April 1

Bonjour à tous. Pour cette histoire, j’utilise un personnage crée et inventé par mon collègue auteur Cleeydl, que je vous encourage tous à découvrir ici : http://www.histoires-de-sexe.net/fiche.php?auteur=CleeydL


Un beau jour, je reçus un SMS de Scott, un de mes amis datant du collège. Il me proposait de venir le voir vite fait un jour où il n’avait pas trop cours. J’acceptai avec plaisir. Cependant, j’eus des problèmes de transport, et j’arrivai avec une bonne heure de retard. Scott m’avait donné le numéro de sa chambre étudiante, alors je décidai de le rejoindre là bas. Je toquai à la porte et entrai.

Scott sembla surpris de me voir.

« Ah c’est toi ? »

« Oui, excuse j’ai eu des problèmes de transport. »

Je ne pus m’empêcher de noter qu’il n’avait pas l’air spécialement ravi de me voir. Je comprenais pas trop : c’était lui qui m’avait demandé de le rejoindre après tout… Je m’installai sur une chaise on se mit à discuter de choses et d’autres pendant une vingtaine de minutes environ. Je trouvais cool de reprendre contact avec lui, par contre je n’étais pas sûr qu’il soit si content que moi : il ne cessait de regarder sa montre, et de jeter des coups d’oeil à la porte, comme il était pressé que je m’en aille. Je finis par m’en agacer, et étais sur le point de lui faire une remarque désagréable, quand quelqu’un toqua à la porte, et entra sans attendre.

C’était une fille aux cheveux blonds mi-longs, qui faisait environ 1,68 m, avait un très beau visage, et un corps de rêve : une poitrine assez imposante (95D), et un cul parfaitement bombé. De plus, elle était vêtue d’un mini débardeur et d’un mini short, qui dévoilaient largement son corps de rêve. Elle posa ses beaux yeux bleus clairs sur moi, et lança à Scott :

« Euh… je croyais que tu serais seul... »

Scott rougit, l’air gêné. Je m’esclaffai et lançai :

« Excuse moi, il m’a rien dit, je vais vous laisser.

Scott, à plus ! »

Je me levai, et m’arrêtant devant la belle blonde, je me présentai avec un sourire. Elle me sourit d’un air charmeur, et répondit :

« Enchantée, moi je m’appelle April. »

Avec un sourire, je lui pris la main, et la baisai en véritable gentleman. Elle me lança un coup d’oeil intéressé, qui acheva de me convaincre : en plus d’être sexy, cette fille était une chaudasse, c’était parfait.

Je quittai la chambre de Scott, ravi de cette rencontre que je voulais approfondir… Le lendemain, j’envoyai un SMS à Scott, afin de plus lui parler, et d’en apprendre plus sur April. On se retrouva à la cafétaria de sa fac. Il était assis à une table, je l’y rejoignis.

« Salut ! Alors t’as passé une bonne soirée ? »

Scott eut un petit sourire.

« Oh oui ! »

Je souris, mais ne posai pas plus de questions sur April. Pour l’instant… Je me contentai de prendre des nouvelles de Scott, lui parler de choses et d’autres. Puis, on en arriva enfin au sujet qui m’intéressait le plus.

« Et la fille d’hier c’était ta copine ? »

« April ? Non, c’est plus un plan cul régulier. »

« Donc ça te dérange pas si je te « l’emprunte » pour une nuit ? Ou plusieurs ? »

Scott eut un sourire.

« J’étais sûr qu’elle t’avait tapé dans l’oeil. Non ça me gêne pas, tu fais ce que tu veux. »

« Cool, tu sais si je lui ai plu à elle ? »

« Je pense, elle m’a posé pas mal de questions sur toi. »

C’était intéressant ça. Je décidai de suivre mon instinct concernant April, et je demandai à Scott

« C’est quoi son numéro de chambre ? »

Scott me l’indiqua, et je décidai de foncer. Une fois devant la porte, je toquai à la porte un peu nerveux. J’espérais que mon instinct ne me trompait pas… A mon grand plaisir, ce fut April qui ouvrit la porte. Elle était vêtue d’un t-shirt et d’un jean, une tenue classique, mais elle était toujours sexy.
Elle me sourit, et dit :

« Hello toi ! Je m’attendais pas à te revoir si vite... »

« Déçue ? »

« Comblée au contraire… Mais ça tombe mal, j’ai cours là. »

Je m’approchai d’elle jusqu’à me trouver à quelques centimètres, elle se raidit, et je perçus une lueur coquine dans son regard.

« Et tu penses que faire … connaissance avec moi serait moins intéressant que ton cours ?»

« Hmm je sais pas, en tout cas ça vaut le coup d’essayer non ? »

Sur ce, elle me tira par le t-shirt, m’attira contre elle, et se mit à m’embrasser avec fougue. Je lui rendis son baiser avec ardeur, tout en étant ravi : je ne m’étais pas trompé à son sujet, c’était vraiment une chaudasse. Elle m’entraîna dans le fond de sa chambre, et me jeta sur son lit.

« Attends deux secondes, faut que j’envoie un SMS à ma colloc pour la prévenir. »

Elle sortit son portable, et se mit à pianoter dessus. Je me redressai, et la tirant par son jean, je l’attirai sur le lit. Elle tomba dessus en riant, et je me mis à l’embrasser avec fougue. Elle me rendit mon baiser avec fougue avant de me repousser.

« Attends je t’ai dit. »

Elle se remit à pianoter sur son portable, et pendant ce temps, je me mis à embrasser son cou avec avidité, la faisant frissonner de la tête aux pieds. Lorsqu’elle eut fini d’écrire son SMS, elle làcha son portable, et se jeta sur moi. Elle me plaqua contre le matelas, et vint sur moi.
« Je te connais à peine, mais tu me rends déjà dingue toi ! Je sens que ça va être très chaud... »

Je profitai d’être sous elle pour l’admirer : ses yeux bleus brillaient d’excitation, ses seins étaient moulés par son t-shirt bleu, et ses fesses bombées étaient collées contre mon sexe tendu sous mon pantalon et caleçon. Effectivement, ça s’annonçait très chaud avec une bombe pareille… Je me redressai d’un coup, et la renversai. J’étais curieux de voir ce qu’elle ferait.
Elle chercha aussitôt à revenir au dessus, mais je la saisis par les mains, et l’en empêchai. Une petite lueur d’excitation revint dans ses yeux, et je m’en réjouis. Je m’installai bien sur elle, et retirai mon t-shirt, sous ses yeux intéressés. Elle se redressa et vins me lécher les abdos et les pectoraux, j’en frissonnai de plaisir, avant de la saisir par le cou, et de la plaquer à nouveau contre le matelas. Je retirai avec hâte son t-shirt, dévoilant un soutif bleu clair, et surtout, un corps de rêve, un ventre plat, et une poitrine encore plus alléchante sans t-shirt. J’arrachai son soutif, libérant son imposante poitrine, avant de lui retirer son jean aussi, puis son string. Je venais de la mettre à nue en quelques secondes, mais je n’en pouvais plus des préliminaires. Je me débarrassai à mon tour de mon pantalon et de mon caleçon, libérant mon sexe.

« Hmm, il est de belle taille ton engin… Apprécia-t-elle. »

« Tu t’en rendras encore mieux compte quand il sera en toi. »

Et sur ce, je la pénétrai du vigoureux coup de rein. Elle était suffisamment mouillée pour que ça entre aisément. Je me mis à aller et venir en elle à un rythme effréné, j’étais super excité ! Je la baisais très fort, tout en la regardant bien droit dans les yeux, en massant ses gros seins, et en l’embrassant de temps en temps. J’adorais presser mon corps contre le sien, l’écraser à moitié. April gémissait, et se tortillait de plaisir, et me murmurait à l’oreille « c’est trop bon continue ! », ce que je faisais bien évidemment. Je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules, pour la baiser en enclume, la pilonnant sauvagement, cognant le fond de son intimité à chaque coup, la faisant hurler de plaisir. Je me mis à changer de technique, et lui donnai des coups de reins circulaires, qui la firent se cambrer et pousser de véritables hurlements de joie. « Oh bordel qu’est ce que c’est bon, j’adore ça ! », ravi d’entendre cela, j’accélérai encore le rythme, tout en la regardant bien dans les yeux, m’y délectant de la voir chavirer sous l’extase.
« Tu aimes ça ? » dans un gémissement incontrôlé, elle répondit « oh oui putain ! », je souris et lançai « alors on passe à la vitesse supérieure ! »

Sur ce, je la retournai pour la mettre à quatre pattes, et je me mis à la baiser comme un fou, la culbutant à fond. La vision de son cul si bombé me dopait littéralement, et je ne me privais pas de le claquer, me délectant de sa rondeur et de sa fermeté. Je tenais fermement April par les hanches, et frissonnai à chaque aller retour que je faisais en elle. Mon sexe la limait avec vigueur, la faisant crier comme une folle, on devait nous entendre dans tout le campus ! Pour rendre les choses plus plaisantes encore, et peut être reprendre un peu le contrôle, April se mit à donner des coups de reins par derrière, secouant son magnifique postérieur. Mais j’avais trop d’expérience des filles dominantes pour me laisser surprendre. Après avoir bien profité de son initiative, je me remis à accélérer le rythme la baisant trop fort pour qu’elle puisse continuer son manège. Elle se raidit, se cambra et poussa un puissant cri de plaisir. Comprenant que je lui faisais perdre la tête, je mis à lui administrer une série de coups de reins secs et rapides, qui la firent vibrer de la tête aux pieds. Décidé à lui administrer le coup de grâce, je me mis à lui titiller son clito avec vigueur. Son corps se cambra une nouvelle fois, et elle explosa dans un délicieux orgasme qui la fit s’écrouler sur le lit, mais seulement après que j’aie joui moi aussi.

Épuisés et comblés, nous nous écroulâmes sur le lit, ravis de cette baise si intense.

« T’es doué tu sais, y a pas beaucoup de mecs qui m’ont fait ce que tu viens de me faire. »

« J’ai aucun mérite : t’es tellement bonne que je pourrais te faire ça toute la journée. »

Elle eut un sourire, et vint se pelotonner contre mon épaule. Avec un petit rire je lui dis :

« Tiens regarde ! Tu me fais déjà rebander ! »

Elle jeta un coup d’oeil à mon sexe, et put voir qu’en effet, il recommençait déjà à durcir. Elle eut un sourire gourmand, et dit :

« Parfait ! Ça va être à mon tour de te montrer ce que je sais faire... »

Et sur ce, elle se mit à quatre pattes devant moi (j’étais toujours étendu sur le lit), et se mit à me lécher le sexe du bout de la langue. Elle ne mit pas longtemps avant de me faire bander à fond. Elle me prit alors complètement en bouche, et se mit à faire des va-et-vient buccaux, me faisant tressaillir de plaisir. April mit de plus en plus d’entrain dans sa fellation, tout en me regardant bien droit dans les yeux, guettant mes réactions. Sa bouche coulissait sans cesse sur mon sexe, à un rythme de plus en plus élevé, sa langue me parcourait le membre, me faisant trembler de plaisir. Je ne tardai pas à gémir, de plus en plus fort, ce qui fit sourire April.

« On va passer à la vitesse supérieure, accroche toi ! Me lança-t-elle. »

Elle s’empala sur moi, et se mit à me baiser avec force. J’avais décidé de me laisser faire, histoire de voir ce qu’elle valait, pour ensuite reprendre le dessus quand je le voudrais. Mais dés qu’elle commença à me chevaucher, je compris que je venais de commettre une grave erreur : elle me baisait super bien, avec une vigueur et une technique parfaites. Elle était comparable dans cet exercice à Katherine, Marie-Laure ou autres. Je me sentis partir sous ses coups de reins dévastateurs, et ne tardai pas à crier tout mon plaisir. Ravie de me voir prendre mon pied, April accentua la puissance de ses coups de reins, allant de gauche à droite, se déhanchant comme une belle diablesse. Ses gros seins se secouaient sous l’effet de sa terrible danse, et cela m’hypnotisait à moitié. Mon sexe était ballotté dans toutes les directions, et c’était terriblement plaisant. April me toisait d’un regard dominateur et sournois, ce qui la rendait encore plus sexy. Elle tenait les rênes de cette baise, et si je voulais que ça change, je devais agir maintenant. Je la saisis par les hanches, et voulus diriger le rythme de la baise, mais impitoyable, April me saisit les poignets, et accéléra le rythme de ses assauts, décidée à me donner le coup de grâce. Je poussai un grand cri, et compris que je ne pourrais pas reprendre le dessus. April se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas, déclenchant une terrible vague de plaisir en moi, qui me submergea, et me fit exploser dans un délicieux orgasme. Ma terrible cavalière se plut à faire prolonger cet orgasme encore et encore, se déhanchant sur moi sauvagement, jusqu’à ce qu’elle jouisse elle aussi.

Elle s’écroula sur son lit, épuisée mais ravie.

« T’es super douée, la complimentai-je. »

« Merci, et tu as pu voir que j’avais des ressources, et que je me laisse pas faire. »

« T’es une vraie amazone, et t’as un sacré coup de rein, confirmai-je. »

April sourit sous le compliment. Nous restâmes un moment étendus sur le lit. Puis, après m’être rhabillé et avoir échangé mes coordonnées avec April, je rentrai chez moi.

Pendant quelques jours, nous échangeâmes pour savoir quand nous revoir. Car nous avions tous les deux hâte de recommencer une baise si fantastique, et même de l’approfondir. Nous étions d’accord pour dire qu’il fallait qu’on se voie longtemps, un week end entier serait l’idéal. Celui de la semaine prochaine, mes parents ne seraient pas chez moi, aussi, April et moi nous donnâmes rendez vous à cette date. J’avais hâte de revoir cette bombe, et mon impatience grandit encore lorsque je parlai d’elle à Scott : il m’apprit qu’April avait un vrai caractère de dominante, et me dit que la prochaine fois, elle chercherait certainement à me dominer. J’en étais plus qu’excité, car je n’avais pas l’intention de me laisser faire, et me l’idée de me livrer à une bataille acharnée pour la domination avec une bombe comme April avait de quoi réjouir…

Le samedi, en fin d’après midi, on sonna à ma porte. J’allai ouvrir, et c’était April. Elle était vêtue d’une brassière blanche qui dévoilait largement son corps de déesse, et d’un mini-short qui semblait peiner à contenir son imposant cul bombé. Nous prîmes quelques secondes, le temps pour chacun d’admirer l’autre. Je n’en revenais pas comme elle était sexy, c’était dingue.

Je l’aurais bien complimentée, mais April se jeta sur moi, avant de m’enlacer et de m’embrasser, rendant toute discussion inutile. Elle me poussa contre le mur le plus proche, et me plaqua contre avec un brin de violence. Je frémis d’excitation devant tant de sauvagerie, j’avais hâte que les choses sérieuses commencent…

« J’ai trop envie de toi, souffla-t-elle, on va dans ta chambre tout de suite, j’attends ça depuis trop longtemps ! »

Je souris, et l’entraînai dans ma chambre, à l’étage. Là, je la saisis par les hanches, et la poussai sur mon lit, et elle s’y écroula à plat ventre. Je vins sur elle dans son dos, et lui embrassai la nuque, remontant jusqu’à son oreille et lui soufflai :

« Tu es à moi ce week end. »

Elle réagit avec une vivacité peu commune. Elle se retourna, me renversa et vint sur moi, avant que je n’aie eu le temps de dire ouf. Elle m’arracha mon pantalon et mon caleçon avec brusquerie, avant de se défaire de son mini-shot et de son shorty, ne conservant que sa brassière. Elle s’empala ensuite sur mon sexe, et se mit à me baiser avec sauvagerie. Elle se démenait sur moi comme une diablesse, allant d’avant en arrière très vite, et très fort. Je poussai de grands cris, tout comme elle, mais je ne perdais la tête pour autant. Au moment où elle s’y attendait le moins, je la saisis soudainement par les hanches, et me mis à donner des coups de reins par en dessous. April poussa un gémissement, et s’immobilisa temporairement. Avec un sourire, j’accentuai encore la puissance de mes coups de reins, prenant complètement le contrôle. April me saisit les poignets, et voulut me retirer les mains de ses hanches, mais je m’y agrippai fermement. Elle se mit alors à me donner de puissants coups de reins de gauche à droite, bien décidée à reprendre le dessus. Nous nous lançâmes dans une furieuse bataille, qui ressemblait fort à un rodéo : j’étais en dessous, et ruais de toutes mes forces pour baiser April furieusement, tandis qu’April, au dessus de moi m’assénait de terribles coups de reins, déhanchant son magnifique corps. Nous gémissions tous les deux, et prenions un plaisir fou. Chacun de nos coups de reins, faisaient monter l’extase encore et encore, c’était délicieux ! Mais aucun de nous deux ne voulait céder. Nous nous regardions droit dans les yeux, nous défiant du regard. C’était très dur pour moi, car je devais soulever le poids de April à chaque coup de rein, et en plus, elle me faisait un bien fou en se déhanchant de gauche à droite. Si je n’avais pas l’habitude des amazones, notamment avec Katherine, j’aurais fini complètement dominé par une telle tigresse. Cependant, elle n’était pas la première fille dominante et très douée que je rencontrais, si bien que je réussis à tenir le choc, et m’agrippant aux hanches d’April, je parvins à l’obliger à ralentir le rythme de ses assauts, tandis que je m’augmentais le mien. April se cambra à nouveau, et poussa un gémissement de plaisir. Puis, elle tenta de se débattre, chercha à me donner de gros coups de reins, mais je la tenais trop fort pour qu’elle puisse beaucoup bouger. Elle voulut à nouveau me retirer mes mains de ses hanches, mais je la saisis par le dos, et la fis se pencher sur moi, avant de l’attr par nuque d’une main, et par les cheveux d’une autre. Je l’obligeai à me regarder droit dans les yeux, et je me mis à lui administrer une série de puissants coups de reins par en dessous la limant avec vigueur. Je la regardai droit dans les yeux, et eus l’immense satisfaction de voir son regard chavirer, et son beau visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeai. Je la baisais ainsi jusqu’à la faire crier, puis, quand il fut évident et indiscutable que j’avais gagné notre rodéo, je la renversai.

Je la mis sur le dos, et vins sur elle. Je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules. Je la pris en enclume, et me mis à la baiser aussi sauvagement que possible, je l’enfonçai dans le matelas et rebondissais avec elle, la limant avec encore plus de vigueur. April se mit à gémir à plaine voix, ce qui me tira un sourire satisfait. Je la saisis par le menton, et l’obligeai à me regarder, me réjouissant de voir ses yeux chavirer sous le plaisir que je lui infligeai. Elle chercha à me renverser, mais je l’avais bien en main, et elle ne put me faire bouger. Je lui massai les seins avec vigueur sous sa brassière m’émerveillant de les sentir si ronds et si fermes. En même temps, je lui assénai une série de coups de reins circulaires, qui lui arrachèrent de grands gémissements. April se tortillait dans tous les sens rendue folle par le plaisir que je lui infligeais. Son corps se raidissait, et sa respiration devenait de plus en plus saccadée. Je sentais que son orgasme approchait, alors, décidé à la provoquer, je ralentis brusquement le rythme de ma baise. Je la sentis s’agiter, frustrée. Elle se redressa d’un coup, visiblement décidée à reprendre le dessus, mais je la saisis par le cou et la plaquai contre le matelas. Elle se débattit un peu, mais je la tenais fermement, et recommençai des coups de reins rapides et puissants qui la refirent crier. Je la toisai d’un regard dominateur, et accélérai comme un fou pour le sprint final. « Oooh c’est tellement booon ! Hurla April », ce qui me donna des ailes pour la baiser encore plus fort. April eut un terrible orgasme, qui la fit littéralement chavirer, et que je fis durer encore et encore jusqu’à ce que je jouisse moi aussi.

Je m’allongeai, pas mal essoufflé. April elle, semblait un peu sonnée.

« T’es vraiment un dieu au lit, dit-elle d’une voix mielleuse. C’était super bon.  »

« C’est toi qui m’inspires avec ton physique de rêve répondis-je.»

Elle m’embrassa et me répondit :

« Merci ! »

Nous nous reposâmes un bon moment après notre baise de folie. Puis, nous nous rhabillâmes, et allâmes dîner. On discutait beaucoup, et je réalisai avec plaisir qu’April était pas seulement une bombe sexuelle au corps de déesse, mais aussi une fille vachement sympa et très agréable. Pendant le dîner, le portable d’April sonna. Elle eut un sourire, et dit :

« Excuse moi, je vais répondre, c’est Scott. »

Elle sortit de la cuisine un bref moment avant de revenir.

« Il voulait quoi ? Demandai-je. »

« Qu’on se voie demain. »

« Ah… et alors ? Tu vas y aller ? »

Elle eut une moue coquine, et dit :

« Je sais pas... »

Décidé à jouer le mec sûr de moi, je lançai :

« Il doit être sacrément doué pour que t’hésites... »

« Hmm… il se défend. Me fit elle avec un clin d’oeil. »

« Non sérieusement, je suis curieux : il est doué ? »

« Oui, très. Surtout si on considère qu’il était puceau y a pas si longtemps. Et il sait se servir de sa langue comme personne ! »

« Tiens ça me fait penser que je t’ai pas encore montré ce que je valais avec une langue. »

Elle sourit, et je vis que l’idée l’excitait.

« Ca serait avec plaisir. »

« Alors ? Tu restes demain, ou tu retournes à ta fac pour aller voir Scott ? »

« Non. J’ai trouvé un nouveau jouet trop bien, et j’ai envie de l’essayer… D’autant que je le maîtrise pas encore complètement... »

Je souris d’un air provocateur.

« Tu le maîtriseras jamais complètement tu sais... »

April se pencha au dessus de la table et souffla :

« C’est ce qu’on verra... »

Nous nous levâmes tous deux en même temps, et contournant la table, nous nous jetâmes l’un sur l’autre. J'enroulai mes bras autour de ses hanches, dénudées par sa brassière, et l’embrassai furieusement. Elle m’enlaça par le cou, et me rendit mon baiser avec une passion dévorante. Je la saisis par son mini-short, et l’emmenai dans ma chambre le plus vite possible. Une fois là, je la jetai sur le lit. Je voulus venir sur elle, mais elle m’arrêta en plein geste. Elle baissa mon pantalon puis mon caleçon, avant de saisir mon sexe, et de lentement le glisser sous sa brassière, dans sa merveilleuse poitrine. J’eus un petit frisson d’excitation qui se transforma en tremblement de plaisir lorsqu’elle se mit à faire des mouvements de va-et-vient avec sa poitrine enserrant mon sexe et le branlant délicieusement. Je restai un temps passif, histoire de profiter, avant de soudainement aller et venir dans sa poitrine tout en lui tenant la nuque. Elle frissonna elle aussi de plaisir, ce qui m’encouragea à accélérer. Sa poitrine était si grosse, et si resserrée avec sa brassière que cette branlette espagnole était aussi délicieuse qu’une pénétration classique. Nous ne tardâmes pas à soupirer de plaisir, et lorsqu’elle utilisa sa langue pour me lécher le gland quand le haut de ma bite ressortait de sa poitrine, je poussai même des gémissements de plaisir. C’était tout simplement merveilleux. Mon sexe était un peu à l’étroit, écrasé par ses deux magnifiques collines, mais c’en était plus délicieux. Je tirai un peu sur les cheveux d’April pour qu’elle me regarde dans les yeux, pendant que je baisais sa poitrine de folie. Je lui fis un sourire et lui dis :

« Alors ? C’est qui le jouet de qui ? »

Pour illustrer mon propos, je donnai de forts coups de reins dans la poitrine d’April, qui en gémit de plaisir. Je prenais tellement mon pied que je sentais l’orgasme approcher. Je continuai alors ma branlette vigoureuse tout en la tenant par le menton et en continuant à la fixer dans les yeux car le plaisir intense que j’y lisais m’excitait encore plus. Le plaisir était intense, et je ne tardai pas à jouir dans ses seins, inondant sa poitrine. C’était très plaisant, mais ce n’était pas non plus l’orgasme dévastateur qui vous laissait à moitié évanoui. Je bandais toujours, et étais encore d’attaque.

Je me retirai de la poitrine d’April, et la plaquai contre le matelas. J’avais la ferme intention de continuer à mener la danse. Je m’installai sur elle tout en l’embrassant avec passion, et en retirant nos vêtements. Je me débarrassai de mon t-shirt, pendant qu’elle retira son mini-short et son shorty. Je la pénétrai, et commençai à la baiser en missionnaire, tout en lui retirant sa brassière, libérant enfin sa poitrine. Je commençai à aller à un rythme élevé et sauvage, la limant avec passion, mais April en avait visiblement assez d’être soumise. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me renversa, revenant au dessus. Avec un sourire sournois, elle se mit à se déhancher sur moi, me baisant avec passion, bien décidée à reprendre le contrôle. Elle allait de gauche à droite très vite, bougeant son corps de rêve comme si elle faisait une danse du ventre, m’offrant une vision de rêve, en plus de me procurer une bonne dose de plaisir. Progressivement, April accélérait la cadence, ses gros seins se secouaient, au même rythme que mon sexe qu’elle ballottait délicieusement dans toutes les directions. Je ne fus pas long à pousser de grands cris, ce qui tira un sourire satisfait à April. Je voulus alors lui saisir les hanches, pour lui refaire le « coup du rodéo », comme tout à l’heure, et elle me laissa faire. Car elle se mit à aller et venir d’avant en arrière à fond, et j’eus beau essayer de ralentir le rythme avec mes mains, de lui donner des coups de reins par en dessous qui la faisaient gémir, rien n’y fit. Ses coups de reins à elle étaient magistraux à chaque fois, elle me faisait crier comme une fille. Je tâchai de résister au tourbillon de plaisir qui m’emportait, et de reprendre le contrôle, mais rien n’y fit. Je dus lâcher prise, et ravie de sa victoire, April se déchaîna comme jamais, sautant sur mon sexe de haut en bas, avant de recommencer à aller d’avant en arrière, de gauche à droite, de droite à gauche. Elle se démenait sur moi comme une diablesse, gémissant à fond, tout en me griffant le torse ce qui me faisait frissonner. Cependant, elle fut victime de son succès : elle me baisait extrêmement bien, et finit donc par avoir un terrible orgasme qui la fit hurler, et la laissa écroulée sur moi. Impitoyable, j’en profitai pour reprendre le dessus.

Elle était encore sous le coup de son dernier orgasme. Je décidai de me montrer vicieux, et me mis à la baiser en position de l’enclume très vite, et très fort, pratiquant un véritable sprint qui la fit crier à fond. Je lui procurai bien vite un deuxième orgasme, qui venant s’ajouter au premier, la laissa sonnée pour un bon moment. Totalement maître de la situation, je la fis se mettre sur le côté, face à moi. Je la baisai dans cette position, nous étions tous les deux sur le côté, sa volumineuse poitrine se pressait contre mon torse, et April gémissait, et son regard se voilait au rythme de mes assauts, toujours plus rapides. Je l’embrassai avec ferveur, tout en la limant, me délectant de la sentir frémir. Je la retournai ensuite, pour qu’elle me tourne le dos, et que l’on passe à la position plus classique de la cuillère. Je me collais contre son dos, et la prenais avec force, augmentant progressivement le rythme, me délectant de l’entendre gémir. Je massais aussi ses gros seins, me pressais contre son cul bombé, et lui dévorais la nuque et l’épaule. Lorsque l’une de mes mains s’égara vers son intimité, et que je commençai à jouer avec son clito, tout en accélérant le rythme de mes va-et-vient, April se tortilla dans tous les sens en gémissant.

« Non stop arrête ! C’est trop… oooh stoop ! »

« Chut ! Laisse toi faire comme un bon jouet que tu es ! Répliquai-je, moqueur. »

Elle se dégagea aussitôt de mon étreinte, pour venir se mettre sur moi. Surpris d’une telle réaction, alors que je la pensais sonnée, je ne pus réagir.

« Je t’ai déjà dit que c’était toi le jouet ici ! Lança-t-elle. »

Elle se mit alors à me chevaucher avec fureur, allant d’avant en arrière très vite, me baisant comme une dingue. Ses cheveux blonds mi-longs se secouaient au rythme de ses va-et-vient de même que ses merveilleux seins, qui m’hypnotisaient à moitié. Je voulus reprendre le dessus, et me redressai d’un coup : elle me saisit par le cou et me plaqua contre le matelas. Je voulus lui faire le « coup du rodéo », mais cette fois-ci, elle n’était même pas d’humeur joueuse, me saisit les poignets, et me les colla au dessus de ma tête, avant de m’ avec sa poitrine. Je tentai bien de me débattre, mais elle se mit à onduler du bassin, et le plaisir (en plus du reste) me paralysa littéralement. La situation était tout simplement délicieuse : April se démenait sur moi, me faisant un bien fou, moi pendant ce temps, je ne pouvais pas bouger, et cerise sur le gâteau, ma tête était coincée sous sa merveilleuse poitrine, que tant qu’à faire, je léchais à fond. Au bout d’un moment, April se redressa, libérant ma tête, mais me tenant toujours les mains. Elle reprit ses va-et-vient d’avant en arrière, avec un tempo très rapide qu’elle accélérait progressivement. Je ne tardai pas à pousser de grands cris, auxquels se mêlèrent ceux d’April. Elle semblait en proie à un intense plaisir, elle se tortillait dans tous les sens, tout en me baisant, et se passait la main dans les cheveux, visiblement elle était aux protes du 7ème ciel. Je voulus en profiter pour la renverser, mais une fois de plus, elle me refoula, me plaquant fermement contre le matelas. Elle se mit ensuite à ralentir le rythme de ses va-et-vient, et avec un sourire démoniaque me dit « pour te punir d’être indocile », souffla-t-elle. Elle me frustrait complètement, ses coups reins lents étaient juste suffisamment bons pour me donner envie d’en avoir plus. Je me débattis dans tous les sens pour tenter de reprendre le dessus, mais April me tenait en son pouvoir. Ce ne fut que lorsque elle aussi fut trop frustrée de cette baise lente, qu’elle se remit à me chevaucher rapidement. Elle me fit la totale : d’avant en arrière, de gauche à droite de haut en bas, elle alternait au gré de ses envies, me culbutant férocement tout en me regardant bien droit dans les yeux. Je ne cherchais même plus à reprendre le dessus, je me contentai de m’accrocher au drap et de me laisser envoyer au 7ème ciel. Je tâchai de résister le plus longtemps possible, mais devant sa sauvagerie, c’était tout simplement impossible. Au bout d’un moment, elle sentit que je lui résistais, que je cherchais à ne pas jouir, et alors elle entreprit de me donner une série de coups de reins rapides et secs qui me firent crier. Elle eut un sourire narquois, et accéléra encore, me défiant du regard. Je ne pus tenir très longtemps, et explosai dans un terrible orgasme qui me laissa effondré sur le lit. Le pire, fut qu’April n’en n’avait pas fini avec moi, et continua de me baiser encore et encore jusqu’à ce qu’elle jouisse elle aussi. Ce fut tellement bon que j’eus l’impression de m’évanouir.

Essoufflée, April vint s’allonger à côté de moi. Elle avait un air ravi.

« T’es vraiment doué, mais cette fois-ci, c’est moi qui ai dirigé. »

Je souris, et décidai d’être de bonne fois.

« Oui, je reconnais qu’il y a pas beaucoup de filles qui ont su me mâter comme tu l’as fait. »

April eut un sourire ravi, et s’étendit sur le lit, épuisée. Je vins me coller contre elle, et nous nous endormîmes paisiblement.

Le lendemain, tôt le matin, alors que je dormais encore je fus pris de frissons incontrôlables. Je finis par me réveiller, pour découvrir qu’April était entrain de me branler. Elle profitait de mon sommeil et de mon érection matinale pour jouer avec moi. Lorsqu’elle vit que j’étais réveillé, elle me sourit, et s’empala sur moi. Je poussai un grognement de plaisir, mais protestai :

« Arrête ! Je suis crevé là ! »

Mais elle ne tint pas compte de ma protestation, et se mit à aller et venir sur moi d’avant en arrière. Elle démarra doucement, lentement, avant d’aller vite et fort, me ballottant au rythme de ses assauts qui augmentait sans cesse. Trop fatigué, je restais les yeux fermés, et savourais l’instant, c’était en effet super bon, April me faisait fondre de plaisir. Elle se mit ensuite à alterner ses assauts, allant aussi de gauche à droite, et variant le rythme, allant parfois lentement pour me frustrer. Je gémissais, tantôt de plaisir, tantôt d’insatisfaction, elle jouait avec mes nerfs et me rendait fou ! Lorsqu’elle se mit à me griffer le torse, comme pour me provoquer, je décidai qu’il était temps de reprendre le dessus. Je fis semblant d’être trop fatigué pour pouvoir réagir, poussant des gémissements, et ne bronchant pas lorsqu’elle me torturait. Et soudainement, je me redressai, la saisis par les hanches, et la renversai. Je la tirai jusqu’au bord du lit, et la retournai. Tout ce qu’elle put faire, c’est pousser des cris de surprise… et d’excitation. Une fois qu’elle fut à quatre pattes, j’eus envie de la prendre en levrette, mais me ravisai : si je voulais la soumettre, il fallait que je lui procure un traitement spécial. Je mis donc mon sexe à l’entrée de son cul, et lentement, je la sodomisai. Elle poussa un grand cri de plaisir, qui s’accentua encore lorsque je démarrai des va-et-vient puissants dans son cul. C’était absolument délicieux, j’étais à l’étroit, mais mon sexe coulissait quand même aisément en elle (ça ne devait pas être sa première sodomie). Je pus donc la limer avec vigueur, tout en lui tirant les cheveux pour qu’elle me regarde. Je lui lançai d’un ton provocateur « ici ma belle c’est moi qui dirige, il va falloir t’y habi, je vais te mâter moi ! ». Elle ne put répondre, car au même moment, j’accélérai brutalement le rythme, la pilonnant comme un sauvage, jusqu’à avoir un merveilleux orgasme, qui me fit jouir dans son cul.

Ravis de cette partie, nous nous recouchâmes pour nous rendormir que quelques heures plus tard. J’étais alors en pleine forme, et plus confiant que jamais : April me donnait du fil à retordre, mais je pensais pouvoir la dominer. Il y avait déjà Katherine qui me dominait tout le temps, Marie-Laure qui m’avait complètement mâté la dernière fois, Sarah qui rêvait d’y parvenir, et Francesca qui était un peu imprévisible. Si en plus je me faisais dompter par April, je ne m’en sortirais plus, et deviendrais un gros soumis !

Pendant le petit déjeuner April semblait tout simplement ravie, comblée. Elle n’avait pas l’air vexée d’avoir été dominée tout à l’heure, juste heureuse d’avoir eu une bonne baise. Elle me demanda ce que je voulais faire aujourd’hui. En attendant que l’envie de baiser revienne (ne pas oublier qu’on avait baisé deux longues fois hier, et une fois ce matin), je proposai qu’on regarde un film. Une fois celui-ci terminé, nous déjeunâmes. Après le repas, je vis que le temps dehors était magnifique : il faisait beau et chaud, si bien que l’on pouvait se baigner dans ma piscine. Lorsque je proposai ça à April, je vis un petit sourire coquin se former sur ses lèvres : elle se doutait qu’une baignade dans la piscine finirait par une partie de jambes en l’air sauvage…

Je me mis en maillot de bain, et attendis April. Lorsqu’elle vint, et que je la vis dans son bikini bleu cil qui dévoilait largement son corps de déesse, je n’eus qu’une envie : la prendre sur le champ. Je me retins néanmoins, désirant prolonger les choses pour les rendre meilleures encore.

Nous nous baignâmes sagement pendant une bonne demi-heure. Le désir s’installait entre nous, je ne pouvais m’empêcher de mâter son corps de rêve, sa poitrine, ses fesses, que le bikini couvrait à peine. Et elle était tellement sexy, mouillée de la tête aux pied ! Elle, je voyais bien qu’elle me dévorait des yeux, et j’avais hâte d’arriver à la suite… A un moment, alors que nous jouions à nous poursuivre dans l’eau, comme des gamins, April me coinça contre la paroi, et se colla à moi. En voyant ses yeux briller, je compris alors que nous allions jouer à un jeu nettement plus adulte…

Elle enroula ses bras autour de mon cou, et m’embrassa sensuellement. Je lui rendis son baiser sur le même ton, et nous accélérâmes le rythme, jusqu’à en perdre le souffle. Alors, April me retira mon maillot de bains, et enleva sa culotte de bains, gardant le haut de son bikini. Pendant ce temps, moi, je lui dévorais le cou et le buste, la faisant haleter de plaisir. Lorsqu’elle s’empala sur moi, et me saisit par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, je compris qu’elle n’avait clairement pas renoncer à me dominer. Elle se mit à onduler du bassin, tout en plaquant fermement contre la paroi de la piscine. Elle bougeait en s’aidant de l’eau, nageant à moitié, me baisant comme le ferait une sirène, me faisant frémir de la tête aux pieds. Tout son corps était en mouvement, son ventre et ses hanches bougeaient de façon circulaire, et mon sexe suivait ce rythme infernal. Elle me tenait par le cou, et m’obligeait à la regarder droit dans les yeux, avec un sourire diabolique aux lèvres, qui me faisait clairement comprendre qu’elle aimait ça, avoir le contrôle. De plus, elle était encore plus sexy que d’habitude, avec ses cheveux mouillés qui dégageaient son visage, et son corps trempé qui brillait au soleil. Elle accélérait progressivement le rythme, gémissant de concert avec moi. Régulièrement, elle venait me coller sa poitrine (toujours recouverte par son bikini) en plein dans le visage, me rendant complètement fou. Elle changea ensuite de technique, et se mit à aller d’avant en arrière me culbutant contre la paroi de la piscine, tout en me tenant par les cheveux, et en me griffant le torse avec son autre main. Ses coups de reins déclenchaient à chaque fois de grosses vagues de plaisir en moi, et je me mis à crier à fond. J’étais entrain de me faire complètement dominer, je devais réagir.

Je m’appuyai contre le mur, et je repoussai April. Elle poussa un cri de surprise, mais sembla aussi excitée. Je la repoussai à travers toute la piscine, jusqu’à la plaquer contre la paroi d’en face. Je me mis alors à la baiser avec force, d’avant en arrière. Je me tenais à la paroi de la piscine et à la force de mes bras, en m’aidant de l’eau, j’allais et venais en elle très sauvagement. April gémissait de plaisir, mais n’avait pas encore capitulé : elle enroula ses bras autour de mon cou, et ses jambes autour de ma taille, bien décidée à me gêner. Si je la laissais faire, elle allait reprendre le dessus. Je me collai à elle, et la plaquai contre la paroi de la piscine, et ce contact me rendit fou. Je me mis à lui donner des coups de reins circulaires sans grande amplitude, mais qui allaient profondément en elle et la faisaient crier de plaisir. Elle cherchait toujours à reprendre le dessus, et me tira les cheveux, et me mordit l’épaule. En réponse, je la saisis par le menton, et l’obligeai à me regarder lorsque je me mis à accélérer encore plus le rythme, me libérant de son étreinte, et lui donnant cette fois de gros coups de reins à un rythme effréné. April gémissait, gémissait encore, lorsque j’accélérai une toute dernière fois le rythme, elle eut un terrible orgasme qui la fit se cambrer pendant de longues secondes, avant qu’elle s’écroule sur mon épaule, épuisée.

« J’ai pas joui moi ! Dis je sur un ton faussement indigné. »

Elle eut un sourire :

« Mets toi sur le rebord de la piscine, je vais te faire jouir. »

Je sortis de l’eau, et m’assis sur le rebord. Je me dis qu’April allait sans doute me sucer pour me faire jouir, mais ce n’était pas exactement ça. Elle sortit elle aussi de l’eau, et me plaqua au sol. Elle s’empala sur ma queue, et se mit à me chevaucher avec force. J’avais déjà pris comme ça, ici même, par Léa. Mais ça avait été avec mon consentement, là, April me prenait de force, me violant littéralement… à ceci près que j’adorais ce qu’elle me faisait. Elle allait et venait d’avant en arrière, son corps de rêve s’agitant merveilleusement. Elle accélérait le rythme progressivement, mais n’allait pas trop vite non plus, elle voulait prendre possession de mon corps lentement. Même sans aller vite, elle me baisait avec suffisamment d’adresse pour que j’en perde la tête, elle était décidément très douée ! Ses coups de reins étaient secs et puissants, et me faisait vibrer complètement. Elle suçait son doigt tout en me baisant, m’excitant au plus haut point.

« Tu prends ton pied ? Me demanda-t-elle en souriant. »

« Oh oui, j’adore ! »

« Alors on passe à la vitesse supérieure ! »

Elle accéléra le rythme furieusement ses hanches s’activant très vite. Le plaisir s’intensifia, et de petites étoiles se mirent à danser devant mes yeux. April se mit à gémir, et augmenta encore la cadence, me secouant le sexe comme jamais. Puis elle me griffa, et se mit à me donner des coups de rein de gauche à droite, tout en me tenant par le cou. A voir son sourire sournois, je compris que dans son esprit, elle était entrain de dominer définitivement. Je devais réagir. Je la saisis par les hanches, mais ne la renversai pas pour venir sur elle : je la jetai tout simplement dans la piscine.

Elle coula dans l’eau et ressortit en toussant, surprise de ce qui venait de se passer. Je plongeai dans l’eau pour la rejoindre, et la saisis par les hanches. Elle se débattit, mais c’était peine perdue. Je la retournai, et la plaquai contre la paroi de la piscine. Je vins dans son dos, et approchai mon sexe de son cul.

« Je crois que t’as besoin d’une nouvelle correction. »

Et sur ce, je la sodomisai à nouveau. J’étais bouillonnant, et pressé de jouir après notre baise intense dans la piscine. Aussi, je mis immédiatement à la baiser avec force, allant aussi vite que possible en elle. Elle se mit à crier de toute ses forces, ce qui m’encourageait à accélérer encore et encore. Je glissai les mains dans son bikini, et lui massai les seins avec vigueur, appréciant leur rondeur et leur fermeté, tandis qu’April se tortillait dans tous les sens, sous l’effet de ma baise. Je lui embrassai la nuque, et joueur, je la mordis un peu, l’excitant au plus haut point. « J’adore ce que tu me fais, c’est tellement bon ! ». J’étais ravi d’entendre ça, alors accentuant la pression de mes mains sur ses seins les écrasant presque, tout en accélérant légèrement le rythme de la sodomie. « Maintenant ma belle, tu vas admettre que c’est moi le chef », lui lançai-je provocateur. Elle gémit à cause de ce que je lui faisais, mais je sentais qu’elle ne capitulait pas. Alors, avec une de mes mains, je me mis à lui titiller le clito, la faisant hurler fortement, et lorsque j’accélérai le rythme, elle cria « oh bordel ! c’est toi le chef, oui c’est toi ! ». Ravi de ma victoire, j’accélérai encore le rythme, pour le sprint final. Je la limais plus fort que jamais, mon sexe comprimé dans son cul vibrait sous l’effet de la jouissance à venir. Nous explosâmes dans un merveilleux orgasme, qui nous laissa écroulés dans l’eau, ivres de plaisir.

Nous mîmes longtemps à nous remettre de cet orgasme. En fin d’après midi, alors que le soleil se couchait, April et moi nous promenions dans le jardin. Elle voulait visiter. Soudain, elle me dit :

« J’ai quelque chose à te demander. »

« Vas-y. »

« Je te préviens, tu vas trouver ça fleur bleue. »

J’étais un peu intrigué.

« Vas-y, répétai-je. »

« Voilà : je vois ton jardin, il est vachement beau, au coucher du soleil tout ça… ça me donne envie que tu me reprennes le cul… là maintenant tout de suite. »
Je rigolai.

« C’est sûr que c’est très fleur bleue ça ! »

Elle sourit, et se jeta sur moi, m’embrassant comme si ça faisait trois semaines qu’elle n’avait pas baisé. Elle était encore en bikini, autant dire que je ne fus pas long à bander… Je lui rendis son baiser avec passion, lui dévorant la bouche, tout en l’enlaçant. Puis, je la fis se mettre à quatre pattes dans l’herbe. Très excité je lui arrachai son bas de bikini, et la sodomisai une fois de plus. Elle poussa un gémissement de plaisir, qui se transforma en cris, lorsque je me mis à aller et venir en elle, très rapidement. April bougeait elle aussi, donnant des coups de fesses qui amplifiait nos sensations. Nous parvînmes à tenir ainsi un tempo rapide, jusqu’à ce que soudain, April, le corps tremblant se cambra. Frissonnant de plaisir, j’accélérai le rythme, et lui fis avoir un bel orgasme qui lui arracha un grand cri. Cependant, nous continuâmes. Je la fis se mettre à genoux, et tout en la sodomisant, avec force je lui massai vigoureusement sa belle poitrine qui me plaisait tant. April gémit, et j’accélérai mes mouvements de mains, ainsi que mes coups de reins. La belle n’en pouvait plus, il était temps d’en finir. Je la remis à quatre pattes, et entamai la dernière ligne droite. Je lui donnai de puissants coups de reins, tout en lui claquant les fesses pour la stimuler. Mon sexe coulissait sans effort dans ce cul qui décidément n’en n’était pas à sa première sodomie. Bon sang, qu’est ce que c’était bon ! Nos gémissements s’amplifiait, nos corps se cambraient, et finalement, ce fut l’explosion finale et libératrice. L’orgasme fut intense et magnifique, et nous laissa effondrés dans l’herbe, comblés à vie semblai-il.

Une fois remis, April et moi retournâmes à la maison. Elle s’habilla, prit ses affaires, et partit, non sans m’embrasser langoureusement avant, me promettant qu’elle reviendrait bientôt…


Voilà cette histoire est maintenant terminée, n’hésitez pas à me laisser en commentaires vos compliments, vos critiques ou remarques !

Je remercie Cleeydl qui m’a sympathiquement « prêté » son personnage, et vous encourage vivement à aller le découvrir.

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