Je Suis Son Jouet !

Il y a peu, j’ai rencontré Pierre. Au fil de nos conversations, nos textos devenaient de plus en plus enflammés. Nous nous envoyons nos corps nus, nos sexes … Un soir après son travail, il est venu chez moi. Je lui ai proposé de débuter par un massage. Il s’est déshabillé, je l’ai regardé, son corps nu apparaitre sous mes yeux me donnais déjà envie, un frisson de chaleur s’est emparé de moi. Je l’ai massé avec ferveur et passion. Après 20min, précipitamment il se retourne, me plaque sur le dos et me menotte aux barreaux de mon lit.

Il commence par me déchirer se haut transparent en mailles noires, me lèche les tétons qui durcissent petit à petit, tout en me massant la poitrine fermement. Il glisse ses mains, si douces, sur mon ventre frémissant, et enlève mon porte-jarretelle et mon string. Elles se dirigent maintenant vers ma petite chatte fraichement épilée et déjà mouillée. Il me masturbe, tout en me pénétrant avec deux de ses doigts. Je sens l’excitation monter en moi, quelques gémissements sortent de ma bouche. Ses mouvements à répétitions me donne envie de le toucher, de le branler à mon tour mais mes mains sont attachées. Un peu frustrée, je me laisse guider par le courant du plaisir qui m’envahit.

Il arrête ! Me regarde reprendre mon souffle, il est satisfait par ce début, tout en se masturbant. Il s’approche, m’enfonce son phallus bien raide dans la bouche. Je sens son odeur, si bonne, me prend la tête afin de gérer la rapidité avec laquelle je dois le sucer. « J’y suis !» ma langue touche ses couilles « Mmmmmmm, quel délice ! ». Il se retire, plonge sa langue sur mon clito, il s’amuse avec, je suis son jouet, il prend possession de moi, de mes envies, de mon plaisir …
Puis, de nouveau il s’arrête et part, me laissant seule attachée sur ce lit. Je le vois revenir, une crache à la main, qu’il tapote sur mon vagin parfaitement ouvert à ses moindres désirs. Il accélère le rythme. « Maître, je vous en supplie, continuez ! » lui demandais-je.

Et brutalement il s’arrête encore, s’approche de mes mains et me retire ces liens, j’en profite pour lui prouver mon dévouement en le suçant à pleine bouche.

Pierre me prend la mâchoire vigoureusement et me la muselle. Il prend un malin plaisir à me demander : « Es-tu mon jouet ? ». Me pouvant plus parler, je lui fais un oui en signe de tête
« Es-tu ma chienne ? ». En signe de soumission, je me positionne en levrette, mon cul face à sa bite. Il débute les hostilités par quelques claques et coups de cravaches.
Ça y est je la sens, elle est en moi, si dure, si agréable. Il peut faire ce qu’il veut de moi, tant que j’ai sa bite ! Une main sur ma hanche, l’autre sur mon clito, l’excitation est à son comble, je ne peux plus, je gémi.
Puis, la main masseuse de clito s’en va et pour mieux revenir sur mon anus. Je sens son doigt humide le titiller et s’enfoncer dedans, j’aime cette sensation. Après de bons préliminaires, son sexe y pénètre à son tour. « Que s’est bon ! ». Je sens cette grosse bite dans mon intimité la plus profonde. La sensation de jouissance me pénètre, je commence à perdre mes moyens, mes jambes tremblent, mes gémissements deviennent de plus en plus fort. Je le sens, je le sens si bien en moi … « haaaaaaa ! ».

Le rapport s’accélère, Mon Maître décide tout en me sodomisant, de me pénétrer avec le gode qu’il m’avait demandé d’aller acheter quelques jours auparavant. C’est une nouvelle sensation que je ne connaissais pas jusqu’à lors, une jouissance parallèle qu’il a bien voulu me donner. Tout mon corps est transporté par les mouvements de sa queue dans mon cul et du gode dans ma chatte. Celle-ci est d’ailleurs trempée, je mouille comme une jeune pucelle. J’aime et je voudrais que ce plaisir ne s’arrête jamais ! Je sens mon Souverain heureux, il me contrôle ! Je jouis comme jamais, tellement, que je n’arrive plus à me contenir, ça y est Sa Majesté le Roi m’a fait atteindre le nirvana, j’en veux encore et encore. « Mon corps vous est offert, je m’incline, je suis votre soumise ! » pensais-je. Il ralenti le cadence, retire sa bite de mon fondement, puis le gode de ma vulve, dans sa bonne grâce, il me retire le bâillon pour m’offrir son sperm. Il est chaud, je le sens descendre en moi ….

Je le remercie, m’allonge, sereine et remplie. Mon Roi se revêtit, me mit une dernière claque sur mon fessier et parti me laissant seule, sans dire un mot !

J’ai été son jouet ….