Le Chantier (71)

Blandine ma nouvelle copine est clouée au pilori, je viens de la piéger et je pense que je vais faire de grandes choses avec elle car j’ai un plan pour le restant de la soirée.
Pour commencer je lui laboure la chatte avec un gros gode ceinture trouvée sur une étagère posée par Criss, avant de le placer autour de mes reins je le passe au désinfectant notre copain ayant pensé à tous pour l’hygiène du club surtout par les temps qui courent.

Je la fais jouir, ce mot simple « jouir » est devenu obsédant depuis que j’ai lâché les vannes dans mon jardin l’été dernier, jouir et faire jouir, je sens qu’avec des personnes de goût comme Criss et Soso les initiateurs du Palais des Plaisirs orienté pour celui des femmes même si dans cette salle, le plaisir passe par leur souffrance.

• Je te laisse, j’ai une course à faire, médite sur ce que tu vas devenir entre mes mains, tu as voulu connaître mon Palais alors profite en bien il est tout à toi moi je vais m’occuper de ton mari.

Je pars la laissant coincé dans le pilori sans possibilités pour elle de se libérer.
Pour bien lui faire comprendre qui domine qui, j’ai détaché le harnais laissant le gros gode dans sa chatte qui dépasse la montrant dans une pose obscène.

Je remonte vers la piscine et je prépare une petite mise en scène avant de m’habiller et de sortir pour appeler Hilda, à cette heure elle doit être auprès de Nadia et Cyprien sinon on est mal.
Je sors et je monte dans ma voiture ayant rebloqué le système de l’entrée imaginé par Pierre.
Je récupère mon portable 2 appels sur mon numéro 06 en attente et 2 fois les mêmes personnes ont envoyé des S.M.S, ils proviennent de Mathis et d’Hilda et ont été envoyés il y a un quart d’heure pour l’un et un peu plus d’une heure pour celui venant de Belgique alors que je m’amusais dans la piscine avec Blandine avant de la clouer au pilori de Criss.

• Allo Hilda, je pense que la soirée commence chez toi.


• Oui Valérie, j’en suis à ma deuxième coupe, tu vois j’évolue finie les coupettes vivent les coupes de votre si bon champagne mais je te rassure la quantité dont je me délecte est la même.
• Fais attention, à ta voix j’ai l’impression que depuis tout à l’heure tu es toujours pompette.
• Si c’est pour m’engueuler, je raccroche, il faut que je monte avec le petit Cyprien.
• Cyprien est là avec Nadia.
• Oui quand je t’ai envoyé le S.M.S, ils étaient à une gendarmerie près de Lille et ils viennent de se garer au parking.
• Sont-ils arrivés dans la voiture rouge de Nadia ?
• Oui, il semblerait à ce que m’a dit la petite qu’ils se sont arrêtés sur un air d’autoroute et que Cyprien le mignon garçon qui l’accompagne la sautée.
• Ils ont pris le temps de baiser.
• C’est du moins ce que m'a dit Nadia à l’oreille, elle s’est laissé faire sur le capot de sa voiture sous les yeux de chauffeurs routiers qui les mataient. Arrivé ici elle voulait profiter de sa venue pour se faire quelques clients, elle avait besoin d’une douche et elle vient de redescendre de mon appartement, elle a mis la tenue violette, tu sais qu’elle a bon goût.
• Et Cyprien pourquoi dois-tu t’en occuper ?
• Afin d’éviter qu’il soit jaloux, j’y vais Nadia se dirige vers les chambres avec un client et le garçon la regarde d’une drôle de façon.
• Tu m’assures qu’il était dans la voiture de Nadia sans sa moto de la gendarmerie.
• Je t’ai dit qu’elle est près de Lille.
• Je suis rassurée bonne soirée attention au champagne.
• J’ai deux coupes en mains je vais en donner une à mon boy-friend.

Je raccroche, je peux passer à la suite de mon plan, Cyprien s'est servi de sa moto pour ouvrir la route en France à Nadia et ainsi faire croire aux usagers de l’autoroute qu’il escortait une personne importante, connaissant Nadia elle a pris cela comme un jeu qui aurait pu mal finir pour le petit gendarme.
Je prends la route direction la gendarmerie sans répondre au message de Mathis, je le ferais de vive voix.

Je sonne à la porte, le système automatique se déclenche et une gendarmette est devant moi.

• Bonjours madame le maire que puis-je pour vous ?
• Je voudrais voir l’adjudant.
• Il vient de rentrer chez lui, il était pendu à son portable et semblait très anxieux.
• Où habite-t-il ?
• Juste là dans les logements de fonction, la première porte à gauche son nom est marqué sous la sonnette.

Je me déplace et je sonne.

• Valérie te voilà, où en est-on ?
• Tu sembles anxieuse pour un simple petit gendarme qui a fait l’école buissonnière avec sa moto.
• S’il n’y avait que ce simple souci rien ne serait grave.
• Je te rassure, il a laissé sa moto de service dans une gendarmerie près de Lille et en ce moment ils sont arrivés à Anvers chez ma copine Hilda.
• Bien, mais mon autre souci fait de moi un mari anxieux, as-tu vu Blandine cet après-midi ?
• Oui, je l’ai fait monter dans ma voiture et nous sommes allés dans la rue piétonne acheter une robe pour notre prochaine soirée.
• Elle t’a quitté à quelle heure ?
• Après l’achat de la robe elle a souhaité visiter mon Palais des Plaisirs, nous y sommes allés et nous avons pris un bain.
• Je comprends à demi-mot que vous vous êtes amusées entre filles à quelle heure t’a-t-elle quittée ?
• 1 heure, 1 heure et demie environ, je voulais la raccompagner mais elle m’a dit qu’elle t’avait appelée et que tu l’attendais dans la rue.
• L’as-tu suivi ?
• Non j’étais nue allongée sur le lit ou, tu comprends inutile de te faire un dessin.
Pourquoi me demandes-tu tout cela ?
• J’ai compris pour le lit mais depuis elle est introuvable.
• L’as-tu bien récupéré devant chez moi ?
• Pas du tout, elle a dû inventer ce mensonge pour partir avec un galant, je suis un homme cocu.
• Comme tu y vas, viens retournons ensemble au Palais, tu as l’habitude d’enquêter tu verras peut-être des indices.

Il monte dans ma voiture après avoir récupéré veste et papiers et quelques minutes après mon plan fonctionnant même si je suis honteuse de mettre Mathis dans l’embarras.

J’ouvre la porte par la statue et j’entre suivie de mon compagnon qui comme chaque personne qui entre là est étonné de ce qu’il voit.

• Tu as bien dit que vous vous êtes baignées.
• Oui et après nous sommes allés sur le lit.
• Celui-là ?

Je joue serrée.

• Non celui dans l’appartement caché.
• Guide-moi.

J’ouvre la porte du logement que va occuper Éliane ou j’ai tout prévu avant de partir vers la gendarmerie.

• Voilà le lit.
• Tu aurais pu le refaire avant de partir, continue, tu étais couchée là quand elle est partie.
• Oui elle est sortie nue car nous nous étions dénudés pour nous baigner.
• Près de la piscine ?
• Non ici avant de retourner nous baigner.
• Je te le redemande l’as-tu vu se vêtir ?
• Non j’étais dans la chambre et nous sommes dans la salle à manger.
• Viens vers la piscine.

Nous nous déplaçons je m’amuse à le voir enquêté comme s’il y avait eu un assassinat.
Je prends l’initiative.

• Regarde, il y a du tissu au fond de la piscine.

Bien sûr c’est moi qui ai fait retomber la robe dans la piscine avant de partir en cachant dans le placard de l’appartement ma culotte trempée impossible à remettre et surtout le sac de la boutique où elle a acheté sa robe.
Il se déshabille et plonge.

• C’est la robe qu’elle portait ce matin, alors elle est là, ou elle est partie nue !
• En plein mois de décembre !
• Alors elle est ici, qui y a-t-il comme autre salle ?
• Les chambres à l’étage les lits ont des menottes c’est Criss qui les a fabriqués à son travail sans savoir qu’il les retrouverait ici.

Nous montons lui nu musculeux à souhait et bien sûr il fait chou blanc.

• Valérie j’ai l’impression que tu m’amuses, je vais te donner une sacrée fessée si tu t’es fichue de moi.

Comment a-t-il pu avoir des doutes, je manque de spontanéité et j’aurais dû lui montrer qu'une certaine panique comme lui s’insinuait en moi, ce que j’ai oublié de faire.


• Y a-t-il d’autres pièces ?
• A oui j’oubliais la cave au supplice elle s’est peut-être isolée en bas.
• Comment y entrer, comme pour l’entrée et l’appartement par une porte caché dans les fresques ?

Je comprends qu’il vaut mieux que j’évite de faire un crime parfait du moins je le croyais car les menottes qu’il me passera seront loin d’être des menottes de jeu.
J’ouvre la porte et il descend.
Blandine est toujours bloquée par le pilori et semble avoir besoin de changer de position, cela faisait partie du supplice.
Il joue le jeu car sa femme a toujours les yeux bandés, il me fait signe pour que je le suce pour le faire bander.
Dès qu’il le peut c’est la bouche de sa femme qui le suce jusqu’au moment où il décide de venir la prendre.

• Valérie qui est venue dans ma bouche ?
Je tiens à rester fidèle à Mathis, je t’ai dit que je fais l’amour avec d’autres hommes qu’en sa présence, ma bouche est loin d’être leur vide couille.

Il me fait signe de me taire retire le gode, il est au fond de la chatte de sa femme qu’il prend par les hanches pour la bourrer le plus fort possible jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir et finit par éjaculer.

• Bande de salopards, je reconnais que j’ai joui ce qui fait de lui un cocu mais le salop qui m’a baisée aurait pu mettre une capote.

Je prends le foulard qui bouche les yeux de Blandine.

• Bon soir ma chérie bien venue au Palais des Plaisirs…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!