Un Salon De Coiffure Très Particulier

Un dimanche en fin de matinée, mon téléphone portable sonne.
"-Oui ?
- Ella ? C'est Madame Riverin à l'appareil, du salon de coiffure Hair'cut. Vous nous avez déposée un CV hier et votre profil nous intéresse grandement. Seriez-vous disponible pour un essai demain ?
- Euh .. Oui bien sûr. Excusez-moi mais je ne m'attendais pas à recevoir une réponse un dimanche, mais j'en suis ravie !
- C'est parfait ! On se donne rendez-vous à 9h au salon ? Et surtout, ne changez pas votre style vestimentaire, vous êtes absolument ravissante. A demain, bon dimanche !"

Je n'avais pas eu le temps de saluer, et de remercier madame Riverin que je commençais à me poser des questions. Le salon en question était très récent dans la ville, il avait ouvert quelques semaines et il était très petit. Lorsque j'y avais déposé mon CV, j'avais vu deux très belles femmes: la patronne, une blonde dans le style femme fatale comme Uma Turman, habillée un peu court et avec un air très strict. Ainsi qu'une fille de mon âge à peu près, très belle brune aux cheveux longs, avec une poitrine très mise en avant. Donc vu la taille du salon, elles étaient assez de deux, et en plus je ne corresponds pas vraiment à leur standing physiquement. Certes je sais que je suis une belle jeune femme de 22 ans. Pas très grande, fine, une bouche légèrement pincée et pulpeuse qui a toujours fait envie aux hommes, ainsi qu’un regard bleu très doux. Au niveau de mes attributs, ma poitrine bien que volumineuse n’étais que rarement mise en avant quand j’étais en milieu professionnel, pareil pour mon fessier bombé. Donc pourquoi m’avoir appelée ? Finalement trop heureuse de ce coup de fil, je décide de me poser moins de questions et de profiter de mon dimanche.
Lundi, 9h du matin, vêtue d’une chemise en jean et d’un pantalon légèrement moulant, je me présente au salon, situé dans une petite cour. Madame Riverin m’ouvre et me sourit. Dans le salon était présent un homme, qu’elle me présenta très vite comme son mari, et un homme assez âgé, présenté comme un client qui sera mon mannequin pour l’essai.

Le mari, très séduisant et très charismatique me reluqué de haut en bas, se mordant les lèvres alors que sa femme lui sourit. Le grand-père me sourit très gentiment en me saluant, alors qu’il est déjà recouvert du drap et prêt à être coiffer.

« -Ella, tu es prête ? Tu vas faire une coupe de cheveux à monsieur Jean pendant qu’on va te poser quelques questions. Tu verras, nous sommes un salon un peu particulier, mais rien de bien méchant, et la paie devrait te convenir. Mais on discutera de celle-ci une fois monsieur Jean, et nous même satisfait, me dicta presque machinalement la patronne.
- Très bien, il y’a pas de soucis, je suis très motivée vous savez »
A ces mots, monsieur Jean et le monsieur Riverain rigolèrent doucement. Je commençai la coupe de cheveux quand la première question tomba. Etrangement c’était sur ma vie sentimentale. Je leur expliquèrent que j’étais célibataire, et pas prête à me posée, préférant un peu profitée de la vie et vivre le jour le jour. Tout en parlant, et en coiffant mon client du jour, je vis celui-ci faire quelques mouvement suspect sous le drap. Je me disais sur le coup qu’il se grattait la cuisse, que c’était rien de grave, mais dans le reflet du miroir je vis aussi monsieur Riverain, la main dans la poche, frictionnant machinalement quelque chose en aillant son regard poser sur mon fessier. Il devait aussi se gratter. La deuxième question tombe comme une énorme baffe :
« - Serais-tu prête à quelques services intimes, de ton choix, avec nos clients ?
- Pardon ? dis-je en arrêtant la coupe.
- Oui, serais-tu prête à faire des masturbations, fellation, ou même rapport sexuel avec nos clients ? Contre rémunération bien sur.
- C’est une blague ?
- Non Ella. Tu dois bien te douter qu’un salon de cette taille n’est pas un vrai salon de coiffure. On ne vivrait pas très bien tu comprends ? C’est une sorte de couverture. On a actuellement Lisa qui est coiffeuse ici, et qui a très vite été partante pour ces services, elle est très heureuse d’ailleurs.

- …
- Ella ?
- Oui.
- Alors qu’en dis-tu ?
- Je sais pas, dis-je d’un air réfléchi. »
Je ne vous l’avais pas dit, mais depuis très jeune, le sexe fait parti de ma vie. Le sexe est mon plus grand plaisir après les petits plats que je me prépare. J’aime le sexe sous toutes ses formes. J’ai plusieurs inavouables sur ce sujet, que je vous raconterai un autre jour, mais jamais encore j’avais couché au travail et encore moins pour de l’argent. Pendant que je réfléchissais et que la patronne avait son regard doux mais sérieux porté à mon attention, je voyais son mari dézippé sa braguette et sortir son sexe d’une taille convenable, totalement tendu en ma direction. Au même moment, monsieur Jean me siffla doucement. Je le regardais et je le vis écarter le drap. Sa queue, elle aussi tendue vers moi, était un beau morceau de chair et de sang surplombé d’un gland démesuré.
« - C’est d’accord. »
Ces seuls mots sortirent de ma bouche alors que je fis légèrement pivoté la chaise de mon client, me retrouvant en moins de 5 secondes à genoux, la main empoignant son sexe dur comme la roche tout en effectuant des vas-et-viens. Les trois profiteurs sourirent à la vue de ma décision.
« - Bon bah ce ne fut pas compliqué finalement ma petite, dis la patronne qui s’installa sur une chaise à quelques mètres de moi et en faisant signe à son mari de nous rejoindre »
Alors que j’approchais ma bouche du sexe du vieillard, son mari agrippa mon autre main pour la mettre sur son manche. Je suçais alors une queue, en pratiquant une branlette à un autre. Je dû lâcher le plus jeune pour qu’il s’installe sur un tabouret, puis je naviguais, ma bouche entre les deux glands bien gonflé, tout en écoutant les râles de plaisir que je leur prodiguais. Après quelques minutes, je senti mon entre jambe totalement trempée qui me réclamais des caresses. Je déboutonnais mon pantalon quand le mari décida de se lever.
« - Allez montre nous tout ça ma belle nouvelle coiffeuse »
D’un geste assuré il déboutonna ma chemise, et baissa mon pantalon.
Il fut agréablement surpris de voir que je ne portais pas de soutien gorge, et que mon string était totalement trempé. Pendant ce strip tease , je pouvais voir madame Riverin, cuisses écartées, se masturbée avec un tube de laque tout en nous regardant. Le mari me retourna dos à lui, et m’abaissa en direction de monsieur Jean, qui enfourcha sa queue au plus profond de ma gorge. C’est alors que je senti monsieur Riverin prendra possession de mon vagin d’une hardeur encore rarement vu pour ma part. Et alors que je m’étouffais presque avec le membre du vieillard, celui-ci s’enfonçait de plus en plus
« - Oh oui ma chérie, fait du bien à ce vieux pervers que je suis, je vais jouir »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il m’envoya 5 jets puissants de sperme épais qui coulèrent dans ma gorge. Ce délicieux nectar m’excita encore plus, et alors que je sortais la queue de ma bouche, son possesseur enfonça sa langue dans ma bouche, m’embrassa avec fougue tout en se branlant.
« - Oh que t’es bonne. Attend que je rebande pour prendre ta petite chatte ».
Parlons de ma chatte tiens, elle était brutalisée de plaisir depuis quelques minutes quand je senti encore un nectar coulait. Monsieur Riverin venait de se vider au plus profond de mon être dans un dernier râle de plaisir.
« - Elle était toute serrée la salope ! Je n’ai pas réussi à résister plus longtemps. Allez, pousses toi maintenant »
Il me poussa vers sa femme, toujours entrain de se masturber. Légèrement baissée, elle me prit par les cheveux et me colla entre ses cuisses. Elle m’obligea alors à un court cunnilingus, mon premier, qui lui fit beaucoup d’effet. Pourquoi court ? Parce que très vite elle me laisse à nouveaux aux deux hommes, de nouveau bandé.
« - Tu aimes te la prendre dans le cul ?
- Je. je l’ai jamais fais.
- Tu veux essayée ? Souvent les clients en raffolent. Tu peux te faire beaucoup d’argent.
- Attend, on va la préparée, répondis la patronne ».
Elle me mit en levrette, cracha à quelques occasions sur ma rondelle, et me godant directement avec le tube de lac.
Sacré préparation ! J’hurlais très vite, mais monsieur Jean eu une idée.
« Attendez, moi je veux sa chatte »
Il me souleva, toujours le tube performant mon anus, et s’installa dans le siège à shampoing. Il me tira vers lui, sa grosse queue trouva directement ma chatte. Je vivais alors en quelque sorte ma première double pénétration, et ce n’était pas si mal. Alors que je criais encore, à la fois de douleur et de bonheur, le papy me suçait franchement mes gros seins durcit, les mordant, les giflant.
J’allais avoir un orgasme quand je senti le tube sortir de mon cul. J’avoue que ça m’a fait du bien d’être libérée de ce poids. Libération de courte durée. Monsieur Riverin saisit sa queue, et la fit entrée d’un coup sec dans mon cul, tout en me tirant les cheveux pour me prendre la bouche. J’avais deux queues en moi, l’envie énorme de criée de douleur, mais dans l’incapacité. La patronne nous encourageait, je pleurais désormais, mais de plaisir.
Mon corps était devenu un objet, et pour quoi ? Pour le plaisir de pervers. J’aimais ça, et je commençais à le montrer. J’embrassais tour à tour mes deux baiseurs, m’enfonçant de plus en plus.
« - Ca vient pour moi, et toi Jean ?
- J’en peux plus, j’vais jouir dans sa chatte
- Non, attendez, sur son visage, dit la patronne d’un air enjouée »
Mise à genoux, me doigtant d’une main, me caressant de l’autre, bouche ouverte, j’attendais désormais la semence. Une dizaine de jet me recouvrirent le visage, une partie finissant dans mes cheveux, ma bouche et ma poitrine. Je me nettoyais doucement, ne voulant pas que ce moment finisse.
Une fois rhabillée, et après avoir saluée toute l’équipe, je rentrais chez moi et ne les revu plus jamais. Et le job ? Non merci. Le sexe est un plaisir, il ne doit pas être fait pour l’argent, uniquement par jouissance.

**Histoire romancée, mais donc les actes et les pratiques sont véridiques. Désolée pour la syntaxe, j'essayerai de m'améliorée. Des bisous mes pervers**

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