Ava 1

Salut à toutes et à tous, je reviens aujourd’hui après une longue absence, j’espère que vous ne m’en voulez pas ^^



Je jetai un coup d’oeil nerveux à mon portable : il était déjà 21h, qu’est ce qu’ils faisaient tous ? Mes parents étaient partis en vacances pour deux semaines, et j’avais décidé d’organiser une énorme soirée chez moi. Problème : tout le monde était en retard. J’avais pourtant un grand jardin, une grande maison, et même une piscine, tout était donc réuni pour une fête mémorable. Et effectivement, lorsque tous mes invités, furent ENFIN arrivés (avec près d’une demi heure de retard pour certains), les uns après les autres, que la musique retentit, et que l’alcool se mit à couler à flot (j’en profite pour rappeler que l’alcool c’est mal), la soirée devint véritablement épique. Je passe sur les détails, car ce n’est pas vraiment ce qui vous intéresse.

Ce qu’il faut quand même préciser, c’est que je passais la soirée à faire la police : empêcher telle ou telle personne, déjà ivre morte de continuer à boire, empêcher un tel de casser ceci, tel autre de monter sur cela, bref je m’amusais pas toujours. Mais le plus pénible pour moi, fut de virer les « squatters », les gens qui étaient là sans que je les ai invités, et qui s’étaient invités sans aucune gêne. Au bout d’un moment, j’y renonçai car ils étaient trop nombreux : je me contentai donc de virer ceux et celles qui étaient trop pénibles, et dont les invités se plaignaient régulièrement.

La soirée durait depuis une heure, lorsqu’une fille vint me voir, et me dit qu’une autre squatteuse était là, qu’elle était venue avec Noémie, et qu’elle la supportait plus. Quand je lui demandai pourquoi cependant, elle ne me répondit rien de concret. Je décidai donc de ne rien faire. Cependant, une autre vint me voir peu après, pour la même raison et pour la même personne, puis une autre, puis une autre, puis encore une autre. Au bout d’un moment, je décidai de réagir.

La dernière fille qui était venue se plaindre, m’avait trouvé dans la piscine, c’est donc en maillot de bains, que je me mis à la recherche de cette squatteuse.

Je trouvai Noémie au salon, parmi la foule.

« Noémie, c’est qui la pote avec qui t’es venue ? »

« Ava ? C’est une amie que je connais depuis un moment, pourquoi ? »

« Tout le monde s’en plaint… je vais devoir lui demander de partir. »

« Ooooh ! Mais elle est trop sympa ! »

« Désolé Noémie, tu m’en aurais parlé avant encore je l’aurais invitée… mais sérieux je suis obligé là. Elle est où ? »

« En haut. Dans ta salle de bains. »

« Quoi ? Mais j’avais dit personne au-dessus ! »

Un peu énervé, je montai au-dessus et entrai en trombe dans la salle de bains. Je restai quelques secondes bouche bée, par la spectacle qui m’y attendait.

Une véritable bombe atomique était entrain d’ajuster un haut de bikini, qui avait bien du mal à couvrir une imposante poitrine. La fille qui se tenait là, était de taille moyenne, un peu près 1,70 mètre, une peau typique des filles d’Amérique du Sud, de longs cheveux noirs, une taille fine, et des formes incroyables : des fesses rondes, fermes, parfaitement marquées, et une énorme poitrine, du 95E au moins.

« Qu’est-ce que tu fous ? me lança-t-elle d’un ton chargé de reproche. Tu pourrais toquer au moins, t’as failli me voir nue. »

Sa réflexion eut le don de me réveiller aussitôt.

« De un, je te signale que c’est chez moi ici, de deux je te signale que j’ai interdit l’accès à l’étage. T’as une salle de bains en bas si tu veux te changer. »

Elle se remit à ajuster son bikini, se regardant dans le miroir.

« Ouais mais je voulais une salle de bains pour moi toute seule. J’allais pas me mélanger aux autres non plus, faut pas déconner. Traitement d’exception pour une nana d’exception, c’est logique. »

Mais elle se prenait pour qui celle là ? J’avais l’impression d’halluciner.
D’un ton franchement désagréable, je lui lançai :

« Ouais bah en attendant, faut que tu t’en ailles, y a pas mal de monde qui se plaint de toi, et je t’ai pas invitée donc... »

« Je m’en fous. »

« Quoi ? »

« Bah ouais. Surtout que je suis sûre que ceux qui sont venus se plaindre de moi sont des nanas. »

« Je vois pas le rapport. »

« T’as vu mon physique de bomba latina ? Tes potes doivent être des jalouses qui ont peur que j’attire tous les mecs... Ce que je compte faire d’ailleurs. »

Mais qu’est ce qu’elle pouvait m’énerver ! Le pire c’est qu’elle avait raison : elle était ultra-sexy, et c’était sans doute pour ça que toutes ces filles étaient venues s’en plaindre…

« Ouais bah pas grave. Rentre chez toi, s’il te plaît. »

« Non. »

« Faut que je te mette dehors ? dis-je d’un ton menaçant. »

« Et si on demandait l’avis aux autres ? Tu dis que personne peut me supporter, allons demander ça... »

Elle sortit aussitôt de la salle de bains, dans son bikini, et après avoir descendu les escaliers, elle traversa mon salon et se planta devant la piscine.

« Eh les gens ! cria-t-elle. Vous voulez que je reste, ou que je parte ? »

Elle prit une pose lascive en posant la question. Beaucoup de filles lui crièrent :

« Que tu partes ! »

Mais un concert de voix masculines retentit :

« RESTE ! »

Elle cria alors en me montrant du doigt :

« Lui il veut que je parte, vous lui dites quoi ? »

Aussitôt, tous les mecs me huèrent et me sifflèrent avec force. Ava se tourna vers moi, et me servit un sourire moqueur.

« Tu vois ? Je reste. Alors maintenant lâche moi, merci. Oh et tu seras gentil de remonter fermer à clé ta salle de bains, j’ai laissé mes affaires là bas. T’auras que me rendre la clé quand j’aurai fini de me baigner. »

Sa réflexion fit rire les gens suffisamment proches pour l’entendre.
Je plissai les yeux, et tâchai de me contenir. Si ça n’avait pas été une fille, l’envie de lui coller mon poing dans la figure aurait été présente… Le pire fut que pendant qu’elle se baignait, je fus effectivement obligé d’aller fermer la salle de bains contenant ses affaires : je ne voulais pour rien au monde qu’un vol soit commis dans ma maison, et que tout me retombe dessus.

Après la piscine, Ava sortit de l’eau, récupéra la clé de la salle de bains après m’avoir gratifié d’un sourire moqueur, et monta se changer. Elle redescendit dans une tenue tellement sexy, que la nudité aurait été moins indécente, à mon avis. Elle portait un top doré à paillettes, qui lui dénudait totalement les bras les épaules et le dos, et au col en V si prononcé que ses merveilleux seins étaient largement visibles. En bas, elle portait un mini-short, qui moulait son fessier de rêve. Quand elle descendit, tous les mecs se retournèrent vers elle, et se mirent à baver, et beaucoup de filles l’observèrent, certaines avec une hostilité jalouse évidente, mais pas toutes…

Elle passa le reste de la soirée à danser avec les autres, à boire avec les autres, à flirter avec tous les mecs de la soirée, bref à se comporter comme une invitée, et pas comme quelqu’un qui se serait incrusté. Elle allait même parfois jusqu’à danser sur la table, organiser des concours de boissons auxquels elle même ne participait pas, mais qui finissait pour beaucoup de monde par des vomissements dans les toilettes, ou encore déclenchait sans vraiment le vouloir des bagarres entre mecs se disputant sans qu’elle fasse quoique ce soit… Mais bien sûr, impossible de l’en empêcher, les mecs la protégeaient trop.

Lorsque je séparai une énième bagarre déclenché à cause d’elle, et que je pris un coup de poing perdu dans la figure, j’en eus vraiment assez. Je décidai de mettre fin à la soirée, et de renvoyer la plupart du monde. Il ne resta finalement qu’une poignée de monde, moins de vingt personnes, des gens que je connaissais bien.


Quand je retournai dans ma maison, après avoir raccompagné d’autres personnes sur le départ je pensai donc être enfin tranquille. J’étais un peu dégoûté d’avoir dû écourter ma soirée, mais elle devenait un peu trop n’importe quoi. Quand je rentrai dans mon salon, j’eus la très désagréable surprise de retrouver Ava, tranquillement installée dans le salon à côté de Noémie, en plaisantant avec les autres. J’eus une furieuse envie de la mettre dehors, mais me contins, et décidai de l’ignorer. Comme il y avait deux canapés dans mon salon, je me mis sur celui qui était en face d’Ava, comme ça je n’aurais pas à la supporter.

On décida tous de jouer à « je n’ai jamais », jeu incontournable des soirées étudiantes. Il fallait proposer quelque chose qu’on avait jamais fait, et si on l’avait déjà fait, on buvait un coup, sinon, on ne buvait pas. Par exemple quand Noémie déclara : « Je n’ai jamais sucé un homme », elle but une gorgée, étant donné qu’elle en avait déjà sucé, et moi je ne bus pas. Comme il y avait, sur la table basse entre les deux canapés quantité d’alcools posés, on avait largement de quoi faire.

Rapidement, le jeu devient plutôt un « je n’ai jamais, version sexe », car les propositions étaient toutes d’ordre sexuel. A un moment, une fille dans le groupe proposa : « je n’ai jamais dominé un mec au lit ». Personne ne but… sauf Ava.

« Oh la coquine ! cria un garçon. »

Tout le monde éclata de rire. Ava sourit et lança :

« Vous savez les mecs, ça a rien d’exceptionnel de vous soumettre, c’est même assez facile... »

Tout le monde éclata de rire devant sa prétention. Je ne sus pourquoi, mais ça m’irrita encore plus que tout ce qu’elle avait fait avant… peut être parce que cette petite phrase lancée comme ça était tellement excitante dans la bouche pulpeuse d’une telle bombe… Je répliquai d’un ton sec :

« Les mecs soumis peut être… mais un vrai mec se laisse pas faire, et malmène les filles avec qui il baise, c’est comme ça. Si on couchait ensemble, tu pourrais pas me soumettre. »

Tout le monde éclata à nouveau de rire, mais cette fois-ci, on sentait un brin de malaise dans les rires. C’était pas trop mon genre de sortir ce genre de phrase, surtout en public, mais là je voulais lui rabattre son caquet. Ca ne fonctionna pas du tout. Ava eut un sourire et répliqua :

« Ah ouais ? Moi je crois au contraire que je peux te mâter, et très facilement en plus... »

A nouveau des rires nerveux… et excités.

« Tu rêves ! répondis-je. »

« Mais je suis prête à te le prouver… ici et maintenant si tu veux. »

« Vous devriez aller dans une chambre régler vos comptes, plaisanta un garçon à côté d’elle. »

« Non. Si on va dans une chambre personne ne saura qui a gagné à part nous deux… Je veux pas qu’il puisse raconter de mensonges. Je vous prends tous comme témoins. »

Elle avait sorti ça en me regardant droit dans les yeux, en signe de défi. Je bouillais intérieurement. De colère ou de désir ? Je n’aurais su le dire.

« T’es malade ? répliquai-je. On va pas baiser devant tout le monde... »

Elle se leva, faisant admirer à tout le monde son corps de rêve, bien mis en valeur par sa tenue provocante.

« Pourquoi ? T’as trop peur que je te soumette devant tes potes ? Ca serait une belle humiliation c’est vrai… dégonflé. »

C’en fut trop. Je me levai brusquement, et contournant la table basse, je me jetai sur elle. Elle ne m’attendit pas, et me fonça dessus aussi. Nos deux corps entrèrent en collision, nous nous embrassâmes furieusement et sauvagement, tandis que mes mains passèrent sur son corps de déesse notamment sur son dos dénudé par son top. Je n’en revenais à quel point elle était sexy, elle ressemblait vraiment à un top model. J’en oubliais presque à quel point elle était vicieuse, et ça me coûta cher : elle saisit mon sexe à travers mon pantalon, et le serra très fort, me provoquant une vive douleur.

Me tenant comme ça, elle me jeta sur le canapé, et vint sur moi. Les gens qui étaient dessus, s’écartèrent brusquement. Elle m’embrassa à nouveau, mais cette fois me prit par les coudes et me les plaqua contre le dossier du canapé, pour donner le ton du baiser. Puis, elle se mit à genoux devant le canapé, et baissa mon pantalon et mon caleçon. Notre public, plutôt muet jusque là, se manifesta quand ma verge sortit du caleçon par des sifflements, moqueurs chez les garçons, admiratifs chez les filles. Ava se mit à me sucer avec une terrible ardeur, prenant complètement mon sexe en bouche et le pompant avec force, l’inondant de salive, et le faisant frémir de partout avec sa langue. Je voulus la saisir à la tête, pour diriger la fellation, mais elle me mordit pour me faire savoir que je ne devais pas la toucher. Puis, elle donna un grand coup de langue sur mon gland, qui me fit pousser un grand cri de plaisir, et elle put continuer sa fellation. Elle se releva ensuite, prête pour la suite du programme.

Elle retira son mini-short, sous lequel elle ne portait pas de sous-vêtement, provocant une tempête de cris de joie dans l’assistance, puis elle s’empala sur mon sexe et démarra un puissant rodéo, se déhanchant de gauche à droite, de plus en plus vite, ses seins se secouant sous son top vaporeux. C’était vraiment ouf, chacun de ses coups de reins me faisaient décoller au septième ciel. Je tentai de la renverser, mais elle me colla une gifle, et accéléra l’allure. Elle me souriait d’un air provocateur, son visage parfait brillant de triomphe. Le pire, ce fut les commentaires des autres :

« Allez Ava ! cria Noémie. Mets lui la misère à ce macho ! »

Les filles eurent une série de gloussements à ces mots. Les mecs eux m’encourageaient, mais ce n’était guère consolant :

« Alors mec ? Te laisse pas défoncer comme ça, montre qui est l’homme ! »

« C’est juste un soumis, lança Ava entre deux gémissements, j’en fais ce que j’en veux... »

Je réagis au quart de tour. Je la saisis par les hanches, et la soulevai, avant de la plaquer sur la table basse, faisant tomber quantité de bouteilles par terre, dont plusieurs se brisèrent.

Je n’en n’avais rien à faire : j’avais le dessus sur Ava, c’était tout ce qui comptait. Je me mis aussitôt à la labourer, lui infligeant de puissants coups de reins en missionnaire, secouant son corps de rêve au rythme de mes assauts. Je retirai mon t-shirt, n’en n’ayant plus rien à faire d’être nu devant tout ce monde, et d’ailleurs les filles poussèrent des exclamations d’approbation. Les mecs me crièrent de mettre Ava à nue aussi, mais je trouvais son haut si sexy que j’aimais la prendre à moitié habillée. La belle latina se débattait un peu, mais plus mes assauts s’intensifiaient, moins elle se révoltait. Tout en la baisant, je pris une bouteille d’alcool, et renversais un peu de son contenu sur le buste largement dénudé d’Ava. Je léchai ensuite l’alcool, dégustant la saveur épicée de sa peau. Puis je me redressai, et lui donnai encore de gros coups de reins, tout en lui tenant les mains, l’immobilisant, la tenant à ma merci. Ava se mit à crier sous l’effet de mon engin qui la limait avec force. Tout sourire avait disparu de son visage, il ne restait plus qu’une grimace de plaisir, qui tordait sa merveilleuse face de façon torride. Je la baisais avec de plus en plus de force, me remémorant tout ce qu’elle avait pour m’ennuyer cette soirée, et ravi de punir sa prétention.

J’en fus d’autant plus vexé, lorsqu’elle me saisit par les cheveux, et me retourna, me plaquant contre la table et prenant le dessus. Elle se mit aussitôt à aller d’avant en arrière comme une folle, donnant tout ce qu’elle avait, bien décidé à me mettre KO. Elle me procurait un plaisir démentiel, je ne pouvais plus bouger un doigt, je pouvais à peine gémir. Et elle était tellement sexy ! Son corps de rêve s’agitait à fond, mis en valeur par son top de chaudasse, son sourire coquin était humiliant, mais en même temps tellement excitant à voir ! Elle me griffait le torse, me donnait des gifles, et les gens se moquaient de moi, surtout les filles mais les mecs aussi. Ava prit une bouteille et but au goulot, puis elle se pencha sur moi, et ouvrant la bouche, me fit boire l’alcool qui en sortait. C’était odieusement sexy… Mais elle baissait sa garde.

Je la saisis par le dos, et la collai contre moi. Puis, je la soulevai, et quittant la table basse, je la plaquai contre le mur. Je la pris avec force, la limant comme un dingue, bien décidé à me venger de ce qu’elle me faisait subir. J’écrasais ses seins les prenant à pleines mains, à travers son haut. Ava gémissait de plus en plus fort, et à chacun de mes coups de reins, je la faisais décoller contre le mur. J’approchai mon visage du sien, et lui lançai : « tu es ma pute, je vais te mettre à mes pieds ! » ce qui fit crier de désapprobation les filles, et applaudir les mecs. En réponse, elle me mordit au menton, et me tint fort.

Je réagis en la mettant à quatre pattes par terre, avant de venir derrière elle et de la prendre très violemment en levrette. J’y allais à grande allure, la culbutant fortement, lui claquant ses fesses si rondes et si fermes, la faisant crier. Je la tirai par les cheveux, histoire de bien lui faire sentir que j’étais le patron. A chacun de mes coups de butoir, elle poussait un grand cri. Les garçons se mirent à crier :

« Man power ! »

C’était un peu idiot de leur part, mais alors que j’étais entrain de prendre sauvagement ce véritable canon, de la faire gémir et de me défouler sur elle à grands coups de reins, je me sentais très dominant, surtout en repensant à son attitude.

« Mets là à poil ! cria quelqu’un. »

Je m’exécutai aussitôt. Je la fis se mettre à genoux, et lui retirai son top, la révélant dans toute sa splendeur. Aussitôt, je saisis ses seins à deux mains, et les pressai fortement, tout en lui donnant de profonds coups de reins, qui cognèrent le fond de son intimité. Ava se trémoussait l’air de prendre un pied formidable. Je la fis se remettre à quatre pattes, en la prenant par la nuque d’une main, et accélérai rythme, lui massant les fesses de l’autre. Les filles sifflèrent d’admiration.

Au bout d’un moment, j’eus envie de changer de position. Je l’amenai contre le canapé, la fis s’asseoir par terre, les fesses au sol, le dos étalé sur le canapé. Agenouillé au sol, je vins au-dessus d’elle et insérai mon sexe entre ses seins, avant de m’offrir une superbe branlette espagnole. J’allais et venais entre ces merveilleuses collines, les tenant serrées contre moi, tout en dévisageant Ava d’un air moqueur. Je frissonnai de plaisir tant cette branlette était bonne, et jouant le jeu, Ava y participa en me léchant le gland lorsqu’il ressortait de sa poitrine. Elle finit cependant par se rebeller : elle me saisit le sexe, et le serra, me faisant grogner de douleur, avant de me renverser.

J’étais à mon tour à moité allongé sur le sol, à moitié sur le canapé, et Ava vint au-dessus de moi. Elle s’empala sur mon sexe, et se mit à nouveau à me chevaucher comme une furie, allant d’avant en arrière, secouant sa poitrine de rêve sous mes yeux, cognant ses hanches contre les miennes avec force. Elle me tenait par le cou, me plaquait contre le canapé, et me dévisageait avec un air féroce et un sourire moqueur revenu à ses lèvres. Elle voulait vraiment gagner, c’était évident. Elle se mit à gémir de plaisir en accélérant, m’arrachant des cris moi aussi.

J’étais décidé à continuer à me débattre cependant. Je saisis Ava, et la soulevant, l’étalai sur le canapé. Mais elle me renversa aussitôt et se remit sur moi, et reprit sa chevauchée fantastique, malmenant mon sexe avec férocité, faisant grincer le canapé, tout en me tenant en son pouvoir, les mains appuyées sur mon torse. Et encore et toujours elle me dévisageait avec son air moqueur tandis que ses mouvements de hanches m’envoyaient au septième ciel. Je ne le supportais vraiment pas, j’avais trop envie de lui faire rentrer son air arrogant. Surtout qu’elle se mit à crier en me giflant :

« C’est qui la patronne ? Et c’est qui le soumis ? »

Les filles applaudirent, tandis que les garçons se moquèrent de moi. Dans un sursaut d’orgueil, je réagis, et renversai Ava, reprenant le contrôle. Je lui saisis les mains, et les plaquai contre le canapé, avant de démarrer de puissants aller-retour en missionnaire, me pressant contre elle, partant dans un délicieux corps à corps, incendiant ce mannequin, et la faisant crier à en perdre la voix. Elle se débattait et se démenait, mais je la tenais bien fermement, et la maintenais en mon pouvoir. Ma vengeance avait vraiment un goût délicieux !

Mais je voulais aller plus loin : je la retournai, et la mis une fois de plus à 4 pattes. Mais cette fois ci, je la pris en anal, et allai à fond en elle, la limant avec une ardeur décuplée par la sensation que j’avais presque gagné. Aller rapidement dans son cul étroit n’était pas aisé, mais je finis par y arriver, arrachant à Ava des cris de douleur et de plaisir mêlés. Rapidement cependant, le plaisir laissa place à la douleur cependant, à en juger par les cris de chienne qu’elle poussa et qui remplacèrent bien vite les cris de douleur. Lui prendre le cul de cette façon, aussi rapidement et violemment, ça devenait de plus en plus bon. Ava se trémoussait et s’agitait, et rendait ça encore meilleur, au point que ma vue se brouillait. Je la pris par les cheveux, et tirai dessus pour qu’elle sente mon pouvoir sur elle.

Puis, je la fis s’allonger sur le canapé, la tête sur l’accoudoir, et venant derrière elle, je l’obligeai à me sucer, et allais et venais en elle, lui baisant la bouche à fond, allant jusque dans sa gorge, frissonnant de plaisir. Je surplombais son corps de déesse, et me réjouissais de la voir ainsi, mâtée, ma bite enfoncée en elle. Quelle belle revanche je prenais ! Et quel pied !

Elle parvint néanmoins à se rebeller une fois de plus. Elle se dégagea et saisit à nouveau ma bite et la serra fort, cherchant à reprendre le contrôle. Je me jetai alors sur elle, l’obligeant à me lâcher, et lui fis la totale : je commençai par la prendre en missionnaire, très fortement en lui tenant les mains clouées contre le canapé, lui arrachant des couinements de plaisir, et dévorant son cou, puis je la retournai et la pris en levrette, lui assénant de très puissants coups de reins, tout en la tenant à genoux et en malaxant ses seins avec délectation. Elle gémissait, immobilisée et impuissante dans mon étreinte vigoureuse. Je la fis se mettre à quatre pattes, et claqua son fessier à plusieurs reprises, lui faisant comprendre qu’elle était à moi. Puis, je la sodomisai une nouvelle fois, et sans ménagement, lui limai le cul avec ardeur, bien décidé à lui donner cette fois-ci le coup de grâce. Ses gémissements devinrent des cris, son corps se raidit et elle se mit à vibrer. Lorsque je me mis, en plus de lui baiser le cul, à lui titiller son clito, elle partit dans un orgasme monstrueux, qui la fit se secouer comme une démente pendant de longues secondes, tandis que la limais encore et encore, prolongeant son orgasme terriblement.

Elle s’écroula épuisée, et haletante, mais je n’en n’avais pas encore fini avec elle. Pas tout à fait. Je la retournai, et me branlant fortement, je jouis sur son visage, son buste et seins, l’aspergeant de ma victoire. Puis, épuisé et essoufflé, je m’effondrai sur le canapé.

Il me fallut quelques secondes, pour me rendre pleinement compte de ce que je venais de faire : me lancer dans une baise ultra-sauvage devant une vingtaine de personnes. Le rouge me monta aux joues, tandis que les gloussements et même applaudissements s’élevèrent. Tout le monde y alla de son commentaire.

« Eh bien ! Ca c’était du spectacle ! »

« Heureusement que tu l’as pas virée hein... »

« Ca va Ava ? Rien de cassé vu ce qu’il t’a fait ? »

« Il l’a grave démontée, il a montré ce que c’était un mâle alpha. »

« Ouais ! Man power ! »

« Ouais enfin elle l’a bien niqué aussi par moment. »

« C’est vrai, tu t’es bien défendue Ava. »

Tout comme moi, la belle latina paraissait ne se rendre compte que progressivement de ce qui venait de se passer. On se rhabilla lentement, puis, complètement vanné, je m’écroulai sur le canapé. Il se passa encore quelques heures, avant que mes amis ne partent tous, soit pour rentrer chez eux, soit pour dormir ici. A la fin, j’étais seul dans le salon, savourant cette incroyable baise, et aussi ma victoire dont je n’étais pas peu fier. Il était presque l’aube, et j’envisageais d’aller me coucher, lorsque, sans dire un mot, Ava entra dans le salon, toujours dans sa tenue affreusement sexy, et vint s’asseoir sur le canapé, et à ma grande surprise, venir se pelotonner contre moi.

« Ca va ? me demanda-t-elle. »

« J’ai connu pire, dis-je avec un sourire. »

« Je suis désolée. »

« De ? »

« D’avoir joué la garce insupportable. Je faisais exprès pour t’énerver. »

« Quoi ? »

« Ouais : je voulais te rendre dingue et furieux, pour qu’on parte dans une partie de jambe en l’air de malades… ça a marché non ? »

« Oh oui ! Mais t’avais vraiment prévu qu’on baise en public ? »

« Ca a un peu dérapé, j’avoue. »

« Enfin, l’important c’est que tout le monde ait compris qui est le maître ici. »

Elle eut un sourire piteux.

« J’ai jamais été défoncée à ce point là… en plus en public ! C’est la pire humiliation de ma vie... »

Je me sentis un peu mal.

« Désolé, mais c’est ta faute aussi. »

Elle sourit.

« Oui, mais j’ai jamais pris un tel pied aussi, alors ça compense... »

« Donc on est quittes ? »

« Rêve pas ! Je trouverai un moyen de me venger… Je veux que ce soit aussi humiliant pour toi, que pour moi… Faudra que je trouve un moyen parce que te soumette dans une chambre suffira pas, mais crois moi, je trouverai une idée, et je la mettrai en application... J’aurai ma revanche, chéri. »

Je souris, heureux à l’idée d’avoir une nouvelle baise endiablée avec elle.




Voilà ce récit est terminé, j’espère que vous l’avez apprécié. N’hésitez pas à le commenter, à me faire des remarques, critiques ou observations sur le scénario, les personnages, l’histoire en général

Je vous dis à la semaine prochaine pour le suivant, ce sera April 3.

Merci à vous pour la lecture !

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