auparavant, je bloque un rendez-vous. Bien mal m'en prit. Deux semaines à attendre et à fantasmer, c'était le premier supplice. Et ce, d'autant plus que Maîtresse ne manquait pas de m'allumer et de me donner des ordres par SMS ou mails, du genre, "tu as cinq minutes pour te fourrer trois doigts dans le cul, prendre une photo et me l'envoyer." !
Je n'ai jamais vu le temps passer aussi lentement. Je passe des heures à fantasmer sur ce que cette Diablesse aura eu le temps de préparer pour me faire à nouveau si délicieusement souffrir. Je connais Son imagination sans limite.
Arrive enfin la veille du jour J. Je reçois un mail par lequel Elle m'ordonne de L'attendre à l'entrée d'un parking du centre ville jusqu'à son arrivée.
Le lendemain, à l'heure dite, je suis de faction, excité comme jamais. Un SMS m'annonce son arrivée dans 5' avec le message :
"Quand je te verrai, je veux avoir l'impression que tu fais le tapin ma petite pute !"
Je m'appuie donc contre un mur, un pied au sol et l'autre, pied contre le mur, cuisse à l'horizontale, selon l'image que j'ai de la prostituée "en chasse".
Quelques passants me regardent d'un air bizarre lorsque j'aperçois un appel de phares. Par la fenêtre-passager ouverte, la voix de ma Maîtresse m'intime l'ordre de monter.
Je La regarde. Elle est superbe, toute de cuir vêtue : le blouson, le pantalon et des bottes.
Nous montons quelques étages du parking pour atteindre une place un peu isolée, du moins le pensions-nous.


A peine garés, une voiture vient se mettre à côté de la nôtre.
"Tant pis pour toi me dit Maîtresse, il n'y a plus qu'à espérer qu'il sorte rapidement de sa voiture car moi, je ne bouge plus."
Je ne comprends pas immédiatement où est le problème jusqu'à ce qu'elle me dise :
"Enlève ton pantalon, ton slip et ouvre ta chemise."
Je ne peux m'empêcher de regarder la voiture voisine que son chauffeur n'a manifestement pas envie de quitter tout de suite.
"Allez, plus vite, et dis-toi que ce n'est rien à côté de ce qui t'attends aujourd'hui. De plus, je sais que tu adore t'exhiber." Ce n'est pas faux !
Je m'exécute donc et me retrouve les fesses et le service trois pièces à l'air dans la voiture.
Elle s'empare d'un sac en plastique dont Elle déballe le contenu : une culotte de femme rose, un collier de cuir, un rosebud déjà emballé dans un préservatif ainsi qu'une bouteille de lubrifiant, des pinces à seins reliées par une chaîne et .... une cage de chasteté métallique.
Elle commence par le collier, puis les pinces, assez douloureuses et me dit de refermer ma chemise, ensuite, la cage de chasteté qu'elle verrouille à l'aide du cadenas ad hoc et dont elle range précieusement la clé. Ensuite, je vois qu'elle baisse la fenêtre-passager et me dit : "Penche-toi à l'extérieur et présente-moi ton cul."
Je ne peux m'empêcher de jeter un bref coup d'œil à la voiture voisine qu’entretemps le propriétaire à fini par quitter. Me voilà donc penché à l'extérieur, caché par une voiture certes, mais un peu inquiet quand même que quelqu'un n’arrive. Mais mon excitation et mon côté "exhib" ont tôt fait d'atténuer mes craintes.
Je sens la froide sensation de l'application du gel sur ma rondelle, suivi de la sensation d'élargissement progressif due à la pénétration du rosebud. Une petite sensation de brûlure car Elle a commencé fort et je n'ai pas été préparé comme d'habitude, aux doigts et à la main. La partie la plus large étant passée, la douleur fait rapidement place à cette sensation de plénitude que confère cette impression d'"être rempli".

"Mets la culotte maintenant et puis remets ton pantalon."
Je m'exécute à nouveau et constate qu'une cage de chasteté sous un pantalon, cela ne donne pas la même sensation que portée nu. Ma queue se met rapidement à bander dans la contrainte et forme une bosse qui ne pourrait qu'attirer l'attention si quelqu'un venait à fixer mon entrejambe.
"Allez, on sort maintenant" me dit Maîtresse.
Nous nous dirigeons vers l'ascenseur. Quelqu'un nous suit, ce qui m'inquiète un peu car mon collier de cuir rouge et la bosse à mon entrejambe ne pourrons qu'attirer l'attention et ce, d'autant plus que la beauté de ma Maîtresse et son apparence ouvertement dominatrice ne pourrons qu'attirer les regards, qu'ils soient mâles ou femelles, vers nous. Il se dirige vers l’escalier plutôt que l’ascenseur. Ouf de soulagement. Mais à peine entrés, Elle m'intime l'ordre de m'agenouiller à ses pieds. J'obtempère, espérant secrètement que l'appareil ne s'arrêtera pas avant le rez-de-chaussée pour laisser entrer quelqu'un que ma position ne manquerait pas d'interpeller.
Maîtresse me passe une main dans les cheveux me disant de lui faire confiance, que tout se passera bien. Le hasard faisant bien (ou mal !) les choses, nous arrivons en bas sans encombre et Elle me demande de me relever dès que la porte s'ouvre. De là, nous nous dirigeons vers un établissement où nous avons nos habitudes afin d'y prendre un petit déjeuner. A peine entrés, quelques regards se tournent vers nous sans que nous ne sachions ce qui les attire le plus : le look et la beauté de ma Maîtresse ou mon collier rouge et cette proéminence qui me précède dans le pantalon. A moins que ce ne soit les deux. On peut dire que nous formons un couple atypique dans cette ambiance quelque peu BCBG.
Nous montons à l'étage et, à peine assis, je suis immédiatement pris d'une violente érection due au plug sur lequel je m'enfonce, érection contenue par la cage de chasteté qui se rappelle à mes bons souvenirs !
Durant quelques minutes, nous devisons de choses et d'autres, entre autres, de ces deux semaines d'attente insupportable, ce qui fait bien rire Maîtresse.
Ensuite, Elle m'annonce à demi-mots ce qui m'attends aujourd'hui.
Nous nous rendrons dans le donjon qu'elle partage avec Maîtresse Kassi, qui nous rejoindra en fin de journée, et, après une bonne heure d'échauffement, viendra la première surprise. Et lorsque nous reviendrons de celle-ci, quelques autres surprises suivront encore. Et c'est là que je tique. Lorsque nous reviendrons. Où cette Diablesse a-t-Elle bien l'intention de m'amener ? Elle passe un coup de fil à Maîtresse Kassi pour la prévenir de notre arrivée. Nous nous levons et descendons sous le regard intrigué de quelques consommateurs.
Lorsque nous arrivons au donjon, Maîtresse Kassi s'apprête à le quitter pour vaquer à ses occupations professionnelles.
Au moment de nous quitter, elle me lance un "A tout à l'heure petite pute" plein de sous-entendus et "D'ici là, amuse-toi bien!". Toutes deux éclatent de rire, A mon avis Lady Tana a dû faire part de ses intentions à sa complice.
Une fois à l’intérieur, Maîtresse m’attire à Elle, m’ouvre la chemise et m’enlève les pinces aux seins. La douleur est fulgurante et le cri que j’émets provoque chez Elle un sourire sadique.
« Vas t’habiller, ton sac est à l’endroit habituel. »
Un fois dans le donjon, je trouve effectivement mon sac contenant mes effets habituels : Un chap en simili cuir noir, une robe de soubrette en vinyl noir également, mes bottes à (très) hauts talons, mes longs gants et mon masque au yeux cernés de rouge. Une fois habillé, je vais m'installer à la croix, attendant le bruit de talons dans l'escalier, annonciateur de l'arrivée de ma Divine.
Après quelques minutes, un bruit de pas, un grincement de porte et La voilà, rayonnante, superbe. Elle porte une guêpière de cuir noir, lacée dans le dos, une mini-jupe de cuir noir et les bottes qu'Elle portait en arrivant.
"Alors ma reine des putes, jusqu'où vais-je te faire aller aujourd'hui ? Quelles limites allons-nous franchir ? Quelles contrées inexplorées allons-nous défricher ensemble ?" Je ne peux que Lui répondre que je suis prêt à tout pour Lui plaire.
Elle connaît mes limites absolues et je sais qu'Elle ne les franchira pas.
Elle m'attache les mains et se jette alors sur mes tétons qu'Elle agace de ses ongles, de sa langue et de ses dents, ce qui provoque chez moi une érection immédiate et quasi douloureuse car j'ai toujours la cage de chasteté. Mon anus se contracte de plaisir, provoquant un enfoncement supplémentaire du plug qui, lui non plus, ne m'a toujours pas quitté.
Après quelques minutes de ce traitement, Elle me regarde et me dit : pour que tu aies l'air d'une vraie pute, c'est d'une perruque dont tu as besoin, car tu ne peux pas porter tout le temps un masque." Je lui demande ce qu'elle entend par tout le temps et Elle me répond : "Quand nous sortirons d'ici par exemple !" Petit moment d'émotion :
"Avez-Vous l'intention de m'amener à l'extérieur"
"Je vois que tu comprends vite. Oui, nous irons te chercher une perruque et je t'amènerai promener vers ta première surprise du jour !"
Alors ça, ce sera une première. Jamais je n'ai fait une séance à l'extérieur du donjon. Ce que nous avons fait dans le parking constituait déjà, pour moi, une première.
"Mais en attendant, je vais te chauffer un peu les fesses et te dilater en vue de ce qui t'attend". De plus en plus interpelé, je commence à me poser plein de question.
Elle me détache pour m'amener vers un petit meuble dont Elle me dit qu'il a été confectionné par un esclave de Maîtresse Kassi. Je m'y agenouille. Elle m'incline le tronc qui vient s'appuyer sur une planche capitonnée de cuir et, au moyen de sangles, Elle me fixe chevilles, bras et tronc. Je suis incapable de faire un geste. Elle relève ma jupe de soubrette et entreprend de me fesser. Je dois compter les trente claques qu'elle m'inflige. Elle se saisit ensuite d'un martinet et me condamne à la même punition, quinze coups sur chaque fesse. Tant les claques que les coups de martinet me sont donnés à intensité croissante, ce qui fait qu'à la fin du traitement, j'ai l'impression d'avoir les fesses en feu. Elle me laisse récupérer un peu pour ensuite me détacher et m'emmener vers le superbe sling qui trône dans un coin du donjon.
Elle m'y bascule avant de me mettre les bracelets aux mains et aux pieds, qu'elle mousquetonne ensuite aux chaînes qui descendent du plafond. Elle me bande les yeux et je rentre petit à petit dans un état second.
"On va s'occuper de ce petit cul maintenant. Il faut qu'il soit à la hauteur de ce que j'ai préparé pour lui" me dit-Elle.
Nouveau questionnement en mon for intérieur. A chaque fois que nous nous voyons, le travail anal est systématique (Elle rêve de pouvoir un jour me fister, mais soyons honnête, il reste du boulot !), mais en quoi cela constia-t-il une surprise ? Mystère.
Elle m'enlève le plug que j'avais presque oublié. Seul le passage de sa partie la plus large est un peu douloureux, mais il était clairement temps, dans l'optique d'une éducation anale à long terme, de passer à la taille supérieure. Je sens à nouveau une sensation fraîche et gluante entourer mon fondement, suivi du bruit typique de gants de latex qui claquent sur la main. Maîtresse m'annonce qu'Elle va utiliser une seringue pour me lubrifier directement de l'intérieur. Ce qu'Elle fait au moyen d'un outil de petit calibre, car c'est à peine si je le sens entrer. L'injection de la substance fraîche, pour ne pas dire glacée, est par contre aussi surprenante qu'agréable. Aussitôt après, c'est la sensation bien connue d'un doigt qui force mon entrée, puis deux, trois, quatre. Elle n'essaie pas d'aller plus loin et se retire après quelques va-et-vient circulaires qui me mettent progressivement le cul en feu.
Vient ensuite une fraîche sensation métallique d'un engin pas trop large qui franchit aisément l'entrée. Les cliquetis qui suivent, accompagnés d'une sensation de dilatation me font comprendre que Maîtresse est en train de m'entreprendre au spéculum. Elle me dit être fière de moi car il est ouvert au maximum. Elle m'enlève le bandeau et me montre une tige semblable à celles avec lesquelles ont frotte l'intérieur de la joue dans les séries policières pour prélever l'ADN. Je m'imagine bien que ce n'est ni ma joue, ni mon ADN qui sont l'objet de la manœuvre lorsque je vois Lady Tana diriger l'engin vers mon anus à présent bien ouvert. La sensation est divine. Un chatouillement à rendre fou. Mes gémissements semblent plaire à Maîtresse qui m'agace de plus en plus profondément, pour mon plus grand plaisir.
"Je vois que tu aimes ça, salope" me dit-elle en donnant une petite claque à ma bite, toujours emprisonnée dans la cage.
"Je vais te délivrer et profiter de ton érection pour te délivrer le traitement suivant."
Elle s'empare de la clé, ôte le cadenas et ouvre l'anneau qui enserre mes couilles, avant de m'enlever la cage métallique. Je bande comme un âne. Je La vois déballer une serviette propre, y étaler des objets que je ne peux pas distinguer. Vient ensuite un bruit de vaporisateur. Lorsqu'Elle se retourne vers moi, Elle tient une petite seringue qu'Elle approche de mon méat urinaire. Elle s'empare de ma queue, y fait rentrer le bout de la seringue et je sens une sensation fraîche remonter dans mon sexe. "C'est pour te lubrifier de l'intérieur, ce sera plus facile pour la suite."
J'imagine ce qui m'attend et j'en ai la confirmation lorsqu'Elle se présente avec une sonde métallique qu'Elle enfonce de quelques centimètres avant de laisser le poids de l'engin faire son œuvre, lui permettant de s'enfoncer complètement, soit une vingtaine de centimètres. Deux autres sondes de tailles croissantes suivront. Les allers et venues provoquent une délicieuse brûlure qui maintient mon érection. Le sexe bien rigide pointé vers le plafond, aucune chance que le plug urétral ne s'échappe. Maîtresse en profite pour s'harnacher d'un gode ceinture de taille respectable. Le sourire aux lèvres et me regardant dans le blanc des yeux, elle m'enlève d'abord le spéculum avant de venir appuyer le gland de son gode sur mon entrée. J'essaie de me relâcher au maximum et n'y arrive pas trop mal puisque l'engin force sans trop de douleur mon anneau pour provoquer tout de suite après cette délicieuse sensation de sentir la progression de l'engin en moi. Tout en reprenant le va-et-vient de la sonde dans ma verge, Elle commence tout doucement à me pilonner par des coups de plus en plus profonds et de plus en plus rapides. Avec sa main libre, Elle en profite pour m’agacer les seins. Je suis en transe. Je gémis, je supplie, je hurle, pour Son plus grand plaisir. Elle s'arrête quand même en me disant : "On ne va pas te mettre à feu, sinon tu n'en pourras plus .... tout à l'heure ! Mais qu'a-t-Elle donc en tête ?
"Fin de la première partie. Je te remets le rosebud, une nouvelle cage de chasteté plus petite et tu t'habilles comme tu peux, en gardant ta tenue en-dessous, tu peux changer de chaussures, nous sortons t'acheter ta perruque et quelques accessoires. Prends ton sac .... vide pour que tu puisses y ranger tes vêtements civil ..... tout à l'heure !!!
Nous sommes prêts en quelques minutes. Elle s'est rhabillée comme lors de notre rencontre ce matin. Nous sortons et je La suis. Je constate immédiatement qu'Elle m'emmène dans une galerie proche du donjon où se situe un magasin fétichiste bien connu du centre-ville et c'est effectivement cette porte que nous poussons. Maîtresse semble y être connue comme le loup blanc. Après quelques effusions avec le personnel, nous montons à l’étage pour y choisir une perruque. Durant les essais, quelques clients viennent faire du lèche-vitrine et nous regardent d’un œil mi amusé, mi intrigué mais, nous semble-t-il, majoritairement envieux. Notre choix se porte sur une coiffe aux cheveux mi longs noirs, terminés par des mèches blondes.
« Tu la gardes et tu viens près de moi. » Je m’approche et Elle sort de son sac à main un tube de rouge à lèvres carmin dont elle me peint la bouche.
« Voilà, tu as de plus en plus l’air d’une vraie pute maintenant ».
Et c’est à ce moment que Ses yeux croisent une superbe paire de cuissardes. En quelques minutes, l’affaire est réglée et Elle décide de profiter immédiatement de son achat. Imaginez le look : blouson de cuir, pantalon de cuir et cuissardes. C’est alors qu’Elle sort de son sac à main une laisse métallique qu’Elle attache au collier rouge qui ne m’a pas quitté depuis ce matin. Nous réglons nos achats et c’est ainsi, Elle bardée de cuir et moi, tenu en laisse, le cul pluggé, la bite encagée, avec ma perruque et bouche de pute que nous quittons le magasin. « Serre-toi bien contre moi, cela rendra la laisse plus discrète » me dit-Elle. Autant dire que, malgré cet artifice, notre passage ne passe pas inaperçu. Nous retournons en direction du donjon persuadé, en ce qui me concerne, que c’était cela la surprise. Mais lorsque, arrivant devant le passage donnant accès au donjon, je fais mine de m’y diriger, un coup sec sur la laisse me fait rapidement comprendre que je ne suis pas au bout de mes surprises.
Maîtresse me dit, sourire aux lèvres : « Un bon toutou suit sa Maîtresse. Il ne lui impose pas le chemin. »
Je me résigne donc à me laisser mener où Elle le désire et nous voilà sur un boulevard menant vers les quartiers chauds de la ville. J’imagine mon exhibition en rue, parmi une population particulièrement chaude dont notre couple singulier ne manquera pas d’attirer le regard, mais j’étais alors bien loin de m’imaginer ce qu’Elle m’avait réservé. Sur le parcours, nous essuyons quelques regards appuyés et nous nous doutons que à peine dépassés, notre situation doit donner lieu à quelques commentaires, envieux des hommes, réprobateurs des femmes, même si la suite allait nous faire revoir notre jugement !
Au bout du boulevard se trouvent quelques sex shops dans lesquels Maîtresse décide de nous faire entrer. Quelques clients nous observent et ceux-là, manifestement d’un air envieux. Nous effectuons encore quelques achats : plug métallique plus volumineux que celui que je porte, vibro. Et c’est au moment de sortir du deuxième magasin que nous apercevons une dame d’un certain âge, seule face aux présentoirs de vidéos porno, ce qui est plutôt inhabituel en ces lieux.
« Attends-moi ici deux secondes » me dit Maîtresse en me donnant la laisse. Elle se dirige vers la cliente et se met à lui parler. Je la vois d’abord prendre un air étonné puis amusé en jetant un œil vers moi. Elles viennent ensuite toutes deux dans ma direction. La cliente est un peu ronde, habillée de manière tout à fait normale. Pas le genre qui attirerait l’attention si elle n’était seule dans cet endroit.
Maîtresse reprend la laisse et me dit « suis nous », tout en se dirigeant vers un escalier menant à un étage où se trouvent d’autres vidéos et quelques cabines pour les visionner.
« Mets-toi à genoux » m’ordonne Lady Tana, à l’entrée d’une de ces cabines dans laquelle pénètre la dame. Cette dernière relève sa jupe, baisse sa culotte et s’assied, cuisses écartées. Maîtresse m’att par la nuque et me dirige vers le sexe ainsi présenté : « Allez, fais-moi honneur en lui donnant du plaisir. » Je m’approche pour découvrir une chatte aux lèvres charnues, déjà luisante d’une mouille dont je découvre le goût salé au premier contact. Son clitoris est gonflé et les premiers coups de langue provoquent immédiatement les gémissements de cette partenaire inattendue. Ceux-ci deviennent de plus en plus bruyants au fur et à mesure que ma langue titille son petit bouton et s’insinue au plus profond de mes possibilités dans cette chatte de plus en plus dégoulinante. Je sens enfin une crispation et ma tête se faire emprisonner entre deux masses charnues, le tout suivi d’un soupir de soulagement. Maîtresse me retire la tête de ma prison de chair. Ma bouche est gluante de cyprine. La dame se lève, se rhabille et s’en va sans dire un mot. Maîtresse sort un mouchoir de son sac à main, m’essuie et nous redescendons vers la sortie. C’était donc cela la surprise pensai-je. Je pensais que ce que je venais de vivre était le fruit d’une mise en scène. Et bien non. Maîtresse me dit : « Cà, c’est une vraie surprise. Vraiment pas prévue."
Nous sortons du magasin et, prêt à tourner à gauche pour repartir vers le donjon, une nouvelle traction me fait comprendre que c’est de l’autre côté qu’il me faut me diriger. Nous allons bel et bien vers le quartier chaud. Plus de doute maintenant. Nous continuons notre chemin en silence, silence que je n’ose interrompre, toujours stupéfait par ce que je viens de vivre. Sous l’œil toujours intrigué des passants qui nous remarquent, nous approchons de l’embranchement de la rue de Brabant et de la rue d’Aerschot. Convaincu que c’est vers cette dernière que nous allons nous diriger, je suis à nouveau surpris de voir que c’est vers l’autre que nous allons. Nous traversons la rue et nous voilà à l’entrée d’un cinéma porno qui annonce trois salles de projection. Je dois avouer qu’au point où j’en suis et connaissant l’inventivité de Lady Tana, plus rien ne m’étonne. Maîtresse me fait entrer, me suis, puis me fait payer l’entrée pour deux personnes avant de demander au caissier, aussi intéressé qu’amusé par la situation, où se trouvent les toilettes. Une fois renseignés, nous nous y dirigeons et Elle m’ordonne d’enlever mes vêtements « civil » pour reprendre ma tenue d’ «Antoinette, la reine des putes ». Je mets mes vêtements dans le sac vide dont je comprends maintenant l’utilité. Une fois prêt, Elle sort un masque vénitien de son sac à main et me le met. « Avec ça, pas de danger d’être reconnu » me dit-Elle.
Et nous montons l’escalier pour pénétrer dans la première salle, déjà suivi par deux clients que notre manège intrigue. Dans la pénombre, nous apercevons quelques clients, la bite à la main, en train de se branler. Maîtresse se dirige vers un siège vide, me fait mettre à genoux à ses pieds et annonce à la cantonade. : « Si vous voulez vous faire sucer, allez-y, c’est gratuit ! Et si vous voulez le défoncer, n’hésitez pas. » Etonnamment, ce n’est pas la curée. Dans un premier temps, les hommes présents semblent plutôt surpris et curieux. Maîtresse me fait me lever, lève ma petite jupe de soubrette afin de montrer ma cage de chasteté dans laquelle se débat ma bite qui ne pourrait bander davantage, puis me fait m’incliner pour mettre en évidence mon cul engodé. Elle m’ordonne ensuite de garder cette position en m’appuyant sur le dossier d’un siège, sort un martinet de son sac à main et entreprend de me réchauffer les fesses en m’ordonnant de compter chaque coup. Petit à petit, les clients s’approchent se demandant s’ils peuvent, pauvres naïfs, se faire sucer par Elle. Elle remet rapidement les choses au point, ce qui en fait disparaître immédiatement quelques-uns. Elle me fait me remettre à genoux lorsque qu’un individu s’approche, la tige en main et la dirige vers ma bouche. Maîtresse me tend un préservatif que je lui enfile avant de commencer à le sucer.
« Préviens lorsque tu vas jouir, il t’enlèvera la capote et tu lui cracheras dans sa petite gueule de pute ».
Je m’applique. Plusieurs personnes s’approchent pour observer le spectacle. Mon cobaye bande de plus en plus fort et émet des grognements de plus en plus marqués.
« Je viens ! ». Je n’ai que le temps de le « décapoter » et je reçois de longs jets de sperme chaud sur le visage et sans doute aussi, sur le masque et la perruque.
« Un autre amateur ? » Personne. Tous retournent s’asseoir timidement pour reprendre leur plaisir solitaire devant un film de gouines qui se bourrent la chatte à coups de godes ceintures.
« Viens Antoinette, il reste deux salles. » Nous entrons dans la seconde où se déroule un spectacle semblable et nous constatons que quelques hommes nous ont suivis. Ou ils ne sont que voyeurs, ou ils ne brillent pas par leur cohérence. Même moment de flottement. Finalement, un homme se montre intéressé et je m’exécute à nouveau. Comme il ne semble pas y avoir d’autres candidats, nous nous dirigeons vers la troisième salle, suivis par de plus en plus de monde, mais là, personne ne manifeste d’intérêt. Après nous être dit que, décidément, la majorité n’est pas à la hauteur de ses fantasmes, nous redescendons vers les toilettes où je me change pour ne laisser d’apparent que ma perruque, ma laisse et mon rouge à lèvre qui, ayant souffert au cours des fellations précédentes, fait l’objet d’un raccord par Maîtresse. J’en profite pour La remercier et lui dire que, jamais, je n’ai vécu une séance comme celle-ci. Elle me dit que je ne suis pas au bout de mes surprises, mais que la prochaine fois, Elle m’amènera dans un autre cinéma, gay celui-là, où nous aurons sans doute plus de chance de me donner en spectacle pour Son plus grand bonheur. Je n’ose pas imaginer et j’ai l’impression que mon sexe, toujours frustré depuis ce matin, va faire exploser la cage qui l’entoure.
Nous retournons directement vers le donjon, tout en discutant. C’est tout juste si la situation ne commence pas à m’apparaître normale alors que je dois encore avoir des traces de sperme sur le visage, et même peut-être dans ma perruque ! Seuls quelques cris ou rire d’ouvriers travaillant dans la rue nous ramènent parfois au caractère incongru de la scène. Je me mets à rêver d’un monde régit par des femmes comme Maîtresse Tana, bardées de cuir et tenant en laisse et à leur merci la gent masculine. Quand on voit l’état de notre monde, il ne pourrait sûrement qu'être meilleur !!
A l’approche du donjon, Maîtresse m’annonce qu’elle va aller acheter des sandwiches et des boissons et que je dois aller L’attendre devant l’entrée, ce que je fais. Après quelques minutes d’attente et avant le retour de Maîtresse, la porte s’ouvre et je vois Maîtresse Kassi, bottée et elle aussi toute de cuir moulée, m’intimer l’ordre d’entrer.
« Tu descends, tu te remets en tenue et tu Nous attends ».
Je la complimente sur sa tenue, croyant pouvoir d’abord lui faire un brin de conversation, mais sa voix et son air autoritaires me font comprendre qu’il vaut mieux obéir sans discuter.
Je reprends donc ma place à la croix et après quelques minutes, des bruits de pas dans l’escalier me font comprendre que la séance va bientôt redémarrer.
Effectivement, les deux déesses entrent, s’approchent de moi, sourire aux lèvres. Tana a troqué Son pantalon de cuir pour la mini-jupe de ce matin, mais a gardé Ses nouvelles cuissardes.
« Alors petite pute, me dit Kassi, il paraît que tu as été à la hauteur de ta réputation. » On va te récompenser pour ça. Mais il ne te reste plus qu’à espérer que Nous ayons la même idée de ce qu’est une récompense car On ne te demandera pas ton avis. »
Sur ce, Elles me prennent chacune par un bras, m’amène vers le sling et m’y attachent à nouveau. Elles se mettent à m’exciter les tétons, tout en me libérant la bite et le cul de leurs contraintes respectives. Maîtresse Kassi se ceint d’un gode ceinture, pendant que Lady Tana me donne à nouveau l’impression de stériliser des instruments. Kassi approche la bite de ma bouche en m’ordonnant de la lubrifier. « Enfin, c’est toi qui voit. » me dit-Elle avant de regarder Tana du coin de l’œil et que toutes deux partent d’un rire convenu. Tana s’empare d’une bouteille de lubrifiant dont j’imagine qu’Elle va m’en badigeonner le cul, mais Elle m’en asperge le visage avant d’aller prendre l’appareil photo.
« Comme ça, on te pensera couvert de foutre, ce qui était de toute façon ton cas il y a quelques minutes. »
Une fois les photos prises avec le gode à l’entrée de ma bouche, Maîtresse Kassi l’approche de mon cul et, d’un coup de rein aussi brutal que précis, force mon entrée avant de commencer à me ramoner consciencieusement.
Lady Tana me fait maintenant face, les mains gantées de latex, tenant une aiguille dans une main et un morceau d’ouate dans l’autre. Elle me badigeonne un téton de désinfectant et, aussitôt cela fait, me le pince pour adroitement le transpercer. Délicieuse sensation de brûlure qui s’estompe assez rapidement pour laisser une sensation de gonflement du mamelon des plus agréable. Une deuxième aiguille perpendiculaire à la première et ensuite la même manœuvre sur l’autre sein m’amènent presque dans un état second. Je me demande jusqu’où je pourrais aller pour plaire à ces deux tigresses. Pendant ce temps, Kassi continue de me bourrer l’oignon comme une furie.
Maîtresse Tana lui demande d’arrêter car, dit-Elle « la suite de la manœuvre est plus délicate ». Et c’est ainsi que, après désinfection des différentes parties concernées, je me retrouve avec quatre aiguilles dans le scrotum, une série dans le prépuce et le long de la verge en descendant vers les couilles et finalement, spécialité de Maîtresse, deux directement dans le gland. Je hurle de bonheur.
Chacune d’Elles se munit d’un vibro. Maîtresse Kassi, qui semble se spécialiser (!!), s’occupe de mon cul, tandis que Tana vagabonde d’aiguilles en aiguilles, excitant une fois la pelote sur mes tétons, une fois celles de mes bourses et enfin celle de ma queue. Je deviens fou. Je crois que quelques mouvements de masturbation suffiraient à me faire gicler.
Mes deux Maîtresses semblent prendre beaucoup de plaisir à la qu’elles m’infligent.
C’est alors que Maîtresse Kassi demande à Tana si ce ne serait pas l’heure de la surprise suivante. Mais jusqu’où iront-Elles et que me préparent-Elles cette fois ?
Lady Tana s’éclipse, me laissant seul avec Kassi qui continue à me chauffer de Ses mains expertes.
C’est alors que j’entends des bruits de pas dans l’escalier, comme s’il y avait deux paires de talons. Et je vois apparaître, suivant ma Maîtresse, une superbe petite blondinette, vêtue d’un corset de satin rouge et d’une superbe paire de Louboutins qui Lui galbent de merveilleuses jambes.
« Antoinette, je te présente Saphir, ma compagne, mon esclave et assistante. Je la prépare à m’aider dans mes dominations et j’ai décidé de t’offrir à Elle comme cobaye dans le cadre de Sa formation. ». Bras dessus, bras dessous, elles se regardent tendrement avant de se rouler une pelle qui contribuera certainement au réchauffement de la planète tout autant qu’à celui de ma bite qui n’arrête plus de se dresser !
Saphir s’approche de moi, commence à exciter les différents endroits pourvus d’aiguilles. Ses mains me transmettent comme des ondes électriques qui me font entrer en transe. Et ce n’est qu’un début puisqu’Elle libère ensuite un sein magnifique dont elle m’oblige à exciter le téton de ma langue. Tout cela sous le regard attendri de ses deux complices.
Comme elle semble manifester un certain plaisir à la situation, Tana est obligée de l’interrompre : « Ton plaisir, c’est très bien ma chérie, mais pour qu’il soit complet, il faut qu’il aille de pair avec la frustration de ton soumis. Et là, même s’il rêve certainement d’autre chose, j’ai l’impression qu’il jouit un peu trop de la situation. »
Elle lui présente alors un gode ceinture dont Elle se harnache aussitôt. Elle se met en place et n’a aucun mal à me défoncer tant le chemin a été préparé depuis ce matin par ses deux collègues. Son coup de rein témoigne déjà d’une bonne expérience et je prédis le plus bel avenir à cette future domina. C’est vrai que comme initiatrices, elle ne pouvait pas mieux tomber !
Lady Tana s’approche d’Elle et, tout en lui roulant un nouveau patin, lui tend deux bougies qu’elle avait discrètement allumées. « Tiens, amuse-toi. Les seins, les couilles, la bite et le cul. » Et je sens immédiatement la chaude morsure de la cire envahir ces différents endroits, pour mon plus grand bonheur. La tension de ma queue en atteste.
Je remercie ces trois Déesses avec presque des larmes aux yeux et Leur dit que, si cela continue, je vais bientôt jouir.
« On ne te le conseille pas ma petite pute » me dit Tana. « D’abord, cela nous contrarierait souverainement, pour le principe, car c’est nous qui détenons les clés de la jouissance de nos soumis, mais de plus, nous nous serions démenées pour rien car tu n’aurais pas été au bout des surprises que nous t’avons préparées. »
« Comment, me dis-je, je ne suis pas au bout de mes découvertes ? » Si le paradis existe, il doit ressembler à cette journée.
« Aller, ça suffit pour maintenant, on va te détacher et tu vas pouvoir récupérer un peu en admirant le spectacle ! » Mais de quoi parlent-Elles encore ? Que me réserve encore cette incroyable journée ?
Elles me libèrent après m’avoir enlevé les aiguilles et tamponné les différentes gouttes de sang apparentes avec du désinfectant. Je me relève manquant perdre l’équilibre tant tout ce qu’Elles me font vivre me met dans un état second. Maîtresse Tana me tend un sandwich et une cannette de Coca. « Reprends des forces, on n’en a pas encore fini avec toi. Quand tu te seras sustenté, tu te mettras sous le treuil et tu saisiras les deux poignées qui en pendent jusqu’à notre retour. »
Cette collation me fait le plus grand bien et, une fois celle-ci terminée, je me positionne comme demandé, saisissant les deux poignées qu’entourent des menottes. Dans cette position, je crois entendre les Maîtresses discuter entre Elles et sembler y prendre beaucoup de plaisir. Après quelques minutes, j’entends un bruit de pas dans l’escalier. La porte s’ouvre et Maîtresse Saphir apparaît. Sans un mot ni un regard, Elle me menotte les mains, puis actionne le treuil qui me met en extension tout en me permettant de quand même garder les pieds au sol. Ensuite, Elle quitte la pièce à nouveau. Les bruits de conversation me parviennent mais, ô surprise, il me semble y déceler des voix d’hommes !
Après quelques nouvelles minutes d’attente, nouveaux bruits de pas dans l’escalier. La porte s’ouvre et, surprise, derrière les trois Maîtresses, je découvre deux soumis. L’un est complètement à poil et l’autre travesti : Body, mini-jupe, bas résilles et escarpins à hauts talons.
« Antoinette, nous te présentons Sada la défoncée et Charlotte. Nous allons nous occuper un peu de ces deux chiennes dépravées et nous espérons que tu profiteras bien du spectacle….auquel nous comptons te faire participer pour le bouquet final ! »
De mieux en mieux. Jamais je n’ai vécu cela. Je suis aux anges.
Tana s’occupe de Sada et je ne mets pas longtemps à comprendre d’où lui vient son surnom. Elle l’attache au petit meuble sur lequel j’ai commencé la séance ce matin, enfile un gant de latex, lui vaseline le fion et entreprend un fist. Elle ne met pas longtemps à s’enfoncer jusqu’au coude dans ses entrailles. Impressionnant.
Pendant ce temps, Charlotte subit des mains de Maîtresse Kassi une séance plus traditionnelle, faite de martinet, cravache, paddles, pinces aux seins, godes dans le cul…. Sans oublier l’humiliation verbale dans laquelle Elle excelle. Lorsque je me retourne vers Sada, c’est pour constater que c’est Maîtresse Saphir qui est maintenant au fond de ses boyaux. Elle me semble vraiment avoir des dons et un bel avenir devant Elle cette jeune fille !
Tout cela dure environ une demi-heure pendant laquelle ma suspension devient de plus en plus difficile, malgré le spectacle magique qui se déroule devant mes yeux. Ce qui m’intrigue, c’est que la session semble baisser en intensité, mais qu’aucun des deux esclaves n’a encore joui. Je ne tarde pas à en comprendre la raison. Tous deux sont invités à se déplacer vers un tapis sur lequel on a déballé un drap de latex. Il y a de la douche dorée dans l’air, pensai-je ! Saphir actionne le treuil afin de me libérer et je dois dire que la diminution de tension dans tout mon corps n’est pas faite pour me déplaire. Elle revient vers moi, me prend le bras et m’amène vers le fameux tapis.
« Couche-toi sur le dos » m’ordonne Tana. Je m’exécute.
« Lève les jambes. » Je vois alors Charlotte venir s’agenouiller, la bite tendue orientée vers mon cul, tandis que Sada vient se mettre à quatre pattes au-dessus de moi, de manière à ce que sa queue se présente à l’entrée de ma bouche. J’entends Maîtresse Kassi ordonner : « Allez salope, pompe moi ça à fond, comme la bonne petite pute que tu es. Je n’ai pas eu la chance d’être au cinéma et je veux avoir ma part du spectacle, moi aussi !! »
Je lève la tête pour amener à mes lèvres une bite pas trop grosse, mais longue qui m’oblige à presque réaliser une gorge profonde pour en avaler l’intégralité. « Celui-ci, tu vas me le faire à fond, je ne veux pas voir une goutte de son sperme. Tu avales tout ! Quant à toi, Charlotte, tu vas me ramoner ce cul jusqu’à ta jouissance. »
Et voilà notre trio qui se met à l’œuvre pour le plus grand bonheur de nos trois Divines qui nous assaisonnent de remarques salaces tandis que nous nous exécutons. Aux bruits qu’émet Sada, je crois comprendre que le traitement ne lui déplait pas, et ce, d’autant plus que je me rends compte que Lady Tana a de nouveau entrepris de lui envahir le fondement. Pendant ce temps, Charlotte me remplit à coups de verge cadencés. Elle a exactement la bite qui me convient. Assez large et longue pour que je me sente rempli et pas trop pour éviter les douleurs. Au-dessus de moi, les gémissements de Sada se font de plus en plus bruyant et à peine ai-je entendu Maîtresse Tana répondre positivement à sa demande de jouir qu’il me déverse sa liqueur en quantité dans la bouche suite à quoi, il se retire. Peu après, c’est au tour de Charlotte d’augmenter, tant le rythme de son enculage que celui de ses halètements. A la même question mais à Maîtresse Kassi cette fois, la réponse positive le mène à se retirer sèchement, à enlever la capote et à me gicler une quantité surprenante de foutre à la figure.
Sur ce les deux esclaves se lèvent, et quittent la pièce pour aller se doucher et se rhabiller. Maîtresse Tana me souffle à l’oreille qu’Elle est fière de sa « reine des putes » et me dit de me déshabiller en ne gardant que mes bottes et mes gants, puis de me recoucher sur le drap de latex. Elle va ensuite, avec Ses amies, raccompagner Ses deux soumis.
J’obéis à ses ordres. Quelques minutes après, nouveau bruit de pas, la porte s’ouvre et revoici mes deux Diablesses.
« Alors petite salope, prête pour le bouquet final ? » me demandent-Elles.
Elles prennent trois chaises, viennent s’asseoir côte à côte à hauteur de ma tête. Maîtresse Kassi me présente sa botte qu’Elle m’ordonne de lécher, puis l’autre, avant de passer aux Louboutins de Saphir, pour terminer par les cuissardes de Lady Tana.
Saphir, qui s’était levée, revient avec une petite bassine en acier chirurgical et la dépose par terre. Elle et Tana s’accroupissent au-dessus du récipient et j’entends le bruit d’un liquide frappant le fond de celui-ci. Elle se dévêtent du dessus, me laissant voir deux poitrines aussi différentes que mignonnes et vont se rasseoir. Maîtresse Kassi s’empare du bol et en verse un peu sur les cuisses de ses deux comparses, cuisses qu’Elle m’ordonne de lécher. Puis, Elle fait de même sur Leurs poitrines. C’est avec délice que je me régale de ce divin breuvage et que je savoure l’honneur qu’Elles me font de pouvoir Les lécher ainsi.
Kassi m’ordonne alors de me coucher sur le dos sur le drap de latex. Avec Son pantalon de cuir, Elle ne pourra pas participer à la fête que je soupçonne de se préparer lorsque je vois Tana et Saphir enjamber mon corps, l’une à hauteur du sexe, l’autre de la poitrine. Elle se positionne donc derrière ma tête et entreprend de m’exciter les tétons, ce qui ravive une érection qui ne se sera finalement que très peu dissipée au cours de la journée. Je sens les premières gouttes chaudes dégouliner sur ma queue et mon tronc. Les caresses de Kassi me rendent fou. Je commence à gémir …. et Elles trois à rire. Sitôt la dernière goutte tombée, Lady Tana s’empare de ma hampe et commence à la masturber délicatement, tandis que Saphir me caresse les bourses. Très vite, je sens le plaisir monter en moi et Leur en fait part. Elles cessent aussitôt Leurs attouchements, provoquant mon insupportable frustration.
« Tu ne jouis pas sans notre autorisation, salope ! ».
« Bien Maîtresses. »
Et Elles reprennent. Je n’en peux plus. Je demande l’autorisation de me libérer et considère l’accélération de la masturbation comme un consentement. Et c’est dans un hurlement libérateur que mon corps se tend en arc et que j’éjacule une telle quantité de sperme que j’ en reçois jusque dans mon visage.. Je sens immédiatement les doigts de ces trois furies racler la liqueur tombée aux différents endroits de mon corps pour me la ramener en bouche, m’obligeant à l’avaler jusqu’à la dernière goutte.
Sensation superbe, inédite. La redescente se fait comme sur un nuage, sous les caresses de mes trois Déesses. Maîtresse Tana me dépose un baiser sur la bouche et me glisse à l’oreille :
« Bravo Antoinette, je suis super fière de ma reine des putes ».
Et voilà comment se termine la plus belle journée de 25 années de vie SM.
Je monte me doucher et redescend pour une charmante conversation avec ces Dames. Je me confonds en remerciement pour ce qu’Elles m’ont permis de vivre aujourd’hui. Puis vient malheureusement le moment où il faut revenir aux réalités de ce bas monde et reprendre le morne train-train quotidien.
Merci mes trois Grâces. Je n’attends déjà plus que le moment de revivre pareils instants, même si je sais que le coût d’une telle journée m’obligera certainement à attendre longtemps avant d’espérer pouvoir en revivre une semblable.

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