Sous Son Joug

J’étais à mon bureau, une journée banale de travail avec son lot de contraintes, de performances, d’appels lassants comme enthousiasmants. J’avais hâte de retrouver mon homme pour une soirée en solo : sans pour une fois, en cette période de vacances scolaires. Nous n’avions rien planifié pris par la tourmente de notre vie effrénée.
J’avais juste une seule envie me retrouver avec lui dans ses bras sans rien à gérer.
Un SMS m’a sorti de ma rêverie, mon téléphone a affiché le nom de mon homme et j’ai su rien qu’à la première phrase que ma soirée serait à l’image de mes désirs : hot et sexe.
« Coucou ma belle salope, ce soir attend moi dans le garage en bas des escaliers en guêpière, bas et talons hauts avec ta laisse et ton collier. N’oublies pas de prendre avec toi un gode et ton téléphone ! Prépares toi à une soirée d’exception ma chienne. Je t’aime et je t’e….. ».
Il était 17h je souhaitais encore travailler une petite heure mais là cela allait être très dur et puis il fallait que je me prépare….tout mon corps était déjà en effervescence et l’humidité que je sentais monter peu à peu entre mes cuisses, montrait l’effet de ce message sur mon corps ! Mon imagination s’était mise en branle et je rêvais déjà de ces bons moments….humm rien qu’en fermant les yeux je sentais déjà son sexe me pénétrait avec rage et passion. J’avais une forte envie de lui: sentir son odeur quand il était excité, entendre les mots durs qu’il allait me marteler tout en me fessant de ses mains puissantes et en tirant sur la laisse pour réduire mon oxygénation afin de me faire atteindre de puissants orgasmes.
Je n’étais plus du tout performante : j’essayais de travailler mais je n’arrivais pas à me concentrer sur le moindre de mes mails. Je relisais d’ailleurs inlassablement le même depuis tout à l’heure sans finalement comprendre son sens et pouvoir répondre à mon client tellement j’étais obnubilée par ce SMS. Je décidais donc de fermer mon dossier pour ce jour, d’éteindre mon ordinateur, et, de rentrer chez moi pour me préparer minutieusement.


J’aimais être entièrement propre pour ces moments hard et prendre le temps de me vêtir avec gout de sous-vêtements excitants et assortis : tout cela faisait partie de mon rituel avant de me faire baiser et l’excitation montée déjà fortement sous la douche ou il n’était pas rare que je me gode, ce qui je fis d’ailleurs.
Toute excitée je descendis vers notre garage et je me postais à quatre pattes, le cul en l’air, devant l’escalier après avoir pris soin de mettre mon collier et ma laisse. J’avais même ajouté mon crochet anal pour l’exciter davantage.
Le sol était froid, je frissonnais et mes pointes de tétons se rebellaient sous ma guêpière cintrée. Tout était calme dans ce sous-sol faiblement éclairé. Il y régnait une atmosphère étrange comme si le temps était suspendu, comme si rien ne se passait à l’extérieur malgré les quelques bruits de circulation qui arrivaient à mes oreilles par intermittence. J’étais déjà en transe totalement prise dans mon rôle de soumise.
Le bruit d’un SMS reçu sur mon téléphone, posé sur la première marche de l’escalier, déchira l’atmosphère.
Son contenu était court : « commences à te goder et tu as intérêt à jouir quand j’arriverai ».
Je n’avais aucune idée du temps qu’il allait mettre pour arriver et déjà j’appréhendais de le décevoir, j’étais très sensible à mon gode et je savais qu’il me fallait 3 à 4 minutes pour jouir puissamment de façon clitoridienne en le mettant sur mode vibreur.
Je décidais d’attendre un peu avant de mettre en place cette fonction et je l’introduisis doucement dans mon sexe, le crochet anal étant déjà en place dans mon cul. Je faisais des va et viens et je sentais le plaisir monter en moi, c’était comme de douces vagues qui roulaient dans mon bas ventre, des petits picotements parcouraient mon corps…que de sensations agréables ! J’aimais ces moments de calme et volupté avant la tempête.
Après quelques minutes je mis en route la fonction vibrations, mon clitoris se mit en effervescence : il gonflait au fur et à mesure, je sentais monter en moi des décharges de plaisir…soudain j’entendis le bruit de notre portail électrique : il était là ! Je n’allais pas avoir le temps de monter jusqu’à faire éclater mon orgasme.
Cependant, le sentant arriver m’exciter davantage encore, je sentais mon sexe couler abondamment sur la dalle, une énorme flaque se répandait sous moi.
Il ouvrit le garage, le referma calmement et vint vers moi, malgré la puissance maximum que je venais de mettre sur mon gode, je n’atteignais pas encore l’orgasme, il attendait derrière mot sans un bruit en se caressant l’entre jambe.
Il me demanda soudain d’arrêter mon gode et tira sur ma laisse vigoureusement en disant :
« tu n’as pas encore joui ma petite salope, c’est pas bien je vais être obligé de te corriger copieusement…. ».
Puis, il tira sur ma laisse et m’obligea à monter les escaliers à quatre pattes comme la chienne que j’étais. Mon crochet anal que j’avais attaché à mon collier me rentrait puissamment dans mon cul à chacun de mes mouvements et me provoquait des spasmes entre douleur et jouissance. Je voyais à son regard qu’il aimait cela et que cela l’excitait au plus au point, son sexe gonflait sous son jean et formait une bosse très visible.
Arrivés dans notre salon il prit la laisse et l’attacha au radiateur. Il partit chercher un ceinturon et un martinet tout en cuir, un cadeau qu’il s’était fait en sortant d’un club SM.
Il m’arracha littéralement ma guêpière plutôt qu’il ne l’enleva.
Il commença par me mettre d’énormes fessées qui me marquèrent les fesses instantanément tellement elles étaient puissantes, cela me piquait mais j’étais terriblement excitée. Il me lia les mains puis se mit à me donner des coups de ceinturon sur le dos, sur les seins, cela m’arrachait des cris sourds entre souffrance et plaisir…je ne devais pas assez m’exprimer car il passa au martinet en me criant qu’il ne m’entendait pas …je devais gueuler mon envie selon ses propres termes.
Il s’acharnait maintenant sur mon cul avec son martinet en me laissant aucun moment de répit, il voulait que je crie grâce pour qu’il arrête. Mais, je ne voulais pas me montrer faible, je voulais monter encore plus haut, je voulais jouir sous ses coups.
Je prenais un malin plaisir à me montrer silencieuse…plus je refoulais la douleur au plus profond de mon être, plus la sensation était délicieuse, un bien être m’envahissait tant mon corps sécrétait d’hormones pour lutter contre ce mal…j’étais dans un état d’euphorie totale !
Soudain, fou de rage devant mon cul si rouge, mon absence de paroles pour lui dire de stopper, il baissa son pantalon puis son boxer, et introduit son sexe tout dur sans ménagement dans mon cul ou se trouvait déjà le crochet.
Tout cela m’arracha un cri directement suivi par une terrible jouissance que j’avais jusqu’alors refoulée. Il poussait le crochet en me pilonnant, je sentais mon anus s’ouvrir à chacun de ses coups de rein : c’était puissant, c’était fantastique d’extase, je jouissais en continu : j’étais tout la haut perchée en haut de la montage des plaisirs et je ne semblais plus vouloir en redescendre… ma vision devint floue, j’étais au bord de l’évanouissement tellement mon corps était malmené…dans un dernier râle il sortit de mon cul et répandit sa semence sur mon dos….
Alors que je pensais notre scénario fini…il regarda en souriant et me dit : « petite pute, tu ne bougeras pas de la soirée et tu resteras à ma disposition… ».
J’étais totalement souillée, mon maquillage ruisselait sur mon visage et je restais là attachée par ma laisse au radiateur, les mains liées.
Il partit se doucher puis vint ensuite se mettre à côté de moi sur le canapé : son sourire vicieux ne quittait pas ses lèvres.
Tranquillement il partir se faire un repas puis, tout en le dégustant, prit notre ordinateur et se mit à tapoter celui-ci …de là ou j’étais je ne voyais pas sur quel site il était. Par intermittence, j’entendais des cris étouffés de jouissance. Enfin, il retourna l’ordinateur vers moi : c’était un film porno. On y voyait une fille à quatre pattes qui suçait un mec et qui se faisait enfiler par un autre qui lui tirait les cheveux en la traitant comme une merde.
En souriant il me dit : « cela t’excite hein ? » …je baissais la tête en lui murmurant un oui ….
Effectivement cette situation m’attirait, les images, le bruit des coups de rein, des râles de cette fille ne donnaient encore envie ! alors que je pensais mon corps totalement vidé, incapable de bouger …je me mis à le supplier de me laisser le sucer.
Il s’approcha, glissa sa queue dans ma bouche. Quelle sensation agréable ! je faisais des va et viens sur son sexe, je laissais tournoyer ma langue autour de son gland. Ses petits râles m’indiquaient qu’il semblait fort apprécier et malgré son éjaculation récente son sexe se mit à gonfler rapidement.
D’un geste rapide il me retourna sur le sol, plaqua ses mains sur mes propres mains liées et rentra dans mon sexe : d’abord avec vigueur puis plus calmement de façon régulière. Il savait que j’adorais cela me faire limer en appuyant par à coup au fond de mon vagin.
Il me regardait avec puissance il attendait ma jouissance avec intérêt…Sensible à mes cris il alternait les actions très rapides ou son sexe percutait avec rage le fond de mon vagin déclenchant dans mon bas ventre une succession de spasmes, et, des moments plus doux, qui me faisaient mouiller abondamment.
J’étais aux anges , je jouissais comme jamais m’abandonnant totalement entre ses mains expertes.
Il se releva d’un bon , s’assis en face de moi et me mit son sexe dur au fond du gosier, surprise j’eus du mal à déglutir…il me tenait fermement les cheveux et m’obligeait à gober son sexe entièrement, j’avais du mal à respirer, cela m’excitait, à nouveau je sentais que je dégoulinais…
Dans un dernier râle il répandit son sperme dans ma bouche…
Il me lâcha, repartit quelques instants dans la salle de bain puis s’agenouiller face à moi. Amoureusement il m’embrassa, détacha la laisse, mon collier de mon cou, enleva mes liens aux mains et m’aida à me relever.
Il me guida vers la salle de bain. Elle était plongée dans une obscurité que quelques bougies parfumées éclairées. Il venait de me faire couler un bain moussant.
Il me tendit la main afin que je puisse y rentrer….la sensation de l’eau tiède sur moi était douce, après tant d’orgasmes et d’émotions, j’allais me délasser…….





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